Quels événements pourraient corroborer les allégations selon lesquelles l’armée américaine a en sa possession un système de propulsion copié à partir de vaisseaux extraterrestres ?
Outre les témoignages des lanceurs d’alerte, la preuve la plus convaincante vient d’un projet top secret appelé Aurora. Dont l’armée américaine continue de nier l’existence de ce programme, malgré dans des références de documents obtenus grâce à la loi sur la liberté de l’information. Le plus souvent, il est associé au développement par le complexe militaro-industriel d’un chasseur furtif de pointe appelé Dark Star ou Astra. Le projet Aurora concerne de multiple engins. Il y a le SR-75, qui peut voyager en utilisant des super-statoréacteurs jusqu’à 30kms d’altitude. Grâce à ses super-stratoréacteurs, il peut atteindre Mach 5. À la suite de sa conception, lui a succédé le SR-74, c’est un vaisseau capable de rentrer en orbite autour de la Terre, et d’atteindre une vitesse de plus de 40 000 kms/h. Cette technologie a été mise au point hors de la zone 51 pour donner à l’Air Force la possibilité d’envoyer des engins en orbite dans des délais très courts.
Il existe des technologies exoatmosphériques qui ont des années d’avance que n’importe quel aéronefs qu’on peut voir aujourd’hui. Certaines de ces technologies secrètes peuvent être implémentés dans le secteur privé et créer de vraies opportunités en matière d’investissement. Il n’y a donc aucune raison de vouloir révéler ce secret une fois qu’on le détient. Cela représente un grand pouvoir et une richesse.
La division Lockheed Advanced Development Projets, surnommée Skunk Works depuis les années 40, connue pour sa capacité à produire de façon discrète, a été choisie comme partenaire pour ce programme confidentiel. À la fin des années 90, dans son bâtiment, se trouve un grand tableau représentant la lignée des avions Skunk Works au fil des décennies. Du XP-80 à l’U-2, en passant par le SR-71 Blackbird, l’avion furtif F-117A, le YF-22 et le Dark Star, jusqu’à ce que Lazar a toujours décrit comme un engin appelé Astra. Au sommet de cet organigramme, l’Astra semble être un avion de reconnaissance ultra-rapide.
Ben Rich a été le directeur de Skunk Works de 1975 à 1991. À ce moment là, il avait quitté la direction depuis 2 ans. Mais il avait toujours connaissance de prototypes secrets en cour de développement. En lien avec cette présentation, dans les murs de Skunk Works, se trouve une part essentielle délivré par Ben Rich lors de sa conférence à l’école d’ingénieur de l’UCLA le 23 mars 1993. Ben Rich commence sa présentation avec 40 diapositives, dont la dernière montrait un disque noir s’élevant vers l’espace. Il conclu son discours en déclarant :
« Nous avons la technologie nécessaire pour ramener ET à la maison » ce qui a, bien sûr, retenu l’attention du public. Aurait-il fait allusion à un projet top secret ? Après son discours, Rich aurait confié à l’un des participants que le vaisseau fonctionnait sur le principe des PES, les perceptions extrasensorielles, tout fois le lien avec la propulsion reste incertain. Rich laisse entendre que tous les points de l’espace-temps étaient reliés.
Il existerait en réalité des véhicules dotés d’une technologie anti-gravitationnelle comme l’Aurora et le TR-3B. Des spéculations existaient depuis la fin des années 80 sur l’existence d’un remplaçant du Blackbird. Ce serait un engin qui volerait deux fois plus vite, à la limite de l’atmosphère terrestre. Cet avion mythique a été appelé l’Aurora.
Edgar Fouche, un ancien entrepreneur pour le ministère de la Défense, a prétendu que le remplacement du Blackbird (SR-71), l’Aurora, comprenait en réalité deux types d’avions hypersoniques utilisés pour le vol spatial.
Il a dit : « Aurora correspond au SR-75 capable de vitesses supérieures à Mach 5, et agissant comme un navire mère pour le SR-74 qui peut voyager dans l’espace à des vitesses de Mach 18 ou plus pour livrer des satellites.«
E. Fouche revendique également l’existence d’un autre engin, le fameux triangle noir, le TR-3B qui génère un champ magnétique intense qui réduit son poids de 89 pour cent. Ceci a pour effet que le pilote ne ressent que 11% de l’accélération. Il peut donc voler dix fois plus vite qu’un pilote de chasse traditionnel.
