Pourquoi a-t-on simulé plusieurs alunissages, comme celui d’Apollo 11, en laissant croire que l’homme avait marché sur la Lune ?
Bill Kaysing (écrivain américain, responsable des publications techniques de la section de la recherche et du développement de Rocketdyne, des moteurs Apollo) :
« Je pense que la raison pour laquelle la NASA a décidé de réaliser un faux atterrissage sur la Lune était due principalement à l’impossibilité technique d’y parvenir. Or, il fallait une alternative pour le faire croire au public. La Zone 51 est une base militaire très secrète et il y a de bonnes raisons à cela, car incontestablement les studios de télévision de la Lune y sont toujours présents… Ma conviction qu’il s’agit d’une farce ne relève pas d’une seule preuve, mais d’un ensemble d’éléments… Nous ne sommes jamais allés sur la Lune. Il y a beaucoup de choses que le complexe aérospatial et la NASA auraient voulu faire, mais qu’ils n’ont jamais faites. En fait, ils n’ont pas eu autant de succès comme ils le prétendaient. Je pense vraiment que les preuves que j’avance confirment, sans aucun doute, qu’il est impossible d’avoir été sur la Lune, du moins de la façon dont on nous l’a raconté. »
Kaysing poursuit en suggérant que les astronautes ont subi un lavage de cerveau pour garantir leur coopération avec ce canular lunaire

Bill Kaysing a travaillé comme rédacteur technique pour Rocketdyne, une société impliquée dans le programme Apollo. Pendant cette période, affirme Kaysing, la NASA a réalisé une étude de faisabilité qui a révélé qu’ils n’avaient que 0,0017 % de chances de faire atterrir un homme sur la lune et de le ramener sur terre. Kaysing pense qu’il était impossible pour la NASA de passer de 0,0017 % à 100 % en 1969. Certaines personnes pensent que Kaysing ait raison. Si les Américains pouvaient aller sur la Lune avec la technologie des années 1960, il nous serait facile alors, d’aller sur la Lune aujourd’hui. Cependant, toutes les nations ont des difficultés extrêmes à placer un objet sur une orbite terrestre élevée. Toutes les missions vers la lune ont dû passer par les ceintures de radiation Van Allen. Mais la seule façon de les traverser était d’avoir un vaisseau recouvert d’une couche de plomb de 2 mètres d’épaisseur. Ils n’en avaient pas. Les radiations peuvent traverser beaucoup de choses, surtout le vaisseau et les combinaisons spatiales. J’ai aussi trouvé un site qui contenait beaucoup d’informations sur la VARB (Van Allen Radiation Belt) et qui montrait un graphique de la quantité de radiations causées par la VARB vers 1969. Il montrait qu’en 1969 exactement, la quantité de radiations était presque au plus bas. Les Russes ont envoyé des animaux au travers (ils sont tous morts) et ont constaté qu’il était impossible de passer au travers et de vivre. Les missions Apollo ont passé environ 4 heures chacune dans la VARB. Et Apollo était le seul programme spatial qui devait passer par la VARB. Cela montre donc qu’il ne pouvait même pas s’approcher de la lune.

Il s’agit du classique « We Never Went to the Moon » de Bill Kaysing, qui a lancé toute la folie des canulars sur la lune dans les années 1970. Bill Kaysing a dirigé l’unité de présentations techniques du laboratoire de terrain de la propulsion Rocketdyne de 1956 à 1963. Cette période comprenait la planification majeure du moteur et des composants du projet Apollo. Pendant cette période, Kaysing a obtenu des habilitations de sécurité auprès de l’U.S. Air Force et de l’Atomic Energy Commission.
Dans son livre, We Never Went to the Moon, Kaysing écrit que la NASA et la Defence Intelligence Agency (DIA) ont travaillé ensemble pour simuler l’alunissage d’Apollo 11. Une fusée Saturn V vide a été lancée mais est retombée sur terre alors qu’elle était hors de portée du public. La NASA aurait également créé un paysage lunaire dans la zone 51 (selon le couché de lune de Kaysing qui s’y trouve toujours). Pendant ce temps, les astronautes et le contrôle de mission participaient à un canular minutieusement mis en scène, destiné à faire croire au public et surtout aux Russes qu’ils avaient atterri sur la lune. De fausses photos et de faux films ont été pris et le retour des astronautes sur terre a été mis en scène en larguant une fausse capsule spatiale d’un avion de l’armée dans l’océan.
