Jésus était-il un enfant des étoiles ?

Les chercheurs du Vatican croient-ils vraiment que Jésus aurait pu être l’Enfant des Étoiles d’une race extraterrestre ? Est-ce que Consolmagno et les autres Jésuites croient secrètement que la « naissance virginale » n’était en réalité qu’un scénario d’abduction (enlèvement par des extraterrestres) dans lequel Marie aurait été inséminée par des ETs, donnant ainsi naissance à un Jésus hybride ?

Le tableau en question est connu sous le nom de Baptême de Jésus-Christ, et a été réalisé par le célèbre peintre hollandais Aert de Gelder en l’an 1710, dans ce tableau, nous voyons représenté la scène où Jésus est baptisé, la chose curieuse est que dans le ciel nous pouvons observer un étrange objet volant qui tire des rayons de lumière vers Jésus. Pour les chercheurs du phénomène OVNI, le tableau d’Aert de Gelder est la preuve définitive de la présence d’OVNIs depuis le passé. Ainsi, Aert de Gelder était l’un des meilleurs élèves de Rembrandt, l’un des plus grands maîtres du baroque. Pour cette raison, certains chercheurs pensent que, grâce à cela, De Gelder a pu avoir accès à des œuvres d’art et à de la littérature provenant des archives secrètes du Vatican. Ainsi, les chercheurs suggèrent qu’il s’agit de l’un des indices que De Gelder a laissés dans son œuvre, pour exposer la vérité cachée du Vatican sur les OVNIs.

Selon Richard Lawrence, un ufologue, l’histoire des Rois Mages avait plus de sens qu’on ne le pensait. L’expert en ovnis Richard Lawrence a suggéré de manière sensationnelle que tout ce que la Bible a enseigné sur la naissance du Christ est inexact – et que même la véritable date de Noël serait fausse. Un spécialiste des ovnis a remis en question le pilier central de la foi chrétienne en déclarant que le fils de Dieu était un extraterrestre et que l’histoire de la naissance du Christ impliquait un vaisseau spatial venu de l’espace. 

Richard Lawrence est l’auteur de 11 livres sur les extraterrestres et est considéré comme un « gourou des OVNIs » par ses contemporains dans son domaine. Il est le secrétaire exécutif de l’Aetherius Society – un mouvement religieux relativement nouveau fondé par le défunt spiritualiste britannique George King dans les années 1950, qui vise à diffuser un « enseignement sur les intelligences extraterrestres ». 

R. Lawrence affirme que la vie extraterrestre est au cœur même de la foi chrétienne – suggérant que l’étoile décrite dans l’histoire de la nativité, planant au-dessus de Bethléem, était en fait un vaisseau spatial et que le Christ lui-même venait de l’espace. 

Dans une interview à MyLondon, R. Lawrence a dit de Jésus : « Je ne l’appellerais pas un extraterrestre, mais plutôt une grande intelligence cosmique. Mais oui, un extraterrestre, si vous voulez ». Il a ajouté : « Je crois qu’il venait de Vénus. » 

Richard Lawrence et The Aetherius Society prétendent que Jésus, Bouddha, Gandhi et Sophocle étaient tous des êtres cosmiques envoyés sur Terre pour aider l’humanité au cours de leur histoire. R. Lawrence basé à Londres est même allé jusqu’à affirmer que la Bible elle-même soutient sa folle théorie. 

Il a déclaré : « D’après la Bible, l’étoile de Bethléem a été vue par trois sages que l’on pourrait considérer comme des témoins très crédiblesElle les a guidés vers un endroit précis. Cela n’a pas pu être une étoile, elles ne bougent pas ».

M. Lawrence – dont les livres publiés incluent UFOs and the Extraterrestrial Message, et Unlock Your Psychic Powers – dit aussi que Noël devrait être marqué en mars, et non le 25 décembre. Il affirme que le fondateur de l’Aetherius Society, George King, « a été informé » que c’était le cas, tandis que le fait que les bergers sont mentionnés dans la Bible comme « veillant sur leurs troupeaux la nuit n’aurait pas pu le faire le 25 décembre, mais plutôt au printemps. »

En 1954, George King, chauffeur de taxi londonien, a reçu une communication par ondes télépathiques, émanant d’une intelligence extraterrestre appelée Maître Aetherius: «Préparez-vous à devenir la voix du Parlement interplanétaire», disait-il. Ce message, délivré depuis la planète Vénus, était le premier de centaines d’autres communications du même type, que King aurait reçues tout au long de sa vie, certaines par ondes télépathiques, d’autres interceptées au cours de transes. Ses expériences ont conduit King à fonder, en 1955, la société Aetherius, un groupe religieux «dédié à la propagation des enseignements des intelligences extraterrestres avancées par l’action».

Une des croyances fondamentales de la société Aetherius est que la vie extraterrestre existe et qu’ils sont des êtres spirituels très évolués, connus sous le nom de « Maîtres cosmiques ». Parfois, ces extraterrestres prennent forme humaine, nous rendent visite sur Terre et diffusent des conseils spirituels à travers le monde. Parmi les Maîtres cosmiques, on peut citer Bouddha, Krishna, Confucius et Jésus. Le travail spirituel de la société Aetherius tourne autour de cinq « Missions cosmiques », des rituels conçus pour coopérer avec ces Maîtres cosmiques et guérir le monde par la prière.

En 1959, King s’est installé à Los Angeles pour fonder le siège américain de son mouvement, bien déterminé à répandre son écosystème de croyances fait de «Dieux de l’Espace», d’OVNI, de guérison spirituelle et de pouvoirs psychiques. La même année, King est apparu dans un talk-show de la BBC pour présenter sa nouvelle religion. Au cours de l’émission, King a canalisé psychiquement le Maître Aetherius, se tordant de manière théâtrale lorsque Aetherius «s’exprimait» à travers lui. Aetherius a confirmé que les extraterrestres parcouraient l’univers dans des vaisseaux et que la Terre courait un grand danger en raison de la «déviation des lois spirituelles» et de «l’expérimentation atomique». Il paraît invraisemblable que les idées de King aient réussi à attirer l’attention et à trouver un quelconque écho, si l’on ne prend pas en considération les événements historiques de l’époque.

L’année 1955 marquait à la fois la fondation de la société Aetherius et le début de la course à l’espace, la célèbre compétition à laquelle se sont livrés l’Union soviétique et les États-Unis pour la domination de la technologie des vols spatiaux. Alors que les inquiétudes du monde entier étaient fixées sur le ciel, la philosophie de King offrait une sécurité existentielle en réponse aux possibilités inconnues de l’espace, de la bombe atomique et de la course aux missiles de la guerre froide. Des dieux voyageant dans des ovnis pourraient nous aider à guérir la Terre.

Toutes les croyances de King n’étaient pas si fantasmagoriques. Au cours de ce même entretien diffusé par la BBC, King dit : «Si vous êtes chrétien, alors vivez selon les lois établies par Jésus. Si vous êtes bouddhiste, vivez selon les lois établies par Bouddha. Si vous êtes hindou, alors soyez le meilleur des hindous. Cette attitude est le seule moyen pour les hommes de la Terre de se sauver de leurs bas instincts.» King n’a pas utilisé son passage à la BBC pour faire du prosélytisme. Il a préféré insister sur le bien-fondé des autres religions et encouragé les gens à rester sur leurs propres sentiers spirituels.

source : http://www.slate.fr/story/131876/secte-taxi-londonien-jesus-extraterrestre?fbclid=IwAR2g6lpHx88mLhGC3-Xmj_gHXQ8X1RLSNC-bi3vsfnUzOGCt2opDv9izVbA

Dans l’émission LIFELINE de la BBC diffusée le 21 mai 1959, le titre du programme était « MARS ET VENUS PARLENT À LA TERRE ».

