« L’étoffe des héros« : l’expression convient on ne peut mieux à Gordon Cooper. En mail 1963, alors que la capsule Mercury dans laquelle il effectue son premier vol stratosphérique ne répond plus, il réussit à en reprendre le contrôle et à amerrir au milieu du Pacifique. Kennedy le décore à la Maison-Blanche, et le peuple américain le célèbre sur Pennsylvania Avenue, à Washington. Il vient d’entrer dans la légende. Mais Gordon Cooper n’est pas seulement un héros. Aviateur en Europe dans les années 50, il a pris en chasse des objets volants non identifiés et observé des phénomènes inexplicables. Ovnis ?
Il se refuse d’abord à le croire. Il lui faut pourtant changer d’avis lorsque, en 1965, se produit un incident troublant. Ayant pris par hasard des clichés du désert du Nevada à bord de la capsule Gemini 5, il se les voit confisquer… par le président Johnson en personne. Serait-ce pour préserver le secret sur la fameuse Zone 51, où, dit-on, l’US Air Force se livrerait à des études sur la vie et les technologies extraterrestres ? Depuis cette date, Gordon Cooper, avec l’appui de scientifiques, a mené sa propre enquête.
En 1978, il est allé dire sa conviction à la tribune des Nations Unies : oui, il existe des formes de vie extraterrestre : oui, le Pentagone a caché la vérité au monde.
Ce récit autobiographique, témoignage captivant sur l’épopée de la conquête spatiale, lève aussi le voile sur l’un des secrets militaires les mieux gardés au monde : l’existence de contacts avec des civilisations non humaines.
Témoignage de Gordon Cooper : « Il y avait un grand nombre de véhicules extraterrestres qui volaient par-là, ils volaient même au milieu de notre formation. Ils n’avaient pas d’ailes et leur forme s’apparentait à celle d’un disque. Nous savions qu’il était impossible de voler aussi vite et aussi haut qu’eux. Nous ne pouvions pas faire grand chose. Leur apparence était métallique et de forme discoïdale. Ils ont réalisé quelques manoeuvres qui pour nous étaient impossibles comme se déplacer horizontalement à très grande vitesse.
Ils filaient devant et brusquement ils étaient capables de changer de direction rapidement. J’avais une équipe de tournage qui filmait pour moi dans un projet de systèmes d’atterrissage à Dry Lake Bed, Californie. Ils étaient en train de filmer les processus d’installation. Quand un petit disque a survolé l’endroit où ils se trouvaient et a atterri au moyen de ce qu’ils pensaient être un train d’atterrissage, à 13m du groupe. Le caméraman, habitué à voler et connaisseur de toute sorte d’avions s’empressa de prendre son matériel et filma ce qu’il voyait.
Il réussit quelques prises pendant que l’objet décollait, puis repliait son train d’atterrissage et disparaissait à une vitesse vertigineuse. Ils sont alors venus me parler de cet incident, et ensuite j’ai pris le film et me suis précipité vers le laboratoire où j’ai aussitôt lu le règlement afin de savoir ce que je devais faire et à qui communiquer ce type d’incidents. Lorsque je suis retourné avec le film, des Hauts Responsables m’attendaient et m’ont dit que je devais leur remettre les négatifs en main propre, puis ils ont repris l’avion avec lequel ils étaient venus, emportant avec eux le film à Washington. »
Une autre fois, tandis que deux cameramans filmaient un avion conventionnel effectuant un atterrissage de précision, une soucoupe passa juste au-dessus d’eux et se posa devant eux, sur le fond asséché d’un lac. L’événement a été entièrement filmé, en plans larges et en gros plans. Il a été envoyé à Washington mais n’a jamais été retourné.
Dans certains cas, des pilotes, ayant pris des photos, ont ramené la preuve par les pellicules qu’ils ont dû confier immédiatement au labo, mais sans jamais pouvoir les visionner, comme certains clichés que Gordon Cooper a faits de la zone 51 et qui ont été confisqués par le président L. Johnson…. Sauf une fois, quand il a reçu l’ordre de développer ses pellicules, sans faire de tirage papier, avant d’envoyer les négatifs dans une valise diplomatique, sur un vol prioritaire, en direction de Washington. C’est à ce moment-là qu’avec stupéfaction, le major Cooper a pu admirer la soucoupe que ses cameramen avaient filmée se posant au sol.
À travers les différentes personnes que le major Cooper a été amené à rencontrer, il a pu récolter de nombreux témoignages d’observations, mais également l’existence de contacts avec des civilisations non humaines.
« Un pilote major de l’armée de l’air avec qui j’étais ami a travaillé à Roswell. Il a vu les débris en question et il m’a affirmé qu’il ne s’agissait sûrement pas d’un ballon. Il devait être prudent sur ce qu’il disait en raison des règles de sécurité très strictes qui entouraient cet incident, mais il a été très clair : ce qui s’est écrasé au sol ce jour-là était un appareil d’origine extraterrestre et les corps de l’équipage ont été récupérés. »
Même sur les comptes rendus persistants de la part de témoins militaires et civils sur ces corps non humains qu’ils ont observés sur le site de l’accident, l’armée de l’air leur a toujours suggéré qu’il s’agissait « de mannequins anthropomorphiques expérimentaux transportés dans ces ballons à haute altitude à des fins scientifiques. »
Gordon Cooper : « Il est possible que pour être acceptés en tant que membres à part entière de la communauté universelle, nous devions leur montrer que nous avons appris à résoudre nos conflits de façon pacifique plutôt que par la guerre. »
Gordon Cooper – de son vrai nom Leroy Gordon Cooper, surnommé « Gordo » par ses amis et collègues – est un astronaute américain né le à Shawnee dans l’Oklahoma aux États-Unis, et mort le à l’âge de 77 ans, à Ventura, en Californie aux États-Unis, .