Kaysing signale de nombreuses anomalies dans les publications de la NASA, ainsi que dans les images télévisées et fixes qui proviennent de la lune. Par exemple, il n’y a pas d’étoiles sur de nombreuses photos prises sur la surface lunaire. Sans atmosphère pour diffuser leur lumière, les étoiles ne devraient-elles pas être clairement visibles ? Et pourquoi n’y a-t-il pas de cratère sous l’atterrisseur lunaire, malgré le jet de son moteur hypergolique de 10 000 livres de poussée ?
Comment les experts de la NASA expliquent-ils les photos d’astronautes sur la Lune où les côtés et le dos des astronautes sont aussi bien éclairés que le devant de leur combinaison spatiale – ce qui est incompatible avec les ombres noires et profondes que la lumière du soleil devrait projeter ? Et pourquoi y a-t-il une ligne entre un avant-plan net et un arrière-plan flou dans certaines des photos, presque comme si les fabricants d’effets spéciaux avaient utilisé un « matte painting » pour simuler les étendues plus lointaines du paysage lunaire ? « Tout cela indique une escroquerie sans précédent », conclut Kaysing avec assurance.
Mais comment la NASA aurait-elle pu y parvenir ? Que dire des images télévisées que des milliards de personnes ont vues au cours de six missions réussies : la fusée qui a décollé de la plateforme de lancement de Cape Kennedy sous l’œil attentif de centaines de milliers de spectateurs ; la capsule avec l’équipage de retour sur terre ; les roches lunaires ; les centaines, voire les milliers, d’employés du programme spatial sur qui il faudrait compter pour emporter l’incroyable secret dans leur tombe ?
C’est facile, dit Kaysing, les fusées ont bien décollé, avec les astronautes à bord, mais dès qu’elles ont été hors de vue, le vaisseau spatial rugissant s’est dirigé vers la mer polaire sud, a largué son équipage et s’est écrasé. Plus tard, l’équipage et le module de commande ont été embarqués dans un avion militaire et largués dans le Pacifique pour être « récupérés » par un porte-avions. (Kaysing affirme avoir parlé avec un pilote de ligne qui, en route de San Francisco à Tokyo, a vu le module de commande d’Apollo 15 glisser d’un avion-cargo non identifié, mais il ne peut pas fournir le nom du commandant de bord ni celui de la compagnie aérienne). Les roches lunaires ont été fabriquées dans un laboratoire de géologie de la NASA, ici même sur terre, poursuit-il. Peu de personnes du projet Apollo étaient au courant du canular, car elles n’étaient informées que sur la base du « besoin de savoir ». Des primes en espèces, des promotions ou des menaces voilées auraient pu assurer le silence de ceux qui étaient impliqués dans le projet.
Bill Kaysing : « Quatre-vingt-dix pour cent de la population américaine n’a aucune idée de ce qui se passe dans ce pays. J’aimerais être celui qui leur dit – leur dire au moins une partie de ce qui se passe. Je vais soit partager la vérité sur la lune avec eux, soit mourir en essayant »
Bill Brian, un Oregonien de 45 ans auteur du livre Moongate en 1982, est d’accord pour dire qu’il y a « une sorte de dissimulation ». Bien que Brian pense que son collègue enquêteur pourrait très bien avoir raison en affirmant que nous ne sommes jamais allés sur la lune, il pense qu’il y a une raison entièrement différente pour beaucoup des incohérences que les deux ont trouvées. Peut-être y sommes-nous allés, dit Brian, mais il est possible que nous ayons atteint la Lune à l’aide d’un dispositif secret d’apesanteur que la NASA a probablement conçu en rétro-ingénierie, copiant des parties d’un vaisseau spatial extraterrestre récupéré. Brian, qui a obtenu une licence et une maîtrise en ingénierie nucléaire à l’université d’État de l’Oregon, utilise ses « compétences mathématiques et conceptuelles » pour théoriser que la gravité de la lune est en fait similaire à celle de la Terre et que, la lune a une atmosphère très probablement. Il a bourré les annexes de son livre de calculs complexes pour prouver ces points, mais il se fie aussi à son intuition : « Les transcriptions de la NASA des communications entre les astronautes et le contrôle de mission se lisent comme si elles étaient soigneusement rédigées. Les comptes-rendus ont tous un contenu très étrange, comme si les astronautes n’étaient pas vraiment là« .

