Les Dossiers secrets de la NASA

La création de la NASA

Le 29 juillet 1958, en réponse au lancement réussi du satellite spatial soviétique Sputnik, le président Dwight Eisenhower a signé la loi sur l’aéronautique et l’espace, créant officiellement la NASA.

La NASA a été créée au sein d’une agence gouvernementale existante, la NACA, qui ne s’occupait uniquement que de l’aéronautique, puis du programme spatial initial mis au point par l’armée et l’aviation.

La NASA a été créée pour amener les États-Unis dans l’espace et se lancer en concurrent dans la nouvelle direction que prenait l’humanité en matière d’exploration de l’espace et de pénétrer dans notre système solaire.

Le président et le congrès ont établi la NASA au sein du ministère de la Défense. La raison officielle était d’empêcher les Soviétiques de voler la technologie U.S., mais certains pensent que le véritable motif de cette classification n’était pas de cacher des informations aux Soviétiques mais de les garder secrètes auprès du public américain.

Beaucoup de gens pensent que la NASA est une agence scientifique civile, mais ce n’est pas le cas. Il est dit ici même dans l’acte du Congrès qui l’a créé que tout ce qu’ils découvriront est sujet à classification, gardé secret et tenu secret du peuple américain.

Le rapport Brookings, commandé par la NASA juste après la création de la NASA, visait essentiellement à décider de ce que la NASA devrait faire si elle établissait un type de contact extraterrestre ou si elle découvrait des artefacts sur la Lune ou sur Mars, ou s’ils avaient un contact direct avec une intelligence supérieure. Et le rapport Brookings dit très précisément : « tout d’abord, ne le dites à personne. Si vous en parlez à quelqu’un, cela brisera le tissu de notre civilisation. Cela va nous détruire. »

Certains chercheurs pensent que les liens étroits entre les scientifiques fondateurs et les sociétés secrètes sont à l’origine du programme caché de la NASA. Ces sociétés secrètes reposaient essentiellement sur la conviction qu’elles descendaient directement de ces grands dieux de l’Égypte ancienne, d’Isis, d’Osiris et d’Horus, et elles considéraient que ces dieux étaient véritablement la source de leur lignée, mais aussi que ces dieux eux-mêmes venaient de l’espace.

  • Tout en haut, vous aviez les francs-maçons.
  • Vous aviez James Webb, qui était directeur de la NASA.
  • Vous aviez un certain Kenneth Kleinknecht, responsable du programme Mercury, du programme Apollo et du programme Gemini. Il était franc-maçon de rite écossais au 33e degré.
  • En dessous d’eux, vous avez l’Ordre Hermétique de l’Aube Dorée, ou des disciples d’Aleister Crowley. Des gens comme Jack Parsons ou JPL (Jet Propulsion Laboratory). Ils ont tous été rassemblés et se sont retrouvés sous le même toit, avec le même programme et le même système de croyances.

Nous voyons cette pratique de transmission du savoir à travers une société secrète remontant au temps des Illuminati qui croyaient qu’un petit nombre d’élites élues étaient assez intelligents, et capables de gérer ce savoir secret, mais pas la population à l’époque. La question demeure donc de savoir si cette connaissance a été transmise par des sociétés secrètes pendant des générations. Et cela peut être antérieur aux sociétés secrètes que nous connaissons à notre époque jusqu’aux temps des pharaons.

Le symbolisme du nombre 33

Comme les anciens Égyptiens, les pères fondateurs de la NASA auraient-ils pu partager la conviction selon laquelle les humains descendraient d’êtres extraterrestres ? Que savaient les membres de ces sociétés secrètes au sujet des voyages dans l’espace ? Et comment le passé ancien a-t-il influencé leur travail ? Ceux qui soupçonnent ces responsables de la NASA d’avoir des motivations cachées mettent en avant l’usage répété du nombre 33, une figure symbolique extrêmement importante dans les sociétés secrètes.

Si vous regardez la toute première piste d’atterrissage à Cape Canaveral, où la navette allait plus tard atterrir, c’était la piste 33. La rampe de lancement à White Sands, au Nouveau-Mexique, la seule rampe de lancement est la rampe numéro 33 alors qu’il n’y en a qu’une seule.