En Janvier 2015, la NASA a annoncé la découverte d’une autre planète très similaire à la Terre. Kepler 438b est non seulement de la même taille que notre propre planète, mais aussi son étoile est similaire à notre soleil. 

Ils posent la théorie sur ce qui pourrait être la condition des civilisations extraterrestres dans le passé de l’humanité. Une des personnes qui croient que notre planète a dans le passé été visité par les étrangers est l’ufologue Barry Downing. Il est aussi un pasteur retraité de l’Eglise presbytérienne et dit que la plupart des événements décrits dans la Bible est une manifestation de l’action de civilisations extraterrestres qui ont été mal interprété par les gens dans ce temps. 

Selon le chercheur, Barry Downing, Jésus-Chrit pourrait venir d’une autre planète. Il dit que certaines parties de la Bible ressemblent à des enlèvements ou des observations d’OVNIs d’aujourd’hui. En commençant par le char divin observé par Ezéchiel, dans l’Evangile de Saint Mathieu du Nouveau Testament, où passent un objet lumineux dans le ciel, qui semble annoncer de sages nouvelles à propos de la naissance du Christ. Nous appelons cela la construction de l’étoile de Bethléem, mais selon le chercheur la description est faite sur le vaisseau spatial, qui a ensuite conduit aussi les sages de la ville de Bethléem.

La conception virginale même de Jésus par Marie aurait été réalisé par des extraterrestres. Barry Downing dit qu’un embryon peut avoir été implanté artificiellement dans le ventre de Marie, mais il y a des théories qui disent seulement pour la fécondation par des extraterrestres, ce qui suggère que Jésus pourrait être un hybride humain-extraterrestre. La révélation de l’Ange Gabriel à Marie, qui lui a révélé l’information qu’elle porterait le fils de Dieu, et il allait vraiment être un contact extraterrestre. Certains chercheurs notent de nombreuses similitudes entre les descriptions bibliques de l’émasculé conception et les rapports d’abductions d’aujourd’hui par des extraterrestres, et après que les femmes remarquent qu’elles soient enceintes. Bien sûr, aucun de ces rapports n’ont jamais été confirmé scientifiquement. Toutefois, la preuve la plus convaincante de l’origine extraterrestre de Jésus pourrait être, les descriptifs faites par ses miracles.

À l’âge de 30 ans, le Christ a effectué une mission de 3 ans visant à enseigner et initier un changement social à l’humanité. Les miracles qui ont eu lieu au cours de cette période, l’église chrétienne reconnaît comme preuve que Jésus était le vrai Messie et le Fils de Dieu. La Bible documente, le contrôle des forces de la nature, la possibilité de marcher sur l’eau, et la résurrection des morts, par Jésus. Mais les ufologues qui étudient les textes bibliques prétendent qu’il est plus logique, il serait l’attribution de ces capacités surnaturelles que l’essence divine de l’activité extraterrestre. Ces pouvoirs extraterrestres avaient également laissé le Christ ressuscité quelques jours après sa crucifixion. Et son ascension était juste d’être de retour sur leur planète. Même la Bible définit Jésus, comme n’étant pas de ce monde.

Selon Barry Downing l’idée que la Bible peut contenir des descriptions d’activité extraterrestre sur Terre. Il effraie beaucoup de chrétiens, en particulier les plus conservateurs. Malheureusement pour lui et les partisans de sa théorie, il n’y a aucun moyen de confirmer que Jésus était en effet un être venu d’une autre planète. Et si maintenant le débat sur Jésus se concentre plutôt sur l’opportunité des textes bibliques décrivent les événements réels, ou ils sont seulement métaphorique. Mark Bennett, membre de la Société Aetherius, dit : « que ça a beaucoup plus de sens, c’est-à-dire que Jésus était un extraterrestre venu sur Terre pour aider l’humanité, que le fait que Dieu a créé son fils unique, qui était aussi lui-même et est apparu dans un point complétement aléatoire dans l’histoire, de pardonner les péchés des gens, ne savent pas pourquoi ». Des disputes sur qui était Jésus, et si elle existait vraiment ont duré près de 2000 ans. Et avec l’expansion de notre connaissance du monde, nous poserons des questions de plus en plus difficiles au sujet de la figure centrale des plus grandes religions de notre temps. Alors que la résurrection, les miracles, et la divinité de Jésus est plutôt une question de foi, la majorité des chercheurs contemporains sont d’accord pour reconnaître que ce personnage a vraiment existé. Mais quelque part au début du XIXe siècle, il n’y avait pas une telle chose comme la théorie du mythe de Jésus, qui tente de traduire les origines du Christianisme la reconnaissance de Jésus en tant que telle.


Récemment, l’Observatoire astronomique du Vatican a tenu une conférence sur la vie extraterrestre, où les astro-biologistes les plus importants du monde  se sont réunis pour discuter de la possibilité de trouver une vie extraterrestre sur d’autres mondes dans les deux prochaines décennies, ce qui est communément appelé la poursuite de  la « vie extraterrestre. » Automatiquement beaucoup de gens ont demandé pourquoi cet intérêt, ou même si le Vatican cache des informations relatives au thème extraterrestre qui aurait pour résultat de  changer les croyances de chacun.  Selon la théoriciens des Anciens Astronautes et les partisans de la ré-écriture de l’histoire de l’humanité,  une de ces informations sérieuses tenues secrètes  serait  que Jésus lui-même serait  d’origine extraterrestre.

Et c’est là que commence l’une des théories les plus controversées de l’histoire de l’humanité. Selon certains experts, la naissance de Jésus pourrait effectivement être une intervention extraterrestre, et le fils de Dieu est en fait le fils d’un être étranger à la Terre (probablement un Annunaki), non un hybride Alien. L‘hypothèse est que, lorsque les anges ont visité Marie dans ce qu’elle a perçu comme un rêve dans son sommeil. De fait, pendant son sommeil, elle aurait vraiment reçu la visite d’extraterrestres. Ces êtres l’auraient inséminés artificiellement avec leur sperme génétiquement modifié afin qu’il soit accepté par le corps physique de Marie, une fille de la Terre.

Ce fut l’étranger « l’archange Gabriel » non membre d’une race extraterrestre qui apporta le message à Marie. Jésus a été accusé d’avoir des capacités surhumaines. Marie a donné naissance à un Jésus … même vierge, et donc, Jésus était l’un des premiers extraterrestre hybride d’humain. Ce serait l’une des plus grandes énigmes de l’histoire.

Par ailleurs, si vous regardez de plus près la naissance de Jésus, les quatre évangiles mentionnent la vie de Jésus, mais seulement les évangiles de Matthieu et de Luc font référence au miracle biologique d’une femme vierge qui devient enceinte par un acte de Dieu et donne naissance à un enfant de Pouvoirs. Aussi, ce fut par ces deux versions de l’évangile que l’état de Jésus a été élevé à la catégorie des sauveurs de l’humanité.

Avec la contribution de Matthieu et de Luc, l’histoire a changé au sujet de la naissance virginale. Selon Matthieu, le représentant étranger, l’archange Gabriel est apparu à Joseph, tandis que Luc dit qu’il est allé vers Marie. Selon les écrits de Luc, l’annonce de Gabriel a été faite avant la conception de Marie et après cette même conception dans les écrits de Matthieu.

