
Le Brésil est l’un des pays qui possède le plus grand nombre de cas d’OVNI dans le monde. Les cas qui se produisent dans le pays sont parmi les plus spectaculaires de la littérature ufologique, et ce livre présentera au lecteur certains des cas de rencontre rapprochée les plus fascinants, parmi lesquels beaucoup n’ont jamais été publiés à l’étranger auparavant, avec de nombreux détails, photos et illustrations. Sont couverts des cas bien connus, tels que l’affaire Varginha survenue en janvier 1996 et qui a été une impulsion pour l’organisation du premier forum ufologique mondial à Brasilia en 1997, auquel participa l’auteur et conférencier français Gildas Bourdais.
Le livre fait une grande place à l’Opération Prato de 1977 : à partir de la fin des années soixante-dix, notamment dans la région de Colarés, des pêcheurs et des paysans ont été pourchassés la nuit par des petits ovnis surnommés « chupas », les soulevant du sol et les brûlant avec des rayons lumineux. Une enquête militaire a eu lieu dans la région de Colarés (Etat du Pará), baptisée « Opération Prato » et dirigée par le colonel Hollanda. Ce dernier a confirmé les faits en 1997.
Une importante déclassification d’archives OVNI a été réalisée par les militaires autour de 2007, qui concerne ce cas parmi quelques autres. Le cas de l’Ile du Crabe a été l’objet d’une longue enquête de l’ufologue américain Bob Pratt, qui a longtemps résidé dans le pays. Ce cas tragique a vu un jeune homme de 22 ans perdre la vie ce 25 avril 1977 dans des conditions inexpliquées jusqu’à ce jour. On trouve encore dans le livre un récit complet de l’affaire Antonio Villas-Boas, cas historique d’enlèvement survenu en 1957 dans le Minas Gerais. Egalement l’affaire Ubatuba (1957), cas authentique de crash d’OVNI qui a été étudié par des services officiels américains et commenté dans les principales revues ufologiques dans le monde.
Le livre contient plusieurs autres cas de crash d’OVNIs peu connus. La « Nuit Officielle des Ovnis » a été le cadre de nombreuses observations par des pilotes civils et militaires, les 19 et 20 mai 1986, dans la région de Brasilia et de Sao Paulo. Également de nombreux cas de rencontres d’humanoïdes, dont plusieurs ont comporté des « communications » avec des considérations spirituelles, morales ou scientifiques. Ainsi du « Voyage » de Mario Restier : Emmené volontairement dans un ovni, il disparaît quatre mois, du 4 décembre 1949 au 14 avril 1950, et revient sain et sauf sans se douter du temps passé. On connait plusieurs cas de « dilatation » temporelle comme celui-là. Tous ces cas ont été l’objet d’une mise à jour.
Le lecteur trouvera aussi des observations d’OVNI par des pilotes civils et militaires, la présence d’un OVNI au-dessus d’une prison de la capitale brésilienne, la mort d’un témoin après avoir été frappé par un rayon émis par un OVNI. Ce livre a un total de 470 pages et contient plus de 200 illustrations.
L’auteur :
Thiago Luiz Ticchetti est né le 5 janvier 1975 à Santa Crus, État de Janeiro; son père était colonel de l’armée de l’air Brésilienne. Thiago Luiz Ticchetti a fait des recherches sur les ovnis depuis plus de 20 ans, a enquêté sur plus de 40 cas et a participé à plus de 50 veillées ufologiques. En 1977, il a participé au 1er Forum Mondial de l’ufologie, tenu à Brasilia, où fut invité par Roberto Alfonso Beck à rejoindre l’organisme brésilien pour les études extraterrestres (EBE-ET). Pendant plus de 10 ans, il a pris une partie active dans l’organisation, jusqu’à devenir vice-président. Il a intégré l’équipe de rédaction du magazine Revista UFO en 1997, où il commença comme traducteur bénévole, avant de devenir consultant, coordinateur international, et actuellement coéditeur. Il est responsable de la rubrique « Monde Ufologique » du magazine. Depuis 2019, il occupe le poste de président de la Commission Brésilienne d’Ufologues (CBU). En 2017, il a été nommé Assistant du directeur international du MUFON au Brésil, et enquêteur de terrain certifié MUFON. Auteur de dizaines de textes pour le magazines Revista UFO, il a publié 9 livres.
