L’Atlantide

Il est important de savoir que l’Atlantide dont la principale agglomération était Poseidonia occupait une grande partie de la planète. C’était une culture composée de multiples races, qui à leur apogée avaient de nombreux contacts avec des êtres venus des étoiles qui leur ont transmis leur connaissances avancées dans les domaines de la science et de la technologie.

Actuellement nous possédons des preuves sur l’existence de cette civilisation, des Oopart venus de la planète entière, des pyramides gigantesques, des monolithes, des sarcophages, des vestiges d’un peuple de géants…

Pourquoi l’establishment ne veut pas que nous sachions que ces êtres géants qui ont peuplé la Terre autrefois ont été détruits par des catastrophes apocalyptiques ? Il se peut aussi que des causes liées à leur dégénérescence auraient pu contribuer à leur destruction au moment même où une déglaciation s’abattait sur la Terre au niveau des pôles géographiques et magnétiques ?

Nos origines ethniques et génétiques sont aussi liées à un continent précédent nommé Lémurie ou Mu, situé dans le centre de l’océan Pacifique, duquel on conserve des vestiges en Amérique du Sud, sur l’île de Pâques, les Maldives, le Tibet voire l’Australie. Est-ce que leurs habitants ont également péri par des raz de marée, des volcans, des météorites, des ouragans et séismes en raison de leur dégénérescence sociale ?

Ce que nous pouvons en déduire c’est que nous nous trouvons face à une situation semblable à celle qu’ont vécu d’anciennes civilisations et qui touche toute l’humanité. C’est la raison pour laquelle nous parlons de catastrophes qui sont en train de se produire un peu partout : des séismes, des tornades, des typhons, des cyclones, des ouragans puissants et des orages qui détruisent tout sur leur passage, alors qu’une majorité de l’humanité méconnaît leurs effets, et ignore encore plus le fait que la planète passe en ce moment par un processus de mutation géomagnétique transformatrice, comme c’est déjà arrivé à d’autres époques révolues. Serait-ce un signal qui montre que nous suivons les mêmes pas d’anciennes cultures, où l’arrogance et le mépris envers les principes internes et les lois cosmiques universelles les ont entrainés vers la destruction ?

Et comment empêcher que des calamités tellement sinistres qui sont en route puissent être amoindries, si nous sommes à la fin des temps, comme cela a bien été prédit depuis des siècles par de grands visionnaires ?

Platon (philosophe grec 427-347 av. JC) : « En ces temps-là on pouvait traverser l’Atlantide. Il y avait une île en face de cet endroit que vous appelez les colonnes d’Hercule. Elle était plus grande que l’ensemble de la Lybie et de l’Asie. On pouvait facilement passer de ces îles aux autres puis à l’autre continent qui se trouvait sur la côte opposée. D’ici, le détroit dont nous parlons ressemble à un port avec une entrée étroite, mais c’est une véritable mer et la terre qui l’entoure un véritable continent. Dans cette énorme « île Atlantide » gouvernaient des rois au grand et merveilleux pouvoir; ils contrôlaient l’île et bien d’autres, et aussi quelques parties du continent. Ils régnaient aussi de la Lybie jusqu’en Egypte et, en Europe, jusqu’en Tyrrhénie… Le ciel s’est approché de la Terre et en un seul jour tout a été recouvert par l’eau. Soudain, les montagnes ont pris la couleur du feu… Vous, les grecs, vous parlez d’un seul déluge bien qu’il y en a eu d’autres. »

Platon, qui est considéré comme l’un des plus grands érudits du monde, ne laisse guère de place au doute sur son adhésion sans réserve à l’historicité de l’Atlantide et aux cataclysmes répétés.

Neuf mille ans avant que la conversation de Platon ne soit enregistrée (vers 400 avant J-C.), une guerre eut lieu entre l’ancienne Athènes vierge et l’Atlantide. À cette époque, l’Atlantide était une île « plus grande que la Libye et l’Asie réunies » qui fut frappée par des tremblements de terre. C’est la source, dit Platon, de la boue impénétrable qui empêche le passage au-delà des Colonnes d’Héraclès et à travers l’Atlantique.

La description de l’Atlantide par Platon est intervenue peu de temps après que les Juifs se soient exilés à Babylone (vers 600 av. J.-C.) et qu’ils prenaient des leçons d’histoire à partir de textes sumériens contenant la préhistoire manquante du livre hébreu de la Genèse. Ces textes parlent d’un cataclysme massif qui détruisit une race avancée. Ils racontent comment les dieux sumériens Enki et Ninharsag sont intervenus dans l’évolution de l’humanité et ont créé une civilisation avancée qui a été détruite et comment ils ont contribué à la longue marche vers le renouvellement de la civilisation. Ces êtres étaient les Brillants de l’Éden et des premiers temps bibliques. Dans l’histoire de l’Atlantide de Platon, Enki est devenu Poséidon, le souverain de l’Atlantide.

