
Des ovnis ont été rapportés sur des bases de missiles nucléaires en Angleterre et en Amérique…
En mars 1967, la base aérienne de Malmstrom, dans le Montana, a été le théâtre d’une des rencontres les plus spectaculaire, les plus étonnantes et les plus troublantes de tous les temps avec des OVNIs. Le personnel de sécurité a décrit avoir vu des lumières vives, des soucoupes volantes, des OVNIs. Puis l’un des missiles a été soudainement mis hors ligne. Et puis un autre et un autre. Jusqu’à ce que tout le silo de missiles soit mystérieusement désactivé. Ceci est très inquiétant, car cela laisse supposer que dans le cas où les ovnis deviendraient un jour hostiles, tout notre arsenal atomique pourrait devenir complètement inutilisable.
Avant l’aube, les sentinelles et les équipes de maintenance à proximité des silos de missiles nucléaires de la base voient des lumières mystérieuses voler à travers le ciel. Ces lumières sont si brillantes que les hommes sur le terrain ne peuvent pas identifier ce qu’elles sont, mais quand l’une d’elles prend position juste à l’extérieur de la barrière de sécurité de la base, une sentinelle appelle son supérieur pour signaler un OVNI.
Les personnes sur le terrain essayaient de donner un sens à cette vague soudaine d’observations. Les alarmes ont commencé à sonner. Et les armes nucléaires ont étaient soudainement désactivées, ce qui signifie qu’elles étaient dans un état où elles n’auraient pas pu être envoyées. Elles étaient inutilisables.
Quand le premier missile fût désamorcé, c’était une affaire énorme. Il y avait un tumulte. Les gens pensaient qu’il y avait des équipes de maintenance sur ce site. Peut-être travaillaient-ils sur un chantier qui nécessitait de déconnecter le missile et ils n’en avaient informé personne. Ils n’ont pas suivi le protocole. Mais quand les autres missiles ont commencé à se déconnecter rapidement, ils se sont rendus compte que quelque chose de vraiment inhabituel se passait.
En fait, ils ont ensuite fait appel à des équipes d’ingénieurs pour tenter de comprendre ce qui s’était passé. Cela a été documenté dans des mémorandums échangés entre cet établissement et le NORAD sur la manière dont cela pouvait s’être produit. Ils essayaient d’expliquer comment cela s’était passé. Parce que c’est évidemment quelque chose qui serait d’un intérêt immense pour les responsables de la sécurité nationale chargés de la dissuasion nucléaire.
Boeing, qui a fabriqué les missiles, n’a pas pu trouver ce qui n’allait pas avec eux. Ils pouvaient reproduire la faute en envoyant des signaux électroniques dans une partie du système électronique du missile. Mais ce système était protégé par des câbles blindés et d’autres sécurités. Donc, comment ont-ils été mis hors ligne ? aucune réponse n’est pas connu à ce jour. Mais qui ou quoi était responsable de cet arrêt nucléaire apparemment inexplicable ?
Le Disclosure Project basé à Washington, qui a effectué une recherche détaillée sur les rencontres entre l’armée et les ovnis et, basé sur les preuves, est convaincu que cet incident était une rencontre extraterrestre. Un ovni aurait déconnecté et a rendu inaccessible au moins 16 et peut-être jusqu’à 20 missiles balistiques intercontinentaux. Les hommes qui étaient là ont dit que ce n’était pas seulement un effet électronique, mais ils ont effectivement vu l’OVNI. Est-il possible que des extraterrestres de la base aérienne de Malmstrom aient essayé de nous envoyer un message ?
Certains ufologues pensent que le nombre élevé d’observations d’OVNIS rapportées près d’installations militaires indique que les extraterrestres sont non seulement présents sur Terre, mais qu’ils ont pris des mesures pour façonner notre avenir. Depuis que les américains ont fait exploser la première arme atomique, les ovnis se sont intéressés à leurs installations nucléaires. Ils veulent voir dans quelle mesure ils pourraient représenter un risque pour cette planète et pour les autres qui sont pacifiques et qui se trouvent peut-être dans l’espace.
Serait-ce que les extraterrestres nous rendent visite maintenant en plus grand nombre depuis que nous avons développé la capacité d’annihiler la planète avec des armes nucléaires spécifiquement pour nous assurer de ne pas le faire ?
Est-il possible que les OVNIS repérés à la base aérienne de Malmstrom en 1967 soient les mêmes entités que celles que de nombreuses tribus amérindiennes appellent des êtres des étoiles ? Et qu’ils ont désactivés les missiles nucléaires pour nous envoyer un message ?
Capitaine Robert Salas :
« Je vais, tout d’abord, décrire brièvement l’incident que j’ai vécu en mars 1967. À l’époque, j’étais au début lieutenant de l’US Air Force, et j’étais stationné à la base aérienne de Malmstrom, dans le Montana. J’ai été formé pour être affecté aux tâches d’un officier de lancement de missile concernant le missile balistique intercontinental Minuteman I. Nous avions le contrôle opérationnel de 10 missiles nucléaires Minuteman. Le soir du 24 mars 1967, pendant que mon commandant prenait une pause, j’ai reçu le 1er de 2 appels téléphoniques. Le 1er appel demandait de procéder à l’identification d’objets lumineux non identifiés qui volaient au-dessus des installations. »
Pour la première fois en France, Robert Salas détaille les évènements qui se sont produits en mars 1967 sur la base aérienne de Malmstron dans le Montana. L’équivalent du Plateau d’Albion aux USA.