Thiago Luiz Ticchetti a eu l’occasion d’interviewer les plus grands chercheurs de la communauté ufologique, parmi lesquels Nick Redfern, João Alexander, Donald Schmitt, David Childress, Don Ledger, Philip Mantle, David Jacob, Kevin Randle, Stanton Friedman, Nick Pope, Jerome Clark, Graham Birdsall, Wendelle Stevens, parmi d’autres. Il a été le premier et le seul chercheur brésilien à publier des articles dans le magazine britannique UFO Matrix. Il est actuellement chroniqueur pour la revue britannique UFO Truth Magazine.
Thiago Luiz Ticchetti anime le site Investigacão OVNI au Brésil.
Antonio Villas Boas, né en 1934 et mort le 17 janvier 1991, est un fermier brésilien qui a prétendu avoir été enlevé par des extraterrestres en 1957. Si d’autres affaires similaires circulaient déjà depuis des années, le récit de Villas Boas a toutefois été l’un des premiers récits d’enlèvement (rencontre rapprochée du 7e type) à susciter un grand intérêt.
Au moment de son enlèvement présumé, Antonio Villas Boas était un fermier brésilien de 23 ans qui travaillait la nuit pour éviter les chaudes températures de la journée.
L’abduction
Le 16 octobre 1957, alors qu’il laboure ses champs près de São Francisco de Sales, il aperçoit, dans le ciel nocturne, ce qu’il décrit comme étant une « étoile rouge ». Selon son récit, cette « étoile » se rapproche de l’endroit où il se trouve, en grossissant jusqu’à prendre l’aspect d’un engin aérien à peu près circulaire ou ovale, avec une lumière rouge sur le devant et une coupole tournante sur le dessus. L’engin amorce sa descente, se posant dans le champ sur trois « jambes ». Villas Boas s’enfuit.
Villas Boas tente d’abord de se sauver sur son tracteur, mais après avoir parcouru une courte distance, le moteur et les phares s’arrêtent et il décide de continuer à pied. Il est alors saisi par un humanoïde de 1,50 m de haut qui porte une combinaison grise et un casque. Ses yeux sont petits et bleus, et il ne parle pas une langue humaine mais émet des aboiements et des jappements. Trois êtres semblables se joignent ensuite au premier pour maîtriser Villas Boas, traînant celui-ci à l’intérieur de leur vaisseau.
Une fois à l’intérieur de l’engin, Villas Boas est dépouillé de ses vêtements et oint de la tête aux pieds d’un gel inconnu par des humanoïdes qui semblent communiquer entre eux au moyen de sons ressemblant à des vocalises et des cris d’animaux. Il est ensuite conduit dans une grande salle semi-circulaire, franchissant une porte arborant d’étranges symboles rouges. (Villas Boas affirme avoir pu mémoriser ces symboles, qu’il reproduisit plus tard à la demande des enquêteurs). Dans cette salle, les êtres prélèvent des échantillons de sang au niveau de son menton. Après cela, il est amené dans une troisième pièce et laissé seul pendant environ une demi-heure. Pendant ce temps, une sorte de gaz se diffuse dans la pièce, qui rend Villas Boas très malade.
L’accouplement
Peu après, à ce que prétend Villas Boas, il est conduit dans la salle par un autre humanoïde. Celui-ci, cependant, est une femelle, nue et très attirante. Elle est de la même taille que les autres êtres qu’il a rencontrés, avec un visage « triangulaire » au menton petit et pointu, et aux grands yeux bleus comme ceux d’un félin. Ses cheveux sont longs et blancs, voire blond platine, mais ses poils des aisselles et du pubis sont rouge vif. Villas Boas, qui rapporte avoir été fortement attiré par la femelle, a des rapports sexuels avec elle. Pendant l’acte, Villas Boas note que la femelle ne l’embrasse pas mais, plutôt, qu’elle lui pince le menton.
