
Le Club Bilderberg constitue l’une des organisations les plus puissantes et secrète au monde…
Depuis 1954, une fois par an, ce groupe restreint se retrouve pour décider en secret de l’avenir politique et économique de l’humanité. Aucun journaliste n’a jamais eu accès à ses réunions, dont la première eut lieu à l’hôtel Bilderberg, dans une petite ville Néerlandaise.
Fruit de plus de quinze années de recherches rigoureuses et dangereuses, l’impressionnante enquête de Daniel Estulin dévoile pour la première fois ce qui n’avait jamais été dit auparavant, éclairant les jeux de pouvoir qui se déroulent à notre insu. Sous la protection féroce de la police, la classe dirigeante mondiale dicte ses lois sur la politique, l’économie et les questions militaires.
L’ ouvrage fouillé d’Estulin démontre comment le Groupe Bilderberg a été impliqué dans tous les plus grands mystères de l’histoire récente et comment de cette élite émergent les figures clés du grand échiquier international – d’importants hommes politiques et hommes d’affaires européens, des présidents des États-Unis, des directeurs d’agences telles que la CIA ou le FBI, des grands noms du journalisme – et comment de ces rencontres naissent les lignes directrices de la mondialisation.
Chapitres :
1/ Plongeon mortel
2/ L’immortel, 1992 (L’Highlander)
3/ La fondation du Bilderberg
4/ Les concubins du Bilderberg
5/ Les objectifs du Bilderberg
6/ Les pantins du Bilderberg
7/ L’affaire du Watergate
8/ Le Bilderberg démasqué
9/ Un épisode datant de 1999
10/ Échanges de partenaires
11/ Des journalistes courtisants ?
12/ Désarment forcé
13/ Le bureau de contrôle du CFR
14/ Le CFR et les opérations psycho-politiques
15/ Le CFR et le plan Marshall
16/ Un exemple concret
17/ La confrontation (2003)
18/ Retour vers le futur
19/ Une subversion sophistiquée
20/ Choisir un président
21/ Le système de monopole
22/ Les bienfaiteurs des Bolcheviks
23/ Trahir pour le profit
24/ Sacrifier une nation
25/ La rétention (2004)
William Shannon : « Les membres du Bilderberg sont en train de bâtir l’ère du post-nationalisme : nous n’aurons plus de pays, mais seulement des régions de la Terre à l’intérieur d’un ‘monde unique’. Cela signifiera une économie globalisée, un ‘gouvernement mondial unique’ (choisi plutôt qu’élu) et une ‘religion universelle’. Afin de s’assurer la réussite de tels objectifs, le Bilderberg se concentre sur le ‘contrôle technologique et la faible sensibilisation de l’opinion publique’. »
Le Groupe Bilderberg représente l’élite politique et économique des pays occidentaux : financiers, chefs d’état, PDG, chefs militaires, …
Les membres fondateurs fixèrent leur mission et leurs objectifs : créer une communauté d’intention entre l’Europe et les Etats-Unis pour conclure des accords stratégiques, politiques et économiques en vue de gouverner le monde.
Les médias sont interdits
Le Forum économique mondial de Davos et les réunions du G8 font les sujets de discussion dans tous les journaux, avec de nombreuses incrustations en première page et la présence de milliers de journalistes, alors qu’il n’y a pas de couverture presse pour les réunions du « Groupe de Bilderberg ». Cette interdiction existe en dépit du fait que chaque année cette réunion se déroule en présence de présidents du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale et de la Réserve fédérale, des présidents des 100 sociétés les plus puissantes dans le monde comme Daimler Chrysler, Coca Cola, British Petroleum (BP), Chase Manhattan Bank, American Express, Goldman Sachs et Microsoft, de vice-présidents des États-Unis, d’administrateurs de la CIA et du FBI, du Secrétaire général de l’OTAN, de sénateurs américains et des membres du Congrès, de premiers ministres Européens, de leaders des partis d’opposition et des éditeurs des principaux journaux du monde.
Il est certainement curieux qu’aucun des médias d’information les plus importants n’estime digne d’intérêt une réunion de ces personnages, dont la richesse dépasse de loin la richesse totale de tous les citoyens des États-Unis. Mais un journaliste à fait le voyage à l’une de ces rencontres Bilderberg, il y a vingt ans. C’était un voyage d’enquête. C’est devenu le travail de sa vie. Il a lentement décrypté, une par une, les couches de secret entourant la fondation Bilderberg. Il ne pouvait pas le faire sans l’aide de personnes de l’intérieur. De cette enquête a résulté un livre qui tente de révéler ce qui a été dit derrière les portes closes des hôtels de luxe, dans lesquels les membres du Bilderberg tiennent leurs réunions annuelles secrètes. Le journaliste s’appelle Daniel Estulin et son livre est « La véritable histoire du Groupe Bilderberg » paru en 2005.
Le groupe Bilderberg (du nom de l’hôtel où s’est tenu sa réunion de constitution du 29 au 31 mai 1954) a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’une réunion du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS, etc.
Le président Truman avait tenu les alliés – y compris l’Union soviétique – au courant des développements du problème des Aliens. Il avait agi ainsi de peur que ceci ne se révèlent menaçants pour l’espèce humaine. On avait même dressé des plans de défense unifiée en cas d’invasion planétaire, mais il s’avéra difficile de garder un projet d’envergure internationale à l’abri de la curiosité normale des journalistes à l’égard des gouvernements. On jugea donc nécessaire de confier à une section indépendante le soin de coordonner et de contrôler les efforts internationaux. Le résultat fut la création d’une société secrète qui devint connue sous le nom de groupe Bilderberg.
Ce groupe a été constitué en 1952. Son nom vient de l’endroit de la première réunion publiquement connu, l’Hotel Bilderberg. Ce meeting public eu lieu en 1954. Ses membres ont été dès lors surnommés les Bilderbergers. Le quartier général de ce groupe est à Genève en Suisse. Les Bilderbergers se sont transformés en un gouvernement mondial secret qui contrôle maintenant absolument tout. Les Nations unies d’alors – comme de nos jours, d’ailleurs – ne sont qu’une farce monumentale à l’échelle internationale.
(extrait du livre « MJ12 Le gouvernement secret » de William Cooper Milton)

Explorant un monde d’intrigues et de menées secrètes, Daniel Estulin dénonce aujourd’hui ce que nul n’avait pu rapporter jusque là : depuis ses débuts en 1954 à l’hôtel Bilderberg, dans la petite ville hollandaise d’Oosterbeek, le Bilderberg Group a chaque année tenu une réunion, où l’élite politique européenne et américaine se retrouve avec les plus riches PDG de la planète, pour discuter de l’avenir économique et politique de l’humanité. Bien que présentes, les principales figures de la presse internationale n’ont jamais été autorisées à rapporter les discussions et conclusion de cet organisme qui, comme le montre l’auteur, ont des répercussions considérables sur les citoyens du monde. Usant de méthodes dignes d’espions de la Guerre froide, et parfois même au péril de sa propre vie, Daniel Estulin est parvenu à apprendre ce qui se disait derrière les portes closes d’opulents hôtels. Il le rapporte pour la première fois dans cet ouvrage, qui est déjà un immense succès de librairie dans le monde entier.