Depuis plus de trois mille ans, les gens ont été magnétiquement attirés et éblouis par l’histoire de Platon sur l’empire insulaire de l’Atlantide d’Enki/Poséidon et l’ont soit rejetée comme une simple légende, soit ont transformé cette histoire en une véritable histoire cachée.

Beaucoup pensent que l’Atlantide n’est qu’une fable ou une métaphore et que « l’eau » qui l’a détruite n’est que le symbole d’une nouvelle sagesse qui a remplacé l’ancienne.

Ceux qui rejettent l’histoire de l’Atlantide appartiennent à l’école d’Aristote. Il compara l’histoire de son professeur avec celle d’Homère sur le mur que les Grecs auraient construit pour protéger la mythique Troie, mais qui fut détruit par l’intervention divine. La conviction d’Aristote était que le conte de Troie d’Homère et l’Atlantide de Platon étaient des inventions de conteurs cherchant à embellir leurs histoires.

Aristote affirmait que Platon avait coulé l’île afin qu’elle ne puisse jamais être retrouvée. Avec l’Iliade d’Homère comme guide, Heinrich Schliemann partit à la recherche de l’ancienne Troie en 1870. Lorsqu’il la trouva, une nouvelle vie fut insufflée à la croyance selon laquelle l’Atlantide était aussi un lieu réel.

Crantor (vers 300 av. J.-C.), le premier rédacteur du Timée de Platon, contrebalançait le point de vue d’Aristote sur l’Atlantide. Pour lui, l’histoire de Platon était exacte, littéralement et historiquement. Selon certaines sources, il aurait même envoyé des enquêteurs en Egypte pour vérifier les sources. Apparemment, des prêtres égyptiens auraient affirmé que des documents trouvés sur des « piliers » encore debout confirmaient l’histoire de l’Atlantide.

L’Egypte est certainement le pays des piliers. Les fortes colonnes de Karnak sont inoubliables. Ces trois anciens piliers mystérieux que nous appelons les pyramides de Gizeh, regroupés sur le plateau des dieux, sont vraiment impressionnants. Ils représentent une haute science et une industrie capables de créer un édifice presque indestructible. Est-ce que ce sont les piliers du record ?

Malgré le fait que près de deux mille livres ont été écrits sur l’Atlantide au XXe siècle – dont beaucoup sur l’origine atlante des civilisations égyptienne, sumérienne, indo-aryenne et sud-américaine – nous ne pourrons peut-être jamais prouver certains que l’Atlantide existait. Pourtant, l’Atlantide nous rappelle tout ce qui était autrefois formidable dans la race humaine et qui peut l’être à nouveau. C’est un état d’esprit guidé par les dieux, soudé par des idées lointaines et une grande mesure d’espoir.
Voici l’histoire essentielle de l’Atlantide racontée par Platon.

source : https://www.bibliotecapleyades.net/stargate/stargate08.htm

L’ Atlantide racontée dans les Dialogues de Platon

Socrate demanda aux hommes de lui raconter des histoires sur la façon dont l’Athènes antique interagissait avec d’autres États. Le premier à en parler fut Critias, qui raconta comment son grand-père avait rencontré le poète et législateur athénien Solon, l’un des sept sages. Solon était allé en Égypte où les prêtres avaient comparé l’Égypte et Athènes, et parlé des dieux et des légendes des deux pays. Une de ces histoires égyptiennes concernait l’Atlantide.

Les Atlantes & L’école des Mystères

Après la destruction de l’Atlantide causée par une catastrophe planétaire qui a entraîné le déplacement des pôles, le grand déluge et son extinction totale certains des rares survivants ont formé des colonies pour donner naissance à la race actuelle, tandis que les guerres nucléaires ont détruit les restes qui subsistaient…

la cité perdue d’Atlantide

Des monuments antiques plongés dans l’eau. Une métropole autrefois florissante, mais aujourd’hui à un kilomètre sous la mer. Des villes perdues submergées depuis des milliers d’années. Dans le monde entier, il y a plein de villes englouties. Il existe plus de 200 villes englouties connues dans la seule Méditerranée.

Nous parlons de vestiges de villes à un moment où l’archéologie traditionnelle nous dit qu’il n’y avait pas de villes nulle part ailleurs dans le monde.

Si nous revenons à la Grèce antique, l’un des mythes, l’un des récits sacrés conservés par Platon est le récit selon lequel il existait un grand continent, qu’il appelait Atlantis, qui avait une grande civilisation avancée, et l’Atlantide était l’un des continents qui fût détruit par le déluge.

Quand est-ce qu’il date Atlantis ? Vers 9600 av. J.-C., ce qui est très proche de la date moderne de la fin de la dernière période glaciaire.

Donc, tout cela sembler être lié au fait que nous avions un cycle de civilisation plus ancien. Il a été dévasté à la fin de la dernière période glaciaire par des catastrophes naturelles. L’humanité a été poussée dans un âge sombre qui a duré des milliers et des milliers d’années, jusqu’à ce que la civilisation resurgisse il y a environ 5 000 ans.