Quand tout est terminé, la femelle sourit à Villas Boas, frottant son ventre et faisant un geste vers le haut. Villas Boas y voit le signe qu’elle va élever leur enfant dans l’espace. La femelle semble soulagée que leur « tâche » soit terminée, tandis que Villas Boas lui-même s’irrite de n’avoir été qu’une sorte d’« étalon » pour les humanoïdes.
La sortie
Villas Boas est invité par les humanoïdes à se rhabiller puis à faire le tour du vaisseau. Durant la visite, il essaie de prendre un objet ressemblant à une montre comme preuve de sa rencontre, mais est surpris par les humanoïdes qui l’en empêchent. Escorté ensuite hors de l’engin, il assiste au décollage et au départ du vaisseau brillant de mille feux. De retour chez lui, Villas Boas constate que quatre heures se sont écoulées
Antonio Villas Boas devint plus tard avocat, se maria et eut quatre enfants. Il mourut en 1991. Il maintint l’histoire de son enlèvement présumé toute sa vie durant.
Le doute subsiste
Le chercheur Peter Rogerson doute de la véracité du récit de Villas Boas. Il fait remarquer que plusieurs mois avant que celui-ci ne fasse le récit de son enlèvement supposé, le périodique O Cruzeiro avait publié un article sur une affaire similaire dans son numéro de 1957. Villas Boas aurait emprunté certains détails de ce premier récit, y ajoutant des éléments puisés dans les récits de George Adamski. Peter Rogerson note en outre que la raison pour laquelle le récit de Villas Boas parut crédible est le préjugé selon lequel tout fermier de l’intérieur du Brésil ne peut être qu’un paysan illettré, incapable d’« inventer une telle histoire ». Le fait que les Villas Boas étaient propriétaires d’un tracteur montrait qu’ils appartenaient à une catégorie sociale bien au-dessus de celle des paysans. On sait désormais qu’Antonio Villas Boas était un jeune homme en pleine ascension sociale, qui suivait des cours par correspondance pour devenir avocat (apprenant cela, les ovnilogues qui trouvaient Villas Boas trop simple d’esprit pour avoir fabriqué toute cette histoire, se mirent dès lors à soutenir qu’il était trop bourgeois et respectable pour se prêter à un tel simulacre).
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Villas_Boas
UNE VAGUE D’OVNIS SUR LE BRÉSIL
En 1977, Colares est une île peu peuplée qui vit principalement de la pêche. Cette île, reculée de la civilisation comptait environ 2 000 habitants au moment des faits. Toutefois, presque tous les habitants de cette île ont été témoins de ces apparitions d’ovnis.
Les observations d’ovnis à Colares ont mis du temps avant d’être prises au sérieux. Elles étaient dans un premier temps qualifiées d’hystérie collective par les autorités politiques et religieuses. Cependant, face à la multiplication des récits, la presse locale a fini par s’emparer du sujet. Les médias locaux ont ainsi récolté plusieurs témoignages et ont publié plusieurs articles sur le sujet.
Le 17 juillet 1977, le quotidien O Estado do Marhanhão rapporte :
« L’apparition d’un OVNI au dessus de la ville de Pinheiro (a 400km de Colares), a créé la stupeur et la panique au sein de la population. Certains, affirment que cet objet s’approche de ses victimes pour les paralyser et leur prélever du sang. Beaucoup prennent l’existence de ces OVNIS très au sérieux, puisqu’une équipe de journalistes à pu filmer l’un de ces objets. Observé par des milliers de témoins dans la région de Pinheiro, l’ovni à la forme d’un « Y ». La terreur est réelle dans la région, la population appréhende de sortir la nuit et la rumeur affirme que lorsque l’ovni vol à basse altitude, il émet un rayon lumineux extrêmement incandescent. »
Ce témoignage troublant ne sera pas le seul, l’armée va en être témoin également, et les blessures vont être rapportées dans les dossiers médicaux.
Ces lumières ont été surnommées « CHUPA CHUPA » par les habitants, à cause des formes laissées par leurs blessures. Ces blessures sont comparables aux marques laissées par les sangsues qui sucent la peau et la sang. Or, face à cette étrange phénomène, les nombreux pêcheurs de l’île redoutaient de plus en plus leurs sorties en mer.