Ainsi, il semble que le numéro 33 soit omniprésent au sein de la NASA, et le fait qu’elle soit reliée à la franc-maçonnerie nous laisse plutôt perplexe. Il existe peut-être un autre symbolisme plus profond qui fonctionne.

Les logos de la NASA laissent planer une certaine confusion

Les chercheurs pensent que le lien avec les anciennes croyances égyptiennes se retrouve également dans l’emblème du programme spatial Apollo de la NASA. Ils affirment que le grand « A » dans le champ étoilé ne représente pas le dieu grec Apollon, mais Asar, le dieu égyptien plus communément appelé Osiris.

Ceci est indiqué par l’amas de trois étoiles au centre du « A », qui représente les étoiles de la ceinture d’Orion. Vous devez vous demander si des étoiles comme Orion et Sirius sont très importantes pour la NASA, car c’est là que les anciennes traditions, y compris l’égyptienne, ont dit que les dieux de l’espace venaient de là, c’est notre origine.

De même, les chercheurs soulignent que le symbole sur les patchs de la mission Mercury est presque identique à une icône majeure de l’Égypte ancienne. Si vous regardez les patchs de mission, le symbole de Mercury ressemble beaucoup à celui de l’ankh égyptien et il est assez ironique que vous ayez ce type de symbolisme égyptien dans ce qui est supposé être une représentation de Mercure le Messager.

Est-il possible que, à l’instar des adeptes de la théorie des anciens extraterrestres, les scientifiques de la NASA croient que des extraterrestres ont visité la Terre dans un passé lointain ? On peut peut-être trouver d’autres preuves dans les inventions du cerveau improbable derrière l’ancien officier SS du programme spatial de la NASA, Wernher Von Braun.

source : http://www.dramatic.fr/nasa-p1055.html


Ce documentaire propose l’analyse complète d’un physicien des phénomènes observés pendant les missions spatiales STS-48 les 15 et 16 septembre 1991, STS-58 le 17 octobre 1993.

La connexion avec la NASA

Des observations inexpliquées sont effectuées dans l’espace et d’étranges formations découvertes à la surface de Mars. Certains scientifiques de la NASA affirment qu’il ne s’agit que d’un jeu d’ombres et de lumières. Mais est-ce une base extraterrestre ? Les astronautes de la navette ont annoncé qu’ils ont vu des choses qui pourraient être dues à une présence extraterrestre et des rumeurs prétendent que les missions lunaires ont des ordres du jour secrets.

La course à la Lune était-elle une course pour accéder à une technologie laissée par une intelligence extraterrestre ? La NASA partage-t-elle tout ce qu’elle sait sur l’univers ? Ou est-ce qu’ils nous protègent de la vérité ? 

Le rapport Brookings dit très précisément que, premièrement, ne le dites à personne. Si vous en parlez à quelqu’un, cela brisera le tissu même de notre civilisation.

Nos origines extraterrestres pourraient-elles être révélées par le biais des activités de la NASA ? 

Le premier pas de l’homme sur la Lune

Le 20 juillet 1969 :

– Ok, moteurs arrêtés

– On vous reçoit, Eagle

– Ici la base de la tranquillité, Eagle s’est posé.

Les astronautes américains Neil Armstrong et Edwin « Buzz » Aldrin deviennent les premiers humains à atterrir sur la Lune.

« C’est un petit pas pour l’homme, mais un bond de géant pour l’humanité. »

Buzz Aldrin : « Nous, les extraterrestres, qui sommes descendus de l’échelle le 20 juillet 1969, avons participé à une formidable course qui permettait tout à coup de faire notre apparition dans le jardin d’Eden. »

Story MUSGRAVE, Astronaute de la NASA : « On a marché sur la Lune grâce au courage. Nous avons eu le courage. Nous étions disposés à prendre le risque. Le président nous soutenait et était derrière nous et a dit qu’on allait le faire. »

David MORRISON, Directeur du Centre Carl Sagan :

« Je considère ces personnes de l’ère Apollo comme des héros, pas seulement les astronautes qui y sont allés, mais aussi les centaines de milliers de personnes au sol qui ont rendu cela possible. Ils ont travaillé selon un plan d’action précis. Ils savaient où ils voulaient aller. Ils ont mis au point la technologie et contre toute attente ils y sont arrivé. C’était une fabuleuse réussite, peut-être le plus grand accomplissement technique et scientifique de l’histoire de l’humanité. »

– Houston, ici la base de la Tranquillité, vous nous recevez ?

