« Bonsoir mes compatriotes américains. Dans les conseils de gouvernement, nous devons nous prémunir contre l’introduction, sans précaution, de l’influence qu’elle soit délibérée ou non, du complexe militaro-industriel. La possibilité d’une puissance félonne puisse gravir les échelons du pouvoir existe, et persistera. Nous ne devrons jamais laisser le poids d’une quelconque conspiration mettre en danger nos libertés ou processus démocratiques. Nous ne devrions rien considérer comme acquis. Seul un citoyen en alerte et averti peut imposer une bonne cohabitation entre l’énorme appareil de défense industriel et militaire, et nos méthodes et objectifs pacifiques, afin que la sécurité et la liberté puissent prospérer de concert. »
Président Dwight D. Eisenhower – Discours prononcé le 17 janvier 1961
Le 20 janvier 1953, la Maison blanche accueillit Dwight David Eisenhower comme nouveau président, un chef militaire entraîné au commandement des hommes selon des structures hiérarchiques. Habitué à déléguer l’autorité, il préférait gouverner en s’entourant de comités et ne prenait pas lui-même une décision majeure que si ses conseillers étaient incapables d’en arriver à un consensus. Sa méthode habituelle consistait à envisager d’abord toutes les alternatives en lisant tous les documents et en écoutant tous les avis concernant une affaire, puis à trancher la question en approuvant l’une ou l’autre des multiples propositions. Ses proches collaborateurs ont relaté que son mot d’ordre se résumait le plus souvent à donner carte blanche dans des termes qui revenaient à dire que «la fin justifie les moyens». Il passait le plus clair de son temps sur les parcours de golf, ce qui n’a rien d’inusité pour un ex-officier de carrière qui s’était élevé durant la dernière guerre au grade ultime de Commandant suprême des forces alliées. Ce président était le généralissime à 5 étoiles de l’armée américaine.
Dwight Eisenhower était vraiment perturbé, lorsqu’il passa le flambeau à Kennedy, avant de faire son célèbre discours d’adieu, attirant l’attention sur l’infiltration des félons au sein du complexe militaro-industriel, et déclarant que seul les citoyens avertis et en alerte pouvaient protéger nos futurs libertés et nôtre liberté tout court.
Avec le temps, la question continue de se poser : un président des États-Unis révélera-t-il un jour l’existence des programmes secrets de renseignements sur les ovnis ? Et si oui, quand ?
Mais que savent vraiment les présidents sur les programmes secrets liés aux ovnis ?
Ils doivent en dire plus à certains présidents qu’à d’autres. Comme Kennedy, Eisenhower, ou Truman. Mais d’autres comme Ford et Clinton, qu’en savaient-ils ? Ils n’ont jamais rien révélé sur les ovnis, cela prouve qu’ils ne disent pas tout au président.
Depuis longtemps la CIA s’inquiète du risque que les présidents en fonction divulguent des informations et mettent en péril les programmes secrets. Cette inquiétude ne fait que grandir alors que l’armée américain renforçait ses liens avec des sociétés militaires privés, aboutissant à ce que le président Eisenhower a appelé le complexe militaro-industriel, en quittant la maison blanche il averti l’influence grandissante de ce complexe militaro-industriel.
Eisenhower était plus qu’un président, c’était un général 5 étoiles de l’Armée. C’était une icône de l’armée. Il n’a pu que nous avertir sur le complexe militaro-industriel. Il a tiré la sonnette d’alarme. Ce qui a poussé à nous dire qu’on devait y regarder de plus près. Quand on voit les lois mises en place par la NSA et la CIA, des gens ont été assassiné pour avoir parler. Quand Eisenhower nous a prévenu des dangers du complexe militaro-industriel, c’était ce qu’il pouvait faire de mieux à cette époque.
Après les élections du 18 Novembre 1952, le Président Eisenhower reçoit la documentation élaborée par la commission gouvernementale Majesctic 12, créée par son prédécesseur Harry S. Truman. Elle a pour tâche d’analyser les débris d’OVNI, récupérés au cours d’une période qui va de 1947 à 1950 près de Soccoro, Roswell, Aztec et Laredo. Le MJ-12 demande au président le secret le plus absolu, au nom de la sécurité nationale. Il comprit qu’il lui faudrait s’attaquer et résoudre seul, le problème des extraterrestres, sans devoir le révéler au Congrès.

D. Eisenhower est le premier président a avoir été informé sur le phénomène OVNI avant son mandat. En 1952, il se trouve abord de l’USS Roosevelt pendant un exercice de l’OTAN, à 1h30 du matin, une boule de lumière apparaît au-dessus du navire, D. Eisenhower et d’autres témoins observent l’OVNI pendant 20 minutes avant qu’il ne disparaisse dans la nuit. Il commence a s’intéressait de plus près à ces phénomènes inexpliqués.
Au cours de l’année 1953, pas moins d’une dizaine d’écrasements d’OVNIs furent signalés, dont 4 en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau-Mexique, 1 en Louisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud, sans compter des centaines d’apparitions. Des 30 extraterrestres qui furent récupérés, 4 étaient encore en vie.
Eisenhower comprit qu’il lui faudrait s’attaquer au problème extranéen et arriver à le résoudre seul, sans devoir le révéler au Congrès. C’est pourquoi, au début de 1953, le nouveau président se tourna vers Nelson Rockefeller, son ami et collègue au Conseil des Relations Étrangères, et lui confia la tâche d’ébaucher la structure d’une section secrète qui aurait pour mission de superviser l’ensemble des intervenants reliés au phénomène extraterrestre. C’est ainsi que fut conçue l’idée de MJ-12, qui allait prendre corps un an plus tard.