La preuve définitive de l’origine extraterrestre de Jésus :

D’autres influences extraterrestres entourant la naissance de Jésus sont relatives à l’étoile de Bethléem, qui en indiquant l’emplacement de sa naissance, nous montre qu’il ne s’agissait pas d’une « étoile » mais d’un véhicule aérien, un ovni. Entre la naissance de Jésus, ses œuvres et les miracles qui ont eu lieu vers l’âge de 30 ans, il n’y a presque pas de documentation. Cela peut être considéré comme une longue période de « temps perdu. » Les experts suggèrent que pendant ce temps, le  « Jésus hybride » peut avoir été instruit, formé et préparé par son père étranger, son vrai Père. Cela comprenait la préparation des miracles, les exorcismes, le contrôle de la nature, la guérison des malades et le pouvoir de ressusciter les morts.

Mais la preuve définitive que Jésus ne serait pas d’origine humaine « non ordinaire », mais possiblement d’origine extraterrestre est sa résurrection physique, mentionnée dans les quatre évangiles. Marc nous dit que Jésus a été battu et brutalisé par les gardes romains qui l’ont couronné d’épines, et l’ont crucifié à la neuvième heure. Son corps a été enveloppé d’un fin linceul. Aujourd’hui, en ce XXIème siècle, la rumeur s’est répandue pour être une empreinte miraculeuse du corps du Christ sur les restes de ce tissu, le fameux suaire de Turin.

Saint suaire de Turin

Les événements de ce premier puzzle de ce matin de Pâques ont une saveur surnaturelle de vérité. Les membres du  Conseil juif, le Sanhédrin, étaient sans voix quand ils ont reçu la nouvelle que la tombe de Jésus était vide. Ils ont entendu des histoires sur la façon dont, dans les premières heures du matin, qu’un « être de Lumière » dans une robe « blanche comme la neige » et une lumière sur la tête si brillante qu’en le voyant descendre des nuages, cela a terrifié le soldat romain qui gardait la tombe de Jésus. Ce personnage étrange, appelé par les prêtres comme étant le CÉLESTE, secoua la pierre colossale bloquant l’entrée de la tombe avec une force surhumaine.

Ce fait a été révélé à Marie – Madeleine par deux hommes vêtus de blanc, des créatures célestes  non–humaines  qui étaient près de l’entrée de la tombe. Une des figures mystérieuses dit :

« N’ais pas peur, si tu cherches Jésus de Nazareth, qui a été crucifié, il n’est pas ici … Il est ressuscité … Dites à ses disciples et à Pierre qu’il sera avec vous, en Galilée;  vous le verrez comme je vous l’ai dit ».

Cet homme énigmatique aurait disparu dans les cieux aussi mystérieusement qu’il était apparu. Aurait-il pu retourner au Vaisseau-Mère qui était dans l’orbite de la Terre ? Serait-ce cette nef d’origine extraterrestre qui serait la fameuse  « étoile de Bethléem », qui prédit sa naissance ?

Lorsque Jésus ressuscité reparut devant ses fidèles disciples, il est apparu comme s’il aurait subi une « transformation fantomatique ». Cette utilisation de la bilocation dit-on, beaucoup de gens ont prétendu l’avoir vu dans plusieurs endroits à la fois, simultanément.

Le Livre 2, des apocryphes et l’Épître des Apôtres, pendant des siècles ont été interdits par l’Église au cours d’un long concile et des débats interminables sur la nature de Jésus, ressuscité au ciel, tandis que la Bible donne beaucoup de détails sur cette  « adhésion de Jésus au Ciel »: Il est arrivé sur le mont des Oliviers. Les disciples de Jésus parlaient d’un son puissant entendu lorsqu’il n’y avait pas de tonnerre dans le ciel. Ils virent alors une  « forte illumination » qui a monté jusqu’aux cieux. Le tonnerre grondait  sur la montagne, et un char est descendu à travers les nuages. Ceci est connu comme étant un chariot Merkaba, le véhicule céleste des anges, dans la tradition hébraïque.

Les textes anciens décrivent la façon dont Jésus est entré dans la Merkaba : il a été bien accueilli par les anges qui étaient habillés en « vêtements blancs ».

Les apôtres virent avec étonnement que Jésus est ressuscité plus haut dans le ciel jusqu’à ce que et les anges dans la Merkaba disparurent de leur vue.

Cet événement pourrait-il être expliqué par le retour au Vaisseau-Mère de la nef pour rejoindre son alien de père ?

Nous sommes en l’an 2016, une année de grande anticipation et d’attente. Il y a  beaucoup d’attente pour 2017, en tant que la seconde venue du Christ : assisterons-nous à un contact extraterrestre « officiel » ? Nous rappelons que cela est tout simplement la théorie de certains qui croient que Jésus a réellement existé… de manières humaines ! Mais ses origines réelles sont  très différentes. Il semble que le Vatican pourrait avoir toutes ces observations écrites et des preuves de l’origine extraterrestre de Jésus, tandis que d’autres suggèrent que cela fait partie d’une conspiration dirigée par des êtres extraterrestres avec la seul intention d’asservir les religions de la population du monde entier.

source : https://michelduchaine.com/2016/06/16/les-dossiers-de-michel-duchainelorigine-extraterrestre-de-jesus-christ/

L’étoile de Bethléem était un ovni ?

« La soi-disant étoile de Bethléem qui conduisit les Rois mages auprès de l’enfant Jésus n’était pas une étoile, mais un véhicule spacial d’une autre planète, envoyé sur Terre par Dieu lui-même. »

Telle est la conclusion d’un article du journal américain Weekly World News qui cite le Dr Clarence Majedo, astrophysicien : « Il est certain que le phénomène décrit dans le deuxième chapitre de Matthieu ne peut correspondre à une étoile […] L’auteur de l’Evangile de Matthieu utilisait les seuls mots qu’il connaissait pour décrire ce que les Rois mages avaient vu. Il appela cela une étoile parce qu’à ce moment-là, on n’avait jamais entendu parler de vaisseau spatial ni d’extraterrestre. Aussi loin que l’on s’en souvienne, les seuls objets brillants dans le ciel étaient des étoiles. Mais les étoiles n’agissent pas de cette manière – les ovnis, oui. […] Mon équipe et moi-même en avons conclu que les Rois mages avaient été guidés jusqu’à l’étable de Bethléem par des extraterestres, sur mission de Dieu qui gouverne la vie sur toutes les planètes. »

C. Majedo va encore plus loin : « Les quatre Evangiles, de Matthieu, Marc, Luc et Jean, racontent l’histoire du Christ. Mais l’étoile n’est mentionnée que dans celui de Matthieu. Celui de Luc parle d’un ange qui apparut à un groupe de bergers et leur annonça la naissance du Christ. D’après nos estimations du temps, l’ovni avait atterri et ce n’était pas un ange, mais un extraterrestre qui apparut aux bergers et leur indiqua que le Sauveur était né. »


Jésus-Christ était-il un extraterrestre, un alien qui voyageait dans un vaisseau spatial ? Les églises et les cathédrales contiennent des représentations de Jésus, qui portent un code secret, jamais entrevu avant. On aborde ici un domaine tout à fait original, au carrefour de l’ufologie et de l’ésotérisme.