  • Base de la Tranquillité, ici Houston, fort et clair.

Pendant plus de deux heures et demie, Armstrong et Aldrin se sont tenus à la surface de la Lune. Des transmissions vidéo ont montré les deux astronautes en train de prélever des échantillons de roche, de prendre des photos et de planter un drapeau américain dans le sol lunaire. Mais qu’est-ce que ces hommes ont pu faire loin de la caméra ? Étaient-il chargés d’une autre mission, peut-être même top secrète, comme le pensent des partisans de la théorie des anciens astronautes.

Mission Apollo

On connaît la théorie du complot selon laquelle les Américains ne seraient pas allés sur la Lune. (Selon un sondage, 19% des Français croient à cette « théorie » !!) Cette théorie repose, note Steven Greer, sur une courte séquence de la diffusion télévisée du 20 juillet 1969 « où l’on voyait le drapeau américain flotter au vent alors qu’un des deux astronautes essayait de le planter dans le sol lunaire ». Or, il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune, donc pas de vent.

Selon une source de Steven Greer, l’alunissage a bien eu lieu, mais la séquence du drapeau aurait été filmée sur Terre, sur une scène new-yorkaise. Si tel est le cas, pourquoi, demande Steven Greer, avoir recouru à une telle tromperie ? Voici l’explication qu’il en donne :

« Lors de la préparation des alunissages du programme Apollo, les missions de reconnaissance de la NASA avaient pris des photos de différentes structures sur la face cachée de la Lune. Certaines de ces structures étaient anciennes, d’autres presque intactes – néanmoins, toutes semblaient perfectionnées et de nature extraterrestre. Ne sachant pas trop à quoi s’attendre, les responsables de la NASA ont décidé de tourner des scènes d’alunissage factices, qui auraient pu être utilisées dans le cas où les extraterrestres auraient mal accueilli Neil Armstrong et Edwin  »Buzz » Aldrin.

Lorsque le module lunaire s’est posé sur la Lune, la bordure du cratère était emplie de véhicules extraterrestres. En retardant la diffusion de cet alunissage, les responsables de la NASA ont pu ainsi opérer des coupes dans les séquences pré-filmées et éliminer au montage les scènes où l’on voyait les astronautes réagir à l’apparition de leurs hôtes extraterrestres. Les astronautes ont toujours refusé de s’exprimer sur l’existence de bases lunaires et sur la présence d’extraterrestres lors des alunissages des missions Apollo – chacun de ces astronautes avait été prévenu que la divulgation de la vérité entraînerait non seulement sa propre mort, mais aussi celle de ses proches. Par ailleurs, Neil Armstrong a déclaré à un membre de notre équipe que nous avions en réalité été prévenus de nous tenir à l’écart de la Lune. »

Steven Greer écrit, les extraterrestres nous ont prévenus de nous tenir à l’écart de la Lune « parce que nous voulions nous y rendre dans le cadre d’une course aux armements avec l’Union soviétique », le programme Apollo ayant été lancé en réponse au programme Spoutnik de l’Union soviétique. Les alunissages effectués « n’ont été en fait qu’une sorte de prolongement de la guerre froide – soit un affrontement concurrentiel et hautement militarisé entre les deux grandes puissances nucléaires mondiales ».

Pendant plus de deux heures et demie, Armstrong et Aldrin se sont tenus à la surface de la Lune. Des transmissions vidéo ont montré les deux astronautes en train de prélever des échantillons de roche, de prendre des photos et de planter un drapeau américain dans le sol lunaire. Mais qu’est-ce que ces hommes ont pu faire loin de la caméra ? Étaient-il chargés d’une autre mission, peut-être même top secrète ?