1er partie : Le Bilderberg Group – Les maîtres de l’univers
1/ Chute mortelle
2/ 1992 Highlander
3/ Fondation du Bilderberg
4/ Bilderberg et plus, si affinités
5/ Les objectifs du Bilderberg
6/ Les marionnettes du Bilderberg
7/ Le jeu de dupes du Watergate
8/ Le Bilderberg démasqué
2ème partie : Le Conseil on Foreign Relations CFR
9/ 1999 – Hit parade
10/ Échange de bon procédés
11/ Les journalistes, des courtisans ?
12/ Désarmemnt forcé
13/ Contrôle du Cabinet par le CFR
14/ CFR et opérations psychopolitiques
15/ Le CFR et le plan Marshall
16/ Des mécanismes biens visibles
3ème partie : La Commission Trilaterale
17/ Confrontation
18/ Retour vers le futur
19/ Subtilement subversif
20/ Comment formater un Président
21/ Partie de Monopoly
22/ Les bienfaiteurs des Bolcheviks
23/ Traîtres par vénalité
24/ Sacrifier une nation
25/ 2004 – Détention
Prince Bernard des Pays-Bas : « Il est difficile de rééduquer les gens qui ont été élevés dans le nationalisme à l’idée d’abandonner une partie de leur souveraineté à un organisme supranational….« .

Cette Organisation secrète fut créée en mai 1954 à l’hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, en Hollande, par le prince Bernard des Pays-Bas. Elle est composée de 120 magnats de la haute finance d’Europe de l’Ouest, des États-Unis et du Canada. Ses buts principaux, formulés par le prince Bernard, sont l’institution d’un gouvernement mondial d’ici l’an 2000 et d’une armée globale sous le couvert de l’ONU. On l’appelle aussi le « gouvernement invisible ». Un comité consultatif composé d’une commission de direction (avec 24 Européens et 15 Américains) décide des personnes à inviter à leurs rencontres. Johannes Rothkranz écrit que seuls sont invités ceux qui ont fait preuve d’une indéfectible loyauté dans les intrigues menées par les Rockefeller et les Rothschild. Toutes les personnes présentes ne sont pas des « initiés », elles peuvent être aussi seulement des représentants d’un groupement d’intérêts ou d’autres personnes.
Parmi les membres de ce club très fermé on peut citer Bill Clinton, Paul Wolfowitz, Henry Kissinger, David Rockefeller, Zbigniew Brzezinski, Tony Blair, le français Paul Hermelin (PDG de Cap Gemini) et bien d’autres chefs de gouvernement, des hommes d’affaires, des politiciens, des banquiers et des journalistes du monde entier. La liste des membres du « Club Bilderberg » est très longue.

« Les sociétés secrètes sont intimement liées aux Illuminatis et bon nombre de ses membres occupent des postes importants dans les différentes administrations gouvernementales. Leur connexion avec les cérémonies sataniques et leur obsession pour l’établissement du Nouvel Ordre Mondial, ainsi que le manque total de sensibilité envers la souffrance dans le monde, leur facilitent la tâche de sacrifier des milliers de personnes pour arriver à leurs fins.» Robert Goodman


60 ans de réunions secrètes
En plus de soixante ans de leurs conférences, la presse n’a jamais été invitée à y assister, aucun compte-rendu n’a jamais filtré et aucun agenda n’a jamais été rendu public. Les dirigeants du « Club Bilderberg » affirment que cette discrétion est nécessaire pour permettre à ceux qui participent aux débats de parler librement. Sinon, disent-ils : les membres du Bilderberg seraient obligés de parler dans le langage d’un communiqué de presse.
Cette option permet sans doute au « Groupe Bilderberg » de délibérer plus librement, mais cela ne répond pas à la question fondamentale de ce que se disent dans ces conférences les personnes les plus puissantes dans le monde.
Tout système démocratique moderne protège le droit à la vie privée. Mais le public n’a-t-il pas le droit de savoir de quoi parlent leurs dirigeants politiques quand ils rencontrent les plus riches des chefs d’entreprise de leurs nations respectives ? Quelles sont les garanties pour les citoyens que les réunions du Groupe soient seulement un colloque qui concerne le commerce et n’exerce aucune pression ? Il est interdit de savoir de quoi parlent leurs représentants à ces réunions secrètes.
Les médias sont interdits
Le Forum économique mondial de Davos et les réunions du G8 font les sujets de discussion dans tous les journaux, avec de nombreuses incrustations en première page et la présence de milliers de journalistes, alors qu’il n’y a pas de couverture presse pour les réunions du « Groupe de Bilderberg ». Cette interdiction existe en dépit du fait que chaque année cette réunion se déroule en présence de présidents du Fonds monétaire international, de la Banque mondiale et de la Réserve fédérale, des présidents des 100 sociétés les plus puissantes dans le monde comme Daimler Chrysler, Coca Cola, British Petroleum (BP), Chase Manhattan Bank, American Express, Goldman Sachs et Microsoft, de vice-présidents des États-Unis, d’administrateurs de la CIA et du FBI, du Secrétaire général de l’OTAN, de sénateurs américains et des membres du Congrès, de premiers ministres Européens, de leaders des partis d’opposition et des éditeurs des principaux journaux du monde.
Il est certainement curieux qu’aucun des médias d’information les plus importants n’estime digne d’intérêt une réunion de ces personnages, dont la richesse dépasse de loin la richesse totale de tous les citoyens des États-Unis. Mais un journaliste à fait le voyage à l’une de ces rencontres Bilderberg, il y a vingt ans. C’était un voyage d’enquête. C’est devenu le travail de sa vie. Il a lentement décrypté, une par une, les couches de secret entourant la fondation Bilderberg. Il ne pouvait pas le faire sans l’aide de personnes de l’intérieur. De cette enquête a résulté un livre qui tente de révéler ce qui a été dit derrière les portes closes des hôtels de luxe, dans lesquels les membres du Bilderberg tiennent leurs réunions annuelles secrètes. Le journaliste s’appelle Daniel Estulin et son livre est « La véritable histoire du Groupe Bilderberg » paru en 2005.
