
Les ovnis sont une réalité. Cette affirmation résulte de décennies d’observations et ‘investigations de la part de pilotes, de hauts responsables militaires, et de chercheurs. Dans cette enquête unique, la journaliste d’investigation Leslie Kean présente des indices incontestables sur la présence réelle d’objets volants non identifiés – métalliques, lumineux et capables de manoeuvres qui défient les lois de la physique – dans l’atmosphère terrestre. Ce livre retentissant est le fruit de dix ans d’une enquête acharnée durant laquelle l’auteur a interviewé des dizaines d’officiers d’aviation de haut niveau et de témoins à travers le monde, passé en revue des centaines de documents gouvernementaux, de rapports d’aviation, de données radar et d’études de cas corroborés par des indices matériels. Une enquête magistrale pour enfin séparer les faits de la fiction.
Jean-François Clervoy, astronaute de l’Agence spatiale européenne (ESA). Il a participé à 3 mission spatiales sur la Navette américaine, et a été décoré à deux reprises de la médaille pour Services exceptionnels, de la NASA : « Il est temps de chercher à comprendre ce que sont ces objets apparemment intelligents surgissant dans notre ciel et dont la réalité est confirmée par de multiples sources. »
Yves Sillard, ancien Directeur général du Centre national d’études spatiales français (CNES) : « La réalité objective des phénomènes aériens non identifiés, mieux connus dans le grand public sous le sigle OVNIs, ne fait plus de doute. Le climat de soupçon et de désinformation, pour ne pas dire de dérision, qui entoure trop souvent la collecte de témoignages, illustre une forme surprenante d’aveuglement intellectuel. »
Michio Kaku PhD, auteur de Physics of the Future («Physique du futur») : « Enfin, un livre sérieux et réfléchi sur ce sujet controversé. Les sceptiques et les convaincus vont y trouver un trésor d’informations pénétrantes et ouvrant les yeux. Ce livre va être un étalon de référence pour la recherche sur les OVNIS. »
Miles O’Brien, correspondant scientifique pour le PBS NewsHour et producteur et réalisateur pour NOVA : « J’ai été étonné par le soin et la précision des recherches de Leslie Kean dans ce livre formidable. Son analyse est soigneusement raisonnée et va droit au but ; son savoir-faire en matière d’organisation et d’écriture est superbe. »
John Podesta, ancien Chef de cabinet du Président Bill Clinton à la Maison Blanche (1998-2001) : « Ce livre lève clairement le tabou sur la croyance largement répandue, et pourtant infondée, qu’il n’est pas possible d’aborder sérieusement le sujet des ovnis. Leslie Kean apporte une analyse rationnelle sur les informations les plus pertinentes, dont beaucoup sont présentées ici pour la première fois avec des détails fascinants. »


Leslie Kean est une journaliste d’investigation indépendante, ayant écrit des articles et animé des émissions de radio en freelance. Elle a écrit des articles dans des dizaines de publications aux Etats-Unis et à l’étranger, dont le Boston Globe, Philadelphia Inquirer, Atlanta Journal-Constitution, Providence Journal, International Herald Tribune, Globe and Mail, Sydney Morning Herald, Bangkok Post, The Nation, et le Journal of Scientific Exploration. Ses articles ont été diffusés en syndication par l’intermédiaire de Knight Ridder/Tribune, Scripps-Howard, le service de câbles du New York Times, Pacific News Service, et l’Association Nationale des Editeurs. Ayant passé plusieurs années à enquêter sur la Birmanie, elle a écrit en coauteur Burma’s Revolution of the Spirit : The Struggle for Democratic Freedom and Dignity (Aperture, 1994), et elle a fourni des contributions à nombre d’anthologies publiées entre 1998 et 2009. Leslie Kean a été aussi productrice et animatrice en direct pour un programme quotidien d’enquêtes, sur la radio KPFA, une station Pacifica. En 2002, elle a cofondé la Coalition pour la Liberté de l’Information (CFi : Coalition for Freedom of Information), une alliance indépendante plaidant pour une plus grande ouverture de l’information sur les OVNIs, et pour une couverture responsable par les médias, fondée sur une approche crédible et rationnelle. En tant que directrice du CFi, elle a été aussi plaignante, avec succès, dans un procès de quatre années contre la NASA en application de la Loi sur la Liberté de l’Information (FOIA). Kean a été productrice en 2009 du documentaire indépendant I Know What I saw, réalisé par James Fox.
