Ce documentaire propose l’analyse complète d’un physicien des phénomènes observés pendant les missions spatiales STS-48 les 15 et 16 septembre 1991, STS-58 le 17 octobre 1993.
La connexion avec la NASA
Des observations inexpliquées sont effectuées dans l’espace et d’étranges formations découvertes à la surface de Mars. Certains scientifiques de la NASA affirment qu’il ne s’agit que d’un jeu d’ombres et de lumières. Mais est-ce une base extraterrestre ? Les astronautes de la navette ont annoncé qu’ils ont vu des choses qui pourraient être dues à une présence extraterrestre et des rumeurs prétendent que les missions lunaires ont des ordres du jour secrets.
La course à la Lune était-elle une course pour accéder à une technologie laissée par une intelligence extraterrestre ? La NASA partage-t-elle tout ce qu’elle sait sur l’univers ? Ou est-ce qu’ils nous protègent de la vérité ?
Le rapport Brookings dit très précisément que, premièrement, ne le dites à personne. Si vous en parlez à quelqu’un, cela brisera le tissu même de notre civilisation.
Nos origines extraterrestres pourraient-elles être révélées par le biais des activités de la NASA ?
Buzz Aldrin : « Nous, les extraterrestres, qui sommes descendus de l’échelle le 20 juillet 1969, avons participé à une formidable course qui permettait tout à coup de faire notre apparition dans le jardin d’Eden. »
Pendant plus de deux heures et demie, Armstrong et Aldrin se sont tenus à la surface de la Lune. Des transmissions vidéo ont montré les deux astronautes en train de prélever des échantillons de roche, de prendre des photos et de planter un drapeau américain dans le sol lunaire. Mais qu’est-ce que ces hommes ont pu faire loin de la caméra ? Étaient-il chargés d’une autre mission, peut-être même top secrète ?
Le choix des coordonnées d’alunissage…
Quand Apollo 11 s’est posé pour la première fois sur la Lune, ils avaient certains sites à explorer. Alors même qu’ils gravitaient autour de la Lune, ils devaient examiner et photographier certaines zones de la Lune. On peut alors se demander si la NASA avait déjà sélectionné certaines parties de la Lune. Et la raison pour laquelle elle avait choisi ces zones, c’était parce qu’il y avait des structures artificielles sur la Lune et ils le savaient.
Selon les archives de la NASA, la région de la Lune appelée « Mer de la tranquillité » a été choisie pour le premier atterrissage lunaire en raison de sa surface plane. Mais certains chercheurs suggèrent que ce site a été retenu car à cette date, ses coordonnées étaient alignées directement avec la Ceinture d’Orion.
Pour choisir les sites d’atterrissage, ils ont d’abord choisi la date, la latitude et la longitude, l’heure à laquelle ils devaient atterrir. Et ensuite, ils devaient se débrouiller pour créer ce qu’on appelle la fenêtre de lancement. La personne qui a choisi toutes les dates et les heures d’atterrissage pour Apollo, et notamment la mission Apollo 11, était un homme appelé Farouk El-Baz. Et il se trouve que son père était justement un expert de l’ancienne religion stellaire de l’Égypte Antique.
Selon les anciennes croyances égyptiennes, les cérémonies organisées directement sous la Ceinture d’Orion produisent un alignement sacré, par lequel les humains pourraient communiquer avec Osiris. Pour les anciens Égyptiens, cette constellation était en fait une incarnation vivante du grand dieu Osiris. Sirius était la même représentation de son épouse, sa sœur et épouse, Isis. Ensemble, ces deux divinités gouvernaient essentiellement les cieux et la vie du peuple égyptien était dictée par la rotation, le mouvement et l’emplacement de ces deux objets célestes dans le ciel.
Apollo 11 avait atterri à un jour et à une heure spécifiques où les trois étoiles de la ceinture d’Orion étaient à l’horizon. À ce moment-là, 33 minutes après son atterrissage, Buzz Aldrin, le deuxième homme à avoir mis le pied sur la Lune, un franc-maçon de rite écossais au 33e degré, effectuait en fait une cérémonie à bord du module lunaire avec Neil Armstrong. Ce qu’ils faisaient, c’était verser du vin dans des calices, casser du pain et faire ce qu’on appelle essentiellement une cérémonie de communion.