Il est important de préciser que ni le peuple, ni les organisations ne sont absolument « mauvais », tout comme personne n’est absolument « bon ». Dans le monde il y a des puissants, mus par des idéaux élevés, des principes et des croyances, et ceux qui sont fourbes et manipulateurs agissent secrètement. Les efforts déployés par les membres originaux du Club Bilderberg pour améliorer notre monde étaient basés sur l’autocratie qui est semblable au modèle paternaliste du christianisme traditionnel de l’Eglise catholique romaine. Au départ, l’intention était noble. Malheureusement, il semble que le « Groupe Bilderberg », en grandissant, est allé au-delà de ses intentions idéalistes pour devenir un gouvernement de l’ombre mondial, qui décide dans le secret total, lors des réunions annuelles, comment il réalisera ses plans. Il représente une menace, en se dérobant à notre droit et notre justice, pour diriger nos destinées. Cela devient plus facile en raison du développement de la technologie des télécommunications, de l’impact instantané de l’Internet et de nouvelles méthodes d’ingénierie comportementale pour manipuler le comportement individuel. Ils peuvent transformer ce qui, dans d’autres périodes historiques étaient seulement de mauvaises intentions, en une réalité inconfortable.
Fantasmes et révélations sur les maîtres du monde
Club très privé réunissant chaque année dans le plus grand secret les grands décideurs internationaux et les personnages les plus influents de la planète, le Groupe de Bilderberg est sans doute l’organisation contemporaine la plus controversée de ces dernières années. L’absence totale de médiatisation de ce mystérieux rassemblement de puissants et la confidentialité absolue du bilan de leurs conférences, tenues à huis clos depuis plus d’un demi-siècle, ravivent allègrement la flamme du mythe du complot.
Le groupe Bilderberg a été créé de manière à coordonner et contrôler les efforts internationaux des Illuminati en un gouvernement mondial dont il est le corps dirigeant. Ses membres dirigent les cercles intérieurs de la commission Trilatérale dont le noyau dirigeant a été choisi lors d’un meeting du groupe Bilderberg en 1972, et les cercles intérieurs du CFR, mais aussi des grands organismes internationaux tels l’ONU, le FMI, l’OMS.
R. Reagan : « Je pense qu’il y a dans ce pays une élite, et ce sont ceux-là mêmes qui dirigent un gouvernement de type élitiste. Ils veulent que ce soit une poignée d’individus qui dirige car ils pensent que les gens sont incapables de diriger eux-mêmes leur propre existence (…). Allons-nous écoper d’un gouvernement élitiste qui prendra les décisions à la place des gens quant à leurs existences, ou pouvons-nous nous mettre à croire comme nous l’avons fait depuis des décennies, que les gens peuvent pendre eux-mêmes ce genre de décisions ? »














Un asservissement total du peuple
Avant d’entrer dans le royaume de ce club exclusif, il est important de préciser que ni le peuple, ni les organisations ne sont absolument « mauvais », tout comme personne n’est absolument « bon ». Dans le monde il y a des puissants, mus par des idéaux élevés, des principes et des croyances, et ceux qui sont fourbes et manipulateurs et agissent secrètement. Les efforts déployés par les membres originaux du Club Bilderberg pour améliorer notre monde étaient basés sur l’autocratie qui est semblable au modèle paternaliste du christianisme traditionnel de l’Eglise catholique romaine. Au départ, l’intention était noble. Malheureusement, il semble que le « Groupe Bilderberg », en grandissant, est allé au-delà de ses intentions idéalistes pour devenir un gouvernement de l’ombre mondial, qui décide dans le secret total, lors des réunions annuelles, comment il réalisera ses plans. Il représente une menace, en se dérobant à notre droit et notre justice, pour diriger nos destinées. Cela devient plus facile en raison du développement de la technologie des télécommunications, de l’impact instantané de l’Internet et de nouvelles méthodes d’ingénierie comportementale pour manipuler le comportement individuel. Ils peuvent transformer ce qui, dans d’autres périodes historiques étaient seulement de mauvaises intentions, en une réalité inconfortable.
Chaque nouvelle mesure, prise isolément, peut sembler seulement superficielle. Mais les changements complexes doivent tenir compte de l’ensemble, dans le cadre d’un développement continu, et constituent un mouvement vers un asservissement total. Le moment est venu de regarder dans les coulisses. Nous sommes à la croisée des chemins et les routes que l’on va prendre vont déterminer l’avenir même de l’humanité. Nous devons être conscients des objectifs réels et des actions du « Groupe Bilderberg », et d’autres groupes similaires, si nous voulons préserver la liberté pour laquelle nos grands-pères ont combattu dans la Seconde Guerre mondiale. Il ne revient pas à Dieu de nous libérer du « nouvel âge des ténèbres » prévu pour nous. C’est à nous de le faire ! Cela dépend des actions que nous allons faire maintenant. Si nous ne connaissons pas le contexte en profondeur, nous ne pourrons jamais trouver les bonnes réponses. La véritable histoire du « Groupe Bilderberg » vise précisément à nous les fournir.
Créer une communauté entre l’Europe et les Etats-Unis pour gouverner le monde
Au cours de la première réunion, les membres fondateurs fixèrent leur mission et leurs objectifs. La première intention est de créer une communauté d’intention entre l’Europe et les Etats-Unis pour conclure des accords stratégiques, politiques et économiques en vue de gouverner le monde ensemble. L’OTAN était l’outil idéal pour agir ou réagir, car il leur a permis de mener à bien leurs plans de « guerre permanente » et leur « politique de chantage ».
Charles de Gaulle est un obstacle. Dans sa chronique « Les documents, Politiques, diplomatique et financiers » d’Octobre 1967, le journaliste politologue Roger Mennevée a analysé les relations entre les membres du Bilderberg et de Gaulle. Il commence l’article avec une révélation surprenante, en disant que :
toutes les personnalités françaises qui faisaient partie du « Groupe Bilderberg », comme Georges Pompidou, Antoine Pinay et Guy Mollet, étaient des opposants à la politique nucléaire de Charles de Gaulle, connu sous le nom de « force de frappe ».
Pompidou était le premier ministre, tandis que Pinay et Mollet étaient des ministres du gouvernement français. Pourquoi cette alliance ? Parce que l’un des principaux objectifs du Groupe était de soumettre la souveraineté des nations de l’Europe « libre » au contrôle anglo-américain, visant à projeter le Bilderberg de « gouverner un seul monde » par le biais de la menace nucléaire. Pour contrôler l’Europe, il est essentiel d’éliminer la capacité nucléaire de la France, ce qui représente un moyen de dissuasion indispensable contre la menace soviétique.
Le biographe du général de Gaulle, Jean Lacouture, a écrit que « de Gaulle a voulu établir une position solide en Europe, capable de s’opposer au projet britannique de créer une zone de libre-échange, visant à créer un « nouvel ordre mondial impérial ». Ce fut la raison pour laquelle la France est devenue l’un des trois piliers du « monde libre ».
Si nous analysons les points du plan Bilderberg en 1954, il apparaît clairement l’intention d’harmoniser les idéologies des élites européennes et américaines dans le but de dominer le monde ensemble.