On connaît le célèbre cas de Robert Salas, ce dernier ayant été, en mars 1967, stationné à la base aérienne de Malmstrom dans le Montana, en tant qu’officier chargé du lancement des missiles (de type Minuteman). L’agent de sécurité avait repéré des lumières blanches en train d’évoluer dans le ciel. Il informa Robert Salas qu’il voyait un objet rouge et brillant, de forme ovale, qui semblait planer au-dessus de l’entrée principale. Les missiles que Robert Salas était chargé de contrôler furent désactivés les uns après les autres ; ils ne pouvaient plus être lancés. Ce matin-là, 6 à 8 missiles avaient été perdus. Et à Echo Flight, 10 missiles avaient aussi été perdus après que des OVNIs eurent été observés au-dessus des installations de lancement.
De même, en août 1966, un OVNI avait été repéré au-dessus des silos à missiles de la base aérienne de Minot, dans le Dakota du Nord.
L’observation d’OVNIs s’est considérablement accrue après l’explosion des deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki. Une grande partie des observations s’est concentrée sur l’État du Nouveau-Mexique, ce qui est à mettre en corrélation avec le fait que les premières bombes atomiques furent conçues à Los Alamaos puis testées à Alamogordo et White Sands, deux localités situées au Nouveau-Mexique. Et ensuite, il y eut l’affaire Roswell, cette dernière localité se trouvant également au Nouveau-Mexique. Au moment du crash de l’engin, la base militaire aérienne de Roswell abritait le 509ème Escadron de bombardiers – le seul escadron de ce type au monde équipé d’armes atomiques.
Steven Greer : « Le génie nucléaire ayant réussi à s’échapper de sa bouteille, il devint vite évident pour tout le personnel civil et militaire, qui travaillait dans des installations de traitement nucléaire, des usines de production d’armes nucléaires, des aérodromes militaires et sur des sites d’essais nucléaires, que nos visiteurs extraterrestres étaient très concernés par ce que nous faisions. Comme un officier britannique l’a fort bien résumé : »Lorsque nous avons pour la première fois fait détonner ces armes atomiques et, plus tard, des bombes à hydrogène, c’est comme si nous avions donné un coup de pied dans un nid de guêpes. Nous avons maintenant le pouvoir de détruire la planète tout entière, et les adultes du voisinage étaient préoccupés, ce qui se comprend aisément. » »

En 1969, l’armée de l’air américaine a publié une déclaration qui disait : « Aucun OVNI rapporté, enquêté et évalué par l’armée de l’air n’a jamais été une indication de menace pour notre sécurité nationale« . Cette déclaration est manifestement fausse. Elle a été prouvée fausse par le témoignage de nombreux officiers militaires et aviateurs et par la documentation d’incidents impliquant des ovnis et des armes nucléaires, témoignages dont l’U.S. Air Force était pleinement consciente. Unidentified détaille nombre de ces témoignages, certains pour la première fois.
Pour justifier en partie sa position, l’armée de l’air cite une étude de l’université du Colorado, commandée et payée par des fonds fédéraux. Unidentified révèle comment cette étude n’était en fait qu’une autre partie du plan visant à dissimuler la réalité du phénomène OVNI. Pour la première fois, Unidentified publie des preuves que les enquêteurs de l’étude du Colorado étaient au courant des incidents d’arrêt de missiles liés aux ovnis, mais qu’ils n’ont pas enquêté sur ces incidents et ne les ont pas inclus dans leur rapport final.
Robert Jacobs, un ancien lieutenant de l’armée de l’air des États-Unis, était, dans les années 1960, l’officier responsable de la supervision des instruments optiques au sein du 1369e Escadron photographique de la base aérienne de Vandenberg, en Californie. En 1964, ils testaient des missiles balistiques censés emporter des charges nucléaires. Il s’agissait en fait d’armes nucléaires factices. Le film du premier lancement ayant été envoyé à la base, Robert Jacobs fut convoqué dans les bureaux du major Mansmann au quartier général de la première Division aérospatiale stratégique. Il put alors voir, sur le film, un objet non identifié qui semblait émettre un faisceau de lumière qui frappa de plein fouet l’ogive. L’objet volait à plusieurs milliers de kilomètres/heure. Il se déplaça de l’autre côté de l’ogive, il émit un autre faisceau, puis encore un autre. Il amorça ensuite sa descente, il émit un dernier faisceau, puis il disparut en un éclair. Et l’ogive factice s’écrasa au sol. Cette ogive, qui s’était élevée à une hauteur d’environ 95 kilomètres, se déplaçait à une vitesse allant de 18.000 à 22.500 kilomètres/heure lorsqu’elle fut rattrapée par l’OVNI qui tourna autour d’elle, émit des faisceaux lumineux et repartit aussitôt. L’objet était de forme circulaire et semblait composé de deux soucoupes superposées l’une sur l’autre, avec une sorte de balle de ping-pong posée au-dessus de cet assemblage.