Divin ovni dans le ciel de Bethléem, Selon la Nasa Jésus ne serait pas né en l’an 5 mais en l’an 2 avant Jésus-Christ…

Enfin, la stricte vérité scientifique sur un miracle très chrétien :

L’«étoile» qui a guidé les Rois jusqu’à l’étable natale de Jésus n’est pas une étoile mais une planète, ou plutôt deux. Grâce à un logiciel de la Nasa, les astronomes ont découvert que l’«étoile» des Rois mages était la conjonction de Vénus et de Jupiter. Un événement qui s’est produit deux ans avant » Jésus-Christ.

Sans remonter au Déluge, l’évaluation des récits bibliques à l’aune de la science ne date pas d’hier. Elle est même vieille comme Hérode. Mais l’«étoile» des Mages est sans doute l’événement qui a le plus fait calculer les astronomes. Objectif recherché, dater avec précision la naissance de Jésus Christ. Un exercice qui n’a rien d’évident. Comme l’explique Jean-Paul Parisot, professeur d’astronomie à l’université de Bordeaux, cela revient un peu à identifier un ovni : «Dans les conférences publiques, je prends une page de Sud-Ouest signalant un ovni dans la banlieue de Bordeaux et j’explique qu’il y a eu un ovni dans la banlieue de Bethléem. Malheureusement, les témoignages sont un peu flous.» Comme ce passage de l’Evangile de saint Matthieu: «Nous avons vu son astre se lever et sommes venus lui rendre hommage » Alors Hérode manda secrètement les Mages, se fit préciser par eux la date de l’apparition de l’astre.» Ou les textes latins de Tacite et de l’historien juif Joseph ben Matthias (alias Flavius Josèphe), qui situent le recensement (donc le voyage de Joseph et de sa petite famille) aux alentours de l’an 5 avant J.-C. Quant aux Mages (métamorphosés en rois au VIe siècle), ils étaient en fait des astronomes-astrologues (sans doute mésopotamiens) qui avaient une excellente connaissance du ciel, savaient prévoir la position des planètes et faisaient des prédictions sur le destin des hommes.

Conjonction de planètes. Quels événements célestes avaient-ils pu prévoir? L’astronomie moderne envisage plusieurs possibilités. Le retour d’une comète, dont celle de Halley passée en 12 avant J.-C. Un peu tôt. En revanche, en 5 avant J.-C., une autre comète a été visible pendant plus de sept jours! Et encore une en l’an 4. Qui était peut-être en fait une supernova: une étoile en train d’exploser, 10 000 à 1 million de fois plus brillante qu’à l’habitude. Dernière hypothèse, la conjonction de planètes. Lorsque les trajectoires de deux ou trois planètes se croisent, on ne voit de la Terre qu’un seul et très brillant objet céleste. «En 7 avant J.-C., explique Jean-Paul Parisot, il y a eu, dans la constellation des Poissons, une spectaculaire conjonction entre Jupiter et Saturne, à trois reprises : le 29 mai, le 6 octobre et le 1er décembre. Comme le prouve une tablette cunéiforme, elle avait été prévue par les Mésopotamiens qui en avaient donné une interprétation astrologique : Dieu (Jupiter) envoie sa protection (Saturne) chez les Juifs (Poissons).»

Et l’«hypothèse Nasa», entre Jupiter et Vénus? Rien de plus simple que de la tester. Jean-Paul Parisot se sert du logiciel Voyager sorti il y a quatre ans, qui peut remonter 4 000 ans en arrière. «Très élaboré et très simple à utiliser.» En moins de trois minutes, le chercheur visualise sur son écran la conjonction de l’an 2 avant J.-C. «On voit en effet un rapprochement de Jupiter et de Vénus. Avec une con-jonction le 18 juin, qui s’est répétée le 13 octobre.» Par ailleurs, la légende dit que les Mages ont vu l’étoile avant de partir de Mésopotamie (ou de Perse) puis l’ont revue à leur arrivée à Jérusalem. Etait-elle visible en Perse? Oui, répond Voyager: un observateur situé à Ankara aurait parfaitement vu l’«étoile», deux heures après le coucher du soleil. Autre saison. Que devient alors la date de naissance de Jésus? Elle est fixée depuis plus de mille ans au 25 décembre, parce que la tradition affirme qu’il est né en hiver. Seulement voilà, les historiens font remarquer que l’«étoile» a aussi été vue par les bergers qui faisaient paître leurs moutons. Or, à Bethléem (800 mètres d’altitude), on ne passe pas la nuit dehors en hiver. Noël devait donc être à une autre saison. Ce qui collerait assez bien avec l’«hypothèse Nasa». Les Rois mages voient la première conjonction en juin du côté de la Perse, voyagent pendant quatre mois et se trouvent à Jérusalem lors de la deuxième conjonction en octobre, avant de parcourir les 6 derniers kilomètres jusqu’à Bethléem. Pourra-t-on un jour trancher entre les hypothèses? «Impossible, répond l’astronome, sauf si l’on retrouvait un nouveau document historique.»

source : https://www.liberation.fr/sciences/1996/12/24/divin-ovni-dans-le-ciel-de-bethleemselon-la-nasa-jesus-ne-serait-pas-ne-en-l-an-5-mais-en-l-an-2-ava_190198/?fbclid=IwAR1mzihEMSAiPZg6FhYUgxxZGl7s08CqUTsIZ7ZeBZUdOD1GuuWA8VPdbBc


Quelle Était l’étoile qui guida les Rois Mages vers Jésus ?

Les Évangiles

Marc écrit vers l’an 67, Matthieu et Luc autour de 80-90, et Jean peu avant l’an 100. À plusieurs décennies de distance des évènements relatés, il est normal qu’il y ait des variations. Matthieu et Luc sont les seuls qui mentionnent la jeunesse de Jésus.

Matthieu indique que Jésus est né au temps du roi Hérode, et que des mages, alertés par l’apparition d’une étoile, sont venus d’Orient pour voir « le roi des Juifs qui vient de naître » (je cite ici Matthieu). Hérode, renseigné par les grands prêtres et les scribes du lieu de la naissance, demande à ceux-ci de trouver l’enfant à Bethléem. Les mages se remettent en route, guidés par l’étoile, trouvent l’enfant, lui rendent hommage (or, encens et myrrhe), décident de ne pas retourner vers Hérode et de rentrer chez eux. Joseph, prévenu en rêve des desseins meurtriers d’Hérode, prend l’enfant et sa mère et fuit en Égypte. Hérode, comprenant que les mages l’ont trompé, décide de faire tuer tous les enfants de moins de deux ans.

Luc, pour sa part, indique que Joseph et sa fiancée Marie se rendent à Bethléem, la ville de David, pour se faire recenser. Le recensement est rendu obligatoire par un édit de César Auguste, empereur romain de 30 avant Jésus-Christ à 14 après Jésus-Christ, et eut lieu pendant qu’un certain Quirinius était gouverneur de la Syrie (de 7 av. J.-C. à 2 av. J.-C.). C’est là, selon Luc, que l’enfant naît, et que des bergers, gardant leurs troupeaux durant les veilles de nuit dans la région, sont avertis par un ange de la naissance et se rendent à Bethléem. Ce sont eux qui répandent la nouvelle. Notons que la date du recensement est encore controversée, d’autant que l’entreprise («l’inventaire du monde») prenait nécessairement plusieurs années pour être menée à terme, comme le montrent notamment les travaux de Béatrice Le Teuff

Des indicateurs historiques

Selon l’historien Flavius Josèphe, dans « Guerre des Juifs », Hérode meurt peu après une éclipse de Lune visible depuis Jéricho, avant la Pâque juive qui a lieu en mars-avril. La seule date qui convienne est l’éclipse de Lune du 13 mars de l’an -4, qui précède d’un mois environ la Pâque du 10 avril de l’an 3757 du calendrier hébraïque. Si Hérode est mort en -4, Jésus n’a pas pu naître en l’an 0. L’ordre donné par Hérode de tuer tous les enfants de moins de deux ans indique, compte tenu d’une marge de sécurité, que la naissance de Jésus date d’environ -5 ou -6.