Bilderberg aujourd’hui
A partir de 1954, l’association Bilderberg a représenté l’élite politique et économique des pays occidentaux : spéculateurs financiers, chefs d’entreprises, industriels, présidents, premiers ministres, ministres de l’économie, secrétaires d’Etat, représentants de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, PDG des grandes entreprises technologiques et chefs militaires.
En Septembre 2005, dans un mouvement visant à prévenir les accusations de complot à l’encontre du « Groupe Bilderberg », son Président, le vicomte Etienne Davignon, a donné une interview au journaliste de la BBC Bill Hayton. Dans ce document, a donné une apparente bienveillance aux fins des réunions privées du Groupe :
« Je pense qu’il est tout simplement des personnes influentes, qui veulent communiquer entre elles librement, examiner les divergences d’opinion, sans aucune critiques ou des débats publics sur leurs idées.«
Davignon a nié que le Bilderberg souhaitait mettre en place un groupe qui dictent les règles de la gouvernance mondiale. Il a fait valoir au contraire qu’il existe une entreprise ayant une influence économique et une société ayant une influence politique : c’est une question de sens logique. Il est vrai qu’il y a des contrastes entre le monde des affaires et les droits des dirigeants politiques démocratiquement élus pour gouverner. Ils ont toujours combattu les guerres pour étendre leur territoire, mais maintenant, dans l’ère de la mondialisation, où les affaires et la politique sont dépendants les uns des autres, le contrôle de l’économie est essentielle.
Au-delà des déclarations du président du groupe, il ne fait aucun doute que les cercles Bilderberg ont pour objectif d’exercer un contrôle économique sur le marché mondial. Les faits sont là pour le prouver : le public n’a pas le droit d’assister à ses conférences ; ses membres se réunissent en secret pour discuter de stratégies mondiales et d’accords sur une intervention à grande échelle.
Le secret est suspect. Ce groupe privé de leaders mondiaux et d’agences de renseignement travaillent ensemble pour essayer de subjuguer toutes les « nations libres » à leur volonté, à travers des structures internationales manipulées et le contrôle de l’Organisation des Nations Unies. Les membres du Bilderberg contrôlent les banques centrales, de sorte qu’ils sont en mesure de déterminer les taux d’intérêt, les niveaux d’émission de l’argent, le coût de l’argent et de l’or, et le montant des prêts accordés à un pays particulier. En manipulant les émissions d’argent et la gestion du réseau des affaires du monde, ils créent leurs propres revenus d’intérêts s’élevant à plusieurs milliards de dollars. Ils sont attirés seulement par la volonté du gain et le pouvoir.
Le meeting Bilderberg 2000 – Les fausses promesses des OGM
Chaque année depuis 1954, le groupe secret Bilderberg, composé d’éminences grises des élites d’Europe et d’Amérique du Nord, se rassemble pour discuter et influencer le paysage politique, économique et social du monde. Ce groupe qui compte environ 120 participants ou observateurs, varie d’année en année, avec un probable cercle interne fort de 30 personnes, le Comité d’Organisation qui se réunit avant le meeting annuel et à une autre occasion durant l’année.
Comme les médias – à l’exception de quelques représentants tirés sur le volet et contraints au secret – ne sont pas autorisés à réaliser des reportages sur le meeting annuel, les suppositions vont bon train durant la période qui le précède concernant le lieu précis où il se déroulera et les questions qui seront à l’ordre du jour. Puis pendant et après, les spéculations continuent quant à l’identité des participants et aux sujets débattus destinés ou non à être appliqués.
La période qui a précédé le meeting des Bilderbergers de cette année 2000 n’a pas fait exception à la règle. Le lieu de l’évènement ayant été maintenu dans le plus grand secret jusqu’au dernier moment à l’approche de la date prévue, du 1 au 3 juin. Pendant des mois, les participants et observateurs des Bilderberg ont cru que ça se passerait en Autriche ou en Suisse, mais cela s’est finalement tenu en Belgique, près de Bruxelles.
Le communiqué de presse et la liste des participants qui suivent ont été communiquer par le groupe Bilderberg à l’heure du déjeuner le samedi 3 juin, à la fin de l’assemblée. Cette liste n’est pas un rapport officiel exact de toutes les personnes qui ont assisté à la réunion, car les participants ont la possibilité de refuser que leurs noms soient mentionnés. Cette liste compte 98 noms.
(Bill Clinton se trouvait officiellement à Berlin à cette période; a-t-il effectué une visite imprévue à Bruxelles, même s’il n’est pas mentionné sur la liste des participants ?)
Le Groupe Bilderberg et le Président Bush
En 1954, le groupe Bilderberg est fondé et, en 1961, Arnold Toynbee déclara : « Dans l’ère atomique actuelle, nous n’aurons pas assuré la survie du genre humain tant que nous n’aurons pas établi un gouvernement mondial et subordonné les gouvernements nationaux actuels à lui. »
Le 11 septembre 1990, le président des États-Unis, George Herbert Walker Bush a prononcé son célèbre discours :
« Vers un Nouvel Ordre Mondial » à une session conjointe du Congrès des Etats-Unis :
« Le monde peut donc saisir l’opportunité de réaliser la promesse de longue date d’un Nouvel Ordre Mondial où diverses nations sont unies dans une cause commune pour atteindre les aspirations universelles de l’humanité. »
Il a répété le même discours exactement un an plus tard le 11 septembre 1991.

Le CFR organise ses relais d’opinion : le Club des Bilderberg et la Commission Trilatérale
Une fois mise en place la stratégie qui allait mener à la réalisation d’une Europe conforme à leurs projets (c’est à dire faire de l’Europe une sorte d’anti-chambre et d’appartement témoin de la mondialisation) il restait a obtenir, sinon le consentement, du moins une sorte de neutralité des peuples. Pour ce faire, il était nécessaire de maîtriser sans partage le rôle de la communication.

Deux organismes apparurent à une vingtaine d’années d’intervalles, chacun répondant à une mission précise. C’est ainsi qu’apparut le Club des Bilderberg en 1954 et la Commission Trilatérale en 1973.
Ces deux « think-tanks » (littéralement « réservoirs de pensée ») ont en commun d’avoir été fondés sur les mêmes bases idéologiques et par des personnes qui relevaient du CFR.
Le Bilderberg – fondé par David Rockefeller et le Prince Bernhard – répondait au besoin de promouvoir l’OTAN comme seule force capable de s’opposer à ce que Reagan désignera plus tard sous le nom « d’empire du mal » c’est à dire l’URSS. Ensuite, il a évolué en regroupant les magnats de la presse et de la finance mondialiste (les premiers étant souvent soumis aux seconds) et son rôle est devenu une sorte de « grand oral » pour ceux qui voulaient bénéficier du soutien médiatique lors de leurs campagnes électorales. Ces épreuves se déroulent lors de la conférence annuelle à laquelle ils sont invités.