Est-il possible que l’histoire d’Atlantis décrive réellement une civilisation qui existait 10 000 ans av. J-C., lorsque le grand déluge et la fin de la période glaciaire auraient eu lieu ? Atlantis a-t-elle subi le même sort que Göbekli Tepe, Gunung Padang et de nombreuses autres structures anciennes qui semblent avoir été touchées par un événement catastrophique ? Des partisans de la théorie des anciens astronautes disent que oui et suggèrent que les preuves les plus convaincantes peuvent être trouvées non pas avec ce qui a été détruit, mais avec ce qui a survécu.

Les monuments sous-marins sont-ils des exemples des civilisations les plus anciennes de l’humanité ? Ou existe-t-il des preuves de compétences bien au-delà de celles de l’homme primitif ? Si oui, d’où venaient-elles ? Quelles preuves se trouvent dans les profondeurs ?

Ce qui se passe sous la surface des océans est un vaste mystère en grande partie inexploré. Les légendes autochtones indiquent très clairement que quelque chose ou quelqu’un a atterri, puis que le savoir s’est soudainement propagé.

L’ Aube des Dieux de l’Atlantide

Il y a des bons de temps, les Frères de l’espace, sous la direction spirituelle des Maîtres de sagesse, les créateurs de l’Univers, étaient venus sur Terre pour habiter son cœur. Leur mission était de préparer la surface de la planète au développement des formes supérieures de vie biologique, et à la réincarnation des âmes détruites dans l’explosion atomique qui avait anéanti la planète Malona (Lucifer), située entre Jupiter et Mars.

Ces êtres supérieurs, humains accomplis, connaissaient les mystères des hiérarchies divines de la création, et du Logos planétaire intérieur dont la conscience avait engendré les âmes du groupe, chacune pouvant s’incarner à différents moments. Selon leur stade d’évolution à chaque période, les âmes humaines s’incarnent afin de parfaire leur croissance. Elles choisissent des expériences de vie spécifiques à travers des milliers d’incarnations, jusqu’à atteindre la perfection comme êtres humains.

Au début, nos Frères de l’espace construisirent des villes au centre de la Terre. Agartha, le Jardin d’Eden, fut créé, et de nombreux collaborateurs de la Confédération Galactique vinrent volontairement sur Terre. Toutes les couleurs et races d’humanoïdes apportèrent leur matériel génétique, et leurs espèces végétales et animales à cette genèse biologique.

Dans le plan de création du Père cosmique, la Terre était considérée comme une serre appropriée qui produirait un humanoïde universel, capable de surmonter toutes les polarités et la diversité des climats. Jusqu’alors, une grande diversité d’espèce non humanoïdes participaient au développement des âmes. Les différences étaient telles que les âmes avaient une difficulté extrême à se réincarner dans les corps d’autres systèmes stellaires. Aussi, l’objectif cosmique était d’établir une nouvelle zone expérimentale de création, fusionnant toutes les âmes dans un type de corps universel.

La Confédération Galactique et ses dirigeants, l’Ordre de Melchisédech, les Frères de Lumière, descendirent sur Terre pour produire un nouveau type d’être humain, et une fécondation planétaire. Ils créèrent l’espèce humaine à leur image et aidèrent à son amélioration génétique.

Eric von Danïken : « Je suis spécialiste des visites extraterrestres qui ont eu lieu des milliers d’années. Nos ancêtres ne comprenaient pas ces visiteurs, ils croyaient qu’ils étaient des dieux. Ils essayaient de copier la technologie des créatures célestes, en vain bien sûr, pas la fonction de la technique. «

La légende de l’Atlantide

Bien qu’une grande partie du plancher océanique reste inexplorée, philosophes et scientifiques ont été attirés pendant des milliers d’années par l’un des plus grands mystères de la mer, la légende de la cité perdue d’Atlantide.

Il a été dit que plus de livres sur l’Atlantide ont été écrits que sur n’importe quel autre sujet. Mais l’essentiel de ce que nous savons provient du philosophe grec Platon, qui a écrit deux livres sur l’Atlantide, le Timée et le Critias.

Écrit en 360 av. J.-C., Platon décrit l’Atlantide comme une citée très avancée, entourée de murs concentriques, qui fleurit 9 000 ans avant son époque. Il existe des descriptions de grands palais pour les rois. Il est dit qu’Atlantide avait d’énormes forces navales, qui avaient l’habitude de conquérir d’autres parties du monde. C’était une civilisation urbaine.

Dans deux de ses dialogues célèbres, Timée et Critias, du quatrième siècle avant J.-C., le philosophe grec Platon décrit ce « continent perdu » comme une île fondée par Poséidon, le dieu de la mer. L’ Atlantide, du moins telle que l’imaginait Platon, était très avancée sur le plan technologique. Avait des idées très avancées et progressistes sur la justice, le droit. En plus d’être une sorte de merveille technologique, c’était aussi un modèle de civilisation éthique, philosophique et morale.