Mais pourquoi la NASA se sentirait-elle obligée de dissimuler la connaissance d’une lune à haute gravité ? « C’est une série d’événements en cascade », explique Brian : « Vous ne pouvez pas laisser sortir une seule information sans tout faire sauter. Il faudrait qu’ils expliquent la technique de propulsion qui les a amenés là, donc qu’ils divulguent leurs recherches sur les OVNI. Et s’ils pouvaient exploiter cette énergie, cela signifierait que les cartels du pétrole sont en danger et que la structure même de notre économie mondiale pourrait s’effondrer. Ils ne voulaient pas courir ce risque« .
Bien que très peu d’Américains souscrivent à des théories aussi grandioses, des millions de personnes doutent de l’authenticité des missions lunaires, au grand dam de la NASA. Au fil des ans, le département des services publics de l’agence a passé en revue des tonnes de documents répondant aux questions d’écoliers, d’enseignants, de bibliothécaires et même de législateurs américains incrédules, comme les anciens sénateurs Alan Cranston (D-Californie) et Strom Thurmond (R-Californie du Sud), qui avaient écrit à la NASA pour lui faire part des doutes de certains de leurs électeurs. Selon Kaysing, pas moins de 100 millions d’Américains sont enclins à ne pas croire à toute cette aventure lunaire.
Lorsque Knight Newspapers (l’un des deux groupes qui ont ensuite fusionné pour former Knight-Ridder Inc.) a interrogé 1 721 résidents américains un an après le premier alunissage, il a constaté que plus de 30 % des personnes interrogées se méfiaient des voyages de la NASA sur la lune. Un article de Newsweek du 20 juillet 1970 rapportant les résultats du sondage citait « une femme âgée de Philadelphie qui pensait que l’alunissage avait été mis en scène dans un désert de l’Arizona » et une ménagère de Macon, en Géorgie, qui se demandait comment un téléviseur qui ne pouvait pas capter les chaînes de New York pouvait « recevoir des signaux de la lune ». Le plus grand scepticisme, selon Newsweek, a fait surface dans un ghetto de Washington, DC, où plus de la moitié des personnes interrogées doutaient de l’authenticité de la balade de Neil Armstrong.

Un autre auteur américain, Ralph René, pense également que les astronautes n’auraient pas pu se rendre sur la lune. Dans son livre, NASA Mooned America!, il affirme également que le vaisseau spatial Apollo aurait eu besoin d’une masse au moins équivalente en plomb de deux mètres de blindage contre l’eau pour empêcher les radiations cosmiques de cuire les astronautes à l’intérieur.
René présente des données suggérant, entre autres, que sans un bouclier peu pratique d’environ deux mètres d’épaisseur, les astronautes « auraient été cuits par les radiations » pendant le voyage. Par conséquent, les tentatives d’alunissage étaient impossibles et ont été cyniquement truquées au détriment des personnes crédules du monde entier.
D’autres théoriciens de la conspiration ne doutent pas que des hommes aient marché sur la Lune, mais considèrent que ce fait n’est pas pertinent car des extraterrestres y sont allés il y a longtemps – et la NASA le sait et a préféré garder le secret. Dans son récent livre, Extra-Terrestrial Archeology, David Childress met en évidence diverses structures inexpliquées sur la Lune et soutient qu’il pourrait s’agir de vestiges archéologiques de civilisations intelligentes. Childress n’exclut pas non plus la possibilité que des extraterrestres utilisent encore la lune comme base et comme tremplin pratique pour leurs voyages sur la Terre. Cela pourrait même signifier, s’enthousiasme l’auteur, que la lune est en réalité « un vaisseau spatial avec une coque interne en métal et en roche sous des kilomètres de terre, de poussière et de roche ».