Le TR-3B utilise l’effet Biefeld-Brown (généré par de grandes charges électrostatiques) pour réduire son poids afin que des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets puissent lui donner des vitesses incroyables bien au-dessus de Mach 18. Toujours selon E. Fouche, le TR-3B mesurerait 600 pieds de diamètre (182m), ce qui le rendrait comparable à un porte-avions. D’autres sources parlent de deux modèles : un qui serait grand comme un porte-avions et d’autres plus petits.
Des preuves circonstancielles indiquent l’existence d’une flotte spatiale secrète de véhicules anti-gravitationnels et beaucoup de spécialistes soupçonnent le TR-3B d’être à l’origine de la « vague belge » d’OVNIs observés en 1989-1990. Plus de 1000 rapports décrivent en effet un engin noir triangulaire avec une grosse lumière rouge au centre et une lumière vive, blanche, à chacun des angles. Mais le gouvernement américain a toujours réfuté les faits.
Des informateurs des milieux militaires et d’autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu’ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravity, comme l’Aurora et le TR-3B.
Le TR-3B Astra a été décrit comme un avion nucléaire triangulaire développé dans le cadre du projet top secret Aurora pour l’initiative de défense stratégique, et testé au début des années 90. Selon les spécifications de l’Astra qui ont fuité, il s’agirait d’un engin silencieux capable de se rendre invisible pour les radars et les personnes. Il dispose d’un perturbateur de champ magnétique qui neutralise la gravité.
De la fin des années 80 à nos jours, de nombreux témoins déclarent avoir aperçu un vaisseau en forme de V étrangement similaire à la description de l’Astra. Un appareil qui n’existe pas officiellement.
David Adair : « C’est l’avion le plus sophistiqué qui existe aujourd’hui. Il est très rapide, il vole très haut, et il a probablement la capacité de se rendre invisible. Il existe, mais on ne peut pas le voir. Personne ne l’a jamais vraiment vu, ni ne sait où il est. On ne le verra jamais à moins qu’ils veulent bien vous le montrer. »
Science fiction ou fait ? Pourtant des officiers de haut rang détaillent l’étonnant cover-up du gouvernement effectué par le comité MJ-12, et révèlent pour la première fois des informations ultra top-secret au sujet de la technologie extraterrestre que nous avons développée à la suite des récupérations des épaves Alien.
Le TR3B n’est pas de la fiction et fut construit avec de la technologie disponible dans le milieu des années 1980 ou plus tôt. L’aérospace de forme triangulaire équipé d’un moteur nucléaire fut développé en dessous du programme Aurora grâce au budget des Black projet. Le programme Aurora est un programme top secret pour des engins avancés et a été responsable pour le développement du SR-75, avion hypersonique de reconnaissance qui a remplacé le SR-71, et le SR-74 Scramp, qui porte sur le dos le SR-75.
Le premier vol du TR3B, avion de reconnaissance tactique, eut lieu au début des années 90. La technologie a assuré l’utilisation de rétroingénierie utilisés à partir de la technologie alien aussi bien que des programmes SR-74 et SR-75.
Le revêtement extérieur du TR-3B réagit à la stimulation électrique et peut changer de couleur, de réflexion, absorbe les ondes radar, rendant l’écho du véhicule semblable à un petit avion et lui permettant même de tromper les opérateurs radar sur la signature électronique de l’écho (plusieurs vaisseau à différents endroits).
Un plasma circulaire accéléré dans un anneau appelé ”disrupteur du champ magnétique » entoure le compartiment de l’équipage et est loin en avant de la technologie imaginable.
Le gouvernement protégera cette technologie à tout prix. Le MFD génère un vortex du champ magnétique qui neutralise les effets de la gravité sur la masse à proximité à concurrence de 89%. Ceci n’est pas de l’anti-gravité. L’anti-gravité fournit une force répulsive qui peut être utilisée pour la propulsion. Le MFD crée une disruption du champ magnétique de la terre sur la masse dans l’accélérateur circulaire. La masse de l’accélérateur et celle comprise dans l’anneau de l’accélérateur, telle la capsule de l’équipage et le réacteur nucléaire, est ainsi réduite de 90%. Ceci rend le véhicule très léger et capable de performances et de manœuvres d’un niveau inouï (à l’exception bien sûr des UFO que nous n’avons pas construits).