La Commission Trilatérale répondait au besoin d’élargir le cercle aux autres continents, le Bilderberg étant jugé trop « américain ». Elle fut également fondée par David Rockefeller et introduite en France par Giscard d’Estaing et Raymond Barre, tous deux membres éminents. De nombreux dirigeants politiques français sont passés soit par l’un ou par l’autre, et quelque fois par les deux.
Regroupant ainsi dans un ensemble cohérent et complémentaire à la Grande Finance (les médias et les dirigeants politiques) la machine mondialiste ne pouvait que progresser et la fédéralisation de l’Europe devint une étape essentielle. Cependant, il fallait encore trouver un catalyseur à ce fédéralisme. C’est là que l’entrée en scène de la monnaie unique est devenue essentielle, même si son introduction se faisait en dépit du sens normal, qui veut qu’on réalise préalablement à l’introduction d’une monnaie unique les harmonisations nécessaires entre les différents États qui l’utiliseront. La fédéralisation de l’Europe était, pour l’aboutissement du projet mondialiste, beaucoup plus importante que l’avenir de l’euro, destiné à être supplanté tôt ou tard par le dollar.
Les origines de la mondialisation
Née au départ dans un pays réputé européen (l’Angleterre), cette idée portée par un petit nombre de gens très puissants et très discrets au cours de la seconde moitié du XIXème siècle, a permis au Royaume-Uni de construire un empire qui étendait son pouvoir sur tous les continents, depuis l’Amérique du Nord jusqu’à l’Australie en passant par les Indes et l’Afrique orientale, depuis la Palestine jusqu’en Afrique-du-Sud. À la fin du XIXème siècle, la marine britannique régnait sur tous les océans. Un grand pays d’Asie avait cependant résisté en ne concédant que des « miettes » comme Hong-Kong et Shanghai : la Chine. Et la Chine, malgré la « Guerre de l’Opium » s’est libérée de l’emprise européenne juste avant la guerre de 14.
Parallèlement à ces conquêtes militaires, notre groupe anglais, soutenu par la finance anglo-saxonne, décida de jeter son dévolu sur les États-Unis en prenant, au terme d’une action de longue haleine, le contrôle de la monnaie américaine. Après la création de la Réserve Fédérale en décembre 1913, une nouvelle phase de cette conquête du monde put s’engager, débutant avec la 1ère guerre mondiale dont le financement par la dette était désormais possible. Pour l’Angleterre, il s’agissait : d’une part de diminuer la puissance de la France et de l’Allemagne en les faisant s’entrechoquer et, d’autre part, d’achever la destruction de l’Empire Ottoman afin de contrôler depuis la Palestine le pétrole du Moyen-Orient ainsi que la route des Indes. Visiblement, la première guerre mondiale, même si les objectifs fixés étaient globalement atteints, ne suffirait pas. L’isolationnisme américain, issu de la « Doctrine Monroe » de 1823 était trop important pour permettre la prise de contrôle du reste du monde via la Société Des Nations créée à l’initiative du Council on Foreign Relations en 1920. Le CFR lui-même avait été créé en 1919 sur la base la « Round Table » de 1909 créée en Angleterre par notre groupe anglais
Quel est le but de tout cela ?
Simplement de réussir à faire par d’autres procédés ce que l’Empire Britannique n’avait pas réussi, à savoir l’implantation d’un gouvernement mondial. Voici ce qu’écrivais dans ses mémoires en 2002, David Rockefeller (fondateur du Bilderberg et de la Trilatérale) :
« Certains croient même que nous participons à une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis. Ils définissent ma famille et moi comme des “internationalises” conspirant avec d’autres dans le monde pour construire une entité globale, économique et politique, plus intégrée – un seul monde, si vous voulez… Si telle est l’accusation, je me proclame coupable, et j’en suis fier. » David Rockefeller
Vous conviendrez qu’après cela, il n’y a pas grand-chose à ajouter.

Henry Kissinger, le 21 mai 1992 : Aujourd’hui, les américains seraient outrés si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour rétablir l’ordre. Demain, ils leur en seront reconnaissants ! Ceci est spécialement vrai si on leur disait qu’il existe une menace extérieure, réelle ou fictive, mettant en péril notre existence même. Alors tous les peuples du monde supplieront leurs dirigeants de les délivrer de ce mal. Tout le monde craint l’inconnu. Quand les gens connaîtront ce scénario, ils abandonneront leurs droits individuels en échange de la protection de leur bien-être par les gouvernements. Il me semble évident que les gens ne sont pas prêts à entendre tout ce que savent certains de nos dirigeants. Peut-être que nos visiteurs extraterrestres peuvent décider qui est prêt pour la vérité et qui ne l’est pas. Peut-être est-ce une question de choix individuel.
(2016) Le groupe Bilderberg entame aujourd’hui sa réunion annuelle à Dresde, en Allemagne, pour discuter d’une série de questions internationales brûlantes. La réunion de quatre jours (du 9 au 12 juin 2016) a attiré des manifestants, dont beaucoup pensent que la réunion annuelle de Bilderberg sert à étendre les intérêts et l’influence des cartels bancaires internationaux. Un certain nombre de dénonciateurs révèlent un programme très différent derrière le groupe Bilderberg – une prise de contrôle mondiale secrète menée par des groupes nazis/allemands dissidents qui se sont alliés à des extraterrestres pendant la Seconde Guerre mondiale.
Pour commencer à percer le mystère Bilderberg, il convient de s’appuyer sur la croyance dominante de nombreux manifestants et critiques actuels selon laquelle la réunion Bilderberg est un forum où les politiques mondiales sont secrètement décidées et mises en œuvre. Parmi ces politiques figure en bonne place la création d’un gouvernement mondial unique et d’une banque centrale dominés par des cartels d’entreprises.
Selon les critiques du groupe Bilderberg, comme Daniel Estulin, auteur de The True Story of the Bilderberg Group, la réunion annuelle sert les intérêts d’un cartel bancaire international qui a l’intention de créer un gouvernement mondial unique et une banque centrale mondiale. Pour atteindre ces objectifs à long terme, le groupe Bilderberg se réunit chaque année pour mettre en œuvre des politiques internationales où il manipule secrètement la politique nationale, l’économie et les événements mondiaux.
Les objectifs ultimes sont tous très mondains. Les familles bancaires internationales fourniraient une grande partie du capital nécessaire à la création de la Banque centrale mondiale, créant ainsi une richesse pratiquement illimitée pour les futures générations de banquiers internationaux. Cette richesse serait plus que suffisante pour satisfaire la cupidité, les ambitions et les besoins politiques des intérêts bancaires internationaux en contrôlant l’humanité.