Le major Mansmann demanda formellement à Robert Jacobs de ne jamais parler à quiconque de cet événement. Le major lui déclara que si on l’interrogeait à ce propos, il devrait dire qu’il s’agissait simplement de frappes par repérage laser. Or, en 1964, les lasers étaient encore dans leur phase de développement. Quelque temps plus tard, Robert Jacobs apprit que la partie du film où apparaissaient les OVNIs avait été coupée avec des ciseaux…
Après 18 ans de service, Robert Jacobs se mit à écrire un article sur l’incident, ce qui lui a valu d’être harcelé au travail, de recevoir d’étranges appels téléphoniques, des personnes l’appelant en hurlant et en l’insultant. Une nuit, quelqu’un fit exploser (avec des fusées pétards) sa boîte aux lettres, et cette nuit-là, à 1 heure du matin, le téléphone se mit à sonner : un individu lui parla des fusées dans sa boîte aux lettres… Il a reçu des « lettres humiliantes » et des appels de la part de « debunkers » comme James Oberg (de la NASA) et Phillip J. Klass.
La position officielle de l’armée de l’air est que cet incident n’a jamais existé, elle nie même la présence de Robert Jacobs à la base aérienne Vandenberg ce jour-là, ainsi que son engagement au sein de l’armée de l’air. Lorsqu’il affirme avoir installé un site de repérage le long de la côte californienne, l’armée de l’air affirme qu’un tel site n’a jamais existé. Ce site de repérage est toujours là, dit-il ; il a été utilisé chaque fois que la navette spatiale a atterri en Californie. Et les militaires basés à Vandenberg « continuent toujours de photographier des missiles à partir de ce site de repérage ». Lee Graham a retrouvé la trace du major qui avait ordonné à Robert Jacobs de garder le silence le plus complet sur cette affaire. Le major répondit à la lettre écrite par Lee Graham pour confirmer que tout ce que Robert Jacobs avait déclaré était exact.
Patrick Knox (journaliste d’investigation britannique) : « Selon des lanceurs d’alerte, vétérans de l’armée, les ovnis sont intervenus dans des bases nucléaires et des installations de test de missiles à travers les États-Unis. Ce sont eux qui ont demandé au Congrès américain d’enquêter et de tenir des audiences publiques sur des rapports selon lesquels des ovnis auraient brouillé ou détruit des armes nucléaires sur leurs sites de lancement souterrains tenus secret. Tous les témoins présumés affirment avoir été réduits au silence après leurs étonnantes expériences d’OVNI. L’incident ovni le plus étonnant s’est peut-être déroulé en 1964 à la limite de l’espace, au-dessus de Big Sur en Californie. Robert Jacobs, ancien lieutenant de l’armée de l’air américaine, a affirmé qu’un engin ressemblant à une soucoupe volante a tourné autour de l’ogive nucléaire factice lors d’un vol d’essai en Californie. Lors de son témoignage, il a déclaré : « Je faisais partie d’une opération de camouflage de l’Armée de l’Air des États-Unis. Il avait la forme d’une soucoupe volante et lançait un faisceau lumineux sur notre ogive. » « Il s’est ensuite envolé aussi soudainement qu’il était apparu. À ce moment là l’ogive est tombée hors de l’espace ». L’ancien officier de l’armée de l’air, Robert Salas, était le commandant par intérim d’une installation souterraine de contrôle des lancements affectée à la base aérienne de Malstrom, dans le Montana (USA). Le 24 mars 1967, il a affirmé que ses dix missiles balistiques intercontinentaux avaient été neutralisés par des ovnis qui les avaient désactivés, en déclarant que l’arrêt simultané était un événement ‘impossible’ du fait que les dix missiles nucléaires Minuteman fonctionnaient sur des systèmes indépendants. « L’attaque ovni » impliquait un niveau de sophistication qu’aucun être humain ne possédait à l’époque avait-il dit. La capitaine Salas a déclaré : « Je ne peux que spéculer sur la raison de cet incident. Je pense qu’il s’agissait simplement d’un message adressé à nous tous sur la planète Terre pour nous dire que nous devons nous débarrasser des armes nucléaires. »

Nick Pope, ancien responsable du département OVNI au ministère de la défense britannique, cherche à prouver que des bases nucléaires ont été pris pour cible par des OVNIs. Il enquête sur un épisode alarmant au cours duquel un éventuel OVNI aurait survolé un silo à missile dans le Montana.