Leslie Kean est aussi auteure de « Survivre à la mort : Une journaliste enquête sur les preuves de l’après-vie« , une histoire personnelle de recherches sur des informations étonnantes et stimulantes suggérant la survie après la mort.
En 2010, son livre « OVNIs : Des généraux, des pilotes et des officiels parlent » a été un best-seller du New York Times.
En 2011, elle a collaboré avec la société de production plusieurs fois primée Break Through Films, sur le documentaire de 120 minutes basé sur son livre et intitulé Secret Access: UFOs on the Record documentaire diffusé sur History Channel.
Chapitres :
1ère partie : Objets d’origine inconnue
1/ Un appareil majestueux avec de puissants faisceaux de lumière
2/ La vague de PAN sur la Belgique
3/ Pilotes : une ouverture unique vers l’inconnue
4/ Encerclé par un ovni
5/ Phénomènes aériens non identifiés et sécurité aérienne
6/ Incursion à l’Aéroport O’Hare, 2006
7/ Ovnis géants au-dessus de la Manche, 2007
8/ Les ovnis, cibles des forces aériennes
9/ Combat aérien au-dessus de Téhéran
10/ Combat rapproché avec un ovni
2ème partie : Le sens du devoir
11/ Les racines du discrédit entourant les ovnis en Amérique
12/ Prendre le phénomène au sérieux
14/ La France et la question ovnis
15/ Le GEIPAN aujourd’hui
16/ Les ovnis et le problème de la sécurité nationale
17/ « Un puissant désir de ne rien faire »
18/ Les vrais X-Files
19/ L’incident extraordinaire de la forêt de Rendlesham
20/ Chili : cas aéronautique et réponse officielle
3ème partie : Un appel à l’action
22/ Reprendre le combat : une nouvelle agence ovni en Amérique
23/ La FAA enquête sur un évènement « qui n’a jamais eu lieu »
24/ Secret d’État : politique ou mythe ?
25/ Le gouverneur Fife Symington et le mouvement pour le changement
26/ Rétablir les faits
27/ Mobiliser le gouverneur américain
28/ L’agnosticisme militant et le tabou des ovnis
29/ Face à un défi extrême
En tant que personne s’intéressant à la question des ovnis, j’ai toujours fait la différence entre les faits et la fiction. On pourrait me qualifier de sceptique curieux. Je suis sceptique sur bien des sujets, et notamment sur le fait que « le gouvernement sait toujours mieux », ou que l’on ne peut se fier aux gens dès qu’il s’agit de vérité. C’est pour cela que j’ai consacré 3 décennies de ma vie, à titre privé, comme conseiller pour le Comité Sénatorial pour la Justice (SenateJudiciary Committee), à la Maison Blanche sous le Président Clinton, et maintenant avec le Centre pour le Progrès américain (Centerfor American Progress), à défendre le principe fondamental d’un gouvernement accessible. Au nom de cet engagement, j’ai soutenu le travail de la journaliste d’investigation Leslie Kean et de son organisation, la Coalition pour la Liberté de l’information (Coalition for Freedom ofInformation), dans leur initiative, lancée en 2001, pour obtenir des documents sur les ovnis en application de la Loi sur la Liberté de l’information (Freedom ofInformation Act,ou FOIA). Dans un esprit de questionnement, Kean a réussi à faire appliquer une injonction de la cour fédérale sur un cas important, comme c’était son droit, en vertu de la loi.
Il est grand temps de lever le rideau sur ce sujet. Ce livre OVNIS, les généraux, des pilotes et des officiels parlent participe justement à un tel effort, et peut être apprécié par des gens à l’esprit ouvert comme moi. Présentant des faits, ce livre fait découvrir les témoignages sélectionnées parmi les sources les plus crédibles, – de ceux qui sont en position de savoir – pourtant sur un phénomène fascinant dont la nature reste encore à déterminer. L. Kean et son équipe impressionnante de contributeurs n’affirme rien d’infondé, mais apporte une analyse rationnelle sur les informations les plus pertinentes, dont beaucoup sont présentées ici pour la première fois avec des détails fascinants, confirmant la nécessité qu’il y a de pour suivre les enquêtes. Enquêtrice obstinée, Leslie Kean n’a pas réalisé un travail ordinaire, mais s’est attaquée avec application à ce sujet si complexe pendant 10 ans, confrontée régulièrement aux doutes et aux moqueries au sein du gouvernement. Pourtant, elle a persévéré, et son livre lève clairement le tabou sur la croyance largement répandue et pourtant infondée, qu’il n’est pas possible d’aborder sérieusement le sujet des ovnis.