Le groupe Bilderberg est déjà devenu, selon Estulin, un gouvernement mondial fantôme :
- … ils se sont réunis chaque année dans un hôtel luxueux quelque part dans le monde pour tenter de décider de l’avenir de l’humanité … le groupe Bilderberg a dépassé ses débuts idéalistes pour devenir un gouvernement mondial de l’ombre, qui décide dans le plus grand secret, lors de réunions annuelles, de la manière dont ses plans doivent être mis en œuvre. Il menace de nous priver de notre droit de diriger notre propre destin.
Estulin et les autres critiques ont-ils raison ? La réunion annuelle de Bilderberg n’est-elle qu’une façade pour les intérêts bancaires internationaux qui forment l’épine dorsale d’un gouvernement mondial fantôme ?
L’histoire suivante m’a été racontée par un ancien employé d’hôtel qui avait travaillé dans un lieu où le groupe Bilderberg s’était réuni une année. Cette année-là (1991), Bill Clinton était présent, selon ce membre du personnel de l’hôtel. Je me référerai simplement à cette personne en tant que M. B. Ayant rencontré M. B, je l’ai trouvé très crédible, et il n’avait aucune raison d’inventer ce qui suit.
Alors qu’il était au travail pendant la réunion annuelle de Bilderberg, M. B a reçu l’ordre de transmettre un message important à une personne spécifique participant à une réunion dans l’une des petites salles de réunion utilisées par les Bilderbergers. Comme on le sait maintenant, la tradition des Bilderbergers est de louer un hôtel entier pour son usage exclusif lors d’une réunion annuelle. Tout le personnel de l’hôtel est essentiellement là pour répondre aux besoins des participants aux Bilderberg pendant la réunion. Il n’était donc pas inhabituel que M. B se voie confier une telle tâche, qu’il était désormais chargé d’accomplir. Dans un premier temps, M. B s’est vu refuser l’entrée et on lui a demandé de remettre le message à quelqu’un d’autre. M. B. insiste sur le fait qu’il a reçu l’ordre strict de remettre le message personnellement. Après une discussion animée, M. B a été autorisé à entrer dans la salle de réunion. C’est alors que les choses sont devenues très bizarres.
M. B affirme qu’en entrant, il a vu environ 24 personnes assises autour d’une grande table rectangulaire. Elles parlaient dans une cacophonie de sons, dont aucun n’était intelligible. Cela ne ressemblait à aucune langue que M. B avait déjà entendue. M. B. ne voit aucun visage parmi les personnes assises autour de la table. Il pouvait voir leurs corps physiques en costume, etc., mais les visages étaient flous en raison d’une sorte de brume ou de brouillard. M. B. a déclaré qu’un champ d’énergie intense était présent dans la pièce – c’était vraiment très inhabituel et il avait l’impression d’être dans un autre monde.
M. B. a senti qu’on lui projetait du ressentiment à cause de sa présence importune. Il a été dirigé vers la personne à qui il devait délivrer le message. M. B a remis le message et a rapidement quitté la pièce. Il n’était pas au courant du contenu du message. Peu après avoir quitté la pièce, M. B a été pris d’un violent mal de tête, qui a duré plusieurs jours et l’a obligé à prendre un congé.
L’expérience de M. B. suggère qu’il y a un élément au sein du groupe Bilderberg qui a une composition et un agenda d’un autre monde. Il est très probable que M. B a vu le mystérieux comité directeur du Bilderberg en session, et que les personnes qui dirigent le Bilderberg peuvent être en contact avec et/ou contrôlées par une force extérieure d’un autre monde…
Ce processus politique coïncide avec la formation, en mai 1954, du groupe Bilderberg, qui réunit des personnalités clés de l’élite politique et économique nord-américaine et européenne. Le groupe Bilderberg est soit le résultat direct de la création secrète du régime dissident allemand/nazi par des personnalités pro-nazies telles que le prince Bernard des Pays-Bas, soit une cooptation par les groupes dissidents nazis/allemands par l’intermédiaire de leurs alliés extraterrestres qui finiront par dominer le comité directeur.
L’incident extraterrestre décrit ci-dessus par M. B démontre comment le Comité directeur a été à un moment donné pris en charge par des extraterrestres, très probablement le groupe reptilien qui s’était allié à Hitler et aux sociétés secrètes allemandes. Un autre incident fournit des preuves supplémentaires que ce sont bien les Reptiliens qui avaient une puissante influence sur le groupe Bilderberg.
Dans un briefing de juillet 2015 reçu par Goode de la part d’un lieutenant-colonel Gonzales, Goode décrit que l’un des principaux architectes du groupe Bilderberg, Henry Kissinger, a été présent à une réunion impliquant un extraterrestre draconien de 14 pieds soit 4m25.
La COMMISSION TRILATERALE
La commission trilatérale est un groupe d’élite formée de 300 hommes d’affaires, politiciens et décideurs intellectuels les plus influents de l’Europe Occidentale, de l’Amérique du Nord et du Japon. C’est une agence privée qui travaille à la construction d’une coopération politique et économique, pour établir le Nouvel Ordre Mondial.
La commission trilatérale a été créée en 1972 par le magnat de la banque américaine David Rockefeller. Elle a été créée suite au déclin passager du pouvoir du CFR à cause de sa politique vis à vis de la guerre du Vietnam. Mais le pouvoir réel est toujours resté solidement dans les mains du CFR. Cette organisation secrète fut fondée en juin 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski puisque les organisations établies, comme l’ONU ou d’autres, mettaient trop de temps à instaurer le Nouveau Gouvernement Mondial.
La commission trilatérale est une organisation élitaire qui a pour but de réunir en un seul groupement les géants les plus éminents de l’industrie et de l’économie, des nations trilatérales (Etats-Unis, Japon, Europe de l’Ouest) pour créer de force le NOM. Elle contrôle avec les membres du CFR toute l’économie des Etats-Unis, la politique, l’appareil militaire, le pétrole, l’énergie et le lobby des médias.
Ses membres sont des patrons, des banquiers, des agents immobiliers, des économistes, des politologues, des avocats, des éditeurs, des dirigeants syndicalistes, des présidents de fondations et des éditorialistes. Elle offre à l’élite venant d’horizons divers de la franc-maçonnerie la possibilité d’une collaboration secrète à l’échelle mondiale. Elle permet aussi aux Bilderberg d’élargir leur influence en leur donnant une base politique plus large. La plupart de ses membres européens ont, depuis longtemps des contacts avec les Rockefeller.
Comment la Commission Trilatérale a infiltré les gouvernements…
Patrick Wood est un ancien de Wall Street. Il a travaillé dans le passé comme conseiller à la SEC (Security Exchange Commission, le soi-disant agent régulateur de Wall Street), il a aussi travaillé avec le professeur et historien Antony Sutton, avec qui il a publié un ouvrage sur la Commission Trilatérale, qui, avec le CFR (Council on Foreign Relation) et le groupe Bilderberg, est un pilier de l’oligarchie banquière et industrielle transnationale et leur volonté d’instaurer leur Nouvel Ordre Mondial fasciste (une fois de plus nous pesons nos mots, car nous prenons toujours le mot « fascisme » selon la définition donnée par Mussolini lui-même : la fusion de l’état et de la grosse industrie. Mussolini pensait que « fascisme » et « corporatisme » était en fait synonyme…).