Ce qui est intéressant à propos de la cérémonie de la communion, c’est que, bien que catholique, elle trouve son origine dans un rituel beaucoup plus profond et plus éloigné, qui était une offrande au dieu Osiris lui-même. Ils effectuent donc essentiellement une offrande à Osiris lui-même. On pense donc que c’est pourquoi ils ont atterri sur la Lune à cette date et à cette heure précise.
Un rituel précis effectué à la surface de la Lune
Certains rituels doivent être accomplis à certains moments dans le temps, par lesquels ce lien avec cette intelligence non humaine se produira. La classe sacerdotale de nos ancêtres, que ce soit par le biais de la technologie ou par certains autres moyens, était vraiment la classe qui cherchait le contact avec cette intelligence non humaine. Ce sont eux qui ont été formés à cette tâche, tout à fait comme les scientifiques d’aujourd’hui que nous avons formés pour être les personnes qui iront dans l’espace.
Des instruments scientifiques, un drapeau américain et une petite plaque commémorant la mission Apollo 11 ont été laissés sur la Lune. Mais il y avait aussi d’autres objets, un sac contenant une réplique en or d’une branche d’olivier et un disque de silicium contenant des messages enregistrés de paix et de bonne volonté de 73 dirigeants mondiaux. Pourquoi ces messages symboliques ont-ils été envoyés dans l’espace ? Qui, la NASA s’attendait-elle à rencontrer sur la Lune ?
Lorsque nous parlons de la mission Apollo Moon, certaines théories suggèrent que des villes gigantesques peuvent exister du côté obscur de la Lune, des villes connues de la NASA, et que les missions de la Lune étaient effectuées à ce sujet et que des artefacts de ces ruines antiques de ces sites ont été ramenés sur Terre. Est-il possible que nous n’ayons pas ramassé et rapporté que des roches lunaires, mais peut-être une technologie extraterrestre ?
La Lune est un point de passage obligé pour les visiteurs venant sur Terre
Si les extraterrestres sont venus sur la Terre, et nous sommes sûr qu’ils l’ont fait, nous devrions également trouver des preuves de leur passage sur la Lune, car celle-ci est l’endroit idéal pour une escale. Vous avez un vaisseau spatial mère. Vous avez besoin d’une sorte de ravitaillement. Quel que soit ce ravitaillement, il pourrait être une matière première, une pierre, de l’uranium, ou tout ce qui se trouve à la surface de la Lune. Il serait donc logique que nous trouvions des indications sur la Lune, des indications technologiques, que quelqu’un était là.
Au cours des dernières années, les responsables du programme spatial de la NASA ont admis avoir égaré les enregistrements originaux de certains atterrissages sur la Lune et perdu des roches recueillies à la surface de la Lune. Est-ce que cela pourrait être, comme le pensent les adeptes de la théorie des anciens astronautes, la perte des preuves d’un possible contact avec des extraterrestres ?
Des artefacts artificiels visibles sur certaines photos de la Lune et de Mars
Certains prétendent que les photos de la Lune et de Mars prises par la NASA indiquent qu’ils en savent plus qu’ils ne veulent bien nous le dire. Nous allons devoir accepter le fait que nous avons appris le mensonge collectif le plus monumental, toute notre vie, à propos de groupes non humains à la pointe de la technologie qui ont un impact fondamental sur la vie sur Terre. Vous trouverez les preuves de cela de l’autre côté de la Lune, et sans doute aussi de Mars.
Chaque fois que vous regardez une photo d’une sonde sans pilote de la planète Mars, il y a presque toujours quelque chose de vraiment bizarre qui n’appartient pas à cela et qui a l’air structurel. Carl Sagan lui-même parlait des pyramides d’Elysium, qui étaient de très grandes pyramides tétraédriques sur Mars. Nous avons des images étranges de la surface de l’arrière de la lune et de la surface de Mars. Quelques images étranges qui semblent montrer des objets artificiels, des bâtiments anciens. Sur Mars, nous avons eu un jour une photo de Mariner, nous avons vu un visage sur Mars. Et dans la photo suivante, le visage n’existait plus. Mais autour du visage, il y avait encore quelque chose comme une porte.
