Avec des rapports faisant état d’apparitions d’OVNIS et de disparition d’avions et de navires, certains affirment que le Triangle des Bermudes serait un portail dimensionnel qui fonctionne dans les deux sens. Ainsi, comme le prétendent des partisans de la théorie des anciens astronautes, des visiteurs d’un autre monde s’en servent depuis des temps immémoriaux, pourrions-nous un jour utiliser ce raccourci pour aller, nous aussi, leur rendre visite ?
S’il existe vraiment un portail dans les mers du Triangle des Bermudes, pourrait-il en exister d’autres sur la terre ferme ?
Hasards, phénomènes naturels ou malédiction mystérieuse, quelle est la cause du redoutable danger qui hante le Triangle des Bermudes ?
C’est le 5 décembre 1945 que la zone de l’Atlantique située entre la Floride et Porto Rico reçut le nom de Triangle des Bermudes. Plusieurs catastrophes s’y étaient déjà produites mais ce jour-là fut marqué par la disparition totale de toute une escadrille à l’entraînement.
Et depuis, le bilan n’a cessé de s’alourdir : plus de 100 avions ou bateaux perdus, plus de 1000 vies humaines disparues, sans trace! Peu convaincu par les explications des océanographes et des météorologues, Charles Berlitz avance plusieurs hypothèses hardies.
Et si, enfouis dans les profondeurs, des vestiges d’une ancienne civilisation émettaient encore une énergie capable de détruite nos systèmes électroniques ?
Et si, en ce lieu nodal, une déviation espace-temps ouvrait sur une autre dimension ?
Chapitres :
- Le Triangle des Bahamas : enigme des voies aériennes et maritimes
- Le Triangle des avions disparus
- La mer des bateaux perdus
- Les rescapés
- Existe-t-il une explication logique ?
- Déviation espace-temps et autres mondes
- Suggestion dictée par le lointain passé de l’océan
- Les surprises de la préhistoire
- Les guetteurs : protecteurs, envahisseurs ou observateurs indifférents
Le Triangle des Bermudes – Sans Trace
Après Le Triangle des Bermudes – plusieurs millions d’exemplaires en 20 langues – voici du même auteur, Sans Trace.
En 30 ans, dans cette zone de l’Atlantique entre la Floride et Porto Rico, plus de 100 avions et bateaux engloutis, plus de 1000 disparus : tel était le bilan dressé par Charles Berlitz dans Le Triangle des Bermudes.
Ce livre suscita des controverses mondiales et, dès sa parution, apporta à son auteur la matière d’un nouvel ouvrage. Aussitôt, en effet, les témoignages affluent vers lui : des rescapés longtemps silencieux, des militaires tenus au secret osent enfin parler, révélant des faits inconnus, décrivant des phénomènes stupéfiants… qui, tous, rejoignent les hypothèses de Charles Berlitz : le Triangle des Bermudes est ce carrefour unique où se croisent civilisations perdues et hautes technologies, prédictions mythiques et interventions extra-terrestres…
Tandis que, dans cet enfer de tempêtes et de tourbillons, des navires, des avions et des hommes continuent de disparaître sans trace.
Chapitres :
- Le mystère s’épaissit
- Voyages sans retour : le recensement
- Message des disparus (et de ceux qui ont failli disparaître)
- Camouflage cosmique
- L’ Atlantide, continent perdu… retrouvé dans le Triangle des Bermudes
- Aux limites du réel
- Au-delà du temps
- Mondes extérieurs Mondes intérieurs
- Le fossé se comble
- Voies menant à d’autres mondes
Charles Berlitz (écrivain américain) : « Au large de la côte sud-est des États-Unis, dans l’Atlantique ouest, se trouve une zone qui forme ce que l’on a appelé un triangle. Cette zone occupe une place étrange, presque incroyable, dans le catalogue des mystères non résolus du monde. On l’appelle souvent le Triangle des Bermudes, où plus d’une centaine de navires et d’avions ont disparu. La plupart des disparitions ont eu lieu depuis 1945 et, ces dernières années, plus d’un millier de vies humaines y ont été perdues, sans qu’aucun corps ni même aucun morceau d’épaves d’avions ou de navires disparus n’ait été retrouvé. Beaucoup de ces avions ont été perdus alors qu’ils étaient en contact radio avec leur base ou leur destination, contact qui était normalement maintenu jusqu’au moment de la disparition. D’autres ont envoyé les messages radio les plus extraordinaires, laissant entendre qu’ils ne pouvaient pas faire fonctionner leurs instruments, que leurs boussoles tournaient follement, que le ciel était devenu jaune et brumeux (par temps clair) et que l’océan (calme dans les environs) « ne semblait pas normal ».
À Fort Lauderdale, en Floride, le 5 décembre 1945, cinq avions torpilleurs TBM Avenger de l’US Navy volant vers l’Est lors d’une mission d’entraînement de routine, rencontrent quelque chose d’étrange au-dessus des îles Bermudes. Environ une heure et demie après le début du vol, le lieutenant Charles Taylor, chef d’escadron, envoie un message radio indiquant que ses deux compas à bord sont devenus inutilisables. Tout le monde était totalement confus quant à l’endroit où ils se trouvaient. Ils étaient totalement perdus dans une zone où ils n’auraient pas dû être perdus.
Un escadron entier de l’U.S. Navy, les avions de la marine, a disparu. Le fait que ce soit dans ce périmètre particulier a évidemment donné lieu à une théorie, auraient-ils pu être enlevés ?
Trois heures plus tard, un avion de sauvetage, l’hydravion PBM Mariner avec un équipage de 11 personnes à bord, disparait sans laisser de trace. Et ce qui en a résulté est l’une des opérations de recherche et de sauvetage les plus importantes dans les annales de la marine américaine.
Ils n’ont jamais retrouvé de gilet de sauvetage, de morceau d’aile ou quoi que ce soit de ces avions. À ce jour, nous n’avons toujours aucune idée de ce qui s’est passé. Mais la disparition de l’escadrille 19 n’est qu’un incident parmi des centaines d’autres qui auraient fait des victimes dans ce que l’on appelle communément le Triangle des Bermudes.
Vol 19 et Vincent Gaddis : 5 Avenger disparaissent dans le Triangle des Bermudes…
Les avions étaient en parfait état, les équipages très expérimentés, alors qu’est-il arrivé au vol 19 ? Un hydravion PBM Mariner est parti à la recherche du vol 19 mais n’est jamais revenu.
Le 5 décembre 1945, un groupe de 5 avions formant un escadron de TBM-3 Avengers de l’US Navy, ainsi que le Martin Mariner envoyé à leur secours, disparaissent. Aucun canot de sauvetage ni aucune épave n’ont pu être retrouvés.