Selon les textes grecs antiques, l’Atlantide fût fondé par le dieu grec Poséidon. Il a trouvé une jolie femme-fille merveilleuse sur Terre. Et il a pris cette jeune femme, et l’a mise enceinte. Alors pour protéger sa nouvelle famille, il fonda Atlantis.

Selon la légende, après une tentative infructueuse d’envahir Athènes, un désastre s’abattit sur l’île. Selon Platon, Atlantide a été détruite en un jour et une nuit par une destruction cataclysmique qui a englouti toute l’île et sa capitale. Certains chercheurs pensent que les Atlantes ont périt d’une manière ou d’une autre.

Où se trouvait l’Atlantide ?

Selon Platon, Atlantis était située en face des piliers d’Hercule, au-delà de ce que certains spécialistes attribuent au détroit de Gibraltar moderne. Et pour les anciens, alors qu’ils quittaient la mer Méditerranée pour aller dans le grand océan Atlantique, c’était là qu’ils dépassaient les piliers d’Hercule entre l’Espagne et le Maroc.

De l’autre côté de l’Atlantique se trouve l’île des Bahamas, au sud-est de la Floride. C’est ici, en 1968, que l’archéologue J. Manson Valentine pensait avoir trouvé une partie de l’Atlantide lorsqu’il avait découvert une formation rocheuse inhabituelle au large de la côte de l’île de Bimini Nord. C’est seulement dans environ 12 à 18 pieds – 3,6m à 5,5m – d’eau, de sorte que vous pouvez le voir facilement.

Au début, les scientifiques pensaient qu’il ne s’agissait que de roches de plage, mais plusieurs autres scientifiques explorant la route de Bimini ont alors remarqué que les roches de plage se trouvaient au-dessus d’autres roches de plage, avec des pierres posées en équilibre coincées entre les deux. La nature ne fait pas ça ; alors que l’homme le fait. Ils ont, alors, compris qu’il s’agissait d’un port, d’une digue portuaire.

Des bords peu profonds de Bimini au Gulf Stream par 300 pieds – 91m – d’eau, ont été trouvé de nombreux complexes fascinants qui ressemblent à des vestiges d’anciennes villes ou à des structures de routes, de sentiers, des structures recouvertes de corail.

Les ruines de Bimini pourraient-elles être des vestiges de l’Atlantide ? Si oui, ces routes pourraient-elles conduire à d’autres sites enfouis sous le sable de la mer ?

Atlantis est peut-être au large de Cuba ?

En 2000, lors de la cartographie du fond marin au large de la côte ouest de Cuba, une expédition de recherche dirigée par l’océanographe russo-canadienne Paulina Zelitsky a repéré des structures de pierre symétriques profondément enfoncées dans l’eau. Ils étaient à plus de 800 mètres de profondeur.

Les plongeurs ne peuvent pas faire ce genre d’enquête, donc, nous devons utiliser un véhicule télécommandé. Ce véhicule est équipé de caméras vidéo et de bras manipulateurs. Il était contrôlé depuis le pont du navire.

L’ expédition était également équipée d’un sonar à balayage latéral utilisé pour créer des images de vastes zones du fond marins et d’objets sous-marins. Paulina était dans la salle de contrôle à bord du navire quand cette image provenant du scanner latéral a été reçu. Ce n’est là que l’une des nombreuses autres images obtenues. On y voyait des structures faites de grosses pierres placées les unes sur les autres.

C’est une image qui montrait des angles rectangulaires à 90 degrés, encore et encore, sur de très grandes structures qui semblaient avoir de larges avenues. L’exploration a permis de découvrir d’immenses blocs de pierre en forme de pyramide, d’autres plus circulaires. La plupart étaient gigantesques, atteignant 16 pieds – 4,9m – de hauteur et pesant plusieurs tonnes. 30 structures géométriques ont émergé, semblant être les restes de rues, bâtiments, tunnels et pyramides, le tout à une profondeur de 670m sous la surface de l’eau.

Nous pourrions bien avoir ici la preuve d’une culture préhistorique qui remonte probablement à des dizaines de milliers d’années. En utilisant des techniques de datation basées sur la présence de cendres volcaniques à proximité, les géologues ont estimé que la ville sous-marine avait sombré il y a plus de 6 000 ans.

Serait-ce, à un kilomètre en dessous de la surface, une partie de l’Atlantide engloutie datant de 9 000 ou 10 000 ans dont Platon nous a rapporté ? Le mythe d’Atlantis est intrinsèquement lié à la région des Caraïbes et des Bahamas, en particulier à Cuba.

L’Atlantide est peut-être bien dans le Triangle des Bermudes ?