C’était Winthrop Aldrich, l’oncle de Nelson Rockefeller, qui avait joué le rôle le plus important en réussissant à convaincre Eisenhower de briguer les suffrages à la présidence des Etats-Unis. Toute le famille Rockefeller, et avec elle l’empire Rockefeller, avait très fortement soutenu Ike. Eisenhower appartenait corps et âme au Conseil des Relations Étrangères et à la famille Rockefeller. En requérant les services de Rockefeller pour s’occuper de la question extranéenne, Eisenhower commit la plus grande bévue de sa carrière, une erreur capitale pour l’avenir des Etats-Unis et, fort probablement, du monde entier. Moins d’une semaine après son élection, Eisenhower nomma Nelson Rockefeller président d’un comité consultatif présidentiel sur l’organisation du gouvernement. Ce dernier était donc responsable de planifier la réorganisation de l’administration, chose dont il rêvait depuis des années. Les programmes de réforme furent cumulés en un seul portefeuille et représentés au Cabinet sous le nom de ministère de la Santé, de l’Education et du Bien-être. Quand cette nouvelle fonction fut approuvée par le Congrès en avril 1953, Rockefeller se vit assigner le poste de sous-secrétaire d’Orveta Culp Hobby.
Toujours au cours de l’année 1953, des astronomes repérèrent dans l’espace des objets de grande dimension se déplaçant en direction de la Terre. Ils les avaient d’abord pris pour des astéroïdes mais l’évidence s’imposa bientôt qu’il ne pouvait s’agir que de vaisseaux spatiaux. Les radios du projet Sigma réussirent à intercepter les communications transmises entre les astronefs, mais nul ne put décoder les intentions réelles des équipages de ces immenses et nombreux vaisseaux qui, en arrivant à proximité de la Terre, se placèrent sur orbite géosynchrone à très haute altitude autour de l’équateur. Toutefois, les responsables du projet Sigma, de concert avec ceux du nouveau projet Platon – lequel avait mission d’établir des relations diplomatiques avec les étrangers d’outre-espace -, mirent au point un système de signaux basé sur le langage binaire des ordinateurs et purent ainsi établir un dialogue avec ces voyageurs de l’espace en provenance d’une autre planète. Leur atterrissage fut convenu et donna lieu à une première rencontre dans le désert. Le film rencontre du 3ème type est une version fictive d’événements qui eurent réellement lieu.
Entre-temps, une autre race d’extraterrestre – d’apparence humaine, celle-là – atterrirent à la base aérienne de Homestead en Floride et purent communiquer fructueusement avec le gouvernement américain. Ce groupe nous mit en garde contre les initiatives de la race en orbite autour de l’équateur. Quant à eux, ils lui avaient plutôt offert d’aider l’humanité dans son développement spirituel mais, pour ce faire, ils avaient exigé du gouvernement qu’il commençât par démanteler son arsenal nucléaire. Ils avaient en outre refusé tout marchandage technologique avec lui en raison de l’immaturité morale dont nous faisions manifestement preuve à l’égard des inventions que nous possédions déjà. Ces ouvertures de conciliation furent rejetées sur les fondements que ce serait une folie que de nous désarmer face à un futur aussi incertain. D’un autre côté, leur décision avait été d’autant plus difficile à prendre qu’ils ne pouvaient s’appuyer sur aucun précédent historique.
Un 3ème atterrissage eu lieu en 1954 à Muroc, dénommé maintenant base aérienne d’Edwards. La base a été fermée pendant 3 jours et personne n’était autorisé à y entrer ou en sortir durant cette période. Les Aliens s’entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un traité dont les détails seraient discutés lors d’une rencontre ultérieure. L’événement historique fut soigneusement planifié et, Eisenhower s’arrangea pour être en vacances au même moment à Palm Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir 3 OVNIs voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été blessé.
L’ ancien président américain Dwight D. Eisenhower (1890-1969), surnommé « Ike », aurait rencontré des extraterrestres à 3 reprises. C’est en tout cas ce qu’a affirmé Timothy Good, un ancien consultant du Congrès et du Pentagone, dans l’émission de Frank Skinner, « Opinionated », sur la BBC2. Selon lui, les entretiens auraient eu lieu en 1954 à la base Air Force d’Holloman, au Nouveau Mexique. Des responsables du FBI auraient pris contact avec les Aliens par le biais de « messages télépathiques », rapporte The Daily Mail.
Timothy Good a ajouté que de nombreuses personnes avaient été les témoins de ces rencontres, avant de préciser que les extraterrestres croisés au premier rendez-vous étaient d’apparence « nordique ». Toutefois, a-t-il indiqué, un accord aurait été trouvé avec ceux de l’espèce « grise ».
« Les Aliens ont établi des contacts formels et informels avec des milliers de gens à travers le monde et de tous horizons », a fait valoir T. Good.
Dwight Eisenhower, qui fut le 54e président des Etats-Unis, de 1953 à 1961, reste connu pour sa forte croyance en la présence de la vie sur d’autres planètes, souligne le quotidien britannique. L’ancien général cinq étoiles, qui commandait les forces alliées en Europe pendant la seconde guerre mondiale, était ainsi très désireux de développer le programme spatial américain.