Des navires, petits et grands, ont disparu sans laisser de traces. Comme si eux et leurs équipages avaient été emportés dans une autre dimension. Les disparitions de navires dans le Triangle se sont produites principalement dans la région de l’océan Atlantique appelée mer des Sargasses. En 1881, la goélette américaine Ellen Austin, qui naviguait à l’ouest des Açores, rencontra un navire abandonné. Lorsque ses hommes sont montés à bord, ils ont constaté que tout était en ordre, les voiles repliées et le gréement intact.
Les histoires de navires retrouvés vides dans la mer des Sargasses ou dans des zones voisines de l’Atlantique évoquent invariablement le cas du Mary Celeste, peut-être le plus célèbre de tous. Le navire, qui se dirigeait vers le nord des Açores, a été trouvé par le brick anglais Dei Gratia en novembre 1872. Ses voiles étaient hissées et il y avait suffisamment de vivres et d’eau, mais les 10 membres de l’équipage manquaient à l’appel. Les chercheurs du triangle des Bermudes ont depuis longtemps mis en garde contre l’existence d’une autre zone mystérieuse dans les océans du monde. Elle se situe au sud-est du Japon, entre le Japon et les Îles Bonin. Cette région, appelée mer du Diable, jouit d’une réputation encore plus sinistre que le triangle des Bermudes. Pendant de nombreuses années, des navires et des avions y sont régulièrement disparu, mais entre 1950 et 1954, neuf navires modernes ont été perdus, avec un équipage total de plusieurs centaines de personnes. Les disparitions inexpliquées dans cet équivalent japonais du triangle des Bermudes ont incité le gouvernement à mener une enquête, qui s’est déroulée en 1955. Cette expédition, au cours de laquelle un groupe de scientifiques recueillait des données pendant que leur navire, le Kaiyo Maru n°5, traversait la mer du Diable, s’est terminée de manière spectaculaire : le navire de recherche a soudainement disparu avec son équipage et ses scientifiques.
Dans son article intitulé « Les douze cimetières diaboliques autour du monde », Ivan Sanderson, écrivain et biologiste écossais, étudie plus en détail le Triangle des Bermudes et d’autres régions suspectes. Sanderson a configuré une série de douze ‘anomalies’ autour du globe. Il y en a 5 dans l’hémisphère nord, 5 dans l’hémisphère sud et aux deux pôles. Les autres régions, bien que moins bien couvertes, ont également montré des preuves évidentes de perturbations magnétiques temporelles et spatiales. Dans certains cas, et lorsque des conditions particulières sont réunies, elle provoquent la disparition de vaisseaux aériens et de navires, qui se dirigent vers d’autres points dans le temps ou dans l’espace.
Iván Sanderson (biologiste écossais) : « Les disparitions de navires et d’avions dans le monde entier, dans des endroits présentant des anomalies magnétiques et d’autres perturbations énergétiques, sont liées à toute une série de phénomènes physiques étranges. D’autres zones d’anomalies étaient tout aussi riches en disparitions et en changements spatio-temporels. »
Charles Berlitz (écrivain américain) : « Les rapports concernant des OVNIs observés dans la région sud de la Floride – les Bahamas, ont été et continuent d’être nombreux, plus que dans toute autre région. Ils ont été observés sous des eaux limpides, dans le ciel et se dirigeant du ciel vers la mer et vice versa. Les témoignages provenant d’observateurs sérieux et les endroits où se sont produites les observations ont été l’objet de certaines théories selon lesquelles la présence des ovnis est liée aux disparitions ayant lieu dans le triangle des Bermudes; ou mieux dit, il semblerait que les ovnis ont séquestré des avions et des bateaux pendant plusieurs générations…
Lorsque l’on considère les centaines de disparitions dans le triangle des Bermudes, la seule caractéristique qu’elle ont en commun est le fait que les avions et les navires ont complètement disparu, ou que les navires ont été retrouvés sans passagers ni équipages. Certains de ces cas mystérieux se sont produits isolément et pourraient être expliqués par les circonstances extraordinaires dans lesquelles ils se sont produits, ou par la coïncidence de défaillances humaines et de perturbations météorologiques, mais d’autres incidents du triangle des Bermudes ont eu lieu dans des eaux claires, près de ports, de plages ou de bases d’atterrissages, s’avérant incompréhensibles selon nos connaissances actuelles. L’histoire du triangle des Bermudes englobe des évènements qui s’enlisent déjà dans les brumes des légendes anciennes et modernes.
Le triangle des Bermudes évoque des terres perdues ou submergées, des civilisations oubliées et des êtres qui ont visité la Terre pendant des siècles, venant de l’espace extérieur ou intérieur, et dont les origines et les intentions sont inconnues. Nous vivons dans un monde où les lignes de la science et de la para-science commencent à converger; un monde qui était autrefois magique, où les rêves des magiciens ont été acceptés par la science et sont devenus acceptables pour la nomenclature scientifique.
Sur le plan cosmique, le firmament des vérités scientifiques a subi de telles fissures que beaucoup de ceux qui préfèrent se tenir sur un terrain solide et connu se sentent néanmoins déconcertés et désorientés.
La possibilité de l’existence de l’antimatière, la courbure de l’espace et du temps, les nouveaux concepts de gravité et de magnétisme, l’existence présumée de planètes sombres dans notre système solaire, les petites particules de matière plus lourdes qu’une planète entière, les quasars et les trous noirs dans l’espace représentent un Univers sans fin qui s’agrandit à mesure que notre vision télescopique s’étend, nous menant à des millions de galaxies non découvertes. Ce sont les mystères de la connaissance qui nous attendent, car nous avançons à un rythme tellement accéléré qu’aucun « mystère » ne devrait nous surprendre simplement parce qu’il ne nous sembles pas logique.
Le triangle des Bermudes, une zone située sur le territoire connu de notre planète, mais peut-être liée à des forces qui nous sont encore (mais peut-être pas pour longtemps) inconnues, pourraient être l’un de ces mystères. En tant qu’espèce, nous approchons de la maturité. Nous ne pouvons pas abandonner la recherche de nouvelles connaissances ou d’explications, que ce soit dans ce monde ou au-delà…
Des rapports d’OVNIs enregistrés dans le sud de la Floride indiquent qu’ils ont été vus sous l’eau claire, dans le ciel, et se déplaçant du ciel à la mer et de la mer au ciel. Certains chercheurs ont suggéré que des êtres intelligents, à des années-lumière du développement scientifique de la Terre, ont passé des siècles à observer nos développements et finiront par intervenir pour nous empêcher de détruire notre planète. D’autre part, il se peut qu’à proximité du triangle des Bermudes et à d’autres points nodaux des courants électromagnétiques gravitationnels, il existe une porte ou une fenêtre vers une autre dimension du temps ou de l’espace, par laquelle ces êtres extraterrestres, dotés de connaissances scientifiques complexes, pourraient entrer à leur guise. »
Personne n’a jamais revu ces avions
Selon les experts, ce site, qui s’étend sur 500 000 kilomètres carrés entre la Floride, les Bermudes et Porto Rico, héberge de nombreux phénomènes physiques et métaphysiques inexpliqués, d’énormes énergies qui peuvent aider à expliquer pourquoi des pilotes, des marins et des capitaines de navires pénètrent dans la zone et ne sont jamais revus ou entendu de nouveau.