Dans quel calendrier compter ?

En 525, le pape Jean 1er chargea un moine scythe vivant à Rome, Denys le Petit, d’une réforme calendaire. L’église chrétienne commençait à dominer le monde occidental, et Denys devait déterminer un nouveau cycle des fêtes de Pâques – les plus importantes de l’année. Denys décida de baser le nouveau calendrier sur la date de naissance de Jésus. Pour effectuer ce changement de l’origine des temps, il lui fallut placer cette date dans la chronologie du calendrier romain. Il utilisa pour cela les meilleures données, à savoir la durée de règne des empereurs.

Mais il commit deux erreurs. D’une part, il oublia l’an zéro et passa directement de l’an -1 à l’an +1. D’autre part, il oublia quatre années pendant lesquelles César Auguste régna sous le nom d’Octave. Cela fait au total cinq ans de décalage par rapport à notre calendrier.

Ce n’est qu’en 1605 qu’un érudit polonais du nom de Laurent Suslyga signala l’erreur. S’il n’y a pas d’autres erreurs, Jésus est donc né en l’an 5… avant J-C.

Jésus est-il né le 25 décembre ?

Jack Finegan, dans le Handbook of Bible Chronology, indique que la première mention du 25 décembre date de l’an 336. C’est la récupération de la fête, traditionnelle à l’époque, du Sol Invictus ou « Soleil invaincu », puisque le solstice d’hiver marque le début du rallongement de la durée du jour.

Un autre indice réside dans l’indication de Luc concernant les bergers. En décembre, les bergers ne surveillent pas les moutons pendant la nuit, car il fait trop froid à Bethléem qui est à 800 mètres d’altitude. Les bêtes sont remises à paître au printemps, et c’est aussi à cette époque de l’année, où naissent les agneaux, que la surveillance doit être continue. Jésus est donc probablement né en avril ou en mai.

Quelle étoile a alors guidé les rois mages ?

Voyons ce que l’art et l’astronomie nous apprennent. 

Dans l’« Adoration des Mages » (1302-1304) qui se trouve dans la Chapelle Scrovegni à Padoue, Giotto a peint une comète. C’est probablement la comète de Halley, qui fut visible en 1301 – et c’est en hommage à cette observation de Giotto que la sonde envoyée par l’Agence Spatiale Européenne à la rencontre de la comète de Halley en 1986 fut nommée Giotto.

Mais cette comète n’est pas un bon candidat. En effet, la comète de Halley revient périodiquement, tous les 76 ans. Elle fut observée du 26 août au 20 octobre de l’an -12 par des astronomes chinois qui consignèrent l’observation. Cette date ne colle pas avec la date de naissance de Jésus.

David H. Clark et F. Richard Stephenson présentent dans leur ouvrage The Historical Supernovae le catalogue de toutes les novae et supernovae observées avant l’invention du télescope. La plupart de ces observations, qui s’étalent entre -532 et l’an 1604, sont dues aux astronomes chinois.

Les novae sont des étoiles dont la brillance augmente très rapidement pendant quelques jours avant de reprendre une valeur normale ; les supernovae sont des étoiles massives qui terminent leur vie en une explosion qui peut les rendre aussi brillantes qu’une galaxie pendant quelques semaines, et qui donnent naissance à une étoile à neutrons ou un trou noir. Parmi les 75 évènements répertoriés par Clark et Stephenson, 8 sont antérieurs à l’année 0 : printemps -532, août-septembre -204, juin-juillet -134, octobre-novembre -77, mai-juin -76, mai -48, juin-juillet -47, et enfin, en mars-avril de l’an -5 !

Cette dernière a été visible pendant plus de 70 jours, et sans mouvement apparent dans le ciel. Le printemps, ça colle ! Voilà donc le bon candidat pour l’étoile de Bethléem : l’explosion d’une étoile massive en fin de vie ! S’il a existé, Jésus est donc né au printemps de l’an -5 avant… lui-même.

Mais ne nous précipitons pas trop vite pour conclure définitivement sur la nature de l’étoile. Les astrophysiciens ont identifié plusieurs mécanismes par lesquels une étoile peut exploser. Dans certains cas, l’explosion projette dans l’espace à très grande vitesse l’essentiel de la masse de l’étoile, qui émet du rayonnement électromagnétique observable longtemps après l’évènement. Ainsi, la célèbre nébuleuse du Crabe est le résidu de la supernova observée par les Chinois en 1054, et le résidu de la supernova de 1572, décrite par Tycho Brahé, est aussi identifié aujourd’hui. Mais on n’a pas observé à ce jour un résidu de cette nature pour l’évènement de l’an -5. Peut-être faut-il renoncer à l’image poétique d’une mort stellaire associée à une naissance ? Une modeste nova est peut-être une meilleure interprétation, comme l’ont suggéré F. Richard Stephenson et David H. Clark en 2005.

D’autres croisements entre évènements naturels et récits mythiques

Lorsque des textes religieux ou mythiques relatent des évènements naturels extraordinaires, on peut se demander si, au-delà du sens qui leur est donné dans le récit, ils ne font pas partie d’une mémoire collective ayant enregistré des phénomènes réels. Ce n’est certes pas toujours le cas : ainsi, lorsque le récit biblique nous apprend que Josué a commandé au soleil et à la lune d’arrêter leur course dans le ciel, le temps que son armée vainque ses ennemis à Gabaôn et dans la vallée d’Ayyalôn, il n’est pas nécessaire (aujourd’hui) de chercher une logique autre que littéraire à l’affirmation selon laquelle « le soleil se tint immobile au milieu du ciel et près d’un jour entier retarda son coucher » (Livre de Josué). Je précise « aujourd’hui », car l’argument fut utilisé par l’Église catholique au XVIe contre l’héliocentrisme de Copernic : si la Terre tournait autour d’un soleil fixe, la prière de Josué n’aurait pas de sens.

Mais prenons le cas du déluge. On retrouve un évènement dans la Bible, et aussi dans l’épopée d’Atrahasis (datant probablement du XVIIIe siècle av. J.-C.). Atrahasis est le héros sumérien équivalent de Noé. Dans la Bible, Yahvé se repend d’avoir créé une humanité dont il constate qu’elle est « méchante » et que son cœur « ne forme que de mauvais desseins à longueur de journée ». Dans l’épopée d’Atrahasis, les Anunnaki, dieux sumériens, trouvent que les hommes font trop de vacarme, et leur roi Enlil se plaint de ne pouvoir dormir tant ils sont bruyants. Les motivations pour se débarrasser de l’engeance humaine sont donc différentes dans les deux récits, mais les deux déluges sont très voisins – jusqu’au détail des oiseaux envoyés en reconnaissance quand les pluies s’arrêtent. Comment ne pas penser que cette montée des eaux emprunte à celle qui a suivi la fin de la dernière époque glaciaire, voici 20 000 ans ? Le niveau des mers est monté de 120 mètres en quelques milliers d’années, et des effets de seuil comme le déversement de la Méditerranée dans la mer Noire a dû laisser des traces dans les populations locales, jusqu’à ce que les grands auteurs de l’époque s’en emparent et y inscrivent leurs épopées !

source : https://theconversation.com/quelle-est-l-etoile-qui-guida-les-rois-mages-vers-jesus-152409


L’existence d’une vie extraterrestre est une question intéressante pour le christianisme en général, car le christianisme enseigne que le salut vient de Jésus qui était, apparemment, un terrien.