Au-delà de témoignages visuels, potentiellement soumis à des variables, certains objets volants auraient eu un impact sur le fonctionnement des centrales nucléaires…
Le 27 septembre 2010, une conférence de presse, retranscrite en direct sur la chaîne CNN, est organisée par Robert Hastings, un enquêteur américain. Depuis 1973, il a interviewé plus de 120 membres du personnel militaire, anciens ou retraités, témoins d’ovnis sur des sites de missiles nucléaires, des aires de stockage et des sites d’essais d’armes nucléaires. Lors de cet événement exceptionnel, sept vétérans ont partagé leur récit à visage découvert. Robert Hastings explique qu’en mars 1967, sur la base aérienne de Malstrom (Montana), « des ovnis ont plané au-dessus de deux groupes de missiles nucléaires, lors de deux incidents à huit jours d’intervalle. Trois des quatre officiers de lancement qui étaient sur place ont confirmé publiquement que les incidents ont bien eu lieu. »
À l’époque, le capitaine Robert Salas était officier de lancement, le capitaine Robert Jamison, officier de ciblage de missiles nucléaires. Voici ce qu’a rapporté le capitaine Salas, appuyé par son ex-confrère : « Nos missiles se sont mis à entrer dans ce qu’on appelle un état “No-Go” ou non lançable… Ils avaient été mis hors-service, tandis que cet objet stationnait toujours au-dessus de notre site, de notre base de contrôle de lancement. […] Nous avions aussi des voyants de sécurité allumés, ce qui signifiait des incursions de sécurité sur certaines des bases de lancement. » Un autre cas surprenant est celui de l’Hudson River, qui a fait l’objet d’un livre : Ovnis sur l’Hudson River(1). Entre 1983 et 1985, une vague d’ovnis touche plusieurs États au nord de la ville de New York. Plusieurs milliers de témoins décrivent un ovni gigantesque d’un, voire deux kilomètres de long ! L’une de ces apparitions a lieu au-dessus de la centrale civile d’Indian Point. Onze gardiens du site auraient été témoins du survol d’un objet faisant du sur-place à moins de 300 mètres d’altitude. L’un d’eux dira que « lorsque l’objet s’est approché de la barrière et du réacteur numéro trois, le système de sécurité de la centrale nucléaire a cessé de fonctionner. Les détecteurs de mouvement se sont éteints et tout le système est tombé en panne. Au niveau des écrans de contrôle, l’ordinateur qui gère tous les systèmes de sécurité et de communication s’est éteint ». Le lendemain, le chef des agents de sécurité leur a annoncé que rien ne s’était passé, et que l’événement devait être oublié.
Robert Hastings est un enquêteur américain, spécialiste des survols de centrales nucléaires. Dès l’adolescence, il est confronté au secret planant sur ces phénomènes. Son père est alors officier de l’US Air Force et sa famille vit sur la base militaire. En 1967, à 17 ans, Robert entend une rumeur : des ovnis manœuvreraient près du site. Piqué de curiosité, l’homme ne cessera jamais de vouloir faire la lumière sur ce phénomène. En quarante ans, il interview une centaine de militaires, dont les témoignages sont sans équivoque.
Combien de cas d’ovnis survolant des centrales avez-vous recensé ?
En me basant sur les témoignages de vétérans que j’ai interviewé, il y a eu – entre 1945 et 2015 – au mois 125 cas d’incursions d’ovnis sur des sites de missiles nucléaires, aires de stockage d’armes nucléaires, sites d’essais d’armes nucléaires au Nevada et dans le Pacifique, ainsi que d’autres lieux qui sont en lien. Je ne peux bien sûr qu’évoquer les cas que je connais. Je suis certain que bien d’autres incidents ont eu lieu au fil des années, mais je n’ai pour l’instant pas localisé et interviewé d’anciens militaires ou de vétérans impliqués.
Avez-vous des preuves tangibles de la présence d’ovnis sur ces sites ?
Lors de bien des incidents, quand un ovni manœuvre près de sites de lancement, il est suivi par radar. Bien sûr, ces enregistrements sont classés secrets par l’US Air Force, et ne sont déclassifiés que des décennies plus tard, par le biais du Freedom of Information Act. Certaines données radar sont alors révélées au grand public et viennent corroborer les témoignages faisant état de la présence d’ovnis près de missiles nucléaires. Par exemple, les archives officielles de Malmstrom AFB (Air Force Base) confirment que le radar a capté jusqu’à 9 ovnis près de sites nucléaires, début novembre 1975.
Dans d’autres cas, des traces de radiations ont été détectés là ou un ovni avait atterri, près d’un site nucléaire. C’est arrivé en décembre 1980, à la Royal AirForce Bentwaters airbase en Angleterre, occupée alors par l’US Air Force. Dans ce cas, très connu sous le nom de « Cas de la Forêt de Rendlesham », il y eu des activités d’ovnis près du site de stockage d’armes nucléaires. J’ai interviewé des témoins oculaires ayant vu l’appareil. Le Colonel Charles Halt, aujourd’hui retraité de l’USAF, explique que l’ovni a projeté une sorte de faisceau laser sur les bunkers de stockage nucléaire. Dans la forêt environnante, un appareil a atterri et laissé une signature radioactive au sol et des traces d’un train d’atterrissage.
Avons-nous une idée de la nature des aéronefs ? Et de celle des êtres qui les « pilotent » ?
Ces appareils volent à une vitesse telle et manœuvrent de telle façon, qu’ils sont technologiquement supérieurs à n’importe quel aéronef fait par l’homme, même en 2019. Bien sûr, ces caractéristiques ont été rapportées depuis le milieu des années 1940, à l’époque des aéronefs à hélices, capables de performances bien inférieures à celles des appareils à réaction d’aujourd’hui. Cela implique que les ovnis ne sont pas faits par l’homme – à moins qu’ils soient pilotés par des humains du futur qui maîtrisent le voyage dans le temps. Mon avis, c’est que les ovnis appartiennent à des êtres d’autres mondes, qui voyagent avec facilité dans l’univers. Il existe de nombreux témoignages à travers le monde, de personnes fiables, qui rapportent avoir vu des ovnis posés au sol, et des êtres qui se déplacent aux alentours. Leur description est sans équivoque : ils ne sont pas humains et le fait que leur description varie, indiquerait qu’il pourrait y avoir plus d’une race d’extraterrestres sur terre.
Pourquoi les ovnis s’intéresseraient-ils au nucléaire ?