Le choix des coordonnées d’alunissage…

Quand Apollo 11 s’est posé pour la première fois sur la Lune, ils avaient certains sites à explorer. Alors même qu’ils gravitaient autour de la Lune, ils devaient examiner et photographier certaines zones de la Lune. On peut alors se demander si la NASA avait déjà sélectionné certaines parties de la Lune. Et la raison pour laquelle elle avait choisi ces zones, c’était parce qu’il y avait des structures artificielles sur la Lune et ils le savaient.

Selon les archives de la NASA, la région de la Lune appelée « Mer de la tranquillité » a été choisie pour le premier atterrissage lunaire en raison de sa surface plane. Mais certains chercheurs suggèrent que ce site a été retenu car à cette date, ses coordonnées étaient alignées directement avec la Ceinture d’Orion.

Pour choisir les sites d’atterrissage, ils ont d’abord choisi la date, la latitude et la longitude, l’heure à laquelle ils devaient atterrir. Et ensuite, ils devaient se débrouiller pour créer ce qu’on appelle la fenêtre de lancement. La personne qui a choisi toutes les dates et les heures d’atterrissage pour Apollo, et notamment la mission Apollo 11, était un homme appelé Farouk El-Baz. Et il se trouve que son père était justement un expert de l’ancienne religion stellaire de l’Égypte Antique.

Selon les anciennes croyances égyptiennes, les cérémonies organisées directement sous la Ceinture d’Orion produisent un alignement sacré, par lequel les humains pourraient communiquer avec Osiris. Pour les anciens Égyptiens, cette constellation était en fait une incarnation vivante du grand dieu Osiris. Sirius était la même représentation de son épouse, sa sœur et épouse, Isis. Ensemble, ces deux divinités gouvernaient essentiellement les cieux et la vie du peuple égyptien était dictée par la rotation, le mouvement et l’emplacement de ces deux objets célestes dans le ciel.

Apollo 11 avait atterri à un jour et à une heure spécifiques où les trois étoiles de la ceinture d’Orion étaient à l’horizon. À ce moment-là, 33 minutes après son atterrissage, Buzz Aldrin, le deuxième homme à avoir mis le pied sur la Lune, un franc-maçon de rite écossais au 33e degré, effectuait en fait une cérémonie à bord du module lunaire avec Neil Armstrong. Ce qu’ils faisaient, c’était verser du vin dans des calices, casser du pain et faire ce qu’on appelle essentiellement une cérémonie de communion.

Ce qui est intéressant à propos de la cérémonie de la communion, c’est que, bien que catholique, elle trouve son origine dans un rituel beaucoup plus profond et plus éloigné, qui était une offrande au dieu Osiris lui-même. Ils effectuent donc essentiellement une offrande à Osiris lui-même. On pense donc que c’est pourquoi ils ont atterri sur la Lune à cette date et à cette heure précise.

Un rituel précis effectué à la surface de la Lune

Certains rituels doivent être accomplis à certains moments dans le temps, par lesquels ce lien avec cette intelligence non humaine se produira. La classe sacerdotale de nos ancêtres, que ce soit par le biais de la technologie ou par certains autres moyens, était vraiment la classe qui cherchait le contact avec cette intelligence non humaine. Ce sont eux qui ont été formés à cette tâche, tout à fait comme les scientifiques d’aujourd’hui que nous avons formés pour être les personnes qui iront dans l’espace.

Des instruments scientifiques, un drapeau américain et une petite plaque commémorant la mission Apollo 11 ont été laissés sur la Lune. Mais il y avait aussi d’autres objets, un sac contenant une réplique en or d’une branche d’olivier et un disque de silicium contenant des messages enregistrés de paix et de bonne volonté de 73 dirigeants mondiaux. Pourquoi ces messages symboliques ont-ils été envoyés dans l’espace ? Qui, la NASA s’attendait-elle à rencontrer sur la Lune ?

Lorsque nous parlons de la mission Apollo Moon, certaines théories suggèrent que des villes gigantesques peuvent exister du côté obscur de la Lune, des villes connues de la NASA, et que les missions de la Lune étaient effectuées à ce sujet et que des artefacts de ces ruines antiques de ces sites ont été ramenés sur Terre. Est-il possible que nous n’ayons pas ramassé et rapporté que des roches lunaires, mais peut-être une technologie extraterrestre ? 