Leslie Kean et ses auteurs de qualité demandent la créa tion d’une petite agence gouvernementale américaine, des tinée à coopérer avec les autres pays qui ont déjà entreprisl’étude, l’analyse et la diffusion d’informations pertinentes sur les ovnis. Cette nouvelle agence pourrait procéder à la dif fusion de documents et mener les futures enquêtes de manière ouverte et efficace. C’est une idée qui mérite réflexion, et le moment est tout à fait venu pour le gouvernement, les scien tifiques et les experts aéronautiques de travailler ensemble afin de démêler les questions posées par les ovnis, questions restées dans le noirjusqu’à présent. Il serait grand temps de découvrir de quoi il s’agit vraiment. Le peuple américain – et les autres nations à travers le monde – veulent savoir, etpeuvent faire face à la vérité. Ce livre « OVNIS, les généraux, des pilotes et des officiels parlent » représente une étape charnière dans cette direction, et constitue une solide base de travail pour commencer.

En 1976, le commandant Parviz Jafari, de l’armée de l’air Iranienne, désormais général en retraite, fut envoyé, avec son avion, un F4 Phantom, pour enquêter sur objet brillant en forme de diamant au-dessus de la région de Téhéran. C’est un cas « historique » de confrontation militaire avec un ovni. Le soir du 18 septembre 1976, un ovni était repéré dans la région de Téhéran, et un chasseur reçut l’ordre de décoller pour tenter de l’intercepter. L’avion, un F-4 Phantom II, était l’un des plus modernes de l’époque, dont était équipée l’armée de l’Air de l’Iran, alors allié des Etats-Unis. Or, dès qu’il s’approcha de l’ovni, tous ses instruments et moyens de communication étaient tombèrent en panne, mais il put ensuite rentrer à la base.

Le pilote de l’armée l’air du Pérou, Oscar Santa Maria devant son chasseur à, Sukhoi-22, et un étalage de ses munitions. En 1980, il eut l’ordre de décoller pour attaquer un engin, supposé espion par erreur, qui s’avéra être un ovni.


Le capitaine de l’armée de l’air française Jean-Pierre Fartek, pilote de Mirage III, fit une observation rapprochée, de jour, d’un disque en vol près du sol.


L’astronome J. Allen Hynek, à la fin des années 1970, Hynek fut le conseiller scientifique du Projet Blue Book de l’armée de l’air américaine. À ses débuts, sceptique convaincu, il finit par admettre la réalité physique du phénomène ovni.

Avec le staff du CEFAA, Agence officielle du Chili au sein de la section aviation civile de l’armée de l’air. Avec le GEIPAN, le CEFAA est la tête des investigations officielles dans le monde.
https://tv.inrees.com/video/OVNIS-video
Don Phillips, qui a travaillé chez Lockheed Skunkworks sur la conception et la fabrication des avions de reconnaissance U-2 et SR-71, a témoigné avoir vu des objets lumineux se déplaçant à une vitesse vertigineuse (de 4800 à 6400 kilomètres/heure) tout en effectuant des virages très serrés. Les vaisseaux formèrent une sorte de cercle, puis ils pivotèrent et disparurent. Le chef opérateur des installations radar Anthony Kasar, un ami de Don Phillips, a aussi vu les vaisseaux, ceux-ci ayant par ailleurs été repérés sur les écrans radar. Anthony Kasar et son équipe avaient repéré 6 à 7 vaisseaux, leur vitesse ayant été estimée entre 6000 et 6700 kilomètres/heure. Ces objets, qui évoluaient à une vitesse fulgurante, pouvaient soudainement s’immobiliser puis effectuer des virages à 10, 45 ou 60 degrés, et ils pouvaient aussi inverser immédiatement leur trajectoire.
Don Phillips a par ailleurs évoqué l’existence de rapports et d’archives datant de 1954 qui font état de rencontres ayant eu lieu en Californie entre les dirigeants américains et des extraterrestres. A l’écoute d’un enregistrement, il lui semble avoir reconnu la voix du président Eisenhower, la rencontre ayant été filmée. Selon Don Phillips, un rapport de l’OTAN a fait état de l’existence de 12 races extraterrestres, ce rapport établissant en outre que les visiteurs étaient présents depuis des centaines, voire des milliers d’années.