Nous ne pouvons que faire des suppositions. Une possibilité serait que les ovnis, s’ils sont pilotés par des aliens, sont utilisés pour interférer, ici et là, avec les armes nucléaires américaines. Peut-être pour transmettre le message que les humains « jouent avec le feu » et que par la simple présence du nucléaire nous mettons en péril l’avenir de l’humanité. Une guerre nucléaire à grande échelle serait catastrophique pour la civilisation et l’intégrité de la planète, à cause des radiations. Il existe des rapports fiables qui font état d’ovnis qui surveillent et interfèrent avec des missiles balistiques intercontinentaux russes, ce n’est donc pas uniquement un problème américain.

Leur comportement nous renseignent-ils sur leurs intentions ?
Ils ont peut-être empêché une catastrophe d’arriver, ou au moins limité son ampleur. D’après des témoins oculaires présents sur le site de Tchernobyl, quelques heures après l’explosion, une orbe couleur laiton est apparue au-dessus du site et a projeté un rayon lumineux sur le « tas » nucléaire. Les techniciens en charge de mesurer les radiations disent que le taux de radiations ambiant a diminué significativement, immédiatement après cela. Si cela est bel et bien arrivé – et je pense que tel est le cas – nous pouvons dire que les intelligences à l’œuvre sont intervenues et ont limité l’ampleur de la catastrophe.
Un ancien capitaine de l’armée de l’air américaine a rompu sa promesse de garder le silence sur un incident ovni qui aurait impliqué des armes nucléaires…

Le capitaine David D Schindele était auparavant commandant d’une équipe de lancement de missiles balistiques intercontinentaux Minuteman I dans le champ de missiles de la base aérienne de Minot, dans le Dakota du Nord.
En décembre 1966, il se trouvait dans une installation de contrôle de lancement, près de Mohall, dans le Dakota du Nord, lorsqu’un incident inexpliqué s’est produit.
Il affirme qu’un ovni a détruit 10 missiles à tête nucléaire dont il avait la charge, les rendant inutilisables.
Le 6 décembre 1966, le Minot Daily News a publié en première page un article disant que des OVNIs avaient été signalés dans la région.
Le titre était : « La soucoupe du centre de contrôle de lancement de Minot est citée comme une indication de la présence de visiteurs de l’espace. »
M. Schindele affirme que les responsables de l’armée de l’air lui ont ordonné de ne jamais parler de l’incident, et de l’effacer de sa mémoire.
Pourquoi surveilleraient-ils les installations nucléaire ?
Se pourrait-il que des extraterrestres surveillent les installations nucléaires ici sur Terre ? Mais si oui, pourquoi ? Il y a deux raisons pour lesquelles les ovnis pourraient s’intéresser aux installations atomiques. Ils pourraient craindre que nous nous détruisions nous-mêmes. Ils ont tout intérêt à garder la race humaine en vie. Ou peut-être que ce sont des raisons personnelles et que c’est la planète qu’ils convoitent. L’autre possibilité est qu’ils craignent que nous développions des armes atomiques beaucoup plus avancées et qu’un jour, nous serions leur rival. Les armes nucléaires pourraient représenter la seule technologie avec laquelle l’être humain serait capable de les menacer.
Est-il possible que la technologie de l’homme moderne ait évolué au point que les humains soient considérés comme une menace par des factions extraterrestres surveillant la planète ? Certains théoriciens sont convaincus que tel est le cas et suggèrent qu’il est prouvé que les extraterrestres ont utilisé des armes nucléaires similaires ici sur Terre il y a des milliers d’années.
A Sultanabad, en Iran, en Novembre 2004, l’armée de l’air iranienne fait décoller un avion de combat F-14 en réponse à un avion inconnu s’approchant rapidement de la centrale nucléaire IB-40. À leur approche, les pilotes signalent avoir vu un objet lumineux unique en son genre : il est sphérique et émet une postcombustion verte. Lorsqu’ils tentent de verrouiller leurs missiles, leur radar est perturbé par de grandes quantités de radiations magnétiques émises par l’engin.
Ce que c’était, personne ne le sait. C’était définitivement un OVNI et il est sorti de la zone à grande vitesse. Ce qui est particulièrement fascinant, intrigant et quelque peu dérangeant, c’est pourquoi l’OVNI s’intéressait tant à une centrale nucléaire.
Nous ne pouvons que faire des suppositions. Une possibilité serait que les ovnis, s’ils sont pilotés par des aliens, sont utilisés pour interférer, ici et là, avec les armes nucléaires américaines. Peut-être pour transmettre le message que les humains « jouent avec le feu » et que par la simple présence du nucléaire nous mettons en péril l’avenir de l’humanité. Une guerre nucléaire à grande échelle serait catastrophique pour la civilisation et l’intégrité de la planète, à cause des radiations. Il existe des rapports fiables qui font état d’ovnis qui surveillent et interfèrent avec des missiles balistiques intercontinentaux russes, ce n’est donc pas uniquement un problème américain.
voir article : https://aliensontdejala.wordpress.com/2021/05/02/lufologie-et-la-question-ecologique-ovnis-temoins-et-ufologues-quelles-interactions/
La technologie atomique a été mise au point aux États-Unis en pleine Seconde Guerre mondiale. En 1942, l’ingénieur et conseiller scientifique du président Roosevelt, Vannevar Bush (qui jouera aussi un rôle prépondérant dans l’étude des ovnis) annonce au président la faisabilité de la bombe atomique. Un vaste programme ultra-secret est lancé : le projet Manhattan. Dès juillet 1945, la première bombe expérimentale explose dans le désert du Nouveau-Mexique. En août, deux autres sont lancées, pulvérisant Hiroshima et Nagasaki, au Japon. Cet événement marquera la fin de la guerre. Mais aussi les prémices de la guerre froide, durant laquelle un arsenal massif est développé.