La Lune est un point de passage obligé pour les visiteurs venant sur Terre

Si les extraterrestres sont venus sur la Terre, et nous sommes sûr qu’ils l’ont fait, nous devrions également trouver des preuves de leur passage sur la Lune, car celle-ci est l’endroit idéal pour une escale. Vous avez un vaisseau spatial mère. Vous avez besoin d’une sorte de ravitaillement. Quel que soit ce ravitaillement, il pourrait être une matière première, une pierre, de l’uranium, ou tout ce qui se trouve à la surface de la Lune. Il serait donc logique que nous trouvions des indications sur la Lune, des indications technologiques, que quelqu’un était là.

Au cours des dernières années, les responsables du programme spatial de la NASA ont admis avoir égaré les enregistrements originaux de certains atterrissages sur la Lune et perdu des roches recueillies à la surface de la Lune. Est-ce que cela pourrait être, comme le pensent les adeptes de la théorie des anciens astronautes, la perte des preuves d’un possible contact avec des extraterrestres ? 

Des artefacts artificiels visibles sur certaines photos de la Lune et de Mars

Certains prétendent que les photos de la Lune et de Mars prises par la NASA indiquent qu’ils en savent plus qu’ils ne veulent bien nous le dire. Nous allons devoir accepter le fait que nous avons appris le mensonge collectif le plus monumental, toute notre vie, à propos de groupes non humains à la pointe de la technologie qui ont un impact fondamental sur la vie sur Terre. Vous trouverez les preuves de cela de l’autre côté de la Lune, et sans doute aussi de Mars.

Chaque fois que vous regardez une photo d’une sonde sans pilote de la planète Mars, il y a presque toujours quelque chose de vraiment bizarre qui n’appartient pas à cela et qui a l’air structurel. Carl Sagan lui-même parlait des pyramides d’Elysium, qui étaient de très grandes pyramides tétraédriques sur Mars. Nous avons des images étranges de la surface de l’arrière de la lune et de la surface de Mars. Quelques images étranges qui semblent montrer des objets artificiels, des bâtiments anciens. Sur Mars, nous avons eu un jour une photo de Mariner, nous avons vu un visage sur Mars. Et dans la photo suivante, le visage n’existait plus. Mais autour du visage, il y avait encore quelque chose comme une porte.

Certains scientifiques de la NASA affirment qu’il ne s’agit que d’un jeu d’ombres et de lumières. D’autres, également de la NASA, affirment que les pyramides sont réelles sur Mars. Donc, en ce moment, on ne sais pas ce qui est vrai.

Ken Johnson est un ancien employé de la NASA qui a été licencié pour avoir révélé une incroyable vérité au public : il existe des structures artificielles, des OVNIS et une présence extraterrestre sur la Lune !


Un contact étroit entre la NASA et certaines espèces extraterrestres

Certaines personnes pensent qu’avec le crash de Roswell, le gouvernement américain a établi des communications avec des extraterrestres. Certains pensent que nous n’avons pas établi ce contact avant les missions Apollo. Et d’autres personnes pensent que nous n’avons eu aucun contact direct avec des espèces extraterrestres.

Mais si la NASA possède des preuves d’une vie extraterrestre, comme le suggèrent certains, que cachent-elles ? La NASA aurait-elle vraiment trouvé des preuves de l’existence d’une vie extraterrestre sur la Lune ? Et pourrait-il y avoir une preuve supplémentaire d’une présence extraterrestre comme en témoignent les astronautes à bord de la navette spatiale et de la Station spatiale internationale ?

Jacques Bénigne Bossuet : « Le plus grand dérèglement de l’esprit, c’est de voir les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non pas telles quelles sont en réalité  »

Une décision prise au sein d’une grande organisation performante peut se révéler irrationnelle et catastrophique, même si elle est validée au terme d’un processus rationnel. Illustration avec la Nasa et l’explosion de la navette spatiale Challenger, en 1986.