Il est important pour tous citoyens de savoir qui est réellement en contrôle du pouvoir et de pouvoir identifier avec précision l’ennemi. La classe politique de tous les pays occidentaux est à la botte de ces institutions puissantes de l’ombre, elles-mêmes des outils de contrôle politico-social pour les quelques milliers de personnes mondialement impliquées au sommet de la pyramide.
Dès ses débuts, la Commission Trilatérale s’est dite « privée » et « non officielle », avec pour objectif de « rassembler le plus grand nombre possible de gens haut placés pour réfléchir ensemble sur les problèmes communs affrontés par nos trois régions de la planète », cependant, en lisant les comptes rendus de la Commission Trilatérale, nous trouvons partout une confusion certaine entre les notions de « privé » et de « public ».
Cette association est censée être un club privé fondé par un simple citoyen : David Rockefeller. Pourtant, ses fins et ses activités ne concernent que des politiques publiques ! Le caractère original du trilatéralisme est d’unir entre eux les ministres du pouvoir. La famille Rockefeller est le seul véritable centre de pouvoir de toute la Trilatérale. Ses autres membres ne sont que des administrateurs : hommes politiques, juristes, bureaucrates, hommes de médias et syndicalistes vont et viennent dans les cénacles de la Trilatérale. Ils ne conservent leurs postes qu’aussi longtemps qu’ils réussiront à atteindre certains objectifs.
Aujourd’hui, nous pouvons étudier les dernières décennies d’existence de la Trilatérale et ainsi connaître plus précisément ses desseins à la lumière des actions politiques menées jusqu’ici et des nominations faites au fil des gouvernements. Il est clair que nous pouvons affirmer désormais que la Commission Trilatérale n’est finalement qu’un instrument devant nous conduire tout droit vers le Nouvel Ordre Mondial. Elle est l’ennemie de la liberté et elle cherche à prendre le monopole de la gouvernance politique dans le monde entier, pour son propre compte, se vouant totalement à la promotion et la réalisation de ce Nouvel Ordre Mondial.
Les ORGANISATIONS les plus INFLUENTES AGISSANT dans L’OMBRE…
Le Council on Foreign Relations (CFR) Fondé par la « Round Table » en 1921, on lui donne aussi le nom d’ « establisment », de « gouvernement invisible » ou de « ministère Rockefeller des Affaires étrangères ». Cette organisation à moitié secrète, dont les membres sont exclusivement des citoyens des États-Unis, compte parmi les plus influentes de ce pays. Le CFR exerce, de nos jours, un contrôle étroit sur les nations occidentales, que ce soit de façon directe, parce qu’il est en relation avec des organisations du même genre, ou que ce soit, l’intermédiaire d’institutions, telles que la « Banque mondiale » qu’il préside. Depuis sa création, tous les présidents des États-Unis, sauf Ronald Reagan, y étaient déjà membres avant leur élection. En revanche, le vice-président de Reagan, George Bush, était membre du CFR. Il en fut même le directeur en 1977. Le CFR est contrôlé par le syndicat Rockefeller et sert à concrétiser son but : la création d’un « Gouvernement mondial unique ». Le cercle le plus intime du CFR est l’ordre de « Skull & Bones ».
F.D.Roosevelt : « Rien de ce qui touche à la politique ne relève du hasard ! Soyons sûrs que ce qui se passe en politique a été bel et bien programmé !«
Constitution :
Société fondée en 1919-1922 à l’initiative de Edward Mendell House, éminence grise du président Wondrow Wilson. Fondements inspirés du socialisme Fabien anglo-américain vers un mondialisme qui, par la révolution « silencieuse » (au lieu de la révolution par la rue), réalisera la grande synthèse entre capitalisme et socialisme.
Objet officiel :
Le Council on Foreign Relations (C.F.R.) se présente comme un groupe d’étude américain réunissant des spécialistes en diplomatie, finance, industrie, sciences, capables de stimuler dans le public américain un esprit international et de coordonner les initiatives dans cette direction.
Instigateurs et participants :
Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d’informations. L’animateur du CFR est David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank. Pour citer deux noms connus, nommons George Bush et Bill Clinton comme membres de la CFR.
Relations avec les 2 autres groupes secrets :
Winston LORD est aujourd’hui un des dirigeants du gouvernement CLINTON. Il y a quelques années, alors qu’il était président du CFR, il répondait à un de nos confrères américains qui lui demandait si vraiment c’était la Trilatérale qui menait le monde: « Pas du tout, c’est le CFR qui dirige tout ». Voir les 2 autres documents sur la commission Trilatérale et le Groupe Bilderberg pour plus d’informations.
Influence :
Généreusement subventionné par les fondations: Ford -Carnegie- Rockefeller, ainsi que les trusts d’importance internationale comme IBM -ITT- Exxon. Le CFR exerce une influence prédominante sur le gouvernement des États-Unis, sur le congrès et sur les deux principaux partis politiques: le Démocrate et le Républicain.
Gouvernement invisible des états-unis, le CFR compte environ 2700 membres, dont les groupes de travail examinent en permanence tous les problèmes d’actualité. En place depuis les années trente, il a réussi à ce qu’aucun secrétaire au Département d’État, à la Défense, au Trésor, aux postes clés de ces ministères, dans les principales ambassades, à la direction de la CIA, ne soit choisi hors de son groupe. Depuis 1933, toute élection présidentielle a été conditionnée par le CFR. Les affiliés du Council on Foreign relations sont des américains, à qui les relations internationales permettent d’exercer un contrôle étroit sur les états occidentaux, soit directement, soit par l’intermédiaire de sociétés similaires ou annexes, ou d’organismes internationaux présidés par leurs membres, comme la Banque Mondiale.
Il y a derrière tous les Pays d’Europe, derrière toutes les constructions d’un prétendu Nouvel Ordre Mondial, les clubs et les cercles semi-occultes dont Henry Coston et le CEI ont de longue date, souvent de concert, dénoncé les plans et les inspirateurs. Enfants et adeptes de ceux qui, simultanément, ont financé le communisme et le nazisme, offert la moitié de l’Europe au communisme après 1943-1945, assuré la survie du communisme du moment qu’il feignait de se débarrasser du stalinisme, assuré le retour du communisme depuis 1990, en empêchant à l’Est toute « décommunisation » des États, ils veulent à présent passer à l’étape suivante, sous la houlette apparente « de l’Amérique » alors qu’il s’agit strictement d’initiés qui, à travers le CFR, se sont progressivement emparés de l’Amérique.