Platon parle d’un empire insulaire. Il parle probablement de dizaines d’îles de tailles différentes, pas seulement dans l’Atlantique Ouest, mais probablement aussi dans la région centrale de l’Atlantique.

Les ruines cubaines et des Bahamas se trouvent toutes deux à l’ouest du Triangle des Bermudes, une zone océanique couvrant plus de 500 000 milles carrés, connue pour ses anomalies magnétiques, ses observations extraterrestres et ses disparitions inexpliquées d’avions et de navires. Pourrait-il y avoir un lien entre Atlantis et la région connue sous le nom de Triangle du diable ?

Aux abords du triangle des Bermudes, il y a des ruines sous-marines de l’ancienne ville d’Atlantis, la ville préhistorique de l’Atlantide. Donc, oui, il existe bien une théorie selon laquelle Atlantis se situe non pas près de la Grèce, mais dans le Triangle des Bermudes.

Et si l’Atlantide n’était pas une île ?

Si les textes de Platon sont vrais, alors d’autres mythes grecs peuvent nous donner une idée du véritable destin de l’Atlantide. Un mythe raconte que la déesse Titan nommée Asteria est tombée du ciel et, est devenue une île.

Dans la Grèce antique, nous avons un certain nombre de mythes qui décrivent des îles en bronze, des îles scintillantes qui sont tombées du ciel et ont atterri dans l’eau. On peut alors supposer qu’Atlantis n’était pas, par conséquent, une île physique immobile et stationnaire.

Selon Platon, Atlantis a disparu en une nuit avec de multiple feux et beaucoup de fumée. Certains ne pensent pas que l’Atlantide ait coulé. Ils pensent que l’Atlantide a décollé.

Atlantis était-elle un refuge pour les anciens astronautes avant la fin du dernier âge glaciaire de la Terre ? Si oui, pourrait-il y avoir d’autres villes extraterrestres submergées sous l’eau ?

Les reliques en cristal de l’Atlantide

Selon les partisans de la théorie des anciens astronautes, les Atlantes utilisaient également des objets en cristal, non seulement pour exploiter l’énergie, mais aussi pour stocker des informations importantes, un peu comme un ordinateur.

Une partie de la tradition et de la légende de l’Atlantide est que les prêtres ont pris les anciennes reliques et le savoir sacré de l’Atlantide et les ont déposées, voire encodées, dans des objets en cristal, y compris des crânes. Selon la légende, le continent de l’Atlantide aurait mystérieusement disparu il y a des milliers d’années. Mais si l’Atlantide existait réellement, est-il possible qu’une poignée de ses citoyens ait survécu ?

Les crânes de cristal pourraient-ils être parmi les objets qui ont survécu avec eux ? Est-ce que cela pourrait expliquer pourquoi 12 de ce que l’on pense être les 13 crânes originaux ont été trouvés dans presque toutes les parties du monde ?

Des théoriciens pensent que oui et, à titre de preuve, soulignent les curieuses similitudes qui existent entre les anciens Mayas et les Tibétains modernes.

Ce que nous constatons, c’est que, partout dans le monde, où il est dit que c’est un refuge, nous avons des crânes de cristal, plus précisément au Tibet, et plus particulièrement le monde maya. Ces deux zones sont spécifiquement liées et identifiées comme des refuges de la civilisation Atlantide. Mais qu’est-ce qui serait si important à propos des crânes de cristal qui obligerait les citoyens condamnés de l’Atlantide à risquer leur vie pour tenter de s’échapper avec eux ?

Un archipel dans l’Atlantique

Sanchuniathon décrit un archipel connu des Phéniciens dans l’Atlantique. Probablement s’agit-il des Canaries… mais un cataclysme semble l’avoir dévasté tout comme l’Atlantide :

Les Imyrchakines (« iles éloignées » en hébreu) sont les dernières iles à l’Ouest. La plus éloignée d’entre elles est à 10 journées du promontoire Tyborsypha (« promontoire des tempêtes »). Le nom des plus considérables est Hyresa, Hyrisima, et Igydula.

Dans les temps anciens il y avait beaucoup d’hommes dans ces Iles. Mais il advint que le roi d’Hyresa vint débarquer à Hyrisima avec des forces considérables, et s’en rendit maitre. Il soumet à sa puissance toutes les iles dont il tua les princes.

Quand il se fut défait de tous ses ennemis, il devint si arrogant qu’il méprisa même les dieux. Alors eu lieu un tremblement de terre ; l’eau et le feu du ciel tombèrent avec tant de violence, que la plupart des habitants périrent. Ceux qui les éléments épargnèrent passèrent d’en d’autres contrées, de sorte que maintenant ces îles sont dépeuplées. Il y a dans ces îles de très hautes montagnes, la plus élevée est un volcan qui se trouve dans l’ile d’Hyresa.