Le 28 janvier 1986, la navette spatiale Challenger explose aussitôt après son décollage. Cet accident a coûté la vie à sept astronautes dont une institutrice qui devait faire un cours retransmis depuis l’espace. Les ambitions du programme navette furent ensuite considérablement réduites. Et la catastrophe a fortement marqué les Etats-Unis.

Le même jour, peu de temps auparavant, un des manageurs de projet du sous-traitant de la Nasa (l’entreprise Morton Thiokol), fournisseur du composant dont la défaillance causera la catastrophe, annonçait l’explosion. On avait en effet bien vu quelle était la pièce qui, dans les conditions glaciales prévues pour le lancement, pouvait provoquer un accident. On s’était alors attaché pendant plusieurs heures à évaluer le risque encouru. Des manageurs et des ingénieurs tentèrent même de reporter le décollage. Mais les responsables de l’évaluation restèrent convaincus que le risque était acceptable et furent inconscients de l’imprudence qu’ils allaient commettre.

Sommes-nous manipulés par la NASA, lorsque des astronautes ressuscitent des morts ?

Le 28 janvier 1986, ce fut le jour d’une grande catastrophe pour la NASA à Cap Canaveral en Floride à 11h38 heure locale, 73 secondes après le lancement, la navette spatiale Challenger se désintégra dans une énorme explosion au-dessus de l’Atlantique. Les 7 membres de l’équipage furent tués : les 5 astronautes de la NASA ainsi que les deux spécialistes en charge utile. 

Des millions d’américains, 17% de la population ont suivi le décollage en direct à la TV à cause de la spécialiste de charge utile, Christa McAuliffe, la 1ère professeur dans l’espace. La couverture médiatique sur l’explosion fut vaste, une étude indique que 85% des américains interrogés en étaient informés 1h après le crash. Le monde entier était sous le choc et prit part au deuil des victimes. 

La cause de l’explosion fut la défaillance d’un joint du propulseur d’appoint à poudre droit. La navette n’avait pas de système de sièges éjectables et l’impact de la cabine d’équipage sur la surface de la mer fut trop violent pour pouvoir y survivre. La catastrophe a entrainé une pause de 32 mois du programme des navettes spatiales de la Nasa et la création de la commission Rogers, spécialement nommée par le président Ronald Reagan, afin de mener une enquête sur cet accident.

Voici les noms des 7 membres d’équipage de Challenger :
  • 1- Francis Richard Scobee (Commander)
  • 2- Michael J. Smith (Pilot)
  • 3- Ronald McNair (Spécialiste mission)
  • 4- Ellison Onizuka (Spécialiste mission)
  • 5- Judith Resnik (Spécialiste mission)
  • 6- Gregory Jarvis (Spécialiste charge utile)
  • 7- Christa McAuliffe (Spécialiste charge utile)

Le monde en vient à être abasourdi une seconde fois, sauf que le choc récent dépasse celui d’il y a 34 ans! 

Au moins 6 des 7 membres de l’équipage seraient encore en vie, 4 d’entre eux ont même gardé leur nom d’origine.

 » La vérité n’a rien à voir avec le nombre de gens qu’elle persuade » Paul Claudel

source : Alcyon Pléiades 167

R. Dedrickson : « L’idée qu’un gouvernement terrestre puisse tenter de faire exploser une arme nucléaire dans l’espace n’était tout simplement pas acceptable pour les extraterrestres, ce qui a été démontré à maintes reprises par la destruction de toutes les armes nucléaires que nous avons essayé d’envoyer dans l’espace. »

Lauren Moret : Le rayonnement de Fukushima était une extermination intentionnelle de la technologie HAARP Tesla
Un astronaute aurait vu un film montrant des corps extraterrestres


https://www.dailymotion.com/video/xnmgj1

https://www.dailymotion.com/video/x6d4k5d

Une panne sur l’ISS pourrait empoisonner son équipe avec un gaz mortel ; une image prise par une sonde de la NASA pourrait prouver la présence de vie sur Mars. En pleine guerre froide, la Russie devient la première nation à capter des images de la surface lunaire, mais la CIA les intercepte et les publie avant. Une photographie de la planète Mars y révèle l’existence possible d’une forme de vie. Des astronomes étudient la mystérieuse disparition d’une étoile.