En effet, parmi ces pêcheurs, certains affirment avoir vu un vaisseau sortir de l’eau avant de s’en aller au loin…
Un conseiller municipal en place actuellement, a été interviewé par le journaliste Paul Beban sur les événements de Colares, il déclare : (source: Contact épisode 7 et 8)
« Sur l’île de Colares en 1977, tous les habitants ont été pris de panique. Les gens ne se sentaient plus en sécurité dans leur maison. Ils n’arrivaient plus à mener une vie normale. Ils avaient peur de ses lumières. »
Et pour causes, plusieurs témoins affirment que les lumières provenant de ces OVNIS, pouvaient s’infiltrer à travers les fissures des murs ou des plafonds.
Naoto, un habitant de l’île témoigne :
« Je dormais, il devait être une heure du matin. Je me suis réveillé et j’ai vu des rayons qui visaient ma jambe. J’ai senti trois piqures, je n’arrivais plus à bouger, je me sentais complètement paralysé. Après 15 minutes j’ai pu appeler à l’aide et les lumières avaient disparu. »
Face à ces témoignages, le médecin de l’île va ainsi examiner et confirmer les traces laissées par ces lumières. Selon les témoignages et les récits, ces lumières apparaissaient toujours le soir, entre 18h00 et 19h00. Par ailleurs, des dizaines de personnes affirment avoir été victimes de ces étranges lumières. La docteur Wellaide Cecim Carvalho, était à cette époque, le médecin principal de Colares et s’est occupée de toutes les victimes. Parmi ces victimes, l’une était atteinte d’une faiblesse musculaire, elle ne pouvait ni parler, ni entendre.
« J’ai d’abord pensé qu’elle était atteinte de la malaria, mais les témoins ont déclaré que la victime s’est fait attaquer par une lumière, alors qu’elle était sur le porche de sa maison. »
De formation scientifique, le Dr Wellaide Cecim Carvalho sait rationaliser une situation, et avant tout garder un esprit critique.
« J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’une hallucination collective. Mais en un mois on a eu plus de 40 victimes »
Or, ce médecin intrigué par la similitude des récits, affirme avoir proposé plusieurs fois aux militaires présents sur place son aide pour enquêter sur ces phénomènes troublants. Mais sa présence semblait les déranger, et à sa grande surprise, elle a été mutée. Néanmoins, la Dre Carvalho a vu suffisamment de cas pour relater les faits suivants.
voir article : https://sciencemysterieuse.com/ufologie-ovni/affaire-colares-incroyable-vague-dovnis-bresil/
Ce documentaire relate comment l’armée a capturé le 20 janvier 1996 au Brésil deux extraterrestres après le crash de leur appareil. Vous y retrouverez aussi des événements liés au Chupacabras.
Une mort atroce au Brésil
Cette histoire, que l’on peut qualifier sans exagération de terrifiante, s’est produite en février 1946. Elle a marqué les esprits de tous les ufologues de la planète car cela a montré les périls possibles que pourrait comporter le fait d’approcher trop près d’un ovni.
L’incident eut lieu dans le bourg de Araçariguama, dans l’État de Sao Paulo au Brésil. La victime, Joao Prestes Filho, était cultivateur. C’était un homme robuste, jouissant d’une excellente santé.
Son village, éloigné des grands axes de circulation, ne disposait ni d’électricité ni de réseau téléphonique. Rien ne se passait dans ce bourg sinon que, pendant les nuits, d’étranges lumières évoluaient dans le ciel, décrivant des trajectoires désordonnées au-dessus des bois et des monts de la région. Les habitants en parlaient au cours des réunions locales, et les opinions étaient divergentes quand à l’origine du phénomène.