Don Phillips dit savoir que certaines technologies proviennent de vaisseaux extraterrestres. Il dit que la raison pour laquelle des vaisseaux se sont écrasés est que leur système de guidage a été interrompu ou brouillé par des radars ou par certains équipements. Ce qui lui a permis de valider cette assertion, c’est le fait d’avoir rencontré un chercheur contractuel qui travaillait sur ces technologies au sein d’une entreprise sous-traitante, Light City Technologies. Cet homme a appris à Don Phillips qu’il avait longuement travaillé sur certaines technologies lorsqu’il œuvrait, des années auparavant, au sein d’une importante agence de renseignements du gouvernement américain.
Graham Bethune, un ancien commandant et pilote de la marine des États-Unis, a été envoyé, en 1950, en Islande où il a notamment vu un tout petit halo jaune qui, en une fraction de seconde, s’éleva à une altitude de 3000 mètres. Il fut aperçu à environ un kilomètre et demi de distance, et il se stabilisa à environ 8 kilomètres, son dôme étant perceptible. Initialement, l’objet était jaune, puis il changea de couleur alors qu’il s’approchait de l’avion, une sorte de brume entourant l’objet. La longueur a été estimée par Graham Bethune à 90 mètres, le rapport des radars ayant établi la vitesse à 2900 kilomètres/heure. Cet objet volant avait parcouru une distance de 25 kilomètres en une ou deux secondes. Le rapport des radars a été envoyé au quartier général de l’armée de l’air à Washington. Le patron de Graham Bethune découvrit le rapport dans les archives de la base Wright-Patterson, dans les documents relatifs au projet Blue Book. Un ami de Graham Bethune, stationné à la base Wright-Patterson, l’a informé que Steven Spielberg avait obtenu l’autorisation de visionner ce microfilm ainsi que les dossiers Blue Book pour préparer le tournage de son film « Rencontres du troisième type ».
Un officier des renseignements s’est présenté chez Graham Bethune pour lui présenter des photos d’écrasement d’OVNIs. Il a pu voir en outre des photos montrant des disques brillants.
Au quartier général de Wright-Patterson, des réunions de pilotes étaient organisées, auxquelles Graham Bethune a assisté. Un jour, alors qu’il survolait l’aire de trafic en attendant de poser son avion, ils se rendit compte qu’il n’était pas très loin de ce qui ressemblait à un hangar en métal ondulé. Chaque fois que Graham Bethune et son patron se promenaient à proximité de cet hangar, le patron ne comprenait pas pourquoi il ne souhaitait pas entrer dans cet hangar et voir ce qui se cachait derrière ces parois en métal. Selon le patron, les autorités militaires y entreposaient un OVNI, des corps d’extraterrestres y étant aussi conservés. Ce n’était pas le premier à avoir tenu ce genre de discours à Graham Bethune.
Graham Bethune précise que l’amiral Forney était convaincu que des vaisseaux originaires d’autres planètes nous visitaient. Il a aussi confié à Graham Bethune que le colonel Watson avait permis à l’amiral de consulter la plupart des dossiers et qu’il lui avait avoué ce qui était conservé à la base (des OVNIs et des corps extraterrestres).
Dan Morris témoigne avoir vu, à la base aérienne Warner Robbins, trois OVNIs argentés. Les antennes du radar les ont suivis. Des photos ont été prises. Puis ils disparurent des écrans. Il déclare que si les essais nucléaires ont été arrêtés, c’est parce que des extraterrestres en provenance d’Orion ont donné l’ordre de les arrêter.
Dan Morris a dit que le gouvernement sud-africain a admis avoir récupéré un vaisseau extraterrestre. Dans un documentaire sud-africain, on a vu un sergent de police reconnaître avoir récupéré ce vaisseau, des images de cette opération de récupération étant visibles dans ce documentaire. D’après ce que Dan Morris a lu, un accord a été passé entre le gouvernement américain et le gouvernement sud-africain : en échange de l’engagement de la part du gouvernement des États-Unis à garder le silence sur le développement de la première arme nucléaire sud-africaine, les autorités sud-africaines devaient remettre aux États-Unis l’OVNI qu’elles avaient récupéré sur leur territoire.