Jean-Jacques Velasco a dirigé le Gepan (Groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés, créé en 1977) organisme officiel, de 1981 à 2004. Il souligne que « la puissance totale dégagée a été de 440 mégatonnes (la puissance des deux bombes sur Hiroshima et Nagasaki fut de 15 et 21 kilotonnes) […]. Au plus fort des essais dans l’atmosphère, dans les années 1961 à 1963, on enregistra jusqu’à une explosion tous les trois jours ! »
Don Phillips, qui a travaillé chez Lockheed Skunkworks sur la conception et la fabrication des avions de reconnaissance U-2 et SR-71, a témoigné avoir vu des objets lumineux se déplaçant à une vitesse vertigineuse (de 4800 à 6400 kilomètres/heure) tout en effectuant des virages très serrés. Les vaisseaux formèrent une sorte de cercle, puis ils pivotèrent et disparurent. Le chef opérateur des installations radar Anthony Kasar, un ami de Don Phillips, a aussi vu les vaisseaux, ceux-ci ayant par ailleurs été repérés sur les écrans radar. Anthony Kasar et son équipe avaient repéré 6 à 7 vaisseaux, leur vitesse ayant été estimée entre 6000 et 6700 kilomètres/heure. Ces objets, qui évoluaient à une vitesse fulgurante, pouvaient soudainement s’immobiliser puis effectuer des virages à 10, 45 ou 60 degrés, et ils pouvaient aussi inverser immédiatement leur trajectoire.
Don Phillips a par ailleurs évoqué l’existence de rapports et d’archives datant de 1954 qui font état de rencontres ayant eu lieu en Californie entre les dirigeants américains et des extraterrestres. A l’écoute d’un enregistrement, il lui semble avoir reconnu la voix du président Eisenhower, la rencontre ayant été filmée. Selon Don Phillips, un rapport de l’OTAN a fait état de l’existence de 12 races extraterrestres, ce rapport établissant en outre que les visiteurs étaient présents depuis des centaines, voire des milliers d’années.
Don Phillips dit savoir que certaines technologies proviennent de vaisseaux extraterrestres. Il dit que la raison pour laquelle des vaisseaux se sont écrasés est que leur système de guidage a été interrompu ou brouillé par des radars ou par certains équipements. Ce qui lui a permis de valider cette assertion, c’est le fait d’avoir rencontré un chercheur contractuel qui travaillait sur ces technologies au sein d’une entreprise sous-traitante, Light City Technologies. Cet homme a appris à Don Phillips qu’il avait longuement travaillé sur certaines technologies lorsqu’il œuvrait, des années auparavant, au sein d’une importante agence de renseignements du gouvernement américain.
Graham Bethune, un ancien commandant et pilote de la marine des États-Unis, a été envoyé, en 1950, en Islande où il a notamment vu un tout petit halo jaune qui, en une fraction de seconde, s’éleva à une altitude de 3000 mètres. Il fut aperçu à environ un kilomètre et demi de distance, et il se stabilisa à environ 8 kilomètres, son dôme étant perceptible. Initialement, l’objet était jaune, puis il changea de couleur alors qu’il s’approchait de l’avion, une sorte de brume entourant l’objet. La longueur a été estimée par Graham Bethune à 90 mètres, le rapport des radars ayant établi la vitesse à 2900 kilomètres/heure. Cet objet volant avait parcouru une distance de 25 kilomètres en une ou deux secondes. Le rapport des radars a été envoyé au quartier général de l’armée de l’air à Washington. Le patron de Graham Bethune découvrit le rapport dans les archives de la base Wright-Patterson, dans les documents relatifs au projet Blue Book. Un ami de Graham Bethune, stationné à la base Wright-Patterson, l’a informé que Steven Spielberg avait obtenu l’autorisation de visionner ce microfilm ainsi que les dossiers Blue Book pour préparer le tournage de son film « Rencontres du troisième type ».
Un officier des renseignements s’est présenté chez Graham Bethune pour lui présenter des photos d’écrasement d’OVNIs. Il a pu voir en outre des photos montrant des disques brillants.
Au quartier général de Wright-Patterson, des réunions de pilotes étaient organisées, auxquelles Graham Bethune a assisté. Un jour, alors qu’il survolait l’aire de trafic en attendant de poser son avion, ils se rendit compte qu’il n’était pas très loin de ce qui ressemblait à un hangar en métal ondulé. Chaque fois que Graham Bethune et son patron se promenaient à proximité de ce hangar, le patron ne comprenait pas pourquoi il ne souhaitait pas entrer dans ce hangar et voir ce qui se cachait derrière ces parois en métal. Selon le patron, les autorités militaires y entreposaient un OVNI, des corps d’extraterrestres y étant aussi soigneusement conservés. Ce n’était pas le premier à avoir tenu à Graham Bethune ce genre de discours.
Graham Bethune précise que l’amiral Forney était convaincu que des vaisseaux originaires d’autres planètes nous visitaient. Il a aussi confié à Graham Bethune que le colonel Watson avait permis à l’amiral de consulter la plupart des dossiers et qu’il lui avait avoué ce qui était conservé à la base (des OVNIs et des corps extraterrestres).