Certains scientifiques de la NASA affirment qu’il ne s’agit que d’un jeu d’ombres et de lumières. D’autres, également de la NASA, affirment que les pyramides sont réelles sur Mars. Donc, en ce moment, on ne sais pas ce qui est vrai.
Un contact étroit entre la NASA et certaines espèces extraterrestres
Certaines personnes pensent qu’avec le crash de Roswell, le gouvernement américain a établi des communications avec des extraterrestres. Certains pensent que nous n’avons pas établi ce contact avant les missions Apollo. Et d’autres personnes pensent que nous n’avons eu aucun contact direct avec des espèces extraterrestres.
Mais si la NASA possède des preuves d’une vie extraterrestre, comme le suggèrent certains, que cachent-elles ? La NASA aurait-elle vraiment trouvé des preuves de l’existence d’une vie extraterrestre sur la Lune ? Et pourrait-il y avoir une preuve supplémentaire d’une présence extraterrestre comme en témoignent les astronautes à bord de la navette spatiale et de la Station spatiale internationale ?
Jacques Bénigne Bossuet : « Le plus grand dérèglement de l’esprit, c’est de voir les choses telles qu’on voudrait qu’elles soient et non pas telles quelles sont en réalité »
Une décision prise au sein d’une grande organisation performante peut se révéler irrationnelle et catastrophique, même si elle est validée au terme d’un processus rationnel. Illustration avec la Nasa et l’explosion de la navette spatiale Challenger, en 1986.
Le 28 janvier 1986, la navette spatiale Challenger explose aussitôt après son décollage. Cet accident a coûté la vie à sept astronautes dont une institutrice qui devait faire un cours retransmis depuis l’espace. Les ambitions du programme navette furent ensuite considérablement réduites. Et la catastrophe a fortement marqué les Etats-Unis.
Le même jour, peu de temps auparavant, un des manageurs de projet du sous-traitant de la Nasa (l’entreprise Morton Thiokol), fournisseur du composant dont la défaillance causera la catastrophe, annonçait l’explosion. On avait en effet bien vu quelle était la pièce qui, dans les conditions glaciales prévues pour le lancement, pouvait provoquer un accident. On s’était alors attaché pendant plusieurs heures à évaluer le risque encouru. Des manageurs et des ingénieurs tentèrent même de reporter le décollage. Mais les responsables de l’évaluation restèrent convaincus que le risque était acceptable et furent inconscients de l’imprudence qu’ils allaient commettre.
Sommes-nous manipulés par la NASA, lorsque des astronautes ressuscitent des morts ?
Le 28 janvier 1986, ce fut le jour d’une grande catastrophe pour la NASA à Cap Canaveral en Floride à 11h38 heure locale, 73 secondes après le lancement, la navette spatiale Challenger se désintégra dans une énorme explosion au-dessus de l’Atlantique. Les 7 membres de l’équipage furent tués : les 5 astronautes de la NASA ainsi que les deux spécialistes en charge utile.
Des millions d’américains, 17% de la population ont suivi le décollage en direct à la TV à cause de la spécialiste de charge utile, Christa McAuliffe, la 1ère professeur dans l’espace. La couverture médiatique sur l’explosion fut vaste, une étude indique que 85% des américains interrogés en étaient informés 1h après le crash. Le monde entier était sous le choc et prit part au deuil des victimes.
La cause de l’explosion fut la défaillance d’un joint du propulseur d’appoint à poudre droit. La navette n’avait pas de système de sièges éjectables et l’impact de la cabine d’équipage sur la surface de la mer fut trop violent pour pouvoir y survivre. La catastrophe a entrainé une pause de 32 mois du programme des navettes spatiales de la Nasa et la création de la commission Rogers, spécialement nommée par le président Ronald Reagan, afin de mener une enquête sur cet accident.