Vous devez donc vous demander ce qui arrive à ces personnes ? Y a-t-il quelque chose d’étrange à propos du triangle des Bermudes ? Ça serait comme une sorte de portail que les extraterrestres utilisent pour aller et venir dans l’hyperespace. Et soudainement, vous et votre yacht, ou vous et votre avion, êtes aspirés dans une autre dimension, d’où on ne revient jamais.
Le Triangle des Bermudes est intéressant à plus d’un titre. Tout d’abord, ce n’est pas un seul avion qui a disparu quelque part, ce sont plusieurs avions qui disparaissent, mais la grande question est : où sont-ils tous passés ? Ce n’est pas comme si, parfois, l’un d’entre eux était retrouvé. Une grande partie de ce qui a disparu dans le Triangle des Bermudes n’a jamais été revue, ni récupéré.
Si un avion survole ou si un navire navigue ici au mauvais moment, serait-il possible qu’ils descendent sous l’eau ? Nous ne sommes pas focalisés sur l’idée d’enlèvements dans le ciel, mais plutôt des fonds sous-marins. Des partisans de la théorie des anciens astronautes affirment que la légende de la cité perdue d’Atlantide pourrait être liée aux éventuels enlèvements dans le Triangle des Bermudes.
La cité disparue d’Atlantis dans le Triangle des Bermudes
Selon les légendes, l’île d’Atlantis hébergeait une énorme civilisation ancestrale qui avait prospéré dès 9 600 ans av. J-C.
L’histoire de l’Atlantide est l’un des mystères les plus célèbres de l’Antiquité. Les sources les plus anciennes remontent à Platon. Cette cité était connue pour être une sorte de merveille technologique à part entière. À une période, pour des raisons qui ne sont pas tout à fait claires, il y a eu une éruption et la cité a disparu.
Nous n’avons trouvé aucun artefact archéologique de l’Atlantide, et nous ne savons pas si c’est juste de la mythologie. Les ruines de l’Atlantide pourraient-elles être situées au-dessous des eaux des Bermudes et des îles Bimini ? Cela pourrait-il expliquer les disparitions et les enlèvements possibles liés au triangle des Bermudes ?
Est-il possible, que ce soit par intention malveillante ou accidentelle, qu’elle sombra au fond de l’océan dans la région des Bermudes et c’est pour cette raisons que nous subissons toutes sortes d’interférences électriques lorsque nous survolons le Triangle des Bermudes ?
Atlantis a été détruite en un jour et une nuit, et a complètement disparu. Est-il possible qu’ils aient tous été abducté en masse et quitté la planète ? Serait-il possible que la Terre ait caché des vortex causant des disparitions inexpliquées, et ait même englouti le continent perdu de l’Atlantide ? Cela pourrait-il expliquer le sort d’autres civilisations dites « perdues », des empires dont les populations et les technologies ont également mystérieusement disparu ?
Le domaine des dieux a toujours fasciné les humains parce qu’il est imaginé très différent de notre propre royaume. Les humains ont donc toujours cherché un moyen de pénétrer dans le monde des dieux, de vivre ces expériences extatiques qui se produisent lorsque vous êtes en communication avec une divinité. Des légendes du monde entier décrivent des entrées sacrées, semblables à la porte de Pluton, qui menaient au pays des dieux. Dans de nombreux cas, ces portes fournissaient non seulement un passage instantané hors des limites de la Terre, mais même au-delà de l’espace et du temps. Et selon certains mythes, elles ont été traversées par des êtres d’un autre monde.
À travers le monde antique, on nous présente des histoires d’êtres stellaires avancés venus des étoiles. Dans de nombreux cas ils sont décrits comme passant par des portails ou des portes. Le terme que nous utilisons aujourd’hui est Stargate qui signifie « portes des étoiles ».
Une porte des étoiles est un endroit qui permet de se transporter vers une autre planète ou quelque part dans les étoiles. Il y a eu un certain nombre d’endroits sur la planète où il a été estimé que les anciens construisaient des portes des étoiles. Ces passages, ou portails vers les étoiles, sont-ils le produit de l’imagination de nos ancêtres ? Ou bien ce type de voyage interstellaire aurait-il réellement existé dans le monde antique ? Si oui, qui ou quoi a créé une technologie aussi avancée il y a des milliers d’années ?
Des phénomènes électromagnétiques étranges…
Selon les principes d’Einstein il est possible de plier l’espace en utilisant une force d’attraction gravitationnelle. Il est très possible que les embarcations extraterrestres obtiennent une charge d’énergie plus élevée dans certains endroits, comme le Triangle des Bermudes, ce qui leur permettrait de faire une poussée d’énergie ou, une augmentation de la vitesse en chaîne, et exploiter une sorte de particules ou d’énergie supplémentaires de ces endroits pour les amener là où ils veulent aller.
Chaque fois que de l’énergie est générée, en particulier à partir d’un plan supérieur, d’une dimension supérieure, elle est générée par rotation. Ce sera une rotation qui permettra à cette énergie de passer. Donc, par définition, ces émissions d’énergie vont être des vortex. Quand on parle de vortex ou de passerelles inter-dimensionnelles on parle en fait de la même chose.
Il est fort possible que le triangle des Bermudes soit exactement l’une de ces portes inter-dimensionnelles utilisées par des extraterrestres.
Puisque les trous de ver sont théoriquement situés dans l’univers, ces mêmes types de passerelles pourraient-elles exister dans de plus petites régions de la Terre ? Si oui, des niveaux électromagnétiques étranges sont-ils la clé pour les découvrir ?
Des personnes totalement déconnectées entre elles signalent la même chose, et cela a toujours quelque chose à voir avec un phénomène électromagnétique, impliquant généralement une vapeur ou un nuage inexpliqué. Ce phénomène indiquait que les ovnis se matérialisaient ou se dématérialisaient dans notre dimension.
Tous ces cas démontreraient l’existence de portails dimensionnels qui s’ouvrent dans le Triangle des Bermudes et dans d’autres endroits du globe.
On a pu filmer des phénomènes qui suggèrent la présence de portails magnétiques sur notre planète, un fait qui, n’a pas été confirmé scientifiquement, mais qui n’a pas non plus de véritables explication. Il s’avère indubitablement que nous avons encore beaucoup à apprendre, que nous commençons à peine à faire des petits pas de bébé dans le domaine de l’exploration cosmique.