Le TR-3 est une plate-forme de reconnaissance avec un temps de vol illimité. « Illimité », parce qu’il utilise un réacteur nucléaire comme source de puissance. Beaucoup d’observations d’OVNI triangulaires sont ainsi connectées au TR-3B. La NSA, NRO, CIA, et USAF ont joué un jeu de camouflage avec la nomenclature aérienne – en créant le TR-3, modifié en TR-3A, le TR-3B, et le Teir 2, 3, et 4, avec des suffixes ‘Plus’ ou ‘Moins’, ajoutés pour rendre plus confus le fait que chacune de ces appellations est un avion différent et non le même véhicule aérospatial. Un TR-3B est aussi différent d’un Teir 3B qu’une banane d’une grappe de raisin. Quelques-uns de ces véhicules sont munis d’un équipage et d’autres en sont démunis. La propulsion du TR-3B est fournie par trois propulseurs multimode montés sur chaque coin de la plate-forme. Le TR-3 est un véhicule qui ne dépasse pas Mach 9 et il atteint 33 kilomètres d’altitude et à cette altitude, seul Dieu peut savoir à quelle vitesse il va !
Au centre du triangle il y aurait un habitacle circulaire pour l’équipage. Et tout autour un accélérateur de particules à plasma : le MFD, (Magnetic Field Disrupter). Ce système serait en avance sur toutes les technologies connues sur Terre, il annulerait les effets de la gravitation et pourrait voler à Mach 9 (on pense toujours au cas belge !!!).
Selon Edgar Fouché, qui a travaillé pendant 25 ans dans la zone 51, tous les ovnis triangulaires seraient d’origine terrestre, mais ont été fabriqué grâce à la récupération de technologies extraterrestres. Les ovnis vus au dessus de la Belgique en 1990 seraient bien cet avion secret américain, suite à un accord ultra-secret entre la Belgique et les Etats-unis.
http://ufotopsecret.over-blog.com/page-1884535.html


Ben Rich : Nous avons déjà les moyens de voyager parmi les étoiles. Mais ces technologies sont dissimulés dans des projets Top Secret, et il faudrait un véritable miracle pour les faire profiter à l’humanité. Tous ce que vous pouvez imaginer, nous savons comment le faire. Nous avons maintenant la technologie pour pouvoir renvoyer ET à la maison.
Richard Dolan (ufologue – écrivain américain) : Le thème Ovni n’est pas pris au sérieux, ni même considéré. Il faut comprendre la relation entre la majorité des médias conventionnels et la communauté du renseignement global. Cela ne signifie pas que la CIA contrôle tout, mais nous devons comprendre que les médias agissent dans certains ‘goulets d’étranglement’. Par exemple, une observation d’ovni peut avoir une couverture locale, mais cela ne veut pas dire qu’elle va remonter jusqu’aux agences de presse. Ce sont des situations très différentes, et les sceptiques argumentent que si le phénomène avait été si important, il aurait fait la une, mais ce que cela révèle en réalité est le manque de discernement de comment les médias ont été connectés avec les communauté des services de renseignements du monde entier au cours de ces dernières décennies.
L’existence de véhicules anti-gravitationnels
Le 6 août 2007, la NASA a décerné à l’USAF le « Human Spaceflight Support Team » pour aider les véhicules de la NASA à éviter les débris spatiaux.
L’équipe de soutien faisait partie du Commandement spatial de l’USAF qui est déclaré publiquement être le commandant militaire principal fournissant des forces spatiales pour le commandement stratégique américain.
La citation souligne l’équipe pour son soutien exceptionnel en gardant la navette spatiale, la Station spatiale internationale et ses équipages à l’abri des dangers des débris orbitaux, des collisions de vaisseaux spatiaux et d’autres risques inhérents à l’exploitation de l’espace. Cependant, ni le Commandement spatial de l’USAF ni le Commandement stratégique ne sont publiquement connus pour avoir un quelconque type de véhicule spatial qui aiderait la navette spatiale ou la Station spatiale internationale contre les dangers orbitaux. Normalement, les deux véhicules de la NASA nécessiteraient des corrections orbitales graduelles qui prendraient beaucoup de temps et seraient insuffisantes pour faire face à une menace immédiate.