Se référant à l’écrivain grec Marcellus l’éthiopien (dont l’œuvre est antérieure à celle de Platon), le néo-platonicien Proclus (410-485) semble avoir également évoqué de l’Atlantide :

Il y avait dans cette mer sept îles, consacrées en leur temps à Perséphone, et trois autres de grande taille dont l’une consacrée à Pluton, une à Ammon et une à Poséidon, celle-ci ayant une surface de mille stades. Ils disent également que les habitants de cette île consacrée à Poséidon conservaient le souvenir de leurs ancêtres, et de l’île atlantique qui se trouvait là, merveilleuse, en vérité, qui avait dominé pendant des siècles toutes les îles de la mer Atlantique et était également consacrée à Poséidon…

La légende de la cité perdue d’Atlantide. Des monuments antiques plongés dans l’eau. Une métropole autrefois florissante, mais aujourd’hui à un kilomètre sous la mer. Des villes perdues submergées depuis des milliers d’années. Dans le monde entier, il y a plein de villes englouties. Il existe plus de 200 villes englouties connues dans la seule Méditerranée.

Si nous revenons à la Grèce antique, l’un des mythes, l’un des récits sacrés conservés par Platon est le récit selon lequel il existait un grand continent, qu’il appelle Atlantis. Atlantis avait une grande civilisation avancée. L’ Atlantide était l’un des continents qui a été détruit par le déluge.

Est-il possible que l’histoire d’Atlantis décrive réellement une civilisation qui existait 10 000 ans av. J-C., lorsque le grand déluge et la fin de la période glaciaire auraient eu lieu ? Atlantis a-t-elle subi le même sort que Gobekli Tepe, Gunung Padang et de nombreuses autres structures anciennes qui semblent avoir été touchées par un événement catastrophique ? Des partisans de la théorie des anciens astronautes disent que oui et suggèrent que les preuves les plus convaincantes peuvent être trouvées non pas avec ce qui a été détruit, mais avec ce qui a survécu.

Les monuments sous-marins sont-ils des exemples des civilisations les plus anciennes de l’humanité ? Ou existe-t-il des preuves de compétences bien au-delà de celles de l’homme primitif ? Mais alors d’où venaient-elles ? Quelles preuves se trouvent dans les profondeurs ?

Les traces d’un cataclysme survenu dans l’Antiquité

Platon (427-347 av. J-C.) avait été le premier à prétendre que les Atlantes étaient les habitants d’une ile de l’Atlantique, engloutie il y a près de 10 000 ans. Pourtant il se référait à un peuple qui, de son temps, existait réellement mais dans la région de l’Atlas.

Il écrivait ceci :

Cette mer (l’Atlantique) était alors navigable ; elle environnait non loin, et vis-à-vis l’embouchure que vous nommez en votre langue Colonnes d’Hercule, une île plus vaste que l’Asie et la Libye ensemble : entre elle et le continent, il y avait encore quelques îles plus petites. Cette énorme contrée s’appelait Atlantide ; elle était peuplée et florissante, gouvernée par des rois puissants qui s’emparèrent de la Libye jusqu’à l’Égypte, et de l’Europe jusqu’à la Tyrénie.

Platon prétendait tenir ses informations des prêtres égyptiens. Pourtant il n’est pas évident de retrouver une telle légende dans leurs écrits.

Cependant il y a quand-même quelques pistes intéressantes au sujet d’un cataclysme ayant frappé AMENTI (AMENTET), l’archipel des morts. Ce dernier, selon les textes égyptiens, comportait plusieurs régions :

– SEKHET-AARU (YAARU / IARU / AALU / IALOU / IARU / IANRU), était la « Terre des Roseaux ou des Joncs ». Elle se situait à l’Est, vers le Soleil levant. (Notons pour la circonstance que le terme Babylonien ARALLU désignant le Paradis est proche parent d’AALU).

– SEKHEM, capitale de l’AMENTI et résidence du dieu Khem, connut un sort tragique et fut détruite « lors de la terrible nuit des tempêtes et des inondations ».

– Les champs des Bienheureux (connus ailleurs et beaucoup plus tard sous le nom de Champs Elysées) furent aussi détruits par les eaux. Ces champs sont situés géographiquement par les textes : «…la partie méridionale se trouve au pays (ou lac) de (K)HARU, la partie septentrionale est fermée par le canal d’ERSA ».

– SEKHET-HETEPET / SEKHET-HOTEP était le « Champs de la paix » ou « champs des Offrandes ». Il se situait à l’ouest, la ou le soleil se couche. C’était le lieu d’habitation du dieu Osiris. Selon le Papyrus d’ANI cette région aurait été constituée d’un groupe de quatre Îles formant un rectangle et traversé par des canaux.

Si l’on en croit les textes, sur les sept grandes îles, trois furent détruites par l’eau, (inondations, tempêtes et raz de marée), dont SEKHET-AARU, le Champs des Bienheureux, et la capitale SEKHEM. Les quatre autres (celles du SEKHET-HOTEP) furent détruites par le feu.