Le « Dr. B » (né en 1943) déclare que, lorsqu’il se trouvait à la base de radars Point Arena, son équipe put observer des centaines d’objets volants qui descendaient à la vitesse vertigineuse de 32.000 kilomètres/heure…
Lorsqu’il travaillait chez Autonetics (avant d’intégrer la NASA pour le contrat Rockwell), il avait beaucoup investi dans un projet appelé Eyeglass, un système laser d’un milliard de watts qui devait être lancé dans l’espace pour abattre des OVNIs. Il a travaillé dans diverses entreprises (Martin Marietta, TRW, Lockheed, Douglas, Northrop Grumman Aircraft). Il se rendait souvent au site d’Hughes à Malibu où des gens travaillaient sur les technologies antigravitationnelles. Il parle de la création d’ondes hydrodynamiques grâce à l’utilisation de douze lasers dans un système plasmique, ce qui a permis de créer un vaisseau triangulaire (fabriqué près de Bentwaters en Angleterre).
Il a quitté la NASA car il avait critiqué la conception des vaisseaux spatiaux. La première nuit où la fusée Saturn a été sortie du hangar, un grand disque volant est apparu dans le ciel de Seal Beach en Californie. Ce disque a amorcé sa descente et s’est posé sur le sol. Cela s’est produit devant 400 employés, à 4 heures du matin, un jour d’avril 1966.
John Maynard, qui fut analyste du renseignement militaire au sein de l’Agence de renseignements du ministère de la défense, dit que la NRO (National Reconnaissance Organization), dirigée par l’armée de l’air, est engagée dans la surveillance d’activités impliquant les OVNIs et les extraterrestres. Elle est chargée notamment de gérer le programme de l’avion ayant succédé au SR-71. Il évoque une recherche sur l’antigravité et croit que l’intérêt se porte particulièrement sur le moteur à impulsion magnétique.
De 1963 à 1977, W. H. a servi comme sergent-chef dans l’armée de l’air des États-Unis. Il dit avoir vu à la base aérienne Wright-Patterson (Dayton, Ohio), durant l’été 1966, les restes de divers OVNIs dans un bâtiment appelé le Hangar bleu, un endroit où diverses entreprises de haute technologie acquéraient leurs connaissances les plus avancées. Il dit avoir vu un vaisseau en forme de soucoupe dont le diamètre a été estimé par lui à 9-11 mètres, avec une hauteur de 3 mètres 50 à 4 mètres 50. Il s’agissait d’un véhicule extraterrestre provenant d’un des sites d’écrasement au Nouveau-Mexique. Un officier déclara qu’il y avait eu des dizaines d’écrasements au Nouveau-Mexique, plus particulièrement dans la région des « Four Corners », là où convergent les États de l’Arizona, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l’Utah. Selon lui, ces écrasements étaient principalement attribuables à la présence dans cette région d’un « immense dôme radar » : quand le système radar était opérationnel alors que les OVNIs survolaient cette région, ces derniers perdaient tout contrôle, ce qui entraînait leur écrasement. Une ouverture dans le vaisseau aperçu (de couleur aluminium) devait correspondre à l’entrée. Il n’y avait pas de fenêtre ni de hublot, et il ne semblait n’y avoir aucune soudure.
Durant l’été 1966, W. H. a participé au transport aérien de haut gradés de la marine, ainsi que d’ingénieurs et de scientifiques civils, ces vols se déroulant dans le cadre du projet Mercury. Arrivés dans un canyon, ils purent voir un vaisseau très similaire à celui observé dans le Hangar bleu en Ohio. Il était équipé d’un triple train d’atterrissage, la porte étant baissée. Deux extraterrestres vivants étaient présents ! Ils mesuraient moins d’un mètre cinquante, les témoins se trouvant à environ cent mètres de distance d’eux. W. H. put les observer attentivement, le chauffeur de l’autobus ayant prêté ses jumelles. Ces êtres avaient de grands yeux, des bouches minces, des mains et des bras longs et fins, des corps minces, et ils portaient des combinaisons de vol intégrales, de couleur aluminium. Des membres de la délégation les entouraient et observèrent ce qu’il y avait à l’intérieur du vaisseau. La rencontre avec ces deux êtres et la visite de leur vaisseau durèrent environ deux heures. D’après ce que W. H. a compris, les communications avec les êtres étaient de nature télépathique.
A l’automne 1966, dans une base ultrasecrète (Barking Sands) de la marine à Kauai, W. H. put apercevoir un vaisseau qui semblait avoir surgi de la mer, à une distance de 200 mètres du poste d’observation. Ce vaisseau, qui avait la forme d’une soucoupe, était équipé d’une lumière oscillante qui l’éclairait dans un mouvement de va-et-vient. Il n’y avait pas de fenêtre. Il disparut rapidement aussi rapidement qu’il était apparu. Puis il réapparut, à environ 100 mètres du poste d’observation et à 60 mètres au-dessus de l’eau. Après avoir effectué un virage abrupt, il replongea dans la mer. Étonnamment, il n’y eut ni explosion ni implosion quand ce vaisseau entra dans l’eau puis en ressortit. Un responsable interrogé répondit que quand un engin à propulsion électromagnétique entre dans l’eau, la force qui l’entoure le précède, puis le vaisseau suit. Idem lorsque l’engin sort de l’eau.