Si nous faisons une étude sur cet énigmatique parallèle 27 Nord, il y a le cas du Triangle des Bermudes, c’est une porte Inter-dimensionnelle qui se connecte avec l’espace-temps de la Terre. Il s’agit d’une zone mystérieuse qui s’ouvre à certaines époques, où disparaissent des centaines de bateaux, des navires et des avions, sans laisser de traces ni de signaux de détresse. En effet, concernant ces disparitions inexpliquées beaucoup de recherches infructueuses ont été réalisées. Mais pourquoi les autorités ne se sont pas prononcées, ni n’ont rien fait pour protéger les gens qui voyagent par mer ou par avion ?
Se pourrait-il que la disparition de beaucoup d’innocents sans laisser de traces soit une nécessité afin d’être emmenés ensuite dans des laboratoires d’hybridation humain-animale ? Ou bien existe-t-il un vortex inter-dimensionnel depuis l’époque Atlante et qu’ils ont su tirer profit de ce potentiel géomagnétique encore latent ?
Quel type d’énergie si puissante se manifeste dans cette zone si mystérieuse ?
S’agirait-il d’un portail d’accès vers une autre dimension, que le gouvernement américain connaît mais occulte, quand bien même de nombreuses expériences comme le Projet Philadelphie ont été réalisées dans ce triangle ? D’après les révélations des garde-côtes des USA, des Bermudes, des Bahamas, de Porto-Rico, chaque année plus de 120 navires disparaissent sans laisser la moindre trace. Ce qui est surprenant c’est qu’au moment où ce portail inter-dimensionnel s’ouvre, par un pouvoir inexplicable tous ceux qui s’y trouvent, pénètrent dans une sorte de nuage-tourbillon dans un autre espace-temps, ils disparaissent et soudain réapparaissent après des années.
Mais qui sont ceux qui ouvrent et ferment cette porte d’accès vers une autre dimension ? S’agit-il de pouvoir émanant de l’intérieur de la Terre ou de l’Agartha dont se sert le gouvernement américain pour ses disparitions expérimentales ?
Et ces expériences sont-elles similaires aux laboratoires souterrains conçus pour cloner, hybrider, pratiquer des mutations ?
Nathalie Colarossi (journaliste américaine) : « Certains l’ont appelé le Triangle du Diable, d’autres le Limbes des perdus ou la mer de Hoodoo. Pour la plupart, cependant, il s’agit du triangle des Bermudes, une étendue d’eau dans l’océan Atlantique célèbre pour avoir « avalé des navires » et fait disparaître des avions. Depuis des siècles, le triangle des Bermudes est décrit comme une zone de l’océan où les marins et les pilotes ont tendance à perdre le contact avec le monde naturel et à disparaître à jamais. Nous retraçons ici l’histoire du Triangle et quelques-uns de ses cas les plus célèbres :
Lorsque Christophe Colomb a traversé le Triangle des Bermudes lors de son premier voyage vers le nouveau monde, il a consigné dans ses écrits le fait qu’une flamme s’était allumée en mer et que, quelques semaines plus tard, une étrange lumière est apparue au loin.
En 1918, l’USS Cyclops, le plus grand et le plus rapide des navires à carburant de la marine américaine, a disparu en route des Caraïbes vers Baltimore avec 309 membres d’équipage, sans laisser de traces. Bien que doté d’un équipement complet et de signaux de détresse, l’USS Cyclops n’avait pas donné l’alerte du danger qu’il courait en mer. Le légendaire navire, qui avait servi pendant la Première Guerre mondiale et qui transportait à l’époque des milliers de tonnes de minerai de manganèse, a disparu sans laisser de traces. Les théories de la mutinerie, des tempêtes, des poisons et des torpilles ont commencé à circuler, mais tout cela n’avait pas beaucoup de sens. S’il y avait eu un accident il aurait bien fallu trouver les débris ou l’épave, pourquoi n’y a-t-il pas eu d’appel de détresse, comment le navire a-t-il pu être détenu alors qu’il y avait du carburant pour un si long voyage ? « Il n’y a pas eu de mystère plus déroutant dans les annales de la marine que la disparition en mars dernier de l’USS Cyclops », écrivait le secrétaire à la marine Josephus Daniels en 1919.
En 1941, un navire de la marine appelé USS Proteus transportait 58 passagers et une cargaison de minerai de Saint-Thomas à la côte Est lorsqu’il a soudainement disparu dans le triangle des Bermudes. Un mois plus tard, un autre navire de ce type, l’USS Nereus, disparaissait avec 61 personnes alors qu’il effectuait le même trajet.
En 1948, un vol commercial DC-3 a disparu au-dessus du triangle avec 29 passagers et deux membres d’équipage, alors qu’ils se rendait à Miami. 80 kms avant d’atteindre la ville, le capitaine de l’avion, Robert Lindquist, a contacté par radio l’aéroport de Miami pour obtenir des instructions d’atterrissage. La même année, un avion britannique Avro Tudor, surnommé ‘Star Tiger’, disparut dans le triangle des Bermudes sans laisser de traces. Selon BBC News, le rapport officiel conclut que « ce qui s’est passé dans cette affaire ne sera jamais connu et le sort du Star Tiger restera un mystère non résolu ».
Un an plus tard, en 1949, un avion G-AGRE baptisé ‘Star Ariel’ quitte les Bermudes à destination de Kingston, en Jamaïque. Le vol a soudainement perdu les communications lorsqu’il est passé sur la fréquence de Kingston alors qu’il survolait le Triangle des Bermudes. Même si le temps était dégagé et que le vol semblait être sur la bonne voie, il n’a jamais été retrouvé et on n’a plus jamais entendu parler de lui.
En 1963, le SS Marine Sulphur Queen, un grand pétrolier transportant 39 passagers et du souffre fondu, a été vu pour la dernière fois au large de la côte sud de la Floride. Après plus de deux semaines de recherches, l’équipe de sauvetage n’a trouvé que quelques débris et des gilets de sauvetage.
Le nom ‘Triangle des Bermudes’ a été officiellement inventé par Vincent Gaddis dans un article de 1964 intitulé « Le triangle mortel des Bermudes ». Dans cet article, Gaddis décrit plusieurs mystères autour du Triangle et indique que cette partie de l’océan est une zone dangereuse. Les histoires sur le Triangle des Bermudes se sont multipliées au fil des décennies. Certains suggèrent que les mystères du Triangle sont le résultat d’une activité extraterrestre. D’autres pensent qu’il s’agit de l’influence puissante, toujours présente, de l’Atlantide disparue. »
Une observation d’OVNI relatée dans le journal de bord de Christophe Colomb
Lorsque Christophe Colomb a traversé le Triangle des Bermudes, les boussoles sont tombées en panne.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Ce qui est moins connu, c’est que Christophe Colomb a eu sa propre aventure extraterrestre. Il l’a raconté dans son journal quelques jours avant d’atteindre les côtes du Nouveau Monde.