D’autre part, les textes d’Edfou parlent encore d’un pays nommé le Grand Tertre primordial ou encore île des Bienheureux, qui fut jadis enseveli sous les eaux. Cette île n’était pas unique puisqu’elle faisait partie d’un groupe de dix, donc d’un archipel. Et justement, dans L’île Primordiale existaient des canaux. Les trois principales iles furent détruites par un « Œil du Son » qui tomba sur la Terre (!?). Ce pourrait-il être un genre d’arme sonique ?

Cependant, hélas, on n’en sait guère plus sur cette légende égyptienne parlant d’un archipel détruit par une catastrophe.

Séisme en Crète

La Crète est située au milieu de la mer Méditerranée, c’est la plus grande des îles grecques. C’est en 365 après J-C., que cette province jadis silencieuse de l’empire byzantin fût détruite par un tremblement de terre sous-marin dévastateur et le tsunami qui a suivi.

Selon les historiens romains, le tsunami a également touché Alexandrie, l’Égypte et d’autres villes de la côte méditerranéenne, causant de grandes destructions.

Le tremblement de terre de 365 en Crète a été l’une des plus grandes catastrophes naturelles du monde méditerranéen. Il s’agissait d’un séisme d’une amplitude de 8 sur l’échelle de Richter. C’était donc très grand. Il a provoqué un tsunami et a soulevé l’île de Crète de neuf mètres. C’était donc un événement extraordinaire.

Les anciens Grecs attribuaient les tremblements de terre au dieu de la mer, Poséidon. Selon les mythes grecs, Poséidon était connu comme le « trembleur de terre » en raison de son pouvoir de provoquer des tremblements de terre, des tempêtes maritimes et des raz-de-marée.

Les peuples anciens auraient attribué aux dieux les catastrophes naturelles car ces événements sont meurtriers ; leur vie dépend donc de leur volonté d’apaiser ou de plaire aux dieux qui contrôlent ces choses. Et la Crète était réputée être la patrie des dieux.

Les écrivains parlent de l’Atlantide

En 1869, Jules Verne, écrit 20 000 lieux sous les mers, faisant renaître l’intérêt pour l’Atlantide.

En 1873, Heinrich Schliemann découvre les ruines de Troie, démontrant que les textes d’Homère n’étaient pas forcément une fable. Du coups, l’Atlantide de Platon parait plausible elle aussi.

En 1879 Elena Blavatsky fonde la société théosophique et écrit des livres délirants ou elle parle de l’Atlantide, dont les maîtres cosmiques seraient les véritables ancêtres de l’homme.

En 1882, Ignatius Donnelly écrit « L’ Atlantide, Monde Antédiluvien » ou il affirme que l’Atlantide était la première civilisation du monde et qu’elle détenait un immense savoir.

En 1883, Berlioux écrit « l’Atlas primitif et l’Atlantis ».

En 1919, Pierre Benoit écrit l’ « Atlantide », un roman plaçant les Atlantes en plein cœur du Sahara.

En 1925 l’anglais Spence rapproche les pyramides égyptiennes et précolombiennes dont il fait les héritières de l’Atlantide. Il lance ainsi le mythe des pyramides atlantes.

En 1926, James Churchward écrit « Mu, le continent perdu » ou il raconte qu’un prêtre hindou lui aurait révélé l’existence du continent de Mu (dans le Pacifique) et de l’Atlantide (dans l’Atlantique) sur lesquels se serait développé, plusieurs dizaines de milliers d’années avant notre ère, une civilisation supérieure, ancêtre de toutes les autres.

En 1933, le voyant Edgar Cayce, dans « Les mystères de l’Atlantide revisités », lance le mythe de la bibliothèque atlante cachée sous le Sphinx.

Edgar Cayce est sans doute le plus grand médium de l’Amérique. Il est né en 1877, décédé en 1945, et a documenté plus de 14 000 lectures psychiques. Il a également abordé des domaines tels que la réincarnation.

La civilisation mythique de l’Atlantide – Edgar Cayce

Les récentes découvertes archéologiques aux Bahamas pourraient-elles confirmer qu’Edgar Cayce avait raison sur l’existence d’une civilisation extraterrestre perdue ? Si oui, devrions-nous nous préoccuper de ses prévisions pour l’avenir de l’humanité ?

Cayce était un cataclysmiste et, dans ses lectures, il parlait constamment des changements de la Terre et des pôles qui ont provoqué la destruction des civilisations dans les temps anciens. Cayce a dit que nous allions avoir un autre changement de pôle vers le millénaire. Même un astéroïde relativement petit, entrant dans le bon angle, qui ne frapperait pas nécessairement la Terre mais pourrait la frôler, en théorie, pourrait modifier de manière significative l’axe d’inclinaison de la Terre. Mais, si cela se produisait, la terre et l’océan seraient redistribués sur la terre.