Si les théories sur les rencontres entre Ike et les extraterrestres ne datent pas d’hier, c’est la première fois avec Timothy Good qu’un universitaire reconnu les porte publiquement.
Le site Slate rappelle que la Maison Blanche est « régulièrement impliquée dans des affaires interstellaires » et se trouve parfois obligée de démentir officiellement certaines informations. En janvier, l’actuel président américain, Barack Obama, était soupçonné de s’être rendu sur Mars dans sa jeunesse.
Le président Eisenhower a donc rencontré des extraterrestres le 20 février 1954, et un traité formel entre les U.S.A. et les extraterrestres fût signé. L’entente stipulait qu’aucune des deux parties ne devait s’immiscer dans les affaires de l’autre. En échange de notre engagement à préserver le secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la technologie de pointe et à aider à l’avancement de notre science. Ils ne signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour des raisons de recherche médicale et d’étude de notre développement, à la condition expresse que ces sujets ne souffrent d’aucun préjudice et soient ramenés à leur point d’enlèvement sans garder le moindre souvenir de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les personnes contactées ou kidnappées.
Le premier ambassadeur extraterrestre à avoir jamais été reçu par notre Etat fut présenté comme étant « Son Altesse toute-puissante Krll » (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant «le tout- premier otage Krlll», car il était l’otage qui avait été laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.

Quatre autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre : Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique, et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et écrite par Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids :
« Mon cher ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai – terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles (noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après environ 6 heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ; parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes aériennes « autre-avions » est maintenant et pour toujours révoquée du domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu 5 types distincts d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de l’armée de l’air – avec l’assistance et la permission des «Ethériens»! Je n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé. C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit, pendant sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il passera outre le terrible conflit entre les différentes « autorités » et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la télévision – si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de préparation pour être délivrée vers la mi-mai. »
Nous savons qu’une telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3 autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage des 3 autres. Gerald Light a mis le mot « Ethériens » entre guillemets pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été perçus comme des dieux par lui. Il est bon de préciser que l’emblème de ces Aliens est connu sous le nom d’insigne trilatéral. C’est celui qu’ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et que ces films existent toujours.
Il fut convenu que chacune des deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans l’autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En outre, on se mit d’accord pour procéder à des échanges culturels par le biais de stages d’études. Ainsi, pendant que seize «stagiaires étrangers» feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres seraient en visite sur leur planète avant d’être relayés par un nouveau groupe au bout d’un certain temps. Une reconstitution de cet événement a été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un « tuyau » qui s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret contenant la version officielle de la vérité à propos de la question extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA attaché au projet Grudge – le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est l’homme responsable de l’abominable phrase : «C’était seulement du gaz des marais ».
On accepta aussi de construire, à l’usage des aliens, des bases souterraines dont deux serviraient à des recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases extraterrestres seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre coins de l’Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l’Arizona, et une autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca. Plus d’observations d’OVNIs et d’incidents ont lieu dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre lieu dans le monde; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer les OVNIs comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que j’ai lu. C’est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les chantiers ont immédiatement démarré mais n’ont progressé qu’au ralenti jusqu’à ce que d’importants subsides, en 1957, viennent relancer les activités conformément au projet YELLOW BOCK.
Le projet REDLIGHT [Feu Rouge] fut mis sur pied en vue d’entreprendre au plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d’astronefs. Des installations ultra-secrètes furent construites au Groom Lake, dans le Nevada, à l’intérieur du rayon d’action des tirs d’essai, dans une zone qui porte pour nom de code Zone 51. Nul n’est autorisé à y pénétrer, pas même le personnel, sans un sauf-conduit «Q» de la Marine et un laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée Majestic), ce qui ne manque pas d’ironie si l’on songe que même le président des Etats-Unis n’est pas autorisé à visiter le site. Quant aux échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine dont le nom de code était «The Dark Side of the Moon» [La face obscure de la Lune]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600 êtres extraterrestres résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA. En raison de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient autorisées à avoir des relations avec les aliens, et ce personnel était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L’armée fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extraterrestre. Cette section spéciale fut baptisée l’Organisation de reconnaissance nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant Colonel James « Bo » Gritz était un commandant de la force Delta.
De façon à étouffer les soupçons volantes que les habitants de la région risqueraient d’avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes. Le projet Snowbird avait également l’avantage de discréditer, aux yeux de la population, les témoins d’authentiques appareils extraterrestres (O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s’avéra une véritable réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits plutôt rares jusqu’à ces toutes dernières années.
Un fond secret de plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de 75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on répondit qu’elles serviraient à leur creuser de profonds abris souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de dollars étaient écoulés vers Majesty 12 qui les redistribuait à des entrepreneurs pour l’excavation de bases ultra-secrètes, tant extraterrestres que militaires, et les installations de la «Solution 2» à travers la nation.
C’est le président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce fond secret en alléguant qu’il fallait «aménager et entretenir des abris secrets dans lesquels le président pourrait s’enfuir en cas d’attaque armée». Ces «refuges présidentiels sécuritaires» consistent en de véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd’hui disséminées sous tout le territoire américain. D’autre part, la Commission de l’énergie atomique a ordonné la construction d’au moins 22 autres abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que même l’espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques individus placés au départ ou à l’arrivée de ce labyrinthe savaient à quel usage étaient consacrées ces sommes. À la position de départ, il y avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre, contrôlerait le budget du Congrès et qu’on se préparerait à le limoger par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président, Majesty 12, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier naval de la Marine à Washington.