Le 11 octobre 1492, l’explorateur, inquiet, était sur le pont de la Santa Maria lorsqu’il vit une « lumière scintillante à grande distance ». Christophe Colomb a écrit exactement ceci :
« L’amiral, debout sur la plage arrière, a vu une lumière. Appelant Pedro Gutierrez, il lui dit qu’il a vu une lumière et lui dit de regarder aussi, ce qu’il a fait et il l’a vue. L’amiral le perçut de nouveau une ou deux fois, ressemblant à la lueur d’une bougie en cire qui montait et descendait. »
Faisant appel à un autre membre de l’équipage, les deux hommes ont regardé la lumière disparaître et réapparaître à plusieurs reprises.
Voir des lumières dans l’eau n’est pas vraiment une anomalie. Nous savons tous que certains types de vie sous-marine émettent des lumières. Mais cette lumière a effectivement voyagé avec le navire. Christophe Colomb a noté dans son journal qu’un objet brillant sortait de l’eau et se dirigeait dans l’atmosphère. Qu’est-ce que Christophe Colomb a vu ? Une créature marine phosphorescente ? Une hallucination ? Ou était-ce quelque chose d’autre ? Quelque chose qui n’est pas de ce monde ? Qu’est-ce que les hommes de Christophe Colomb ont vu ? Ce qu’ils ont vu était un objet lumineux qui, après avoir brisé la surface de l’eau, est devenu un OVNI.
L’observation faite par Christophe Colomb est importante, non seulement à cause de la date à laquelle elle s’est produite, mais aussi parce que l’objet a été repéré en train de sortir de la mer, excluant la possibilité qu’il s’agisse d’une comète ou d’une étoile filante.
Ce qui est intriguant, c’est arrivé dans ce que nous appelons aujourd’hui le Triangle des Bermudes. Cette région, en particulier au large de Bimini, aux Bahamas, pourrait en fait être le quartier général d’une colonie extraterrestre qui se trouve en dessous.
Les OVNIs descendent dans l’eau puis dans un sous-terrain. Quelle meilleure position serait pour surveiller l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale, l’Égypte que les Caraïbes ? De nombreuses personnes croient qu’il est possible que les ovnis aient pu établir des bases dans les fonds marins.
Les Dossiers secrets du Vatican…
Dans une certaine mesure, il est vrai que nous en savons plus sur la Lune ou certaines parties de l’espace que sur les parties les plus profondes de nos propres océans. Cet événement est extrêmement important car il s’agit du premier événement enregistré au monde qui illustre l’apparition d’un OVNI en tant qu’objet émergeant de l’eau. Si les observations de Christophe Colomb étaient si extraordinaires, pourquoi ne les trouvons-nous que dans son journal ? Un autre récit de cet événement pourrait bien exister dans les archives officielles de l’Inquisition espagnole.
Le chercheur sur les ovnis, Maximillien De Lafayette, affirme que son compagnon de bateau, Pedro Gutierrez, l’a rapporté à l’Inquisition après avoir entendu Christophe Colomb décrire les lumières dans le ciel comme ressemblant à une menorah juive. De retour en Espagne, Gutierrez s’est rendu directement à la tristement célèbre Inquisition. C’était une organisation catholique créée par le Vatican pour persécuter et tuer les infidèles, les hérétiques. Les infidèles désignaient les juifs, les musulmans et les chrétiens non catholiques. L’Inquisition a convoqué Christophe Colomb pour une explication, une déposition. Il a été soumis à la Question.
« Avez-vous dit que vous avez vu une menorah ? Pourquoi avez-vous dit menorah ? Oh, alors vous êtes un Juif. »
Il a répondu : « Je ne suis pas juif. »
Dans la déposition, qui est longue, vous trouvez plus de détails méticuleux de ce que Christophe Colomb a vu au-dessus de l’eau. Le dossier de l’inquisition se trouve dans le coffre-fort du Vatican. Bonne chance pour arriver jusqu’à ce dossier secret du Vatican et essayer de trouver un document aussi explosif que celui-ci.
Quand Christophe Colomb et ses hommes ont mis le pied pour la première fois dans ce que les Européens appelaient le « Nouveau Monde », les peuples indigènes n’avaient jamais rencontré de blancs comme eux. Leur peau était pâle, et portaient des vêtements étranges faits de matières souvent brillantes. Ils sont arrivés dans des navires massifs et avaient des armes puissantes. Pour les indigènes, les visiteurs étaient de véritables extraterrestres d’un monde étrange et lointain, des êtres puissants qui auraient tout aussi bien pu être envoyés du ciel.
Christophe Colomb a écrit dans son journal que les habitants sont sortis avec impatience pour voir leurs navires et leur ont demandé s’ils étaient venus des cieux. Et malgré le fait que Christophe Colomb et ses hommes ont indiqué « Non, nous ne sommes pas venus du ciel », les gens toujours sur le rivage se sont mis à appeler : « Venez voir les gens qui sont venus du ciel ».
Certes, il semble intéressant de se demander pourquoi, au lieu de penser que probablement ils venaient d’une autre partie de la mer, ils venaient du ciel ?
En 1964, Chuck Wakeley et son étrange vol aux Bermudes, soudain un effet lumineux sur les ailes de l’avion. Celui-ci brillait sur toute sa surface et ses ailes semblaient translucides… aucun des instruments de l’avion n’était fiable.
Charles Berlitz sur le cas Wakeley : « C’était hors du temps et de l’espace »
7 avions ont disparu en 1944 et un C-54 avec 6 hommes à bord en 1947
Disparitions du « Lancastrian Star Dust » dans les Andes et d’un Douglas C-54 dans le Triangle de l’Alaska
Disparitions aux Bermudes, en 1967 : un avion C-119 avec 10 personnes, un YC-122 et un Piper Apache
L’ étrange cas de Bruce Gernon, un survivant du triangle des Bermudes
Pendant des siècles, le Triangle des Bermudes a gagné suffisamment d’infamie pour les navires, les personnes et les avions disparus sans aucune explication. Celui qui avait disparu de cette zone triangulaire n’est plus jamais revenu pour raconter l’histoire. Mais il y a un homme nommé Bruce Gernon qui, selon sa déclaration, a déjà fait l’impossible dans la vraie vie. Gernon est le seul survivant de la zone de la mort du Triangle des Bermudes à découvrir son histoire.
Selon Bruce Gernon, il a expérimenté la théorie de la distorsion temporelle du Triangle des Bermudes et a vécu pour raconter son histoire sur la survie. Gernon est considéré comme la seule personne sur Terre à être témoin du mystère derrière le Triangle des Bermudes et de ce que le Triangle crée pour faire disparaître les choses.
Beaucoup d’autres ont également vu des parties de ce phénomène mystérieux et de disparition, mais Gernon l’a complètement vécu. Il en est témoin de sa naissance à son stade de maturité, et entre au cœur de la tempête du temps, et s’échappe à travers un vortex et a expérimenté une distorsion temporelle.