1- Francis Richard Scobee (Commander)
2- Michael J. Smith (Pilot)
3- Ronald McNair (Spécialiste mission)
4- Ellison Onizuka (Spécialiste mission)
5- Judith Resnik (Spécialiste mission)
6- Gregory Jarvis (Spécialiste charge utile)
7- Christa McAuliffe (Spécialiste charge utile)
Le monde en vient à être abasourdi une seconde fois, sauf que le choc récent dépasse celui d’il y a 34 ans!
Au moins 6 des 7 membres de l’équipage seraient encore en vie, 4 d’entre eux ont même gardé leur nom d’origine.
» La vérité n’a rien à voir avec le nombre de gens qu’elle persuade » Paul Claudel
https://www.dailymotion.com/video/xnmgj1
https://www.dailymotion.com/video/x6d4k5d
Une panne sur l’ISS pourrait empoisonner son équipe avec un gaz mortel ; une image prise par une sonde de la NASA pourrait prouver la présence de vie sur Mars. ._En pleine guerre froide, la Russie devient la première nation à capter des images de la surface lunaire, mais la CIA les intercepte et les publie avant. Une photographie de la planète Mars y révèle l’existence possible d’une forme de vie. Des astronomes étudient la mystérieuse disparition d’une étoile.
https://www.dailymotion.com/video/x6g00v2
Fortes de toutes ses missions antérieures, la NASA continue d´explorer l´espace. Après la Lune, l´Humanité doit aller toujours plus loin dans les confins spatiaux pour espérer un jour vivre ailleurs que sur la Terre.
https://www.dailymotion.com/video/x6vl6nh
En juillet 1969, Neil Armstrong, Buzz Aldrin et Michael Collins vont marquer l’histoire en étant les premiers êtres humains à partir en mission sur la Lune et à relever ce pari insensé qui a fait rêver toutes les générations qui les ont précédés.
https://www.dailymotion.com/video/x6g8nha
Des scientifiques américains dévoilent les secrets de la NASA :
Des villes sur la Lune, et sur Mars des microbes, entre autre…
L’ancien directeur de la photo au Data Control Department lunaire de la NASA au cours de la réception du Laboratoire habitée lunaire Apollo Program, Ken Johnston, a publié un assez grand nombre de déclarations sensationnelles récemment aux Etats-Unis. Le spécialiste a dit que les astronautes américains ont trouvé les ruines d’origine artificielle et d’une technologie inconnue auparavant, permettant de contrôler la gravitation quand ils ont atterri sur la Lune.
Les astronautes ont pris des photos des objets qu’ils trouvaient, mais la NASA a commandé à Johnston de détruire les images. Johnston n’a pas suivi l’ordre. Il a déclaré que le gouvernement américain avait gardé cette information secrète pendant 40 ans.
Les allégations surprenantes de Johnston sur les missions Apollo ont fait leur apparition dans un nouveau livre, « Dark Mission: The Secret History of NASA », co-écrit par un ancien consultant de la NASA et CBS Science Advisor, Richard C. Hoagland et Mike Bara, un consultant en ingénierie aérospatiale.
Selon Kay Ferrari, JPL directeur de l’ASS Program, Johnston a été cité par la NASA en critiquant « Hoagland’s new book, ‘Dark Mission », qui a amené à demander à Johnston sa démission de l’ASS Program. Quand Johnston a refusé, invoquant le Premier amendement de protection de la liberté d’expression qu’offre la NASA à tous les employés, même ceux au JPL, Ferrari apparemment décidé de l’expulser arbitrairement de la SSA Programme dans sans cause.
La faible qualité des images incluses dans le livre dépeignent les ruines des bâtiments, comme l’immense dôme, un objets en verre, en pierre et des tours suspendus dans les airs. «Je n’ai rien à perdre. Je me suis querellé avec la NASA et je me suis tiré » a déclaré Ken Johnston.