Les fonds étaient libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à quoi il servait. C’est à la Marine, en fait, que revenait l’autorisation de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes de la division de Chesapeake, qui n’en connaissaient pas davantage le but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le grade d’amiral. Un seul homme connaissait la raison d’être, le montant réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C’était un commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre d’individus en avait le contrôle. Il leur était donc d’autant plus facile de faire disparaître jusqu’à la moindre trace de son passage. Ce fond ultra-secret n’a été soumis à aucune vérification comptable et ne le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées de ce fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette «île aux Cacahuètes» est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à Joseph Kennedy. Lors d’un documentaire présenté à la télévision il y a déjà quelque temps sur l’assassinat de Kennedy, il avait été justement question d’un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une mallette remplie d’argent, de la main à la main à la lisière des deux propriétés, à un employé des Kennedy. S’agirait-il d’une indemnité versée aux parents pour la perte de leur fils ? Toujours est-il que ces versements ont continué sans interruption jusqu’à ce qu’ils cessent en 1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d’embellissement et d’aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure encore inconnu, tout comme, d’ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps, Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D. Jackson qui avait occupé la fonction d’Adjoint spécial pour la stratégie psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d’Adjoint spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles d’Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de Rockefeller consistait à «fournir conseil et aide en vue de favoriser une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous les peuples». Cette description de tâche n’était toutefois qu’un écran de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la plus haute instance gouvernementale en matière d’élaboration des politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955, Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète se prévalait des services de personnes désignées selon les différents besoins à l’ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait à l’origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du Département d’Etat et le directeur de la Centrale de renseignements. Cette unité fut bientôt appelée le «Comité 5412» ou le «Groupe spécial». Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces opérations seraient soumises à l’approbation d’un comité exécutif.
Déjà en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent – et non ad hoc – qui allait être connu sous le nom de Majesty douze – MJ-12 – et dont le rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes ayant rapport à la question extraterrestre. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué, en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la presse.
Majesty 12 était composé de Nelson Rockefeller, Allen Welsh Dulles, Directeur de la Centrale de renseignements, John Foster Dulles, Secrétaire d’Etat, Charles E. Wilson, Secrétaire à la Défense, l’amiral Arthur W. Radford, Président du Comité interarmes des chefs d’état-major, J. Edgar Hoover, Directeur du FBI [Bureau fédéral d’investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des relations étrangères, surnommés «les Mages», six hommes du comité exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [« Père » de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA (spécialisé dans l’étude des radiations)].
Le groupe JASON est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale qui étaient sensés avoir passé l’initiation des « Skull and Bones » et « Scroll and Key » du temps où ils fréquentaient ces universités. Les « mages » sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et sont aussi membres d’un « Ordre secret de la Quête » connu sous le nom de société JASON.
Majesty 12 est composé de 19 membres. La première règle de Majesty 12 était qu’aucun ordre ne pouvait être donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze. Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires du Conseil des relations étrangères et s’accrut plus tard de membres de la Commission Trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des «Mages» les plus important et les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six premiers membres de Majesty 12 issus du gouvernement, étaient aussi membres du Conseil des Relations Étrangères. Ceci a donné le contrôle de l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt de découvrir que tous les « mages » n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du « Skull and Bones » ou du « Scroll and Key » durant leurs années à l’université. Vous pourrez effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende : «Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de Dunkerke ». J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base actuelle par invitation basée sur le mérite post-universitaire et n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. À cause de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de nos jours, mais elle compte aujourd’hui des membres de la Commission Trilatérale. Cette commission existait bien avant d’être rendue publique en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne Aliens connu comme étant l’insigne trilatéral. Majesty 12 a aussi survécu jusqu’à aujourd’hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous l’administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L’auteur de ce livre avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette fuite n’était qu’une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux dissimuler l’existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon, Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan, le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l’appellation de cette section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliens avaient abusé de la confiance d’Eisenhower et ne respectaient pas leur traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire américain, de cadavres mutilés non seulement d’animaux mais aussi d’êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur l’intégralité des listes que les aliens s’étaient engagés à soumettre à Majesty 12, et on suspecta le fait que tous les kidnappés n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des relations avec les aliens, et cela s’est révélé être vrai. Les aliens ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes ainsi que par le truchement de la sorcellerie, de la magie, de l’occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de représailles, l’aviation militaire s’engagea dans de nombreux combats aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des extraterrestres.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un comité d’étude ayant pour tâche d’«explorer tous les facteurs pouvant contribuer à l’élaboration et à la réalisation des politiques étrangères à l’ère nucléaire». C’était seulement un nuage de fumée destiné à couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre décret-loi secret – le NSC 5511 il – promulgué en 1954, le président Eisenhower avait ordonné à ce groupe d’«examiner tous les faits, les évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliens afin d’en dégager la vérité». Le NSC 5412/2 n’était qu’une façade devenue nécessaire pour dévier l’attention des journalistes qui commençaient à s’enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe d’étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y participer. Durant les 18 premiers mois, le professeur Zbigniew Brzezinski tint le rôle de président d’étude et fut remplacé par le professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre 1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les sessions d’étude.