Bruce Gernon affirme que le 4 décembre 1970, il a piloté un Beech Bonanza de l’aéroport d’Andros, aux Bahamas, à Palm Beach, en Floride – 250 miles soit 402 km – en seulement 47 minutes. Il nécessite une vitesse de 500 km/h de manière cohérente. Pour son petit avion privé, c’était impossible.
Il vit une couche épaisse et étendue de brouillard extrêmement blanc qui leur foncer dessus. À ce moment-là, la liaison radio de son avion avec le centre de contrôle fût perdue, la boussole et les autres appareils de l’avion ne fonctionnaient plus. Tout cela s’est produit en même temps.
Dans cette situation, il a décidé avec audace d’accélérer l’avion jusqu’à la limite du brouillard pour le traverser. En entrant dans l’amas, l’air est devenu plus dense et en peu de temps, l’avion a été complètement enveloppé par les nuages et la visibilité fût réduite à 7 ou 8 kilomètres. Il n’y avait pas de pluie, mais des éclairs blancs qui éclairaient le ciel, et bien que Gernon se soit élevé à environ 3 000 mètres d’altitude, il ne pouvait pas sortir de l’épais brouillard.
Après quelques secondes, Gernon s’est rendu compte que l’avion était piégé au milieu d’un amas de nuages dangereux. Il était même incapable de savoir si son avion se dirigeait vers la Terre ou la Lune. À ce moment-là, il a vu un immense tunnel, d’environ 50 km de diamètre, à travers les étranges nuages épais. La visibilité dans le tunnel était si claire qu’il pouvait voir à des kilomètres de là.
Dans cette situation de «faire ou mourir», Grenon a pris le risque, puis est entré dans le tunnel. En s’approchant de l’ouverture, il s’est rendu compte qu’il s’agissait d’un tunnel parfaitement horizontal, d’un peu plus d’un kilomètre de long, et qu’il pouvait voir le ciel bleu de l’autre côté. Bruce décida de se diriger vers le ciel, tout en restant surpris par l’étrange densité de l’air et l’aspect cotonneux de ces nuages, et commença à accélérer vers la sortie.
Après être sorti de l’étrange brouillard, il a remarqué que 30 minutes s’étaient écoulées et il a parcouru 100 miles – 160 km – en peu de temps dans ce vortex. Ce n’est qu’après 31 ans de recherches complètes sur le triangle que Bruce Gernon a découvert comment il avait parcouru ces 160 km en si peu de temps et n’avait jamais vu la Terre ou le ciel autour de lui.
Il affirme en outre que c’est à cause de quelque chose appelé « brouillard électronique. » On dit que Bruce a été capturé par le brouillard électronique où il y a eu des dizaines d’avions et de bateaux qui ont disparu dans ce brouillard à travers l’histoire.
Gernon pense qu’un phénomène naturel rare peut être à l’origine des événements paranormaux dans le Triangle des Bermudes. Les ufologues et les théoriciens des anciens astronautes affirment que l’histoire de Bruce Gernon sur le brouillard électronique explore également la connexion du triangle des Bermudes avec les ovnis, une base navale secrète et un lien possible avec des civilisations anciennes disparues.
Plus d’un millier de personnes ont disparues au cours du XXe siècle, dans le Triangle des Bermudes. Mais, Bruce Gernon est revenu en vie, afin qu’il puisse nous expliquer les vrais mystères derrière ce Triangle des Bermudes.
Pourquoi des bateaux et des avions disparaissent sans laisser de traces dans le Triangle des Bermudes ? Si on prend une carte et qu’on dessine trois lignes reliant les Bermudes, Porto Rico, et Miami, qu’obtient-on ? Un triangle ! Tristement connu pour avoir mystérieusement englouti plus de 2 000 bateaux et 200 avions au cours des siècles ! Voici donc une histoire sur le Triangle des Bermudes dont, probablement, vous n’avez jamais entendu parler.
L’avion en question était donc un monomoteur Beechcraft Bonanza. Trois personnes se trouvaient à bord : le pilote Bruce Gernon, son père et son associé. Ils ont décollé de l’île d’Andros, aux Bahamas et ils se dirigeaient vers les côtes de la Floride. C’était le 4 décembre 1970. C’était un vol de routine que Bruce avait déjà effectué des dizaines de fois ! Sauf que cette fois, les choses allaient se passer bien différemment…
Le Triangle des Bermudes est l’endroit où se trouvent les îles des Caraïbes, et ce sont des lieux très populaires pour les personnes qui partent en vacances. Des millions de touristes visitent ces endroits chaque année, et ils s’y rendent en bateau ou en avion. De nombreux petits avions et bateaux circulent en permanence entre les îles éloignées, et ils ne croisent rien de flippant. Vous pouvez donc être sûr que tous les avions de cette carte vont atteindre leur destination en un seul morceau.
Alors pourquoi le triangle des Bermudes est-il aussi connu sous le nom de « triangle du diable » ? Les histoires de bateaux et d’avions disparus ont fait penser à beaucoup de gens que c’est une zone d’activité paranormale. Beaucoup de gens évitent d’y voyager. Et leurs craintes sont tout à fait justifiées, car beaucoup de choses qui s’y sont passées sont difficiles à expliquer. Les mythes sur le triangle des Bermudes doivent bien venir de quelque part. Nous allons nous intéresser à toutes les rumeurs et à certaines des choses les plus étranges qui se sont passées dans le triangle des Bermudes.