Selon Ted Twietmeyer, la citation est une preuve circonstancielle de l’existence de véhicules anti-gravitationnels avec des armes à faisceau de particules avancées qui pourraient écarter les débris orbitaux de la trajectoire des véhicules de la NASA.
Ces escadrons de TR-3B opéreraient à partir de la zone 51, de ports spatiaux classés secrets sur l’île de Diego Garcia et d’un lieu secret en Antarctique, qui, selon Sigmund, un haut responsable du programme de l’Armée de l’Air dont le véritable nom n’est pas divulgué, serait également une importante installation de R & D.
Certains pensent que c’est l’un de ces engins qui aurait désintégré le Météore de Tcheliabinsk le 15 février 2013, quelques minutes avant qu’il ne percute la terre à très grande vitesse. Il a été détruit à 25 km du sol.
Des pilotes extraterrestres
L’idée qu’il existe une flotte spatiale secrète pouvant intervenir pour assister la navette spatiale ou la station spatiale internationale est également soutenue par le témoignage d’un ancien employé de la NASA.
Clark McClelland a travaillé comme opérateur SpaceCraft pour des missions de la navette spatiale entre 1989 et 1992. Il prétend avoir vu un astronaute de huit à neuf pieds (2,7m) de haut et ce qui semblait être un véhicule anti-gravité à ailes delta à proximité de lui.
Puisque McClelland connaissait tous les astronautes du programme de la navette spatiale de la NASA, il supposait que le très grand être dans une combinaison spatiale était un extraterrestre. Bien qu’une telle possibilité ne puisse être exclue, l’être et le véhicule à proximité en forme de delta peuvent en fait faire partie d’une flotte spatiale secrète attachée au commandement stratégique américain.
Le programme de guerre des étoiles de Reagan
Depuis les années 1980, une flotte spatiale secrète nommée « Solar Warden » aurait été secrètement développée. Cette théorie est partagée par divers lanceurs d’alerte et journalistes dans le monde entier.
Récemment, l’administration américaine a mis à disposition près de 250 000 pages de documents de l’administration du président Reagan … Le matériel publié peut donner un aperçu d’un commentaire curieux trouvé dans le journal du président Reagan.
A l’entrée du mardi 11 juin 1985 (page 334 de ce journal) on peut lire ceci :
Déjeuner avec 5 des meilleurs scientifiques de l’espace. C’était fascinant. L’espace est vraiment la dernière frontière et certains des développements en astronomie, etc., sont comme la science-fiction, sauf qu’ils sont réels. J’ai appris que notre capacité de navette est telle que nous pourrions mettre en orbite 300 personnes.
C’est curieux puisque la navette spatiale a été conçue pour un maximum de 8 personnes (11 en les tassant bien) et seulement 5 navettes ont été construites pour le vol spatial. Même si toutes les 5 décollaient à pleine charge, il serait impossible de placer et de maintenir 300 astronautes en orbite. Reagan a-t-il révélé l’existence d’un programme spatial hautement classifié pouvant accueillir des centaines d’astronautes en orbite ?

Basé sur les preuves disponibles de diverses sources, l’article du Journal de Reagan écrit en 1985 est une reconnaissance franche d’un programme spatial classifié pouvant transporter et héberger des centaines d’astronautes. Le début du journal suggère qu’il a reçu une ou plusieurs séances d’information sur le sujet.
Si on se replace à cette époque on se rappelle que la première station habitée dans l’espace était Salyut 1 en 1971. Les États-Unis ont suivi peu de temps après avec Skylab en 1973. Il s’agissait d’un programme civil de la NASA, qui était officiellement la première station spatiale américaine habitée selon les historiens conventionnels.
Skylab a fonctionné jusqu’en 1979 et était consacré à la recherche scientifique. Après ? Plus rien. Il faudra attendre l’an 2000 pour revoir à nouveau les américains dans une station spatiale : la Station Spatiale Internationale. On voudrait laisser croire au monde que l’armée américaine comptaient uniquement sur des satellites espions pour mener une surveillance depuis l’orbite terrestre.
Le programme de la navette spatiale américaine a débuté en 1981 et a mené diverses missions en orbite terrestre basse, comme le placement de satellites dans l’espace. À partir de 1979, jusqu’à l’arrivée des premiers astronautes américains à la Station spatiale internationale en 2000, les États-Unis ne disposaient pas d’une station habitée dans l’espace selon le registre public officiel. Pourtant, un passage dans le journal du président Ronald Reagan indiquait qu’il y avait effectivement une présence américaine permanente en orbite autour de la Terre.