En effet, la NASA estime que les allégations de l’ancienne civilisation trouvée sur la Lune ne sont pas sérieuses. Les auteurs du livre controversé racontent également que le président John F. Kennedy, qui a lancé la course lunaire contre l’Union soviétique, a en réalité, partager des technologies extraterrestres avec Moscou. JFK voulait faire un discours à l’ONU en septembre 1963, Kennedy a censément offert à l’URSS d’organiser une mission conjointe sur la Lune.
Richard Hoagland à Washington estime que l’intérêt de l’exploration de la Lune apparaît soudain, après 30 ans de silence infondé sur la Lune, les conclusions sont que le gouvernement américain a gardé le secret pendant 40 ans.
La Russie, la Chine, le Japon et même l’Inde ont annoncé publiquement leurs plans de travail sur l’exploration de la Lune. Selon R. Hoagland, les États-Unis veulent être la première à ce stade.
En décembre 2007, la NASA a annoncé des plans pour construire une base internationale sur l’un des pôles de la Lune. La base doit être terminé d’ici 2024.
Russia’s booster maker, Energia, a un programme plus ambitieux: construire une base permanente habitée sur la Lune en 2015. La Russie déclare : la base sera construite pour développer la production industrielle de l’hélium-3.
Les spécialistes US préfèrent ne rien dire sur cette question spécifique. Pour couronner le tout, la Chine a lancé son premier satellite de la Lune le 24 octobre. La Chine a également l’intention de lancer une base lunaire et une sonde spatiale non habitée sur la Lune en 2010.
Non-isotope radioactif de l’hélium, l’hélium-3, est un puissant combustible nucléaire pour la synthèse. Seuls six tonnes de ce carburant permettrait de fournir suffisamment d’énergie pour alimenter un grand pays européen pendant un an. Les qualités du gaz (non polluante à très haut débit) font de nombreux pays, la perspective de traiter avec autant de sérieux que possible. L’Allemagne, l’Inde et la Chine menent un certain nombre de travaux de recherche pour développer des méthodes d’extraction de l’hélium-3.
Hoagland et Johnston ont également l’intention de prouver que la NASA agit pratiquement comme un autre département de la défense des États-Unis, en droit de qualifier les importantes informations techniques et scientifiques sans contrôle du Congrès américain.
Hoagland affirme que les astronautes américains pourraient secrètement livrer des échantillons de technologies extraterrestres à la Terre. Les technologies, pousseraient les plus grands pays dans une nouvelle course lunaire.
Contrairement à la précédente course à l’espace entre l’URSS et les Etats-Unis, la nouvelle va déterminer la vie de chaque être humain sur la Terre, a déclaré Hoagland. Hoagland et Johnston estiment que les États-Unis intensifie le lancement de navette délibérément, dans le but d’arrêter le programme plus tôt que prévu et passer à l’utilisation du nouvel engin spatial, Constellation, qui laissera les Etats-Unis se poser sur la Lune.
Richard Hoagland dit que la NASA dissimule un certain nombre d’autres secrets, et notamment la découverte de microbes à la surface de Mars.
La découverte a été prétendument faites par la sonde spatiale non habitée viking en 1976. Sur la base de reportages d’actualité des agences de presse de Russie.
Source : Pravda.ru traduit par Dmitry Sudokov
J’ai bien hate d’avoir une fois pour toute l’existance d’etre vivant a part la notre….J’ai toujours pensee qu’il y avat certainement d’autre monde ailleur que la notre…..Je trouve tres intéressant les informations que vous nous expliquer en attendant dans savoir plus….bon travail..La population saurait a quoi s,attendre en sachant la vérité
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C’est évident qu’il y a des civilisations intelligentes ailleurs …. comment penser que nous sommes uniques parmi les milliards de planètes dans notre seule galaxie …ce serait bien prétentieux de nous croire seuls
En faisant simplement appel à la logique c’est l’évidence même…..et j’irai plus loin en disant que la terre est visitée et surveillée depuis longtemps…. les expériences atomiques ont certainement une résonance dans le cosmos qui doit alerter d’autres civilisations….tout est lié et tout à une conséquence !!!
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