Que faites-vous s’il y a des gens sur Mars ? Seront-ils sauvés ? Selon notre point de vue, on n’en sait rien. La question est à creuser.

Les chrétiens ont toujours eu ce problème que s’il y a des extraterrestres, ne doivent-ils pas être sauvés eux aussi ? Ce n’est pas un problème pour les juifs. Ce n’est certainement pas un problème pour les bouddhistes ou les hindous. Mais les chrétiens sont dans une situation particulière. Pour une raison très simple : le christianisme possède la seule incarnation parmi les religions du monde.

Ce qu’ils entendent par là, c’est que Dieu s’est incarné sous la forme de Jésus-Christ pour être le sauveur. Et Jésus-Christ était un humain en chair et en os. Cela fait donc une différence entre les humains et les non-humains.

La science évolue… pas la religion

Quand on aborde le sujet avec des chrétiens, ils prétendent que ce n’est pas vraiment un problème parce qu’ils ont accepté les théories de Galilée et de Darwin. Pourquoi ne pourraient-ils pas accepter E.T. ? Bien au contraire, il y a une énorme différence. Ce n’est pas du tout la même chose.

La science et la religion ont davantage en commun que la perception populaire ne le suggère. D’une part, nous avons la science, qui traite de la raison et des faits. D’autre part, nous avons la religion, qui traite de la foi.

En revanche, la science est en continuelle évolution, et ce que nous savons aujourd’hui sera inévitablement reformulé, voir corrigé ou même remplacé dans l’avenir. Donc, penser que la science fournit la vérité, contrairement à la religion, est une erreur. 

Tandis que les scientifiques et les chefs religieux s’interrogent encore sur l’idée que des extraterrestres visitent la Terre, les néo-évhéméristes prétendent que les preuves existent bien à la vue du monde.

Ouverture d’esprit et élargissement spirituel

L’ histoire humaine est devenue trop une affaire de dogmes enseignés par des érudits dans leurs tours d’ivoire, comme si elle n’était constituée que de faits incontestables. Or, l’histoire de l’humanité reste encore à écrire. Plus on recule dans le temps, plus l’histoire enseignée dans les écoles et les universités commence à ressembler à une sorte de conte de fées.

Nous sommes une race d’explorateurs. Un jour ou l’autre on finira par croiser une autre forme d’intelligence sur notre chemin. Et lorsque cela se produira, si cette société est primitive sur le plan technologique, nous deviendrons les anciens astronautes de cette culture.

Il faut faire acte d’ouverture d’esprit si on veut élargir nos connaissances et enfin répondre aux véritables questions que l’on se pose depuis le début de l’humanité. Nous avons une logique, nous avons une intuition, nous avons le bon sens. Se limiter à la voie scientifique est une erreur. Il faut faire preuve d’un élargissement spirituel. 

Nous pouvons envoyer des gens sur la lune, nous pouvons planifier des voyages vers Mars, nous pouvons fabriquer des téléphones portables, mais nous n’avons toujours pas résolu les questions fondamentales qui devraient nous préoccuper en priorité :

D’où venons-nous ? 

Que sommes-nous censés faire ici ? 

Où allons-nous ?

Nous ne sommes pas venus avec les réponses et nous n’en savons pas plus que nos ancêtres. 


La naissance de l’Enfant Jésus et la célébration de Noël sont une fête pour le cœur, une longue tradition célébrée par les chrétiens. Pendant cette période magique de Noël, nous nous laissons emporter par le monde de l’enfance, de l’innocence et de la simplicité. Hélas, les intérêts, les guerres et le souci de survie tentent d’étouffer ce souhait, empêchant l’expression pure de cet enfant éternel que chacun de nous porte dans son cœur.

Avant la naissance de l’enfant de Bethléem, les forces opposées à la lumière ont tout fait pour l’empêcher de venir au monde et d’accomplir sa grande mission. Hérode le Grand a massacré sans pitié des enfants innocents. L’enfant Jésus a été sauvé grâce à la protection divine, mais aujourd’hui, de nombreux enfants innocents sont également sacrifiés par les guerres, les vaccinations et l’endoctrinement, de sorte qu’ils perdent leur innocence.

Aujourd’hui encore, les forces ténébreuses veulent mettre fin à la belle célébration de Noël. C’est une stratégie pour anéantir le christianisme et détruire la spiritualité des gens. C’est pourquoi, dans plusieurs pays, ils suppriment les marchés de Noël traditionnels et d’autres festivités typiques de cette période de joie et de paix. Luttons pour retrouver la chaleur de Noël dans nos cœurs, sans peur ni honte. Elle ne nous sera pas enlevée. Ayons la force de souhaiter un Joyeux Noël à nos concitoyens et concitoyennes!

https://www.bitchute.com/video/ffjGtYxOxE15

La vie de Jésus Christ, son enfance, sa jeunesse avec les Esséniens, ses voyages dans les années perdues à travers l’Inde, le Tibet, le Népal, le Cachemire, Britania…

La figure du Maître Jésus nous est connue à travers les textes bibliques et les différentes églises qui sont apparues au fil du temps, mais la Bible n’est pas un livre complet : les manipulations, la censure et les coupes intéressées du clergé religieux nous ont laissés sans savoir ce qui s’est passé pendant les soi-disant « années perdues de Jésus ».

Comment est-il possible qu’après avoir été le personnage le plus important de notre civilisation, à l’époque des scribes et des notaires, nous ne sachions pas ce qui s’est passé entre ses 13 et 30 ans ? Quel intérêt y a-t-il toujours eu à détourner la vie et les enseignements de ce grand Être ?

Ses enseignements ont été écrits pour ces moments-ci, et aujourd’hui nous compilons les informations qui nous ont été léguées par des auteurs comme le journaliste russe Nicholas Notovitch, l’écrivain et philosophe hindou Swami Abhedananda, le professeur Roerich et bien d’autres chercheurs qui nous montrent où se trouvait le Rabbin de Galilée pendant ces années-là, la trace qu’il a laissée lors de son passage en Égypte, en Inde, au Cachemire, au Tibet, au Népal, en Europe… jusqu’à son retour en Galilée à l’âge de 30 ans. Et non seulement cela, mais aussi ses voyages pendant 11 ans après la résurrection, les vestiges et les lieux où il a séjourné, sa mission dans ces lieux, et aussi de nombreuses apparitions et visions jusqu’à nos jours. 

Mark Mason (écrivain et chercheur américain) : « Au fil des ans, l’existence des manuscrits sur Issa trouvés à Lhassa au Tibet et l’authenticité de l’œuvre de Notovitch ont été confirmées par de nombreuses personnes. Bien avant que Notovitch ne se rende à Hemis, Mrs Harvey a écrit sur l’existence de manuscrits sur Issa dans « Les aventures d’une dame en Tartarie, en Chine et au Cachemire ». Puis, après Notovitch, une série d’autres confirmations sont venues s’ajouter. Swami Abhedananda, personnalité éminente et respectée dans le monde entier, a lu le livre de Notovitch et, en 1922, a eu l’occasion de se rendre à Hemis pour vérifier par lui-même si l’histoire était vraie. Il expliqua les affirmations de Notovitch aux lamas, qui confirmèrent leur véracité. On lui montra alors un manuscrit, dont on lui dit qu’il s’agissait d’une traduction tibétaine d’un original conservé dans un monastère de Marbour, près de Lhassa. Avec l’aide d’un des lamas, Abhedananda a fait ses propres traductions, qui correspondent étroitement à celles de Notovitch. Abhedananda a publié ses traductions des écritures Issa au Cachemire et au Tibet. 