Il semble que l’histoire se répète, il se peut qu’à ce moment, nous nous trouvions exactement dans la même situation que celle dans laquelle se trouvaient les citoyens de l’Atlantide. Peut-être allons-nous découvrir exactement ce qui est arrivé à cette civilisation perdue et tirer les leçons de leurs erreurs et ne pas sombrer nous-mêmes dans l’oubli.

Nous ne sommes pas les premiers et nous ne l’avons jamais été. Une pré-civilisation extraterrestre existait avant notre histoire enregistrée et cette vérité sera révélée de notre vivant. Les récits d’une époque où des dieux et des êtres d’un autre monde ont habité la Terre pourraient-ils être plus que de la mythologie ? La découverte de vestiges inexplicables de cette civilisation perdue pourrait-elle révéler la vérité sur nos origines extraterrestres, comme le suggèrent des théoriciens des anciens astronautes ? Peut-être sommes-nous sur le point de découvrir la dernière pièce du puzzle qui changera notre compréhension de l’histoire de la Terre pour toujours. Mais allons-nous le découvrir avant qu’il ne soit trop tard ?

Chapitres :

Préface – Qui était Edgar Cayce ?

1/ La légende de l’Atlantide

2/ La réincarnation

3/ L’ Atlantide avant 50 000 ans av. J-C.

4/ De 50 000 à 10 000 av. J-C.

5/ La destruction finale

6/ L’ombre de l’Atlantide

Edgar Cayce, celui qu’on a appelé l’Homme du Mystère, le plus grand visionnaire que l’Amérique ait connu, révèle ce que furent la légendaire Atlantide et sa civilisation oubliée.

Selon Cayce, les Atlantes connaissaient déjà, en des temps préhistoriques, la radio, la télévision, les avions, et même l’énergie atomique et le laser. Apprentis sorciers, ils firent un mauvais usage de leurs découvertes et causèrent leur propre perte. Aujourd’hui, les Atlantes vivent parmi nous, ce qui explique les progrès foudroyants de la science depuis le début du siècle. Allons-nous commettre les mêmes erreurs ? Allons-nous aussi détruire jusqu’aux derniers vestiges de notre civilisation ? Et l’Atlantide va-t-elle resurgir des eaux comme l’a prédit Cayce ?

À toutes les questions que se pose l’humanité depuis Platon, cet ouvrage apporte une réponse, aussi troublante que passionnante, en soulevant le voile de mystère qui entoure le continent perdu.

Les grands prêtres et prêtresses de l’âge d’Or de l’Atlantide

Qui étaient les grands prêtres et les grandes prêtresses de l’âge d’Or de l’Atlantide ? D’où venaient-ils ? Quels pouvoirs possédaient-ils ? Comment ont-ils régné sur l’Atlantide ? Comment peuvent-ils vous aider à réinstaurer votre matrice divine ? Diana Cooper répondra à ces questions et plusieurs autres encore. Par la suite, elle vous mènera en un voyage extraordinaire de l’intérieur où vous :

Explorerez l’une de vos vies en Atlantide,
Rencontrerez un grand prêtre ou une grande prêtresse,
Recevrez une guérison par les cristaux d’une grande prêtresse,
Nettoierez vos résidus karmiques personnels, ancestraux et d’une vie passée,
Réinstaurerez votre matrice divine originale.

L’âge d’or de l’Atlantide fut la période la plus spirituelle qu’il y eut sur terre. Les pouvoirs et les habiletés de son peuple sont légendaires. Diana Cooper explore l’histoire de ce peuple, son habileté à léviter, se déplacer et le voyage intergalactique. Elle nous explique comment ils sont parvenus à atteindre et développer leurs pouvoirs psychiques ainsi que leur extraordinaire capacité technologique basée sur l’énergie des cristaux. Vous découvrirez une expérience méditative qui vous permettra :

de rencontrer les anges et les dauphins de l’Atlantide ;
de visiter la Cathédrale des monts sacrés et du Sphinx ;
de vivre une expérience de vie passée en Atlantide ;
de vivre l’expérience mystique d’une chambre de guérison cristalline.

Ces traces d’une grande civilisation, antérieure au déluge…

Ces statues géantes, hautes de 8 mètres et pesant 20 tonnes…

Ces murailles, faites de blocs de 9 tonnes creusés sur leurs 6 faces de mortaises inexplicables…

Tous ces vestiges prodigieux que l’on découvre dans les Andes à 4000 mètres d’altitude – dans un site dont la géologie révèle qu’il était jadis baigné par les océans -,comment en expliquer l’origine sans remonter à certains passages de la Bible, aux récits de Platon qui font état de la civilisation de l’Atlantide et des désastres cosmiques qui ont profondément modifié l’aspect de la planète ?

De ces textes anciens comme des découvertes récentes des géologues, Denis Saurat a fait la lumineuse synthèse dans ce livre captivant. Il examine dans ce livre tous les aspects de l’énigme de l’Atlantide et est persuadé que des géants ont existé sur Terre autrefois.

Les Géants – Les Nephilim Bibliques

L’Atlantide