Les théoriciens du canular croient que, lorsque la NASA a réalisé qu’elle ne disposait pas de la technologie nécessaire pour emmener des hommes sur la lune en toute sécurité à la fin des années 60, elle a eu recours à la simulation des alunissages. Cela leur a permis de réaliser un coup de propagande contre les Soviétiques et de continuer à faire circuler l’argent pour financer leurs véritables projets spatiaux. Bart Sibrel est un cinéaste américain à la retraite qui a tourné plusieurs documentaires sur le sujet : des œuvres très remarquables sont A Funny Thing Happened on the Way to the Moon et Astronauts Gone Wild.

David Percy, né à Londres (Royaume-Uni), est producteur de télévision et expert en technologies audiovisuelles, membre de la Royal Photographic Society of Britain, a réalisé le documentaire What happened on the Moon où il met en doute l’authenticité des photographies de l’alunissage d’Apollo et la capacité de la NASA à envoyer des hommes sur la Lune et à les ramener sur Terre.
source : http://billkaysing.com/hoaxtheory.php
Comment a-t-on pu en arriver là ? Qu’à fait la NASA durant tout ce temps ? Pourquoi a-t-elle été à ce point incapable de tracer une direction claire à la suite des missions Apollo ?
Durant les 40 dernières années, le problème majeur est qu’il y a eu 2 programmes spatiaux : celui de la NASA, qui a dû recourir à une technologie des fusées datant des années 40, et le véritable programme spatial – une entreprise secrète financée par des opérations clandestines et qui utilise des systèmes de propulsion anti-gravitationnelle à haute tension. Ces systèmes (capable de ramener ET à la maison, comme le disait si bien Ben Rich, dirigeant de Lockheed) ont été reproduits par rétro-ingénierie à la suite de crash d’ovnis sur Terre.
La raison pour laquelle la NASA semble incapable de définir une orientation claire est attribuable à la frustration des scientifiques qu’elle emploie : ces derniers attendent depuis longtemps que l’on retire les « mules » qui sont aujourd’hui en service pour les remplacer par des Maserati. Michael Schratt, un collaborateur de Ben Rich, a déclaré : « Nous avons des engins qui volent dans le désert du Nevada, et ces engins-là ont 50 ans d’avance sur ce que vous pouvez comprendre. Vous les avez peut-être vus dans les films tel que Stars Wars ou Star Trek, mais nous, nous les avons expérimentés et construits ou alors nous avons décidé que cela ne valait pas la peine de poursuivre. Et tout cela ne vient pas de moi, mais de Ben Rich, le directeur de Lockheed. »
Le colonel Ross Dedrickson, un militaire de haut rang qui a longtemps servi à la Commission de l’énergie entre 1950 et 1958, affirme que les problèmes d’Apollo 13 ont été traités avec soin par des extraterrestres. Un vaisseau spatial est venu au secours d’Apollo 13, et ils ont accompagné Apollo 13 dans son voyage autour de la Lune pour revenir sur Terre. À deux reprises, ils ont pensé devoir transférer l’équipage dans leur vaisseau spatial, mais ils les ont vus revenir sur Terre en toute sécurité.

Est-il possible qu’Apollo 11 n’ait jamais été sur la Lune ni même décollé et que tout ait été enregistré sur un plateau de cinéma ?
En réalité le tournage a été réalisé sur un plateau de cinéma afin de faire croire au monde qu’ils s’étaient effectivement posé sur la Lune. Bill Kaysing et Ralph René ont déclaré que c’était une simulation bien orchestré semblable à un court métrage dont les prises de vue avaient été filmé sur la base Norton de l’Armée de l’Air à San Bernardino en Californie.
En outre Kaysing a affirmé que le réalisateur de ce film était Stanley Kubrick, devenu célèbre suite à la réalisation du film Odyssée de l’Espace, tourné en 1968. Ce film avait tellement impressionné les hauts responsables de la NASA, qu’il décidèrent de lui confié la responsabilité technique de cette opération frauduleuse.