Le célèbre artiste et intellectuel russe expatrié, Nikolaï Roerich, a visité le monastère d’Hemis en 1925, et a publié son récit des manuscrits d’Issa dans ses livres « Le cœur de l’Asie » et « Altai-Himalaya ». Ils confirment à nouveau l’histoire de Notovitch et ajoutent quelques détails supplémentaires. 

Au cours de l’été 1939, Madame Caspari, une musicienne suisse, a participé à un pèlerinage en Inde organisé par une leader religieuse renommée, Mme Clarence Gasque. Mme Gasque était connue internationalement comme directrice de la « Fraternité mondiale de la foi », et elle et son groupe ont été reçus chaleureusement partout où ils sont allés pendant le pèlerinage…

À Hemis, bien qu’ils soient arrivés juste après la fin de la représentation annuelle d’un mystère, les lamas ont voulu le représenter une deuxième fois en son honneur. Quelques jours après le représentation, alors qu’elles étaient assises seules sur le toit du monastère, le bibliothécaire du couvent et deux autres moines s’approchèrent de Mme Gasque et Mme Casperi. Ils portaient trois manuscrits aux couvertures ornées, dont l’un fut cérémonieusement déballé par le bibliothécaire. Il a ensuite présenté à Mme Gasque les feuilles de parchemin et, avec une grande révérence, a déclaré : « Dans ces livres est consigné que votre Jésus a été ici ». 

En 1951, William O. Douglas, juge à la Cour suprême des États-Unis, s’est rendu à Hemis. Dans son ouvrage « Au-delà du Haut Himalaya », il note que de nombreuses légendes circulent dans la région au sujet du monastère d’Hemis, et que l’une d’entre elles est liée à Jésus. Certains pensent que Jésus a visité Hemis, qu’il est arrivé à l’âge de 14 ans et qu’il est reparti à l’âge de 28 ans, voyageant sous le nom d’Issa. La légende décrit en détail le séjour d’Issa. Deux autres personnes ont découvert cette légende, bien qu’elles n’aient jamais entendu parler de la présence de Jésus en Inde auparavant. Robert S. Ravicz, professeur d’anthropologie à l’université d’État de Californie, a visité Hemis en 1974, puis un ami, l’éminent médecin Ladakhi, lui a dit qu’il y avait des documents dans le monastère qui indiquaient que Jésus était venu à Hemis. À la fin des années 1970, Edward F. Noack séjournait à Hemis lorsqu’un lama du monastère lui a dit qu’un manuscrit racontant l’histoire du pèlerinage de Jésus au Ladakh y était entreposé.

Enfin, l’exactitude des écrits de Hemis sur Issa est confirmée par une source hindoue et non bouddhiste, provenant d’une autre région de l’Inde. On se souviendra que ces  textes disent qu’Issa a passé six ans à Jagannath (aujourd’hui Puri) et dans d’autres villes sacrées des hindous, avant d’aller vivre six autres années dans l’Himalaya. Sri Daya Mata, présidente de la Fraternité de l’Autoréalisation, s’est rendu en Inde en 1959 et, lors d’un entretien avec l’un des grands chefs spirituels de l’Inde, (Shankaracharya de Puri), a mentionné qu’on lui avait dit que Jésus « avait passé une partie de sa vie en Inde, en association avec ses sages éclairés ». Sa Sainteté a répondu : « C’est vrai. J’ai étudié des documents anciens dans les archives du temple Jagannath de Puri qui confirment ces faits. Il était connu sous le nom de « Issa » et, pendant une partie de son séjour en Inde, il a séjourné au temple Jagannath. Lorsqu’il est retourné dans sa partie du monde, il a exposé les enseignements que l’on connaît aujourd’hui sous le nom de « Christianisme ».»

Elizabeth Clare Prophet (écrivaine américaine) : « Pourquoi la théorie, si largement acceptée en Orient, selon laquelle Jésus-Christ s’est rendu en Inde et au Tibet pendant les années dites perdues, est-elle inconnue de la plupart des Occidentaux ? Jésus a-t-il voyagé dans d’autres lieux au cours de sa vie ? Est-il allé en Bretagne, dans sa jeunesse, avec son oncle Joseph d’Arimathie, pour être éduqué dans les écoles réputées des anciens druides, qui auraient appris de Pythagorer ? La légende a persisté parmi les Bretons pendant des siècles ! Il n’est pas étonnant que les juifs se soient étonnés et aient dit : « Comment cet homme connaît-il les lettres sans avoir étudié ? Ce sont peut-être eux qui n’ont jamais appris qu’il avait traversé de nombreux mondes et qu’il avait été enseigné, comme Enoch, par le Père et ses émissaires angéliques, certains incarnés et d’autres non. Au cours de ses voyages, Jésus semble avoir rencontré des saints hommes orientaux, et ce dans un but précis. Il les a apparemment recherchés et a planifié son itinéraire en prévoyant des séjours prolongés dans les communautés spirituelles les plus importantes de l’époque, afin d’enquêter, d’observer et de recueillir des notes pour un ouvrage qu’il allait rédiger, en l’écrivant avec son propre sang. Selon les textes et les légendes, c’est là, parmi ceux qui pensaient comme lui, qu’il a prié, médité, pratiqué le yoga, étudié et enseigné. Les deux mondes se souviennent clairement de lui pour avoir guéri les malades, ressuscité les morts, exhorté les gens à l’amour et défié leurs oppresseurs retranchés. Il a démasqué l’hypocrisie qu’il allait dénoncer dans la classe sacerdotale de Palestine, se prononçant de manière désapprobatrice contre les brahmanes, les Kshatriyas et les juristes, chassant les démons possédés; en bref, il a fait toutes les choses pour lesquelles il allait plus tard payer de sa vie. Et si nous lisons entre les lignes et réfléchissons à ses actes extraordinaires, qui ne nient pas mais accomplissent les lois de la physique matérielle et spirituelle, il est également évident qu’il a cherché et obtenu le titre d’adepte des éléments et des forces élémentaires, ainsi que le contrôle des battements de cœur et des fonctions corporelles. Il a maitrisé les arts de la bilocation et de l’alchimie, perceptibles plus tard dans ses apparitions et disparitions soudaines, dans sa transmutation de l’eau ordinaire en le meilleur des vins, et dans sa conversation d’âmes tièdes ‘omnidirectionnelles’ en dévots ardents et unidirectionnels. Il a fait tout cela et plus encore, non pas en tant que Dieu, mais en accomplissant un chemin connu de maîtrise de soi, une évolution naturelle de l’âme vers l’épanouissement de la splendeur emprisonné à l’intérieur. Il semble avoir déclaré avec une pleine conviction que son chemin était prédéterminé par le Père et que tous Ses enfants pouvaient le suivre s’ils demeuraient en lui avec enthousiasme et bonne humeur. Était-il le véritable révolutionnaire de l’Esprit – comme on l’appelait, un agitateur de masse – à la recherche de son Royaume, de sa propre Conscience supérieure ? Est-ce cela qu’il a trouvé au sommet du monde, son propre Shangri-La ? Sa découverte de soi a-t-elle été la clé de la force qu’il possédait et qui lui a permis de supporter, comme personne d’autre ne l’a fait, tout le poids du karma du monde ? A-t-il rencontré Maitreya, face à face, a-t-il rencontré Gautama dans son être le plus profond, s’est-il élève par le cordon cristallin et par le chakra de la couronne pour embrasser Sanat Kumara ? Combien de temps exactement a-t-il vécu, dans son corps physique, après la résurrection ? Paul et Pierre ne l’ont-ils pas rencontré plusieurs fois et n’ont-ils pas rencontré plusieurs fois et n’ont-ils pas parlé sans difficulté, après la ‘disparition’ de Béthanie, appelée l’Ascension ? Combien d’allées et venues ont eu lieu ! Et quelle a été la fin ? Le Maître a-t-il prouvé qu’il était un adepte en survivant à la crucifixion et en disparaissant ensuite de leur vue dans ce ‘nuage’ au-dessus du mont Béthanie ? Ou bien a-t-il quitté la scène de la Palestine pour aller prêcher et enseigner à ses disciples, comme l’écrit le père de l’Église, Irénée, passant ses dernières années dans le pays magique du Cachemire, comme certains l’affirment ? Peut-être n’est-il jamais mort ! Peut-être a-t-il seulement transcendé sa vie terrestre par étapes, comme cela, pour finalement disparaître à jamais de notre vue, dans un  Mahasamadhi final, comme les théologiens appellent l’ascension. Pourtant, depuis plus de deux mille ans, ses disciples affirment en grand nombre l’avoir vu, lui avoir parlé, avoir entendu sa voix, avoir été guéris par lui… Et même avoir dîné avec lui! »

