Les dossiers sur le gouvernement mondial – Anne Givaudan

Le Gouvernement mondial… Pourquoi écrire encore sur ce sujet ?

Est-ce par désir de combattre une énergie que nous redoutons ? 

Est-ce parce que le sujet est à la mode et fait frissonner les habitants de la planète Terre comme un mauvais film d’épouvante ?

Est-ce par désir de vengeance ?

Rien de tout cela ne m’habite à l’heure où je ne sais jusqu’où ira ma détermination; mais je n’ai pas peur de perdre, d’autres gagneront après moi, encore et encore. Je refuse l’ignorance! L’ignorance est une maladie de l’âme, insidieuse et perverse, elle coule en nous les prémices de nos lavages de cerveau, de nos faiblesses, de nos lâchetés involontaires.

Je ne fais ici le procès de personne, je ne rentre en guerre contre personne, mais l’enjeu qui se joue sur la Terre est aujourd’hui capital et par quelques exemples précis, dans les domaines suivants : la mafia, la santé, la recherche, l’Opus Dei, les camps de concentration et les extraterrestres, je souhaite que les lecteurs de ce livre-dossier puissent prendre conscience de la manipulation dont nous sommes tous l’objet.

Le véritable travail est toujours intérieur. Lorsque nous serons de plus en plus conscients que nos goûts, nos choix, nos pensées, nos actions sont dirigés par d’autres que nous, par ceux que nous acceptons comme dirigeants de nos vies, de nos états, de nos pays, alors peut-être que dans un ultime sursaut vers la vie, nous chercherons à retrouver notre « souveraineté ».

Chapitres :

1/ Le Gouvernement Mondial

2/ La Mafia

3/ L’Opus Dei ou Octopus Dei – La mafia du Vatican

4/ La Santé : ou comment soumettre la population mondiale par le biais de thérapeutes de bonne volonté

5/ Les Recherches

6/ Les Êtres de l’espace ou : un boycott très explicable

7/ Conclusions

À travers des domaines aussi divers que la mafia, la santé, la recherche, l’Opus Deï, les extraterrestres, et les camps de concentration, l’auteure souhaite que les lecteurs de ce livre-dossier puissent prendre conscience de la manipulation dont nous sommes tous l’objet.

Peut-être aussi trouverez-vous ces éléments déprimants et propices à faire « baisser les bras ». Je sais pourtant qu’il y a toujours, au bout de chaque épreuve, de chaque malversation, une lumière pour celui qui accepte de transformer l’obstacle en tremplin. Tout est dans l’oeil de celui qui regarde. Savoir que la Vie jamais ne s’arrête et qu’il nous est demandé de jouer au mieux le rôle qui nous est proposé pour un temps, peut nous permettre d’avoir un autre regard, un regard d’altitude qui dédramatise les événements et prend l’humour et l’amour comme ses meilleurs partenaires.

« Le monde est dangereux à vivre non à cause de ceux qui font le mal, à cause de ceux qui regardent et laissent faire. » Albert Einstein

« Quand l’ordre établi vous commande de faire ce que la morale réprouve, il faut savoir dire non. » Élie de St Marc

« Le monde est un endroit bien et vaut la peine d’être défendu » Ernest Hemingway


Anne Givandan à propos des extraterrestres

La mondialisation par la Grande Finance Internationale

La création de la BRI en 1930 (Banque des Règlements Internationaux) ayant pris le relais de la finance anglo-saxonne après la crise de 1929 pour redresser l’Allemagne écrasée par le Traité de Versailles de 1919, les capitaux purent affluer à nouveau via cette « banque des banques », rendant possible le déclenchement de la 2ème guerre mondiale en Europe en 1939. La guerre éclata dans le pacifique entre les États-Unis et le Japon en décembre 1941. En 1944, les dés étaient jetés et les États-Unis sortirent grands vainqueurs, affirmant ainsi leur leadership sur la planète. Ce fut l’époque des grandes conférences qui allaient remodeler le monde de l’après-guerre. Seule ombre à ce tableau idyllique : l’Union Soviétique, qui était incontestablement sortie victorieuse de la guerre en Europe ce qui allait influencer le partage du monde. On percevait déjà la notion de « monde libre ». En juillet 1944, les accords de Bretton Woods consacrèrent la suprématie du dollar comme monnaie internationale. Afin d’emporter la décision, le secrétaire d’État au Trésor américain, Harry Dexter White, s’appuya sur la convertibilité en or du dollar et Keynes dut s’incliner alors qu’il proposait une monnaie dont aucun État n’aurait pu avoir le contrôle. Cet épisode est essentiel pour la suite car c’est la double nature du dollar (monnaie domestique aux USA et internationale à la fois) qui va permettre la mise en œuvre de la mondialisation. Issus des mêmes accords, on trouve également la création du FMI et de la Banque Mondiale. Les instruments de la mondialisation financière furent ainsi créés.

Laisser un commentaire