https://www.dailymotion.com/video/x6g00v2

Fortes de toutes ses missions antérieures, la NASA continue d´explorer l´espace. Après la Lune, l´Humanité doit aller toujours plus loin dans les confins spatiaux pour espérer un jour vivre ailleurs que sur la Terre.

https://www.dailymotion.com/video/x6vl6nh

En juillet 1969, Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins vont marquer l’histoire en étant les premiers êtres humains à partir en mission sur la Lune et à relever ce pari insensé qui a fait rêver toutes les générations qui les ont précédés.


Des scientifiques américains dévoilent les secrets de la NASA 

Des villes sur la Lune, et sur Mars des microbes, entre autre…
L’ancien directeur de la photo au Data Control Department lunaire de la NASA au cours de la réception du Laboratoire habitée lunaire Apollo Program, Ken Johnston, a publié un assez grand nombre de déclarations sensationnelles récemment aux Etats-Unis. Le spécialiste a dit que les astronautes américains ont trouvé les ruines d’origine artificielle et d’une technologie inconnue auparavant, permettant de contrôler la gravitation quand ils ont atterri sur la Lune. 

Les astronautes ont pris des photos des objets qu’ils trouvaient, mais la NASA a commandé à Johnston de détruire les images. Johnston n’a pas suivi l’ordre.  Il a déclaré que le gouvernement américain avait gardé cette information secrète pendant 40 ans.

Les allégations surprenantes de Johnston sur les missions Apollo ont fait leur apparition dans un nouveau livre, « Dark Mission: The Secret History of NASA »,  co-écrit par un ancien consultant de la NASA et CBS Science Advisor, Richard C. Hoagland et Mike Bara, un consultant en ingénierie aérospatiale.

Selon Kay Ferrari, JPL directeur de l’ASS Program, Johnston a été cité par la NASA en critiquant « Hoagland’s new book, ‘Dark Mission »,  qui a amené à demander à Johnston sa démission de l’ASS Program. Quand Johnston a refusé, invoquant le Premier amendement de protection de la liberté d’expression qu’offre la NASA à tous les employés, même ceux au JPL, Ferrari apparemment décidé de l’expulser arbitrairement de la SSA Programme dans sans cause. 

La faible qualité des images incluses dans le livre dépeignent les ruines des bâtiments, comme l’immense dôme, un objets en verre, en pierre et des tours suspendus dans les airs.  «Je n’ai rien à perdre.  Je me suis querellé avec la NASA et je me suis tiré » a déclaré Ken Johnston. 

En effet, la NASA estime que les allégations de l’ancienne civilisation trouvée sur la Lune ne sont pas sérieuses.  Les auteurs du livre controversé racontent également que le président John F. Kennedy, qui a lancé la course lunaire contre l’Union soviétique, a en réalité, partager des technologies extraterrestres avec Moscou.  JFK voulait faire un discours à l’ONU en septembre 1963, Kennedy a censément offert à l’URSS d’organiser une mission conjointe sur la Lune.

Richard Hoagland à Washington estime que l’intérêt de l’exploration de la Lune apparaît soudain, après 30 ans de silence infondé sur la Lune, les conclusions sont que le gouvernement américain a gardé le secret pendant 40 ans. 

La Russie, la Chine, le Japon et même l’Inde ont annoncé publiquement leurs plans de travail sur l’exploration de la Lune. Selon R. Hoagland, les États-Unis veulent être la première à ce stade.

En décembre 2007, la NASA a annoncé des plans pour construire une base internationale sur l’un des pôles de la Lune.  La base doit être terminé d’ici 2024. 

Russia’s booster maker, Energia, a un programme plus ambitieux: construire une base permanente habitée sur la Lune en 2015. La Russie déclare :  la base sera construite pour développer la production industrielle de l’hélium-3. 

Les spécialistes US préfèrent ne rien dire sur cette question spécifique.  Pour couronner le tout, la Chine a lancé son premier satellite de la Lune le 24 octobre.  La Chine a également l’intention de lancer une base lunaire et une sonde spatiale non habitée sur la Lune en 2010. 