On sait aussi que le président Reagan a lancé en 1983 le programme « IDS » (Initiative de Défense Stratégique) surnommé « Guerre des Etoiles » par les médias. Nous étions en pleine guerre froide. Il s’agissait d’un vaste projet de bouclier anti-missile à l’encontre d’une éventuelle frappe nucléaire soviétique. Certains pensent que ce projet était autant destiné à protéger les Etats-Unis contre une attaque extraterrestre ou contre des « bolides » de l’espaces (ces météores qui sont susceptibles de frapper la Terre) que contre les russes. L’IDS pouvait également être une couverture pour dissimuler la mise en place de stations spatiales secrètes et le maintient d’une armée d’astronautes dans l’espace.
Des indices importants pourraient émerger des archives de Reagan, récemment publiées, sur la flotte spatiale secrète du Strategic Command.
Plus important encore, le public pourrait bientôt se renseigner sur les technologies antigravitation avancées qui ont été développées secrètement et utilisées pendant des décennies pour transporter des astronautes militaires dans l’espace.
Pour transporter et loger 300 astronautes dans l’espace comme l’a mentionné le président Reagan le 11 juin 1985 dans son journal, la technologie de propulsion utilisée par le programme spatial secret en question devait être beaucoup plus avancée que celle du programme civil de navette spatiale de la NASA, qui s’est déroulé officiellement de 1981 à 2011. Les navettes spatiales de la NASA étaient fixées à deux fusées d’appoint utilisant des propergols solides pendant les deux premières minutes du vol, avant d’être abandonnées. Les trois moteurs principaux de la navette (Rocketdyne RS-25) fournissaient la poussée nécessaire en utilisant de l’hydrogène et de l’oxygène liquides contenus dans un réservoir externe. Lorsque la navette spatiale (alias Orbiter) atteignait son orbite, elle éteignait ses moteurs principaux et abandonnait le réservoir externe.
La navette spatiale avait une charge utile maximale de 25 tonnes et pouvait transporter un maximum de 11 personnes. Il a fallu 26 vols de la navette pour construire la Station spatiale internationale, qui loge un équipage permanent de six astronautes. Pour placer 300 astronautes en orbite autour de la Terre et les y maintenir secrètement, il faudrait des stations spatiales beaucoup plus grosses que la Station spatiale internationale, qui mesure un demi hectare. La construction de grosses stations spatiales requerrait des flottes de navettes spatiales munies d’un système de propulsion avancé afin de pouvoir transporter les grosses charges utiles nécessaires à la construction des structures pouvant loger autant d’astronautes. Les fichiers secrets relatifs aux «officiers non terrestres» et aux «transferts entre flottes» que Garry McKinnon dit avoir vus dans les fichiers secrets du Pentagone expliqueraient l’envergure du ou des programmes spatiaux secrets qui éclipsaient forcément ceux de la NASA.
Selon les révélations de Reagan en 1985 et les découvertes de Gary McKinnon en 2000-2002, il devient évident que le programme de la navette spatiale de la NASA constituait une couverture très dispendieuse pour un autre programme spatial, celui-là ultra-secret et très avancé. Un tel programme nécessitait un système de propulsion beaucoup plus puissant que celui utilisé par la NASA, afin de transporter secrètement dans l’espace des centaines d’astronautes et de les loger dans de grandes stations orbitales. La gravité constitue le principal obstacle à surmonter pour qu’un tel système de propulsion accomplisse une opération de cette envergure.
En réponse à une question concernant l’affirmation de Reagan selon laquelle la navette spatiale avait « la capacité de placer en orbite 300 personnes », Corey Goode a écrit ceci :
« Il existe une navette de transport du personnel qui peut véhiculer 300 personnes quand elle transporte aussi une cargaison sur sa plateforme inférieure, ou près de 600 personnes quand elle ne transporte que du personnel. Je crois que Reagan faisait probablement allusion à certains transporteurs de personnel militaire conçus pour acheminer en moins d’une heure, n’importe où dans le monde, presque 300 opérateurs spéciaux ainsi que leur équipement. Cela faisait partie du programme spatial Military Black Op’s (Opération militaire clandestine) lié à la SDI (Strategic Defense Initiative – Initiative de défense stratégique). Il s’agissait d’une navette de déploiement rapide pour des circonstances extrêmes et elle pouvait transporter des membres des forces spéciales Delta/SEAL sans être détectée; ce vaisseau secret était une énorme navette Stealth avec suppression électrostatique/électromagnétique de la gravité. Je ne sais pas à quel point elle a été utilisée. »
Il est significatif que Goode mentionne la technologie de propulsion par «suppression électrostatique/électromagnétique de la gravité». On peut découvrir quel était le système de propulsion utilisé par un programme spatial militaire secret supérieur au programme civil de la NASA dans les informations connues relatives à la recherche secrète sur les systèmes de propulsion « par suppression de la gravité », « électrostatiques » ou « antigravitationnels ».