Que complotent les participants :
Les principes de base du CFR se résument aujourd’hui encore à ceci :
1) Commerce et aide aux pays les moins développés, même révolutionnaires; 2) Des institutions supranationales (en attendant un « Gouvernement mondial ») doivent prendre en charge: recherche, exploitation, distribution des ressources énergétiques et matières premières; rationaliser le grand commerce; régler les conflits en obligeant au dialogue, en sorte qu’il n’y ait jamais ni vainqueurs ni vaincus; 3)Le communisme n’est pas l’adversaire, seulement ses excès et débordements; 4)Les souverainetés nationales doivent peu à peu disparaître dans de « grands ensembles économiques et géopolitiques » Le CFR a choisi une troisième voie pour le moment: accélérer d’abord le processus du grand ensemble pan-américain (Canada-USA-Mexique), tout en manœuvrant, y compris par une guerre économique plus ou moins truquée, en sorte d’obliger l’Europe, par réaction, à devenir une entité politico-commerciale assez forte pour substituer un pouvoir supranational à ses Etats-Nations, sous prétexte que le « nationalisme, c’est la guerre, c’est la haine… ». On laisse délibérément durer des conflits comme en ex-Yougoslavie pour qu’à la longue, les populations se soumettent à n’importe quelle solution, c’est à dire la solution mondialiste ( voir à ce propos le document Armes silencieuses pour des guerres sans bruit).
En 1959, le CFR publie une étude (n°7) soulignant la nécessite « de bâtir un Nouvel Ordre International » du fait que l’URSS avec Khrouchtchev a évolué vers plus de démocratie. En 1960, Elmo Roper qui avait été un des auteurs de l’étude n°7 prononce un discours dans lequel il précise que « le but est un gouvernement mondial » et que, sur le plan militaire, l’OTAN doit être utilisé dans cette vision d’avenir. Ce discours sera ensuite publié à l’usage des affiliés. Divers aléas de la politique Est-ouest ralentissent le plan, mais en 1974, Foreign Affairs, la revue du CFR publie une étude de Richard N. Gardner (CFR, Bilderberg, Trilatérale), laquelle recommande qu’en attendant le moment d’un gouvernement mondial, l’ONU devrait provisoirement coiffer mouvements et organisations diverses, et utiliser tous les moyens « d’éroder morceau par morceau les souverainetés nationales, puisqu’elles entravent la marche du mondialisme ». En 1992, dès l’élection de CLINTON (quifait partie du CFR, soit dit en passant), Richard N. Gardner est devenu un de ses conseillers non officiel, mais en permanence dans les bureaux de la Maison Blanche. En 1993, dans Foreign Affairs (sept/oct), trois éminences du CFR, attachées à la Rand Corporation, demandent qu’une sorte d »élargissement de l’OTAN » soit utilisé pour pousser plus avant vers un Nouvel Ordre Mondial. Les temps ont changé, cantonner l’OTAN à son seul rôle en Europe de l’Ouest est inutile. « l’OTAN doit ou sortir de sa zone actuelle d’activités, ou disparaître ».
Source : Sentinel News n°8 (janvier-février-mars 1998) édité par: Groupe sentinelle 8 rue Bertrand de Vogué 51100 REIMS
LE MINISTERE-ROCKEFELLER POUR LES AFFAIRES ETRANGERES (CFR)
Les Illuminati provoquèrent la Première Guerre mondiale pour constituer leur gouvernement mondial qui en découlerait inexorablement. S’il leur avait été possible de le créer après la Première Guerre mondiale, ils auraient pu s’épargner les suivantes. Après l’armistice du 11 novembre 1918, WOODROW WILSON et son conseiller, le COLONEL HOUSE, vinrent en Europe avec l’espoir de pouvoir y former un gouvernement mondial en le présentant sous forme de la Société des Nations. Les 14 points de Wilson n’eurent, cependant, pas l’effet escompté, car la faute fut répartie également entre tous, et le plan échoua. C’est pourquoi House rencontra les membres de l’organisation secrète britannique « THE ROUND TABLE » en 1919.
Il était devenu évident que pour atteindre leur but, les Illuminati devaient étendre leur réseau. Le RIIA une fois créé Angleterre, on prit la décision de créer aussi aux Etats-Unis une organisation de front. Pendant la conférence de la Paix à Paris en 1919, le colonel House, hôte alors du groupe de la « ROUND TABLE », rassembla les esprits les plus éclairés du « Brain Trust » de Wilson pour former un groupe qui aurait à s’occuper des affaires internationales.
Ce groupe quitta alors Paris pour revenir à New York et devint en 1921 le « COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS » (CFR). Le CFR est constitué d’Américains et comme pour le RIIA, son noyau central est le groupe de la « ROUND TABLE ». Le CFR et la « COMMISSION TRILATERALE » sont, aujourd’hui, tout en restant dans l’ombre, les organisations les plus influentes aux Etats-Unis. De même, le CFR et le groupe de la « Round Table » tirent les ficelles de la « J. P. Morgan & Co. Bank ». Il n’est donc pas étonnant que J. P. Morgan lui-même ait joué un rôle important à la fondation.
« Certains croient même que nous participons à une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis. Ils définissent ma famille et moi comme des “internationalises” conspirant avec d’autres dans le monde pour construire une entité globale, économique et politique, plus intégrée – un seul monde, si vous voulez… Si telle est l’accusation, je me proclame coupable, et j’en suis fier. » David Rockefeller
Rockefeller & Bush étaient…


« …quand vous arrivez à la tête d’un pays, des présidents virtuels prennent les décisions à votre place. » Bill Clinton

Au cours de l’année 1953 au moins une dizaine d’écrasements d’ovnis furent signalés, dont 4 en Arizona, 2 au Texas, un au Nouveau-Mexique, un en Louisiane, un au Montana et un en Afrique du Sud, sans compter des centaines d’apparitions. Des 30 extraterrestres qui furent récupérés, 4 étaient encore en vie.
Le président Eisenhower comprit qu’il lui faudrait s’attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C’est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des relations étrangères, et lui confia la tâche d’ébaucher la structure d’une section secrète qui aurait pour mission de superviser l’ensemble des intervenants reliés au phénomène extranéen. C’est ainsi que fut conçue l’idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des relations étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s’occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l’avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier.
Moins d’une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d’un comité consultatif présidentiel sur l’organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l’Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d’Orveta Culp Hobby.
Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d’Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d’Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d’Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à «fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples». Cette description de tâche n’était toutefois qu’un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d’élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l’ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l’origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d’Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le «Comité 5412» ou le «Groupe spécial». Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l’approbation d’un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent – et non ad hoc – qui allait être connu sous le nom de Majesty douze – MJ-12 – et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, secrétaire d’Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense, l’amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs d’état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral d’investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés «les Mages»., six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: « Père » de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].
(extrait du livre « MJ12 Le gouvernement secret » de William Cooper Milton)
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