Le tableau suivant recense toutes les disparitions de navires dans le triangle des Bermudes depuis 1780 :
| 1780 | General Gates – Le navire avait été déclaré inapte à naviguer en 1779, et vendu. |
| 8 août 1800 | USS Insurgent – Un navire de guerre français avec 36 canons et 340 membres d’équipage. |
| 20 août 1800 | USS Pickering – Disparu lors d’un voyage vers les West Indies. Le navire aurait traversé une tempête. |
| 30 décembre 1812 | Patriot – L’un des passagers était la fille de l’ancien vice-président Aaron Burr |
| Octobre 1814 | USS Wasp – Disparu lors d’un voyage vers les caraïbes. |
| Janvier ou février 1815 | USS Epervier – Disparu entre Alger pour Norfolk. Le navire transportait un traité de paix pour mettre fin à la guerre de 1812. Sa disparition retarda la fin des hostilités. |
| Octobre 1824 | USS Wildcat – Disparu après avoir quitté Cuba avec 31 membres d’équipage. |
| 1824 | Schooner Lynx – Disparu avec 40 membres d’équipage. |
| 1824 | Schooner USS Hornet – Disparu dans l’ouest Atlantique. |
| Mars 1840 | Rosalie – Disparu dans la mer Sargasse. |
| 1843 | USS Grampus – Le navire a probablement sombré après avoir été touché par une violente rafale de vent. |
| 4 décembre 1872 | Mary Celeste – Retrouvé abandonné en mer à l’ouest des Açores |
| 31 janvier 1880 | HMS Atalanta – Disparu après avoir quitté le Bermudes pour un retour à sa base. Il y avait 290 membres d’équipage à bord. |
| 14 novembre 1909 | Spray – Disparu après avoir quitté Miami. Le navire était dirigé par le célèbre navigateur Joshua Slocum, considéré comme le meilleur marin de son temps. |
| Mars 1917 | SS Timandra – Le navire cargo disparu avec ses 21 membres d’équipage en reliant Norfolk et Buenos Aires avec une cargaison de charbon. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable |
| Mars 1918 | USS Cyclops – Disparu après avoir quitté Barbados pour Baltimore avec 309 passagers et membres d’équipage. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable |
| Novembre ou décembre 1920 | SS Hewitt – Ce cargo à vapeur disparut en mer |
| Janvier 1921 | Carroll A. Deering – Retrouvé échoué près de cap Hatteras en Caroline du Nord. Les 11 membres d’équipage avait disparu |
| 29 novembre 1925 | SS Cotopaxi – Ce navire à vapeur disparut avec ses 32 membres d’équipage après avoit quitté Charleston, Caroline du Sud pour la Havanne, Cuba. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable |
| 14 Mars 1926 | Cargo SS Suduffco – Disparu avec ses 29 membres d’équipage entre New York et Los Angeles. Aucun message de détresse envoyé, alors que le navire en était capable |
| Mars 1938 | Cargo Anglo Australian, 5,500 tonnes – Disparu avec ses 38 membres d’équipage en reliant Cardiff, Pays de Galles et British Columbia (côte ouest des Etats-Unis). Dernier message radio : «On passe Fayal. Tout va bien.» |
| 1942 | Surcouf – Ce sous-marin de la marine française a disparu dans les Caraïbes. Il a peut-être été abordé par le cargo Thompson Lykes près du canal de Panama. Les deux navires naviguaient feux éteints pour ne pas se faire repérer par les sous-marins allemands. |
| 31 janvier 1948 | SS Samkey |
| 6 Mars 1948 | Evelyn K |
| 1950 | SS Sandra – Ce cargo a disparu après avoir passé St Augustine (Floride), alors qu’il naviguait en direction du Vénézuela. |
| 13 janvier 1955 | Home Sweet Home |
| 26 septembre 1955 | Connemara IV – Retrouvé abandonné. Les recherches ont montré que le navire avait été attaché vide à un pilier (aux Bermudes), mais les cables ont rompu suite à un ouragan. Une fois libéré, le navire a dérivé au gré de la mer. |
| 1 janvier 1958 | Revonoc |
| Février 1963 | SS Marine Sulphur Queen – Ce pétrolier de 154 mètres reconverti pour transporter du soufre liquide a disparu en mer et n’a jamais été retrouvé. |
| 2 juillet 1963 | Sno’ Boy |
| 13 janvier 1965 | Enchantress |
| 28 octobre 1965 | El Gato |
| 22 décembre 1967 | Witchcraft – 2 membre d’équipage étaient à bord. Le navire avait appelé les garde-côtes pour être remorqué. Ces derniers sont arrivés 19 minutes plus tard, mais aucune traces du navire n’a été trouvé. |
| 1970 | Milton Latrides – Ce cargo français transportait de l’huile végétale et de la soude caustique. Il disparut entre la Nouvelle Orléan et Cap Town. |
| 10 septembre 1971 | El Caribe |
| 1972 | Anita – Ce cargo allemand (20 000 tonnes) transportant du charbon disparut avec ses 32 membres d’équipage. Au même moment, un navire jumeau (le Norse Variant) disparut. Un survivant retrouvé sur un radeau de sauvetage raconta avoir sombré dans la tempête : les vagues ont déchiré la coque et le navire coula rapidement. |
| 22 avril 1975 | Dawn |
| Octobre 1976 | Sylvia L. Ossa – Disparu 220 km à l’Ouest des Bermudes. |
| 1978 | SS Hawarden Bridge – Retrouvé abandonné dans les West Indies. Le navire a peut-être été le théatre d’un réglement de compte. |
| Octobre 1980 | SS Poet – Ce cargo disparut brutalement au cours d’un voyage entre les Etats-Unis et l’Egypte. |
| 1995 | Jamanic K – Ce cargo effectuait des liaisons entre les îles des Caraïbes. Il disparut après avoir quitté Cap Haiten |
| 1999 | Genesis – Ce cargo disparut entre Port d’Espagne et St Vincent. Il transportait 465 tonnes d’eau, et du béton. Il reporta des problèmes techniques, puis le contact radio a été perdu. Malgré de vastes recherches, aucune trace du navire n’a été retrouvée. |
Le tableau suivant recense toutes les disparitions d’avions dans le secteur du triangle des Bermudes depuis 1942 :
| Dates | Avions disparus |
| 1942 | TBF Avenger |
| 1942 | PBY Catalina |
| 1943 | TBF Avenger |
| 1943 | Four Lockheed PV-1 Ventura |
| 1943 | PB4Y Privateer |
| 1944 | PBY Catalina |
| 1944 | PB4Y Privateer |
| 1944 | SBD-5 Dauntless |
| 1944 | PBY-5A Catalina |
| 1945 | B-24 Liberator |
| 1945 | PB4Y Privateer |
| 5 décembre 1945 | Cinq TBF Avengers – Vol 19 |
| 5 décembre 1945 | Martin Mariner |
| 1947 | C-54 |
| 28 janvier 1948 | Tudor IV – Star Tiger |
| 28 décembre 1948 | DC-3 d’Airborne Transport – vol NC16002 |