Les rencontres de la seconde phase eurent aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller s’était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et le comité d’étude n’y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code «Country Club», en plus d’offrir le gîte et le couvert, était doté d’une bibliothèque, de salles de réunion et d’installations récréatives (l’institut Aspen n’est pas le « Country Club »).
Le groupe d’étude fut «publiquement» dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger publia, l’année suivante, un compte rendu «officiel» des sessions sous le titre «Armes nucléaires et Politiques étrangères», édité par Harper à New-York pour le compte du Conseil des Relations Étrangères, en 1957. En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l’époque où il étudiait à Harvard. Ainsi le comité d’étude pouvait poursuivre ses réunions en secret. Les commentaires de l’épouse et des amis de Kissinger sont révélateurs du caractère sérieux qu’il attachait à ces rencontres. Ceux-ci relatent qu’il quittait la maison très tôt le matin et n’y revenait qu’à la nuit tombée. Devenu anormalement taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s’il vivait dans un monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les révélations faites au cours des sessions d’étude sur la présence des aliens et leurs agissements avaient dû l’ébranler sérieusement pour qu’il manifestât subitement un tel revirement d’attitude, autrement inexplicable puisqu’il ne sera jamais plus affecté de cette manière durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité fut de conclure à l’absolue nécessité de ne pas mettre la population au courant de la présence extraterrestre, car le groupe estima qu’il en résulterait à coup sûr un effondrement de l’économie autant que des structures religieuses, ainsi qu’un déferlement de panique tel que la nation risquerait de tomber dans l’anarchie. Aussi fallait-il absolument en préserver le secret, et ce non seulement à l’égard du public en général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu’ils seraient assurés, d’une part, par le biais des crédits de l’armée et, d’autre part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son budget.
La décision du groupe d’étude d’occulter le problème avait été motivée par la découverte effarante que les aliens utilisaient des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les aliens expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s’étaient montrées inutiles contre les aliens, Majesty 12 jugea néanmoins préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu’au temps où nous serions technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il vaudrait mieux, pour la survie de l’humanité, joindre nos forces à celles d’autres nations, à commencer par l’URSS. Par ailleurs, on avait déjà entrepris un double programme d’armement, à la fois conventionnel et nucléaire, dans l’espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied d’égalité avec les aliens.
Ces recherches constituèrent les projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un blindage de 20 cm d’épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma qu’il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extraterrestres et leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s’élever à près de 10 000 m d’altitude relative, atteindre une cible définie sans dévier de plus de 50 m et s’enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur comme le tuf calcaire que l’on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé jusqu’à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. Nous savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou édictés. A partir des doutes qu’avaient suscités les activités illicites des aliens, et redoutant une manipulation de leur part, une minutieuse investigation fut ordonnée à l’égard du secret qui entourait les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si l’humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l’égide du Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d’un enfant qui rallierait tous les peuples à l’idée d’une paix mondiale mais jetterait les fondements d’une fausse religion. La plupart des gens discerneraient toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient bientôt dans sa personne l’identité de l’Antéchrist. La Troisième Guerre mondiale éclaterait au Moyen-Orient avec l’invasion de l’Etat d’Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci utiliserait d’abord des armes conventionnelles mais déclencherait finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée à d’horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la mort. La prophétie s’achève néanmoins sur une note optimiste en annonçant le retour du Christ.
Lorsqu’on eut soumis ces prédictions aux aliens, ceux-ci en confirmèrent la véracité. En outre, ils prétendirent, avoir créé l’espèce humaine par croisements génétiques et l’avoir manipulée par le biais de la religion, du satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps, et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [de la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la technologie extraterrestre, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de voir la prophétie se confirmer. Les aliens montrèrent un hologramme censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler depuis toujours par le biais de nos croyances ?
D’autre part, en 1957 fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l’an 2000, en raison de l’accroissement de la population et à cause de l’exploitation de l’environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention divine ou exogène.
Le président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d’étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de recommandations, la Commission Jason présenta 3 solutions alternatives appelées solutions 1,2, et 3.
Extrait tiré du livre de Milton William Cooper « Le Gouvernement Secret »
Les déclarations de Milton William, « Bill » Cooper
Cooper fût un ancien de l’US Navy qui a servi à l’ONI, « Office of Naval Intelligence », les services de renseignements de la marine (c’est à ce moment qu’il aura eu accès à plusieurs documents classifiés).
D’après lui, un traité aurait été établi entre une civilisation extraterrestre, qu’il appel les « gris au long museau » (mais lors de la rencontre, aurait été aussi présent des « petits gris » classique), qui les autorisaient à procéder à des enlèvements ponctuels limités pour une étude de la population humaine, et à avoir leurs entrées dans quelques bases sur le territoire des Etats-Unis, en contre-partie d’une part de leur savoir et de leur technologie.
Un programme d’échange entre les extraterrestre et les Américains, aurait été décidé pour une étude éthnologique concertée (16 Terriens se rendant sur la planète des extraterrestres, tandis que 16 « gris », resteraient sur Terre). Ainsi que la décision d’échanger des ambassadeurs permanents (le programme pour mettre en place des relations diplomatiques s’appellerait le « Projet Platon« ). Et les deux bases construites dans les années qui suivirent, l’auraient été, l’une pour des travaux conjoints « humains-E.T. » (la base « S-4 », celle de la zone 51 dans le Nevada) et une autre, qui serait spécialement dévolue pour abriter les ETs (celle de Dulce, aux Nouveau-Mexique). Cette dernière a été surnommée « The dark side of the Moon« , « la face cachée de la Lune » (en rapport aux recherches secrètes et inconnues qui s’y dérouleraient).