Nom de code : Solar Warden
Depuis les années 1980, une flotte spatiale nommée « Solar Warden » a été secrètement développée. Cette théorie est partagée par divers lanceurs d’alerte et journalistes dans le monde entier.
Le déclin de la NASA est inévitable. Si les dénonciations sont exactes, alors la NASA n’est guère plus qu’une couverture pour une flotte spatiale anti-gravité hautement classifiée qui emmène régulièrement des centaines d’astronautes dans l’espace. Le nom donné à ce projet secret est « Solar Warden ».
La première référence à Solar Warden a eu lieu en mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs de l’Open Minds Forum, a révélé son existence et ses capacités.
Si les commentaires de Reagan et les témoignages des lanceurs d’alerte sont corrects, alors le centre opérationnel de cette flotte spatiale anti-gravité secrète est le commandement stratégique américain.
L’existence de Solar Warden, si elle est avérée, prouve que la NASA est un programme de couverture utilisant des technologies de propulsion de fusées archaïques. Si tel était le cas, le programme « futuriste » appelé Constellation visant à emmener des astronautes sur la Lune et sur mars ne serait qu’un programme pour couvrir un programme spatial déjà existant qui effectue régulièrement des missions interplanétaires à l’aide de technologies avancées de propulsion anti-gravitationnelle.
Le déclin constant de la NASA depuis l’époque des missions Apollo n’a rien à voir avec la compétence et l’expertise du personnel de la NASA. La réalité politique est que des programmes militaires très compartimentés empêchent les technologies d’anti-gravitation d’avancer dans le secteur public pour une application commerciale.
Un nombre croissant de lanceurs l’alerte et d’experts signalent l’existence d’un programme spatial antigravité hautement classifié qui peut placer des centaines d’astronautes militaires dans l’espace. Si Solar Warden ou un programme militaire classifié similaire existe, alors il est compréhensible que le président Obama ait retardé la nomination d’un nouvel administrateur de la NASA.
Le nouveau programme Constellation de la NASA, basé sur les technologies de propulsion des fusées vétustes des années 1940, est un programme de couverture qui ne mérite pas d’être financé. Au lieu de cela, les projets militaires et corporatifs américains impliquant des technologies anti-gravitationnelles avancées et les moyens par lesquels ceux-ci ont été acquis doivent être exposés au monde.
L’affaire McKinnon qui a tout révélé
L’idée d’une flotte spatiale secrète utilisant des technologies de pointe a été renforcée par un pirate britannique, Gary McKinnon, qui risque d’être extradé vers les États-Unis pour piratage d’ordinateurs gouvernementaux et militaires américains. Il est accusé par le ministère de la Justice d’avoir commis « le plus gros piratage informatique de tous les temps » et s’est vu infliger jusqu’à 70 ans de prison après son extradition du Royaume-Uni. C’est la Première Ministre Theresa May qui s’est personnellement opposée à son extradition, mais pour combien de temps ?
Gary McKinnon, un informaticien anglais, a donc réussi à s’introduire dans les ordinateurs du Pentagone et de la Nasa. Il ne cherchait pas à pirater mais cherchait simplement des informations concernant les OVNIs. Il affirme avoir trouvé des fichiers secrets du Pentagone et de la NASA contenant une liste d’ « agents non terrestres » et un tableur détaillant les « transferts de flotte à flotte ».
Le grand personnage représenté avec les deux astronautes de la navette spatiale pourrait-il appartenir à un groupe d ‘« officiers non terrestres » qui aident périodiquement les programmes de la navette spatiale à travers le Space Command de l’US Air Force ?