Non-isotope radioactif de l’hélium, l’hélium-3, est un puissant combustible nucléaire pour la synthèse.  Seuls six tonnes de ce carburant permettrait de fournir suffisamment d’énergie pour alimenter un grand pays européen pendant un an. Les qualités du gaz (non polluante à très haut débit) font de nombreux pays, la perspective de traiter avec autant de sérieux que possible. L’Allemagne, l’Inde et la Chine menent un certain nombre de travaux de recherche pour développer des méthodes d’extraction de l’hélium-3. 

Hoagland et Johnston ont également l’intention de prouver que la NASA agit pratiquement comme un autre département de la défense des États-Unis, en droit de qualifier les importantes informations techniques et scientifiques sans contrôle du Congrès américain. 

Hoagland affirme que les astronautes américains pourraient secrètement livrer des échantillons de technologies extraterrestres à la Terre.  Les technologies, pousseraient les plus grands pays dans une nouvelle course lunaire.

Contrairement à la précédente course à l’espace entre l’URSS et les Etats-Unis, la nouvelle va déterminer la vie de chaque être humain sur la Terre, a déclaré Hoagland. Hoagland et Johnston estiment que les États-Unis intensifie le lancement de navette délibérément, dans le but d’arrêter le programme plus tôt que prévu et passer à l’utilisation du nouvel engin spatial, Constellation, qui laissera les Etats-Unis se poser sur la Lune. 

Richard Hoagland dit que la NASA dissimule un certain nombre d’autres secrets, et notamment la découverte de microbes à la surface de Mars. 

La découverte a été prétendument faites par la sonde spatiale non habitée viking en 1976.  Sur la base de reportages d’actualité des agences de presse de Russie.

Source : Pravda.ru traduit par Dmitry Sudokov


A.H. un informateur, dont seules les initiales sont données, dit qu’il connaît quelqu’un à la NASA qui lui a confié que les responsables de la NASA savent fort bien que le « visage » de Mars est une réalité, qu’il n’était pas le produit de tempêtes de vent ou d’illusions optiques.

« Ils savent aussi que le  »visage » de Mars a été sculpté par une race extraterrestre qui a visité la Terre environ 45.000 ans avant Jésus-Christ. Cette race extraterrestre, qui a établi une civilisation ici sur Terre, effectuait de nombreux allers-retours entre Mars et notre planète, la Terre, pour nous transmettre des informations et améliorer ainsi la race qu’ils avaient créée il y a fort longtemps, c’est-à-dire la nôtre. Si cette vérité était divulguée, cela constituerait une véritable onde de choc pour notre humanité. Je crois sincèrement que c’est la raison pour laquelle la NASA et les principaux gouvernements – particulièrement celui des États-Unis – refusent de divulguer cette information. En effet, une chose en entraînant une autre, nous en viendrions vite à la conclusion que nous avons été créés par une race extraterrestre. Cette révélation créerait une onde de choc tellurique qui affecterait tous les habitants de cette planète ; c’est pourquoi ils craignent de révéler ce qu’ils savent. » (A. H.)

source : « NON RECONNU » de Steven Greer

3 commentaires sur “Les Dossiers secrets de la NASA

  1. J’ai bien hate d’avoir une fois pour toute l’existance d’etre vivant a part la notre….J’ai toujours pensee qu’il y avat certainement d’autre monde ailleur que la notre…..Je trouve tres intéressant les informations que vous nous expliquer en attendant dans savoir plus….bon travail..La population saurait a quoi s,attendre en sachant la vérité

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  2. C’est évident qu’il y a des civilisations intelligentes ailleurs …. comment penser que nous sommes uniques parmi les milliards de planètes dans notre seule galaxie …ce serait bien prétentieux de nous croire seuls
    En faisant simplement appel à la logique c’est l’évidence même…..et j’irai plus loin en disant que la terre est visitée et surveillée depuis longtemps…. les expériences atomiques ont certainement une résonance dans le cosmos qui doit alerter d’autres civilisations….tout est lié et tout à une conséquence !!!

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