Édouard Schuré (écrivain français) : « Jésus passa un certain nombre d’années parmi les Esséniens. Il se soumit à leur discipline, étudie avec eux les secrets de la nature et le pouvoir occulte de guérison. Pour développer son esprit, il acquit une maîtrise totale de son corps. Il ne se passait pas un jour sans qu’il ne s’interroge sur lui-même et ne médite sur le destin de l’humanité. »

Les Esséniens, d’une moralité exemplaire, leur parole était plus puissante qu’un serment.

Le Maître Jésus et la recherche de l’équilibre et de la justice : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu »

Philip Jenkins (professeur d’histoire et écrivain américain) : « Chez les Britanniques, l’histoire du ‘camarade en blanc’, un personnage très mystérieux qui aidait les soldats blessés et mourants, est très répandue… Chez les Russes, il y avait un ‘cavalier blanc’ qui, si quelqu’un le regardait dans les yeux, faisait l’expérience d’un pouvoir surnaturel. »

Nikolaï Roerich (explorateur et écrivain russe) : « La ville de Leh, résidence de l’ancien maharaja du Ladakh, aujourd’hui conquis par le Cachemire, est une ville tibétaine typique… À Leh, nous avons retrouvé la légende de la visite du Christ en ces lieux, il y a encore un étang près duquel se trouve un vieil arbre. C’est sous cet arbre que le Christ prêcha aux gens avant de partir pour la Palestine. »

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La vie inconnue de Jésus-Christ en Inde et au Tibet – Nicolas Notovitch

Nicolas Notovitch était un aristocrate russe, un officier cosaque, un espion et un journaliste connu pour avoir affirmé que, pendant les années de la vie de Jésus-Christ qui ne figurent pas dans la Bible, il a suivi des marchands ambulants en Inde et au monastère de Hemis au Ladakh, au Népal, où il a étudié le bouddhisme. Alors qu’il se remettait d’une jambe cassée au monastère d’Hemis, Notovich a découvert le texte de La vie d’Issa et s’est rendu compte qu’il racontait les années perdues de Jésus. Ce livre controversé montre d’où viennent de nombreuses croyances de Jésus, tout en montrant que Jésus était déjà bien engagé dans la voie de ses croyances fondamentales à un très jeune âge.

En 1887, Notovitch, juif russe converti à l’orthodoxie grecque et correspondant de guerre (peut-être espion), visite la ville de Leh, capitale du district de Ladakh, à la frontière de l’Inde et du Tibet. Il a mal aux dents et cherche à se faire soigner dans une station missionnaire morave. Mais son imagination a pris le dessus et, en 1894, il a écrit un livre qui racontait une version nouvelle et nettement améliorée de l’histoire. Il semble qu’il ait visité la lamaserie (monastère) tibétaine de Hemis (également orthographié Himis). Il y a mentionné des légendes populaires qu’il avait recueillies au sujet d’un prophète nommé Issa, qui ressemblait étrangement à Jésus (en fait, il s’agit du nom arabe de Jésus). Il a appris que le monastère de Hemis abritait un manuscrit en deux volumes intitulé « La vie de saint Issa » ! Il hésite à demander l’accès au livre sacré, mais annonce qu’il reviendra. Ce retour est plus rapide que prévu, car il tombe de cheval et se casse la jambe. Ramené au monastère, il s’arrange pour que Saint Issa lise à haute voix et traduise pour lui pendant sa convalescence. Au fur et à mesure du récit, ses premiers soupçons se confirment : il ne s’agit de rien de moins que d’un chapitre inconnu de la carrière de Jésus. Il écouta attentivement et prit de nombreuses notes. Il réorganise une grande partie du matériel pour l’adapter aux lecteurs occidentaux et produit finalement La vie inconnue de Jésus-Christ (1894). Ce livre a suscité un tollé international.

La vie du Bouddha Issa, nom de Jésus en Orient, qui a prêché sa doctrine en Inde et en Israël

Un manuscrit de la lamaserie d’Hemis confirme qu’Issa s’est rendu en Orient pour étudier

À l’âge de 14 ans, le jeune Issa, le Bienheureux, traversa la vallée du Sind et s’installa parmi les Aryens

Le Maître Jésus passe 6 ans à Juggernault, Rajagriha, Bénarès, et enseigne aux Vaishyas et aux Shudras

Le Maître Jésus se rend au Népal, où est né le Bouddha Sakyamuni, et apprend ses enseignements

Des manuscrits de lamas tibétains affirment que Jésus avait 29 ans lorsqu’il est retourné en Israël

Une ancienne chronique bouddhiste affirme que Jésus a passé les ‘années perdues’ au Tibet et en Inde

Jésus de Nazareth s’est-il rendu en Extrême-Orient ? Le Dr Elisabeth Caspari le confirme

Révélation des moines de Hemis à Mme Gasque et Mme Caspari : « Jésus était venu ici »

Notovitch, Mme Caspari, Abhedananda et Roerich le confirment : « Jésus a été au Tibet »


Un avis sur “Jésus était-il un enfant des étoiles ?

  1. Vous savez, nous sommes tous ici des humains à penser et raisonner comme des hommes, mais quel est le but ultime, ce que Jésus (extra-terrien , fils ou Dieu) a bien voulu nous initié ? La connaissance et le savoir du monde spirituel, le savoir-vivre, la force de l’amour, le pouvoir que nous possédons mental et psychique par le biais de la prière, qui est entre nos mains. Ne vous détrompez pas, les esprits existent bel et bien (bon, gentil=ange ; mauvais, méchant=démon) il n’y a que ceux qui ont vécu des expériences qui peuvent en témoigner. Cela dit on a tendance à bcp spéculer sur les choses qu’on ne comprends pas car on veut tout maîtriser. Apprenons déjà à bien vivre ensemble, à nous aimer les uns les autres et à aider notre prochain, de là, la connaissance des esprits s’ouvrira à nous et les choses qui nous sont cachées nous sera révélées. Soyons évolués !!!

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