Stanley Kubrick : « Les théoriciens du complot ont eu raison, à cette occasion… j’ai contribué à une fraude massive à l’encontre du public américain, dont je suis sur le point de révéler maintenant tous les détails et qui implique le gouvernement des États-Unis et la NASA, à savoir que les alunissages ont été montés de toutes pièces. Tous les alunissages ont été falsifiés, et j’étais la personne chargée de les filmer… Ce n’est que de la pure fiction. »

Divers documentaires ont souligné des incohérences dans la vidéo qui est depuis devenue un moment historique pour le monde où deux astronautes sortent d’Apollo 11.
Des questions telles que « Qui a filmé l’événement de l’extérieur de la capsule ? », « Comment le drapeau américain flotte-t-il ?« , » Pourquoi les ombres semblent-elles être le résultat de plusieurs sources de lumière ? », » Pourquoi la lettre C est-elle visible sur l’un des rochers ? (qui ressemble à un accessoire sur un plateau de tournage), ont tous gardé les théoriciens du complot intéressés pendant des décennies.
Les ceintures de Van Allen
Cinq, quatre, trois, deux, un, la séquence d’allumage commence et c’est le décollage ! A la Station spatiale de Cape Canaveral, en Floride, le 30 août 2012, la NASA lance deux sondes dans l’espace, les sondes Van Allen Probes, afin d’étudier les ceintures de radiation de Van Allen, une paire de zones de particules en forme de beignet qui entourent la Terre. Après deux ans de collecte de données, les scientifiques de la NASA découvrent un phénomène surprenant.
Les ceintures de Van Allen fonctionnent comme un dôme de protection protégeant la Terre des radiations dangereuses. Notre planète est constamment inondée de particules provenant de l’espace qui sont chargées et qui, si elles traversaient l’atmosphère, constitueraient des radiations mortelles. Mais grâce aux ceintures de Van Allen et de la combinaison de champs magnétiques et de particules chargées déjà présentes, les particules chargées entrantes sont envoyées sur des trajectoires incurvées qui protègent la Terre en toute sécurité et nous ne sommes pas touchés par celles-ci.
Le son émis par les ceintures de Van Allen
Au cours de cette mission de deux ans, les sondes enregistrent les ondes radio de la ceinture et découvrent quelque chose d’incroyable. Le son qu’elles produisent dans l’espace est presque identique au chant d’une baleine à bosse. Ce qui est bien avec les ceintures de Van Allen, c’est que les ondes radio qu’elles émettent ont les mêmes fréquences que le son que nous écoutons. Ainsi, vous pouvez enregistrer ces ondes radio et les jouer, et elles font de la musique naturellement. Les radiations et les choses dans l’univers font du bruit. Les planètes émettent un son. Tout émet un son. La similitude avec le son de la baleine à bosse, est-ce une coïncidence ? Nous ne croyons pas aux coïncidences. Mais c’est bizarre.
Il n’est pas impossible que d’autres formes de vie humanoïdes aquatiques présentes dans l’univers puissent remarquer que ces ceintures électromagnétiques autour de la Terre sonnent comme un gong, en disant : « Il y a de l’eau ici. » Et cela pourrait très bien les attirer et les attirer sur notre planète, presque comme un phare pour un monde aquatique.
Est-ce une conception extraterrestre ?
La ceinture de radiation de Van Allen est l’un des phénomènes scientifiques les plus phénoménaux à découvrir en ce moment. Ce qui est tellement choquant, c’est que les choses changent et mutent comme si elles étaient dirigées intelligemment. Les ceintures de Van Allen sont peut-être une technologie avancée que nous ne comprenons pas vraiment. Une technologie qui bloque non seulement les particules cosmiques naturelles du soleil, mais qui protège potentiellement la Terre contre les armes extraterrestres qui pourraient utiliser une sorte de technologie de faisceau de particules, pour qu’elles ne puissent jamais pénétrer ici.