Monsieur Filho avait invité son ami Santos à une partie de pêche sur les bords du Tieté. Les deux amis passèrent la journée à pêcher, sans problème. Ils rentrèrent vers 19h sous une légère brume. Une heure plus tard, Prestes Filho, complètement terrorisé, fit irruption chez sa sœur Maria. Il lui expliqua d’une voix saccadée, qu’à l’instant où il ouvrait la porte-fenêtre de sa maison, il avait reçu de l’extérieur un faisceau de lumière intense qui l’obligea à se protéger le visage des deux mains. Étourdi, il dit être tombé à terre, sans toutefois perdre conscience. Lorsqu’il se releva, il se mit à fuir vers le centre du village pour trouver du secours.
Les voisins de sa sœur furent immédiatement alertés et tous écoutèrent l’histoire que Filho racontait sans pouvoir s’arrêter. Parmi eux, se trouvait M. Aracy Gomide, inspecteur fiscal de la Préfecture. Il fit le récit suivant :
« Les cheveux, la tête, les yeux, aucune partie visible du corps et des vêtements ne présentaient de trace de brûlures. Par contre, ses yeux étaient dilatés d’épouvante et il était très excité. Mais, peu après, la scène tourna à l’horreur. Les chairs de M. Filho commencèrent à prendre le même aspect que si elles avaient été cuites à l’eau bouillante. Elle se mirent à se décoller des os, tombant par morceaux de la mâchoire, de la poitrine, des bras, des mains, des doigts, des jambes, des pieds et des orteils. Quelques morceaux de chair restèrent suspendus par les tendons. Personne n’osa le toucher. Puis tout se détériora de façon horrible. Les os et les dents étaient à nu. Mr Filho refusa l’eau et les aliments qu’on lui tendait, et à aucun moment il ne sembla ressentir de douleur, ce qui est incompréhensible ! Son nez et ses oreilles se détachèrent et tombèrent sur le sol. Les témoins n’avaient plus devant les yeux qu’un spectre terrifiant se disloquant de mutilation en mutilation. Ses yeux étaient écarquillés de terreur. On voyait qu’il était conscient. Sa bouche se désarticulait et ses paroles n’étaient plus que des sons inaudibles. La confusion était générale. À l’aide d’une charrette on emmena à l’hôpital le pauvre homme, dont le corps était presque décharné. Six heures après avoir été agressé par une projection de lumière, le cadavre de Prestes Filho revint de Aracariguama, car il était mort pendant le voyage. »
Monsieur Gomide, qui l’accompagnait, dit que, jusqu’au dernier moment, des sons gutturaux sortaient de ce qui lui restait de bouche, c’est-à-dire, en fait, un morceau de mâchoire. On ne saura jamais s’il continuait à raconter son horrible aventure.
Le certificat de décès indique : « Mort par brûlures généralisées ». La police fit une enquête, mais que rechercher ? Sur les lieux, aucune trace ne fut relevée à l’intérieur comme à l’extérieur. Notre science actuelle est impuissante à expliquer la cause d’une mort aussi atroce. Par la suite, des lumières furent encore observées dans la région, mais rien d’agressif. Avouez que, parfois, la réalité dépasse la fiction !

L’audition du sénat Brésilien sur les ovnis a été un succés
Le 24 juin 2022, le sénateur Eduardo Girão a ouvert la session de l’audition publique du Sénat sur les OVNIs. L’événement, unique au monde, a été un succès absolu, avec une salle presque pleine et plus de 22 000 vues sur la chaîne de télévision du Sénat sur YouTube, et devrait ouvrir des portes pour de futures discussions sur le sujet.
Wilson Picler a commencé par soutenir le postulat de la vie en dehors de la Terre, illustrant par des images et des arguments scientifiques, l’immensité cosmique avec son nombre incommensurable de galaxies et d’étoiles. Il a présenté une enquête sur la croyance en la vie extraterrestre au Brésil, avec des données expressives.
A. J. Gevaerd a ensuite donné une conférence sur les documents aéronautiques concernant les OVNIs, en précisant qu’il existe environ 20 000 pages de documents ufologiques qui ont été publiés au fil des ans et qui sont à la disposition du public. Il a exposé une brève histoire de l’ufologie au Brésil, avec des événements importants tels que les contacts et les enlèvements, ainsi que plusieurs projets, tels que la campagne « OVNIs : Liberté d’information ».