Une technologie extraterrestre
Le nom « Solar Warden » est un terme qui se réfère génériquement à la flotte spatiale ultra-secrète des Etats-Unis. Si ce programme existe vraiment, il faudrait une énorme quantité de budget pour construire ses flottes de vaisseaux. Le budget noir des États-Unis pour les programmes secrets couvrant des dizaines d’agences était de 52,6 milliards de dollars, selon le Washington Post. Le projet Solar Warden serait partagé entre plusieurs nations. Elles contribueraient en injectant de l’argent ou en fournissant divers équipements.
Selon William Tompkins, un lanceur d’alerte célèbre :
Nous avons visité toutes les planètes de notre système solaire, à l’exception de Mercure. Nous avons atterri sur Pluton et quelques lunes. Ces navires contiennent du personnel de nombreux pays qui ont prêté serment au gouvernement mondial. La technologie provenait de l’épave de l’ingénierie des disques aliens et parfois de l’aide étrangère.
Tompkins explique aussi dans les détails sur la façon dont il a été recruté dans le programme d’espionnage clandestin de la Marine pendant la Seconde Guerre mondiale pour étudier et désosser les vaisseaux spatiaux anti-gravité conçus par les nazis.
Tompkins affirme que des agents ont révélé dans les débriefings top secret que jusqu’à et pendant la Seconde Guerre mondiale, il y avait deux programmes de soucoupes volantes en cours de développement. Le premier était un effort largement civil qui a précédé l’arrivée au pouvoir des nazis en 1933, tandis que le second était dirigé par les SS nazis.
Tompkins a déclaré que le programme spatial civil allemand avait été inspiré par un groupe nordique d’extraterrestres reptiliens qui communiquaient à travers de jeunes femmes allemandes.
Selon certains informateurs sur le sujet, il y aurait eu un mémo secret émis par Trump peu de temps après son entrée en fonction le 20 janvier 2017, pour déclassifier des brevets secrets impliquant des technologies de la santé et de l’énergie libre. L’affaire est donc à suivre de très près.
Une flotte spatiale antigravitationnelle ou Programme Spatiaux Secret
Tous les programmes spatiaux sont une couverture qui existe pour tromper les gens de ce monde. Il existe une flotte spatiale qui porte le nom de code « Solar Warden ». En 2005, il y avait huit navires, l’équivalent de porte-avions et quarante-trois « protecteurs », qui sont des avions spatiaux. L’un d’entre eux s’est perdu récemment lors d’un accident sur l’orbite de Mars alors qu’il tentait de réapprovisionner la colonie multinationale à l’intérieur de Mars. Cette base aurait été établie dès 1964 par un travail d’équipe assez surprenant entre les américains et … les soviétiques. Oui, c’est assez surprenant quand on sait que le premier pas sur la lune n’a eu lieu qu’en 1969 et que le premier homme dans l’espace date de 1961. 1994 serait déjà une date plus crédible.
Une autre source décrivant Solar Warden provient d’un lanceur d’alerte anonyme connu sous le pseudonyme de « Henry Deacon » qui travaille dans les laboratoires de Laurence Livermore en tant que physicien. La véritable identité de Deacon est connue des créateurs du site Web Project Camelot qui ont été témoins de ses références et croient en sa crédibilité. Selon Project Camelot, « Henry a confirmé l’existence d’une grande base habitée sur Mars, fournie par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN). »
Selon le manuel de Wiliam Arkin pour les noms de code militaire qui désigne des séquences alphabétiques spécifiques à deux lettres à des projets militaires américains distincts, Solar Warden s’inscrit dans un projet de commandement des forces interarmées. Cela suggère que Solar Warden est opérationnel dans le cadre du Strategic Command.
Si Solar Warden a réussi à établir une colonie sur Mars en utilisant des systèmes de propulsion antigravitationnels, cela pourrait expliquer pourquoi la recherche antigravité est devenue hautement classée au milieu des années 1950. Cela expliquerait aussi pourquoi les chercheurs civils qui ont reproduit avec succès les technologies antigravitationnelles ont été impitoyablement démontés comme cela a été le cas pour Otis Carr en 1961.
Nous sommes en 2020 et quand on voit les progrès qui ont été faits en terme de recherche spatiale entre 1960 et 1980, comparés à ce qui a été accomplit ces quarante dernières années, on peut se poser des questions. Ce n’est pas possible que tout se soit presque arrêté au début des années 1980. Ou alors les choses ont été faites en secret.