Mais au bout d’un certain nombre d’années, les personnes enlevées atteignant un nombre sans cesse plus élevé, et bon nombre d’entre elles, ayant même reçu des implants, les autorités Américaines se seraient rendu-compte qu’elles s’étaient bel et bien faites berner et qu’elles ne pouvaient plus fermer les yeux sur ces agissements. Les « gris » ne respectant pas leur part du contrat.
Dans la foulée, à la même période, un autre type d’extraterrestre que l’on surnomme les « nordiques » (à l’apparence humaine) auraient eux aussi pris contact avec le gouvernement des Etats-Unis, pour mettre en garde les Terriens contre les agissements des « gris » et pour proposer leur aide, dans le but de faire avancer la conscience spirituelle de l’Humanité, en échange d’un démantèlement complet de l’arsenal nucléaire au préalable (pour eux, la planète s’acheminant petit-à-petit inéluctablement vers son auto-destruction). Mais les militaires estimant la chose irréaliste (et qui aurait rendu les Etats-Unis vulnérable) les visiteurs ne furent pas écouté et ils rejetèrent leur proposition.
Il y a donc bien eu effectivement au moins une rencontre entre des membres des autorités Américaines et des représentants extraterrestres. Concernant Eisenhower, plusieurs témoignages concordant, montrent qu’il s’est en fait bien rendu à la base de Holloman. Pour ce qui est de l’évolution des relations entre les Américains et les « gris », il y aurait en fait deux franges, chez les extraterrestres. L’une voulant le bien de l’Humanité et une autre, n’ayant aucune compassion ni aucune pitié pour le genre humain.
Pour ce qui est des « nordiques », ayant été éconduit suite à leur offre, il semblerait qu’ils aient décidés de ne pas s’impliquer plus avant dans les affaires humaines, mais n’auraient pas exclu la possibilité d’une intervention unilatérale, pour contre-carrer une éventuelle utilisation de l’arme nucléaire au cour d’une possible troisième guerre mondiale.
On peut ajouter que le fait qu’un contact ait bien eu lieu entre des représentants d’un autre monde et le gouvernement Américain – tout comme il existerait aussi deux tendances distinctes au sein même des ETs, qui seraient antagonistes et n’auraient pas les mêmes intentions à notre égard – se trouve être confirmé par l’ancien vice-premier ministre et ancien ministre de la Défense du Canada, Paul Hellyer. Et également le témoignage d’un représentant du New Hampshire, Henry W. McElroy, qui eu un jour entre les mains, un document pour le président, mentionnant que des extraterrestres étaient présents sur le territoire des Etats-Unis.
Le Général MAcArthur avait-il été mis au courant d’un contact avec des extraterrestres ?
Le général MacArthur avait le grade de « général 5 étoiles » (général d’armée, commandant en chef), connaissait évidemment Eisenhower, et avait un rang qui aurait pût lui permettre de recevoir une telle confidence, même divulguée au cour d’une conversation privée, entre anciens « frères d’armes » (Eisenhower avait été le commandant en chef des forces Alliées en Europe et MacArthur le commandant en chef des forces Alliées dans le Pacifique). Sans compter son statut au coeur de la Défense Américaine à l’époque (il avait été le chef des forces Alliées pendant la guerre de Corée).
Cela ne doit pas être exclu, car dans un article paru dans le New York Times le 8 octobre 1955, sur la visite que fît MacArthur à la mairie de Naples (Italie) le 7 octobre 1955, reprenant les propos du général avec le maire de Naples, Achille Lauro, le général avait eu cette phrase, qui passera presque inaperçu à l’époque, mais que l’on peut juger tout-de-même assez surprenante:
« En raison des développements de la science, tous les pays du monde devront s’unir pour survivre et faire front commun contre une attaque par des gens d’autres planètes. La politique de l’avenir sera cosmique, ou interplanétaire ».
De plus, lors d’un discours à West Point, devant les élèves de l’école militaire le 12 mai 1962, MacArthur aura prononcé cette phrase :
« …Nous employons un vocabulaire étrange, par exemple: la mise en valeur de l’énergie cosmique;… …d’un conflit ultime entre la race humaine unie et des forces sinistres, venant de quelque autre planète de la galaxie ».
Sans vouloir le dire ouvertement, MacArthur pourrait bien avoir fait allusion aux extraterrestres et aurait bien avoir été au courant de la rencontre du président Eisenhower.

Parce qu’il n’est pas contre nous, il est avec nous…
En février 1954, le pape Pie XII reçoit l’évêque de Los Angeles, James Francis McIntyre, qui lui fournit un rapport extraordinaire. Deux jours auparavant, à la demande du président Dwight D. Eisenhower, l’évêque faisait partie d’une délégation qui a assisté à une réunion clandestine entre Américains et des Extraterrestres à la base aérienne d’Edwards. Cet événement a été la réunion qui s’est tenue en Californie à Muroc Airfield (qui deviendra plus tard Edwards Air Force Base) d’une délégation étrangère avec le président Eisenhower, en présence de Mgr McIntyre. La réunion a été filmée par l’armée américaine avec 3 caméras 16mm, placées à différents endroits, chargées de film couleur et de moteurs à ressort; c’est parce que chaque opérateur de caméra devait changer le film toutes les 3 minutes et parce qu’en présence des extraterrestres, les moteurs électriques ne fonctionnaient pas. Au total, ils ont filmé 20 minutes de film en 7 rouleaux, chacun d’eux 30 mètres de longueur. À la fin de la réunion, chaque membre de la délégation de la Terre a juré de ne jamais révéler à qui que ce soit ce qu’il avait vu et ce qu’il avait entendu à propos des extraterrestres.