Les ceintures de Van Allen pourraient-elles être de conception extraterrestre pour protéger l’humanité des autres factions extraterrestres hostiles ? Peuvent-elles servir de balises pour indiquer que notre planète est riche en eau ? Peut-il y avoir vraiment un système de défense extraterrestre protégeant la Terre des attaques ? Des partisans de la théorie des anciens astronautes disent que oui et suggèrent de nouvelles preuves de l’existence d’une faction étrangère contrôlant l’espace aérien de la Terre en examinant les crashs d’ovnis des temps modernes.
On doit répondre à ces défis avant d’envoyer des gens dans l’espace! Les missions Apollo, ne sont-ils pas passés par les ceintures de Van Allen eux aussi ? Il faudra trouver une solution, nous dit cet expert, mais alors qu’on-t-il fait la NASA il y a 60 ans ?
Linda Degh, une folkloriste à la retraite qui a enseigné à l’université de l’Indiana à Bloomington et qui a publié un livre intitulé American Folklore and Mass Media, se souvient du film Capricorn One. Sorti en 1978, Capricorn One raconte l’histoire d’un vol mis en scène vers Mars. Les astronautes sont aux prises avec les implications morales de cette mascarade géante et craignent d’être tués pour les empêcher de donner l’alerte. Il est certain qu’ils se retrouvent pourchassés par des agents du gouvernement voulant les faire disparaitre ; un seul des astronautes parvient à se libérer et trouve de l’aide auprès d’un journaliste. Degh se souvient que c’était « un film assez calomnieux, prétendant que le gouvernement avait tué des gens », et elle pense que cela a dû donner une puissante impulsion à la théorie du canular sur l’alunissage. « Les médias catapultent ces demi-vérités dans une sorte de zone crépusculaire où les gens peuvent faire passer leurs suppositions pour des vérités. Les mass media ont un impact terrible sur les personnes qui manquent de conseils ».
Peter Hyams, le directeur de Capricorn One, est d’accord pour dire que les médias peuvent être très puissants – dangereusement, en fait. « Mes parents croyaient que si c’était dans le New York Times, c’était vrai. J’ai fait partie de la génération qui a grandi en croyant que si on le voyait à la télévision, c’était vrai. Et j’ai appris à quel point les journaux étaient inexacts, et je me suis rendu compte que la télévision est tout aussi inexacte, ou peut l’être. Alors je me suis dit : « Ne serait-il pas intéressant de prendre un événement majeur où la seule source dont disposent les gens est un écran de télévision, et de montrer à quel point il serait facile de manipuler tout le monde ». Hyams insiste sur le fait qu’il a réalisé Capricorn One « pour le divertissement, pour le plaisir », et non pas parce qu’il faisait des références pas si évidentes au prétendu canular d’Apollo. « J’étais conscient qu’il y avait des gens qui croyaient que nous n’avions jamais marché sur la lune, mais je n’ai jamais lu leurs livres ou consulté leurs auteurs. Et franchement, je pense qu’ils sont totalement ridicules ». (Néanmoins, une invitation à une projection en avant-première au moment de la sortie de Capricorn One disait :
Seriez-vous boulversé de découvrir que le plus grand moment de notre histoire récente pourrait ne pas avoir eu lieu du tout ?
Le concept de l’escroquerie à la lune présente un certain attrait pour d’autres cinéastes également. Dans Diamonds Are Forever (1971), James Bond tombe accidentellement sur un plateau de tournage composé de rochers, d’un fond lunaire et d’un véhicule qui ressemble à l’Aigle de la NASA. Les hommes en combinaison spatiale se déplacent lentement et maladroitement, comme s’ils simulaient une faible gravité. Les poursuivants de Bond les poursuivent, mais 007 – remué, mais pas ébranlé – monte dans l’atterrisseur lunaire et s’enfuit. La scène n’est jamais expliquée. Dans le thriller high-tech Sneakers (1992), le personnage de Dan Aykroyd, un gadgeteer et un adepte de la conspiration, fait référence à l’alunissage par une remarque désinvolte : « Ce micro dissimulable LTX71 fait partie du même système que celui utilisé par la NASA pour simuler l’alunissage d’Apollo. » Et une petite société de production de la baie de San Francisco, avec un grand nom, Independent Film and Video Productions, travaille sur un long métrage encore sans titre, dans lequel un scénariste découvre que l’alunissage a peut-être été simulé – et est ensuite presque tué dans sa quête de la vérité.