Dan Morris : « Une fois cet accord conclu, un avion de transport militaire C-5A Galaxy décolla d’une base américaine pour aller récupérer l’aéronef ainsi que deux extraterrestres qui avaient réussi à s’extraire du vaisseau. Après avoir chargé sa cargaison, le C-5A redécolla immédiatement en direction de la base Wright-Patterson, située à Dayton en Ohio, où nous entreposons habituellement tout ce que nous récupérons. Cette base dispose de huit niveaux souterrains ; c’est là que l’ovni récupéré en Afrique du Sud a été entreposé. »
John Callahan, ancien chef de la Division des accidents et des enquêtes de la FAA (Federal Aviation Administration), évoque un incident qui s’est produit en 1986, quand un OVNI a poursuivi un 747 durant environ 30 minutes. Ce 747, qui appartenait à une compagnie aérienne japonaise, traversait le territoire de l’Alaska.
Les radars repérèrent une cible de grande envergure, et le pilote put lui-même voir celle-ci, laquelle ressemblait à une grosse boule équipée de lumières. La taille fut évaluée à environ quatre fois celle du 747 ! Le ballet aérien se poursuivit pendant 31 minutes, l’OVNI changeant en permanence de position par rapport au 747. L’OVNI ne put jamais être semé. Il était toujours là, à l’avant, à l’arrière, ou sur les côtés. Il maintenait en permanence, avec le 747, une distance de 11 à 13 kilomètres. Le pilote d’un avion de l’United Airlines fut informé que le 747 japonais avait été suivi à la trace par un OVNI… Lorsque les deux avions volèrent à proximité l’un de l’autre, l’OVNI décrocha du 747 pour suivre l’avion de l’United Airlines jusqu’à l’approche finale précédant l’atterrissage, puis il disparut soudainement.
Au quartier général de la FAA, à Washington, D. C., l’amiral Engen, le directeur, put visionner la vidéo. Pour l’essentiel, la FAA voulut se désengager de ce dossier. Lors d’une réunion, furent présents trois agents du FBI, trois agents de la CIA, et trois représentants du Groupe d’études scientifiques. Ils virent la vidéo. A une question posée, John Callahan répondit qu’il semblait bien qu’il s’agissait d’un OVNI. Lorsque la réunion s’est achevée, un des hommes de la CIA fit promettre aux personnes présentes de ne jamais dire que cette réunion avait eu lieu. Selon l’agent de la CIA, si cette information était divulguée au grand public, cela déclencherait un vent de panique dans le pays. John Callahan a cependant pu conserver la vidéo originale, le rapport du pilote japonais et le premier rapport de la FAA. Le pilote a dû quant à lui accepter un travail de bureau… Un sous-officier supérieur du NORAD (Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord) a avoué à John Callahan qu’un rapport avait été déposé sur cet incident.
George Filer III, qui fut officier de renseignements de l’armée de l’air, observa un OVNI en 1962, époque durant laquelle il pilotait des avions de ravitaillement au-dessus de l’Angleterre. L’OVNI semblait planer entre la ville d’Oxford et la région de Stonehenge. Le major put le repérer sur son radar. Il s’est envolé vers le haut, à une vitesse de plusieurs milliers de kilomètres/heure. Il s’agissait d’un aéronef en forme de disque plat, avec un dôme sur le dessus, et des sortes de lumières sur le dessus et en dessous. Si l’écho radar était fiable, cet engin devait mesurer approximativement 450 mètres de long.
Une nuit, à Medford dans l’État du New Jersey, la chambre de George Filer fut soudainement éclairée comme en plein jour. Il se leva et put alors voir, sur le lac, un engin en forme de disque d’environ 27 mètres de diamètre et d’où semblait sortir de l’eau. Autour de cet engin, il se produisit une sorte de phénomène d’ionisation très similaire à une aurore boréale. Après s’être déplacé à travers le lac pendant un certain temps, l’engin s’est envolé à une vitesse très élevée. George Filer apprit que des voisins avaient déjà observé ce type d’engins sur des lacs de la région. George Filer a discuté avec de nombreux astronautes ayant observé des OVNIs, et il a aussi parlé à des pilotes de l’armée qui avaient vécu des expériences semblables. Il se souvient du capitaine Ramidge, pour qui il avait travaillé à Athènes en Grèce. Durant la guerre de Corée, un OVNI avait volé pendant environ une heure à la droite de son avion de chasse, tout en effectuant des acrobaties en vol. 10% des pilotes et des équipages à qui George Filer a posé la question ont confirmé à celui-ci avoir observé des OVNIs. Un colonel qui travaillait dans le domaine du renseignement lui a déclaré que tous les membres d’équipage de son B-52 avaient observé un tel objet volant.