Gevaerd a également montré des documents avec des illustrations d’OVNIs, y compris ceux qui ont atterri ; type de documentation détaillée qui n’est fait nulle part dans le monde. Le rédacteur en chef d’UFO Magazine a remis la lettre de Brasilia au Sénat, où il a expliqué ce que les ufologues pensent des soucoupes volantes, ce qui a déjà été découvert dans notre pays, et ce qu’ils recommandent de faire, le point principal étant la création d’une commission permanente, civile et militaire, pour la recherche organisée des OVNI.
Jackson Luiz Camargo a parlé de la nuit officielle des ovnis au Brésil, un événement au cours duquel il y a eu une forte manifestation ufologique pendant environ 13 heures, avec des témoins de toutes sortes.
Rony Vernet a exposé les résultats de certains contacts ufologiques qui se sont soldés par des blessures, voire des décès, en donnant pour exemple la fameuse opération Dish, une enquête officielle qui cherchait à comprendre le phénomène Lollipop. Geraldo Lemos a donné une conférence sur la spiritualité et l’ufologie, soulignant la pluralité des mondes habités. Thiago Ticchetti (directeur de MUFON Brésil) a présenté des cas d’ufologie brésilienne considérés comme exceptionnels, comme l’île de Trindade, dont les photos d’OVNI ont même été analysées par le Pentagone.
Inajar Kurowski a expliqué les enlèvements au Brésil, de l’enlèvement de l’indigène Manemuaçu, dont le récit a illustré de grands mauvais traitements de la part des êtres qui l’ont enlevé, y compris sa restitution au milieu d’une forêt de mangroves, à Antônio Villas-Boas et au cas de João Caiana.
Gary Heseltine a commencé par présenter son expérience d’officier de police et d’enquêteur, déclarant que » ( ?) nous avons tellement de preuves sur cette question que c’est un crime qu’elles n’aient pas été rendues publiques jusqu’à présent. Et des événements comme celui-ci rendront cela de plus en plus possible. On vous a menti pendant 75 ans, par de nombreux gouvernements dans le monde entier. » Il a exposé d’importants cas d’observations de 1942 à 1990, depuis les OVNIs de la Seconde Guerre mondiale jusqu’à l’affaire de la forêt de Rendlesham, en passant par les vidéos récemment diffusées par l’armée américaine, comme le fameux Tic-tac.
Robert Salas a commencé par dire merci, soulignant qu’il avait attendu « (…) 55 ans pour avoir une occasion comme celle-ci, car c’est à ce moment-là que s’est produit l’incident que je vais décrire. Et j’ai toujours voulu parler devant un organe gouvernemental, et c’est ma chance. Merci beaucoup ! » Salas a parlé d’OVNIs interférant avec des bases et des silos nucléaires, désactivant des ogives et mettant les sites en état d’alerte, parmi lesquels il a lui-même été témoin d’un des événements. Pour lui, la question nucléaire est très sérieuse : « Nous avons aujourd’hui environ 20 000 têtes nucléaires réparties dans neuf puissances nucléaires. » Il souligne que sans ouverture ufologique, le secret ufologique perdurera. L’excès de secret sape la confiance du public, surtout en période de crise existentielle, comme les guerres et le réchauffement climatique. Salas conclut en disant que la fin du secret aurait un impact positif sur l’humanité, en aidant chacun à faire face aux défis qui peuvent se présenter.
La dernière partie de l’audience était consacrée aux questions du public, mais en raison du grand nombre de questions, seules quelques-unes ont été retenues. L’événement a été un énorme succès, faisant entrer la sensibilisation au sujet dans la sphère politique et créant d’énormes opportunités pour que le sujet soit discuté de manière encore plus sérieuse, tout en ouvrant la voie à une éventuelle ouverture ufologique complète et sans voile.
source : https://www.mufonfrance.fr/post/l-audition-du-sénat-brésilien-sur-les-ovnis-a-été-un-succès fbclid=IwAR0ejq_SnvIkOdtjBCjEpXAk7ZMbI0QWjZGw8mqHuta2zCjDArnYE1vJRiQ
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