Le 27 janvier 1967, deux ans avant le premier atterrissage sur la lune, Virgil « Gus » Grissom, Ed White et Roger Chaffee sont morts dans une incendie dévastateur qui a eu lieu sur la base de lancement d’Apollo 1 durant une simulation de lancement. Grissom était très apprécié par ces collègues, il était un personnage clef qui occupait une position centrale dans le programme spatial de la NASA. Nombreux étaient ceux qui prédisaient que ce serait Grisson qui serait le premier homme à marcher sur la lune.
Cependant, Grissom était aussi ouvertement critique concernant le programme. Lors d’une perte de communications entre la capsule et la base, juste avant que le feu ne se déclenche, une de ses dernières phrases prononcées fut : « Comment sommes-nous sensés aller jusqu’à la lune quand nous ne sommes même pas capables de communiquer entre deux bâtiments ?«
Quelques instants après, la capsule s’enflamma avec les astronautes coincés à l’interieur. Ils ont été consumés par les flammes sans espoir de s’en sortir. Sa femme Betty et leur fils Scott continuent de dire que les astronautes ont été tués par un acte de sabotage – et que leurs nombreuses questions sont restées sans réponse adéquate.
Clark McClelland et John Lear insistent sur le fait qu’il se trouvait un quatrième homme à l’interieur de la capsule, une personne appartenant à un programme spatial alternatif… le « Vrai » programme, utilisant des technologies de pointe classées top secret. Selon McClelland et Lear, suite à l’incident l’affaire a été très étouffée, et ca continue encore jusqu’à nos jours. (Pour plus de détails veuillez voir l’entretien avec John Lear. Lear nous dit que le nom du quatrième astronaute est connu.)
Thomas Ronald Baron était inspecteur de sécurité lors de la construction d’Apollo 1. Après les feu, Baron a attesté devant le congrès, que le programme Apollo était dans un tel état qu’on n’arriverait jamais jusqu’à la lune. Il dit que son opinion à fait de lui une cible, le 21 avril 1967 il dit devant camera à la presse que lui et sa femme ont été agressés à leur domicile. Une partie de son témoignage consiste en un rapport de 500 pages qui explique en détail ses trouvailles. Précisément une semaine après ce temoignage, la voiture de Baron a été heurtée par un train le tuant sur le coup, ainsi que sa femme et sa belle-fille. Le rapport de Baron a mystérieusement disparu et n’a toujours pas été retrouvé.
Le programme Apollo ne s’est pas arrêté, et les morts bizarres non plus. Entre 1964 et 1967, 10 astronautes ont perdu la vie dans des accidents divers. Ce qui équivaut à 15% de des astronautes de la NASA.
Buzz Aldrin, le premier homme à avoir marché sur la Lune, est au coeur d’une étrange polémique. Lors d’une interview, l’ancien astronaute aurait avoué ne s’être jamais rendu sur la Lune. La parution de cette vidéo a déclenché de vives réactions chez les internautes, notamment chez les complotistes, persuadés que la mission Apollo 11 n’est qu’une vaste supercherie.
En 2015 lors du National Book Fest de Washington, Buzz Aldrin a répondu à une série de questions posées par une fillette de 8 ans, prénommée Zoey. “Pourquoi personne ne s’est rendu sur la Lune depuis autant de temps” s’interrogeait la petite fille. “Ce n’est pas une question qu’une petite fille de 8 ans doit se poser” plaisante Aldrin. “C’est plutôt la question que moi je me pose” souligne l’ancien pilote.
“Je pense que je sais pourquoi” poursuit Buzz Aldrin. “Nous n’y avons pas été…” commence l’homme de 88 ans. “Et c’est comme ça que ça s’est passé. Et si cela n’arrivait pas, ce serait bien de savoir pourquoi cela ne s’est pas produit” ajoute l’astronaute.
Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur la lune ! La chaîne qui vous a fait découvrir Sharknado a tourné son regard vers les étoiles pour un documentaire spécial de deux heures, Aliens on the Moon : The Truth Exposed, et ET vous propose de le découvrir en exclusivité !
CAPRICORNE ONE est un film de Peter Hyams sorti en 1978. C’est un Thriller, action et aventure avec Elliott Gould, James Brolin, Sam Waterston. Ce film envisage un complot médiatico-politique qui, bien que la supercherie soit clairement mise au jour à la fin du film.
Ce film envisage une supercherie qui, par analogie, peut faire penser aux théories conspirationnistes concernant le programme Apollo sur la Lune. Son slogan sur l’affiche originale peut se traduire ainsi : « Seriez-vous choqué si vous appreniez que le plus grand événement de l’Histoire récente ne s’est pas passé du tout ? » En réalité, le film de Hyams fait partie des œuvres qui vous montrent qu’on avait une certaine liberté d’expression dans le cinéma des années 70, mais que cette liberté a parfois un prix. Ce prix, c’est l’aspect du cinéma des années 80. A savoir étouffer un peu le débat en rendant le film plus industriel, en rajoutant des séquences d’action parfois improbables, un esprit manichéen, un happy end…
Vers la fin des années 1970, la première mission habitée vers Mars est prête sur le pas de tir. Mais lorsque la NASA découvre que, par la faute d’un sous-traitant, les systèmes de support de vie rendent la mission impossible, ils préfèrent simuler une mission martienne réussie plutôt que d’avorter le projet.
Quelques minutes avant le lancement, l’équipage ébahi est évacué du vaisseau et transféré par avion dans une vieille base de l’U.S. Army en plein désert. On leur déclare alors que, de gré ou de force, ils vont participer à de fausses émissions télévisuelles depuis Mars. Leur refus initial amène les autorités à prendre leurs familles en otages. Tandis que le vaisseau vide poursuit son chemin, les astronautes passent des mois de captivité à réaliser le film de leur « atterrissage martien ».
Bien que personne ne sache la vérité à la NASA, Elliot Whitter (Robert Walden), un technicien remarque une absurdité depuis sa console : les signaux de télévision et radio arrivent bien avant les relevés télémétriques ; « On dirait presque qu’ils sont tout proches… Mais ces signaux ne peuvent pas provenir d’un point éloigné de cinq cents kilomètres », confie-t-il à son ami journaliste Robert Caulfield (Elliott Gould). Le technicien est alors victime d’une mystérieuse disparition, et le journaliste conçoit des soupçons. À chaque indice qu’il découvre, sa vie est menacée.
Lorsque les astronautes sont censés revenir sur Terre en amerrissant, la capsule vide brûle entièrement lors de sa rentrée atmosphérique. Les captifs comprennent vite que la NASA ne voudra jamais les libérer pour ne pas exposer la supercherie, car ils sont morts aux yeux du public. Ils décident de s’échapper en utilisant le Learjet de la NASA. Ils sont poursuivis par l’armée qui lance à leurs trousses un duo d’hélicoptères Hughes OH-6 Cayuse noirs.
À court de carburant, le Learjet doit se poser dans le désert, un atterrissage de fortune. Les trois hommes se séparent et partent dans trois directions différentes.
Seul le commandant Brubaker (James Brolin) échappe aux poursuivants. Caulfield le retrouve grâce à Alban (Telly Savalas), pilote d’avion d’épandage agricole, en l’occurrence un vieux Boeing-Stearman Model 75 Kaydet rouge crasseux, totalement recouvert de poussières. Ils réussissent, au cours d’une poursuite aérienne, à se débarrasser des deux Cayuse en les aspergeant d’un nuage d’insecticide à la sortie d’un looping effectué à proximité d’un canyon abrupt, les Cayuse allant s’écraser sur le flanc du canyon.
Le film se termine sur les deux hommes arrivant à la cérémonie d’hommage rendue aux astronautes, exposant de ce fait la duperie au public par la voie des médias dont la télévision nationale qui, en diffusant l’événement en direct, discrédite l’hypothèse de la mission vers Mars.
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