Le matin du 18 janvier 1978, George Filer III apprit, à la base aérienne McGuire, que durant toute la nuit des OVNIs avaient survolé la base, l’un d’eux s’étant apparemment posé ou écrasé à Fort Dix. Un policier militaire avait abattu un « petit Gris » (de la taille d’un enfant). L’extraterrestre, qui était blessé, s’était dirigé vers la barrière en acier qui séparait Fort Dix de McGuire. Il avait pénétré dans la base où il fut abattu sur-le-champ. Un C-141 en provenance de Wright-Patterson décolla pour récupérer le corps. Le chef du poste suggéra au major d’informer le général Tom Sadler qu’un extraterrestre avait été capturé… Il y avait des actifs nucléaires sur cette base, des armes nucléaires étant régulièrement transportées entre les États-Unis et l’Europe. Un agent de la police de sécurité confirma à George Filer qu’il avait vu un petit corps qui aurait pu être celui d’un enfant, hormis la tête dont la dimension était très largement supérieure à la normale. Selon ce que le major a compris, le vaisseau était en forme de disque. Durant la nuit, des OVNIs avaient survolé la zone et ceux-ci avaient été repérés par les radars. Le contrôleur de la tour les avait vus et ils avaient été repérés par des pilotes. Six à huit personnes gardaient le corps de l’Alien. La plupart des membres clés du personnel de la base qui avaient été témoins de l’événement furent rapidement transférés (ceci afin d’éviter qu’ils parlent entre eux de ce sujet). Ce transfert fut effectué en quelques semaines. Un membre de la police de sécurité informa George Filer qu’il avait été transféré un ou deux jours plus tard à Wright-Patterson, où il fut interrogé par de nombreuses personnes qui lui conseillèrent de ne parler à personne de ce qu’il avait vu.
Michael Smith (contrôleur radar de l’armée de l’air des États-Unis) déclare qu’au tout début de l’année 1970, à Klamath Falls dans l’Oregon, il a constaté que tous les opérateurs présents observaient sur leurs écrans radars un OVNI qui semblait planer à environ 24.000 mètres d’altitude. Après s’être maintenu à cette altitude pendant une dizaine de minutes, il a amorcé une lente descente jusqu’à ce qu’il disparaisse, pendant environ 5 à 10 minutes, des écrans radar. Puis il réapparut à nouveau en position stationnaire à 24.000 mètres d’altitude… Plus tard cette année là, des responsables du NORAD ont appelé Michael Smith pour l’informer en toute confidentialité qu’un OVNI remontait le long de la côte californienne.
En 1972, Michael Smith reçut, alors qu’il était stationné au 753e escadron radar à Sault Ste. Marie (Michigan), des appels paniqués de la part de policiers qui poursuivaient trois OVNIs à hauteur du pont Mackinac sur l’autoroute I-75. Il a obtenu, sur les écrans radars, la confirmation de la présence de ces objets volants. Les responsables du NORAD contactés semblaient très inquiets car ils ont dû détourner deux B-52 afin de les éloigner des trois engins. Cette nuit-là, Michael Smith a dû répondre à de nombreux appels du service de police, du bureau du shérif du comté, leur donnant une réponse standard en affirmant que rien n’apparaissait sur ses écrans radars.
Le colonel Ross Dedrickson, de l’armée de l’air des États-Unis, précise notamment qu’il a clairement distingué, lors du célèbre survol du Capitole en juillet 1952, neuf vaisseaux illuminés de forme circulaire. Après cet événement, il a été nommé au Commandement unifié sous la direction de l’amiral Felt, l’officier responsable du poste de commandement alternatif qui était impliqué dans la planification opérationnelle de l’utilisation des armes nucléaires.
Ross Dedrickson a eu connaissance de deux incidents séparés impliquant des OVNIs et des armes nucléaires :
- Le premier de ces incidents s’est produit après l’explosion d’une arme nucléaire au-dessus de l’océan Pacifique. C’était en 1961.
- Le second incident s’est produit à la fin des années 1970 ou au tout début des années 1980, lors de la tentative d’explosion d’une arme nucléaire sur la Lune, l’arme ayant été détruite alors qu’elle se dirigeait vers la Lune.
R. Dedrickson : « L’idée qu’un gouvernement terrestre puisse tenter de faire exploser une arme nucléaire dans l’espace n’était tout simplement pas acceptable pour les extraterrestres, ce qui a été démontré à maintes reprises par la destruction de toutes les armes nucléaires que nous avons essayé d’envoyer dans l’espace. »