Il fut l’un des sept astronautes du groupe baptisé « The Original Seven » constitué dans le cadre du programme Mercury, programme de vols orbitaux habités d’une grande importance dans la compétition que se livraient alors les États-Unis et l’Union soviétique en matière de conquête spatiale.
Source : Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gordon_Cooper
Il était l’un des astronautes du programme original Mercury Seven et le dernier américain à avoir volé seul dans l’espace. Dans son témoignage, il raconte comment il observa des Ovnis volant dans la même formation que son groupe de chasseurs dans le ciel d’Allemagne. Selon lui, ces Ovnis faisaient des manœuvres qui ne pouvaient pas être effectuées par des chasseurs conventionnels. Il dit avoir senti qu’ils devaient être sous contrôle intelligent pour pouvoir communiquer les uns avec les autres et effectuer ces types de manœuvres.
Gordon Cooper, ONU New-York 1985
« Je pense que ces vaisseaux extraterrestres et leurs équipages qui visitent la Terre à partir d’autres planètes sont d’une manière évidente un peu plus avancés technologiquement que nous. Pendant des années, j’ai vécu avec un secret, le secret imposé à tous les spécialistes et les astraunotes. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux États-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de nature inconnues. Et il y a des milliers de rapports de témoins et quantités de documents qui le prouvent, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens imaginent une espèce d’horribles envahisseurs. Donc le maître mot demeure : nous devons éviter la panique à tout prix. »
Le Major Gordon Cooper fut l’un des astronautes du premier programme Mercury, et il a également été le dernier astronaute américain à réaliser un vol sans amarre dans l’espace. Il est l’un des astronautes les plus décorés de la NASA. Au cours de sa longue carrière, il a cumulé plus de 222 heures en apesanteur et il est le dernier homme à être allé seul dans l’espace. Ses exploits et ses succès dans le domaine de l’exploration spatiale sont aussi impressionnants que nombreux. Parmi ceux-là, en mai 1963 il a été le premier astronaute américain à dormir dans l’espace et celui qui a effectué le vol le plus long de tous les programmes Mercury.
Le 15 mai 1963, il était dans la capsule Mercury pour un voyage de 22 orbites autour de la Terre. Au cours de l’orbite finale, le Major Gordon Cooper a dit à la station de contrôle qu’ « il voyait un objet d’un vert brillant devant lui, et se rapprochant rapidement de sa capsule. » L’Ovni était réel et solide, parce qu’il a été parfaitement détecté par le radar de la station de suivi. NBC, la National Broadcast Company, qui couvrait le vol étapes par étapes, n’a pas été autorisée à raconter cette épisode au public lorsque le Gordon Cooper est revenu sur Terre. Lorsque Cooper a débarqué, les reporters se sont vu interdits de questionner Cooper au sujet de cette observation d’un Ovni par l’astronaute.
Le Major Cooper croyait fermement aux Ovnis. En 1951, dix ans plus tôt, il avait aperçu un Ovni alors qu’il pilotait un F-86 Sabrejet au dessus de l’Allemagne occidentale. « C’étaient des objets en forme de disques et métalliques, évoluant à une altitude considérable et capables d’échapper à tous les avions de chasse américains. »
Avant qu’il soit engagé dans le programme spatial, Gordon Cooper avait déjà eu un contact avec un autre genre de voyageur galactique. Lorsqu’il survola l’Europe Centrale, son escadron se trouva face à face avec une formation d’OVNIs.
Le 27 novembre 1978, devant les Nations Unies, le Major Cooper a témoigné : « Je crois que ces véhicules extra-terrestres et leurs équipages visitent notre planète et proviennent d’autres planètes qui, à l’évidence, sont un peu plus avancées technologiquement que nous… La plupart des astronautes refusaient de discuter des Ovnis. » Il a également dit : « J’ai eu l’occasion en 1951 de passer deux jours à observer nombre de leurs vols, des Ovnis de différentes tailles, volant en formation de combat, généralement d’est en ouest à travers l’Europe. »
En outre, le Major Cooper a dit : « Pendant de nombreuses années j’ai vécu avec un secret, un secret imposé à tous les spécialistes de l’astronautique. Je peux maintenant révéler que chaque jour, aux Etats-Unis, nos radars repèrent des objets de forme et de composition inconnue pour nous. Et il y a des milliers de rapports de témoins et une quantité de documents pour le prouver, mais personne ne veut les rendre publics. Pourquoi ? Parce que les autorités ont peur que les gens puissent penser à Dieu sait quel genre d’envahisseurs horribles. Donc le mot d’ordre est toujours : Nous devons éviter la panique par tous les moyens ».
En outre, Cooper a été le témoin d’un phénomène extraordinaire, ici sur Terre. Il s’est produit il y a quelques mois en Floride. Il a vu de ses propres yeux un secteur défini du sol brûlé par des flammes, avec quatre enfoncements laissés par un objet volant qui s’était posé au milieu d’un champ. Des êtres étaient sortie de l’engin (il y avait d’autres traces pour le prouver). Ils ont semblé étudier la topographie, ils avaient rassemblé des échantillons du sol et, par la suite, ils sont reparti d’où ils étaient venus, disparaissant à une vitesse fantastique…
Il s’avère justement que je (G. Cooper) sais que les autorités ont tout fait pour garder cet incident inconnu de la presse et de la TV, dans la crainte d’une réaction de panique du public.