Le projet Mercury était basé à White Sands, alors que le projet X était basé à Kauai, à Hawaï.
W. H. dit qu’il avait un bon ami, Welsley Bond, qui a travaillé pour la CIA et qui était chargé d’informer les présidents nouvellement élus de tout ce qui était relié aux OVNIs et aux phénomènes extraterrestres. Le président Reagan aurait déclaré qu’il croyait qu’il y avait au moins 39 espèces extraterrestres connues. Quant à Jimmy Carter, qui s’était rendu à Fort Huachuca près de Sierra Vista en Arizona, il aurait vu un extraterrestre étendu sur un lit. Les larmes aux yeux, il aurait déclaré : « Oh, mon Dieu ! ils sont vivants. »
En février 2014, Welsley Bond a appelé W. H. pour lui dire qu’il était prêt à divulguer toutes ces informations. Les informations étaient transcrites sur de nombreux DVD. Il était descendu dans un motel situé à Phoenix (Arizona), mais lorsque W. H. est arrivé le lendemain à Phoenix, son ami avait disparu. Welsley Bond avait été assassiné.
Au milieu des années 1960, William John Pawelec fut spécialiste de la programmation et des opérations informatiques au sein de l’armée de l’air des États-Unis. Il a relaté avoir vu dans le ciel de Caroline du Nord, avec une jeune femme, un OVNI à environ 90 mètres d’eux. L’engin disparut à la vitesse de l’éclair puis réapparut 20 ou 30 secondes plus tard à une hauteur de 60 à 90 mètres et à une distance de 12 à 15 mètres de l’endroit où ils se trouvaient.
John Callahan, ancien chef de la Division des accidents et des enquêtes de la FAA (Federal Aviation Administration), évoque un incident qui s’est produit en 1986, quand un OVNI a poursuivi un 747 durant environ 30 minutes. Ce 747, qui appartenait à une compagnie aérienne japonaise, traversait le territoire de l’Alaska. Les radars repérèrent une cible de grande envergure, et le pilote put lui-même voir celle-ci, laquelle ressemblait à une grosse boule équipée de lumières. La taille fut évaluée à environ quatre fois celle du 747 ! Le ballet aérien se poursuivit pendant 31 minutes, l’OVNI changeant en permanence de position par rapport au 747. L’OVNI ne put jamais être semé. Il était toujours là, à l’avant, à l’arrière, ou sur les côtés. Il maintenait en permanence, avec le 747, une distance de 11 à 13 kilomètres. Le pilote d’un avion de l’United Airlines fut informé que le 747 japonais avait été suivi à la trace par un OVNI…
Lorsque les deux avions volèrent à proximité l’un de l’autre, l’OVNI décrocha du 747 pour suivre l’avion de l’United Airlines jusqu’à l’approche finale précédant l’atterrissage, puis il disparut soudainement. Au quartier général de la FAA, à Washington, D. C., l’amiral Engen, le directeur, put visionner la vidéo. Pour l’essentiel, la FAA voulut se désengager de ce dossier.
Lors d’une réunion, furent présents trois agents du FBI, trois agents de la CIA, et trois représentants du Groupe d’études scientifiques. Ils virent la vidéo. A une question posée, John Callahan répondit qu’il semblait bien qu’il s’agissait d’un OVNI. Lorsque la réunion s’est achevée, un des hommes de la CIA fit promettre aux personnes présentes de ne jamais dire que cette réunion avait eu lieu. Selon l’agent de la CIA, si cette information était divulguée au grand public, cela déclencherait un vent de panique dans le pays. John Callahan a cependant pu conserver la vidéo originale, le rapport du pilote japonais et le premier rapport de la FAA. Le pilote a dû quant à lui accepter un travail de bureau… Un sous-officier supérieur du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord) a avoué à John Callahan qu’un rapport avait été déposé sur cet incident.
Dan Morris témoigne avoir vu, à la base aérienne Warner Robbins, trois OVNIs argentés. Les antennes du radar les ont suivis. Des photos ont été prises. Puis ils disparurent des écrans. Il déclare que si les essais nucléaires ont été arrêtés, c’est parce que des extraterrestres en provenance d’Orion ont donné l’ordre de les arrêter.
Dan Morris a dit que le gouvernement sud-africain a admis avoir récupéré un vaisseau extraterrestre. Dans un documentaire sud-africain, on a vu un sergent de police reconnaître avoir récupéré ce vaisseau, des images de cette opération de récupération étant visibles dans ce documentaire. D’après ce que Dan Morris a lu, un accord a été passé entre le gouvernement américain et le gouvernement sud-africain : en échange de l’engagement de la part du gouvernement des États-Unis à garder le silence sur le développement de la première arme nucléaire sud-africaine, les autorités sud-africaines devaient remettre aux États-Unis l’OVNI qu’elles avaient récupéré sur leur territoire.
Dan Morris : « Une fois cet accord conclu, un avion de transport militaire C-5A Galaxy décolla d’une base américaine pour aller récupérer l’aéronef ainsi que deux extraterrestres qui avaient réussi à s’extraire du vaisseau. Après avoir chargé sa cargaison, le C-5A redécolla immédiatement en direction de la base Wright-Patterson, située à Dayton en Ohio, où nous entreposons habituellement tout ce que nous récupérons. Cette base dispose de huit niveaux souterrains ; c’est là que l’ovni récupéré en Afrique du Sud a été entreposé. »
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