Avant d’arriver à Rome, Mgr McIntyre a été impressionné par le fait que son serment comprenait le Saint-Père. L’évêque a rejeté cela, et a fait son rapport au Pape. Après s’être longuement entretenu avec Mgr McIntyre, le Pape Pie XII a longuement médité sur les implications possibles d’une relation militaire avec les aliens, exclusivement américaine. Le Pape a décidé de lancer un département d’information secret avec une structure similaire aux services de renseignements militaires fascistes, appelé SIV (Servizio Informazioni del Vaticano) qui rassemblerait toutes les informations possibles concernant les activités des aliens et les informations acquises par les Américains. Il était très important de garder des canaux de communication ouverts avec le président Eisenhower.
Le SIV a été, essentiellement, constitué pour acquérir et gérer toutes les informations secrètes concernant les questions aliens, en coordination avec les organisations de renseignement dans d’autres pays. L’objectif principal du département nouvellement formé était de gérer tous les aspects des implications morales, philosophiques et religieuses de la poursuite du contact avec des Extraterrestres.
L’évêque McIntyre, membre de SIV, et le pape Pie XII lui-même ont eu des contacts avec une faction d’extraterrestres, y compris des Etheriens (émetteurs de lumière et humains) et des Nordiques (extraterrestres humains aux allures scandinaves). Ces extraterrestres ont exprimé une affinité avec le Christ et son message, et ont donné un avertissement concernant l’implication des États-Unis avec les Aliens Gris. Des rencontres avec les membres de SIV ont eu lieu à plusieurs reprises aux États-Unis et deux fois aussi à l’intérieur des jardins du Vatican, près de l’Académie pontificale des sciences, en présence du pape Pie XII. J’ai du mal à comprendre cela, mais le (vraiment pieux) Pie XII considérait ces extraterrestres comme des convertis spéciaux à la foi chrétienne.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le pape avait effectivement confié à SIV (et par extension à l’Église) un traité avec des Ethériens et des Nordiques, manifestement à contre-courant de l’Américain Majestic-12 qui préféra une alliance avec les Gris. (Les Éthériens ont fait une offre similaire de coopération au président Eisenhower, en stipulant que les États-Unis se débarrassent d’abord des armes nucléaires.) Pendant de nombreuses années, l’Église de Rome devait recevoir de l’aide dans ses missions internationales.
Le pape Jean XXIII en est venu à croire qu’il serait trop perturbant pour les croyants d’apprendre qu’une coopération étroite entre le Vatican et les visiteurs étrangers. Il a décidé que les contacts directs devraient se terminer, en séparant les chemins de l’Église et des ETs.
Depuis Truman, tous les présidents américains se seraient intéressés aux dossiers ovnis. Mais ils ne se sont jamais exprimés sur le sujet de manière officielle. De Truman à Obama, de Ford à Bush, la plupart des présidents américains se sont un jour retrouvés au coeur d’histoires d’ovnis, toutes aussi passionnantes que controversées. Selon la légende, Eisenhower, Nixon, Carter et Reagan auraient rencontré, chacun leur tour, des extraterrestres. Focus sur ces anecdotes surprenantes, dans les hautes sphères de la politique américaine.
Alan Brain (journaliste américain) : « Selon les témoignages de plusieurs informateurs, le président Eisenhower a rencontré deux délégations d’extraterrestres en 1954. Le 20 février 1954, la race d’extraterrestres connue sous le nom de ‘Nordiques’ rencontre Eisenhower et son équipé, à la base aérienne d’Edwards. Les extraterrestres proposent de nous débarrasser des Gris en échange de la destruction par l’administration Eisenhower des armes nucléaires américaines et de l’abandon de la course aux armements. Selon les témoignages de plusieurs anciens officiers de l’armée, Eisenhower et son équipe ne sont pas parvenus à un accord avec les Nordiques, parce qu’ils étaient plus intéressés par l’obtention de la technologie extraterrestre que par le fait de se débarrasser des Gris ou d’abandonner la course aux armements nucléaires. Entre février et décembre 1954, les extraterrestres Gris rencontrèrent le gouvernement américain et signèrent un traité secret. Le traité stipulait que les aliens n’interviendraient pas dans nos affaires et que nous n’interviendrons pas dans les leurs. Nous garderions leur présence sur Terre secrète. Ils nous fourniraient des technologies avancées et nous aideraient à nous développer technologiquement. Ils pourraient enlever des humains en quantité limitée et périodiquement pour des examens médicaux et pour suivre notre développement, à condition que les humains ne soient pas blessés, qu’ils soient ramenés à l’endroit d’où ils ont été enlevés, qu’ils n’aient aucun souvenir de ce qui s’est passé pendant l’enlèvement, et que la nation extraterrestre fournisse au groupe Majestic 12 une liste de tous les contacts humains et de tous les enlèvements à intervalles réguliers. Selon le témoignage de William Cooper, les ETs Gris n’ont pas honoré longtemps le traité signé avec Eisenhower : En 1955, il est devenu évident que les extraterrestres avaient trompé Eisenhower et rompu le traité. Nous avons obtenu moins de technologie que prévu et avons découvert que les enlèvements dépassaient par millions ce que nous avions naïvement accepté. Les enlèvements auraient augmenté quand les Gris ont réalisé que nous, les humains, n’avions pas la technologie pour les affronter. Avant la rencontre du président américain avec les Aliens Gris, il a tenu une réunion avec les ‘Nordiques’, une race avancée des Pléiades qu’il a décrite comme des êtres aux cheveux blonds ou blancs et aux yeux bleu clair; ils contribueraient au développement spirituel des êtres humains… Le président a rejeté cette offre, il l’a donc déclinée, puis il a tenu sa réunion avec les Aliens Gris. Alors que la rencontre entre Eisenhower et les extraterrestres Nordiques pourrait avoir provoqué, à moyen terme, une révélation publique sur les contacts extraterrestres. La présence des Gris et leurs enlèvements auraient mis en alerte les agences de sécurité américaines, qui auraient pu prévoir une crise de panique générale avant la reconnaissance officielle du contact extraterrestre. Comme l’affirme à juste titre le chercheur en exopolitique, Michael Salla, il existe une machinerie destinée à discréditer tous les anciens militaires ou anciens membres du gouvernement qui auraient essayé de divulguer des informations au sujet des extraterrestres. Attendons-nous vraiment que le gouvernement américain déclare officiellement qu’il est en contact avec des ETs depuis des années ? Apparemment, la seule façon pour la plupart des humains de comprendre que des civilisations extraterrestres existent et que nous sommes en contact avec certaines d’entre elles est qu’un gouvernement le déclare officiellement. Cela ne se produira que lorsque les gouvernements le décideront ou lorsqu’un gigantesque vaisseau spatial alien décidera de se poser sur le bâtiment du gouvernement d’un pays et que le fait sera filmé par plusieurs chaînes de télévision. Même dans un cas aussi évident, s’il y avait une possibilité d’un démenti, les gouvernements concernés le feraient sans hésiter. »
Tout a commencé en 1955 avec l’administration Eisenhower qui a été forcé, un peu comme s’il signait une reddition au bénéfice d’une faction nazie qui opérait à l’époque. L’un des témoins qui était le général de brigade, le général de brigade Stephen Lovekin, qui était un membre de l’équipe de Eisenhower, il était conscient qu’il avait donné le contrôle aux entreprises, et qu’il ne serait pas entre les meilleures mains qui soient. Donc, une fois ce traité signé, Nelson Rockefeller restructura l’ensemble des opérations de la CIA-MJ12. De sorte que maintenant, le gouvernement légal n’est plus au courant de ce qui se passe. Ils refondèrent également le groupe complet MJ12 qui avait été initialement mis sur pied par le président Truman en plaçant Allen Dulles comme MJ-1 ou chef des opérations MJ12, et en y plaçant toutes les personnes qui avaient fortement contribué à l’infiltration nazie. Ce qui c’est passé, quand ça c’est passé, c’était que toutes les opérations sur l’ingénierie inversé qui étaient à la base de l’Air Force, Wright-Patterson, dans l’Ohio ont été déplacées vers la zone 51 en S4, où Eisenhower se rendit compte qu’il avait perdu tout contrôle. Lorsqu’il a essayé d’y jeter un œil, il s’est vu refuser l’accès. Ici vous avez un général 5 étoiles qui s’est vraiment énervé, alors il menaça d’envahir la zone 51 avec la 1ère armée du Colorado, et à ce moment ils permirent à deux agents de rendre compte de ce qui se passait là-bas. Et ce qu’ils trouvèrent, c’est que plusieurs vaisseaux étaient en cours d’ingénierie inverse. Ils étaient extraterrestres et d’origine allemande.
LE TÉMOIGNAGE ANONYME
Le film comprendra également une exploration en profondeur du témoignage d’un ancien agent de la CIA présumé très controversé qui prétend, à travers sa carrière militaire et de renseignement, avoir été exposé à des réalités et des technologies de nature extraterrestre. Cette « confession sur le lit de mort » a été présentée comme témoignage lors de l’audition des citoyens sur la divulgation au National Press Club à Washington DC l’année dernière, et a suscité un vif débat au sein des communautés du renseignement et des OVNI.
L’ HISTOIRE D’UN DÉNONCIATEUR COSMIQUE
6 juin 1998 – La journaliste d’investigation Linda Moulton Howe a amené un témoin sous le pseudonyme AGENT KEWPER à l’émission de radio Coast to Coast AM. Le témoin a affirmé que grâce à son service militaire, il avait acquis une connaissance et une expérience de première main des extraterrestres et de leurs technologies. Immédiatement après ce rapport, l’AGENT KEWPER a été averti de cesser et de s’abstenir de tout contact avec Linda Moulton Howe, ou d’en subir les conséquences.
Quinze ans plus tard, et craignant que la fin ne soit proche, le témoin est sorti de l’ombre et était à nouveau prêt à raconter son extraordinaire histoire. En raison de l’avertissement reçu concernant l’entretien avec Linda Moulton Howe, nous avons pris des dispositions pour que l’historien des OVNI Richard Dolan mène l’interview. Voici une partie de cette histoire…
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