| 17 Janvier 1949 | Tudor IV – Star Ariel |
| 1950 | Grumman F6F-5 Hellcat |
| 1950 | Grumman F9F-2 Panther |
| 2 février 1952 | C-46 British York transport |
| 6 décembre 1952 | Douglas DC-4 |
| 1953 | TV-2 Texan |
| 30 octobre 1954 | Super Constellation – Vol 441 |
| 9 novembre 1956 | Martin Marlin |
| 18 mars 1960 | Super Sabre |
| 15 octobre 1961 | Pogo 22 |
| 8 janvier 1962 | USAF KB-50 Aerial Tanker |
| 27 mai 1962 | USAF C-133 Cargomaster |
| 22 septembre 1963 | USAF C-133 Cargomaster |
| 28 août 1963 | Deux KC-135 Stratotankers de la US Air Force |
| 5 décembre 1964 | Cessna 140 |
| 15 septembre 1965 | Beech C18s – En approche sur St Thomas |
| 31 octobre 1965 | Cessna 182 – Près de Marathon |
| 6 décembre 1965 | Mooney-Ercoupe |
| 29 décembre 1965 | Commanche – En route vers Puerto Rico |
| 5 avril 1966 | B-25 Mitchell bomber |
| 1966 | Chase YC-122 |
| 11-17 janvier 1967 | Beech Bonanza – Large de Key Largo – 3 disparitions en 1 semaine |
| 1967 | Apache – Près de Puerto Rico |
| 2 juillet 1967 | Cherokee – Près de Puerto Rico |
| 6 août 1967 | Cherokee – Entre Miami et Bimini |
| 3 octobre 1967 | Cherokee – Entre Great Inagua et Puerto Rico |
| 8 november 1967 | Cessna 182 – Au dessus d’Exumas |
| 29 may 1968 | Cessna 172 – Près de Grand Turk |
| 8 juillet 1968 | Cessna 180 – Entre West Palm Beach et Grand Bahama |
| 5 janvier 1969 | Comanche |
| 15 février 1969 | Beech Baron – Entre Miami and Columbus |
| 22 mars 1969 | Beech 95 |
| 6 juin 1969 | Cessna 172 entre Grand Turk et Caicos Island |
| 29 juin 1969 | B-95 Beechcraft Executive – Entre Great Inagua et San Juan |
| 3 août 1969 | Piper PA-22 – Entre West Palm Beach et Albion, New Jersey |
| 11 octobre 1969 | Pilattus-Brittan-Norman Islander – Entre Great Inagua et Puerto Rico |
| 17 janvier 1970 | Piper Comanche – Entre Nassau et Opa Locka, FL |
| 3 juillet 1970 | Cessna 310G – Entre Maiquetia, Venesuela et San Juan, PR |
| 23 novembre 1970 | Piper Comanche – Entre West Palm Beach et Kingston, Jamaica |
| 20 mars 1971 | Cessna 177b – Entre Miami et Andros Island |
| 26 juillet 1971 | Horizon Hunter – Près de Barbados |
| 10 septembre 1970 | Phantom II F-4E Jet – Lors d’une mission de routine à 120 km au sud de Miami |
| 21 décembre 1971 | Cessna 150j – l’avion était parti de Pompano Beach |
| 10 octobre 1972 | Super Constellation – Entre Miami et Santo Domingo |
| 28 mars 1973 | Cessna 172 – L’avion était parti de West Palm Beach, FL |
| 25 may 1973 | Navion A16 – Entre Freeport et West Palm Beach |
| 10 août 1973 | Beechcraft Bonanza – Entre Fort Lauderdale et Marsh Harbour, Bahamas |
| 26 août 1973 | Cessna 150 – L’avion était parti de Viaquez, PR |
| 20 décembre 1973 | Lake Amphibian – Entre Nassau et Bimini |
| 10 février 1974 | Cessna 414 – Disparu après avoir décollé de treasure Cay, Bahamas |
| 10 février 1974 | Pilattus-Brittan-Norman Islander – Disparu lors d’une approche sur St. Thomas |
| 13 juillet 1974 | Piper PA-32 – Entre West Palm Beach et Walker Cay, Bahamas |
| 11 août 1974 | Beech K35 Bonanza – Disparu après avoir décollé de Pompano Beach, FL. pour Philadelphia |
| 25 février 1975 | Piper PA-30 – Entre Greensboro, NC et Freeport, GBI |
| 2 mai 1975 | Cessna « Skymaster » – Environs de Fort Lauderdale |
| 28 juillet 1975 | Cessna 172 – Environs de Fort Lauderdale |
| 9 décembre 1975 | Cessna 172 – Entre St. Croix et St. Kitts |
| 4 juin 1976 | Beech D50 – Entre Pahokee, FL et la république dominicaine |
| 8 août 1976 | Piper PA-28 – Entre Vera Cruz, Mexico et Brownsville, TX |
| 24 octobre 1976 | Beech E-50 – Entre Opa Locka, FL. et Grand Turk Island |
| 28 décembre 1976 | Piper PA-23 – Entre Anguilla et Beef Island |
| 22 février 1978 | KA-6 Navy attack bomber (Fighting Tiger 524) – Disparu des écrans radar à 160 km au large de Norfolk. L’appareil était en route vers U.S.S. John F. Kennedy |
| 25 mars 1978 | Aero Commander 680 – Entre Opa Locka-Imokalee, FL et Freeport, Grand Bahama |
| 27 avril 1978 | Ted Smith 601 – Entre Pompano Beach et Panama City, FL |
| 30 avril 1978 | Cessna 172 – Après avoir décollé de Dillon, SC |
| 19 mai 1978 | Piper PA-28 – Entre Fort Pierce et Nassau |
| 26 mai 1978 | Beech 65 – Entre Port-au-Prince et les Bahamas |
| 18 juillet 1978 | Piper PA-31 – Entre Santa Marta, Col et Port-au-Prince |
| 21 septembre 1978 | Douglas DC-3 – Entre Fort Lauderdale et la Havane (Cuba) |
| 3 novembre 1978 | Piper PA-31 – Entre St. Croix et St. Thomas |
| 20 novembre 1978 | Piper PA-23 – Entre De Funiak Springs et Gainsville, FL |
| 11 janvier 1979 | Beech A23A – Entre Opa Locka et St. Thomas |
| 2 avril 1979 | Beech E18s – Entre Fort Lauderdale et Cat Island, Bahamas |
| 24 avril 1979 | Piper PA-28R – Entre Fort Lauderdale et Nassau |
| 30 juin 1979 | Cessna 150J – Entre St. Croix et St. Thomas |
| 9 septembre 1979 | Cessna 182 – Entre la Nouvelle Orleans et Pensacola, Florida |
| 4 octobre 1979 | Aero Commander 500 – Entre Andros Island et West Palm Beach, FL |
| 27 octobre 1979 | Piper PA-23 – Entre Montego Bay, Jamaico et Nassau |
| 19 novembre 1979 | Beech D50b – Entre Delray Beach, FL et Key West |
| 4 personnes | Piper PA-23 – Entre Aguadilla et South Caicos Island – 21 décembre 1979 |
| 11 février 1980 | Beech 58 – Après avoir décollé de St. Thomas (avion reporté volé) |
| 19 mai 1980 | Lear Jet – Entre West Palm Beach et la Nouvelle Orléan |
| 19 mai 1980 | Erco 415-D – Entre Santo Domingo, DR et San Juan, PR. Le pilote signala avoir vu un OVNI avant de disparaître |
| 6 janvier 1981 | Beech c35 – Entre Bimini et Nassau |
| 5 juillet 1982 | Piper PA-28R-201T – Entre Nashville et Venice, FL |
| 28 septembre 1982 | Beech H35 – Entre Marsh Harbour et Fort Pierce |
| 20 octobre 1982 | Piper PA-31 – Entre Anguilla et St. Thomas, VI |
| 5 novembre 1982 | Beech 65-B80 – Entre Fort Lauderdale et Eleuthera Island, Bahamas |
| 4 octobre 1983 | a Cessna T-210-J – Entre Andros Town, Bahamas et Fort Pierce, FL |
| 20 novembre 1983 | Cessna 340A – Environs de Orangeville, Fl |
| 12 mars 1984 | Piper – Entre Key West et Clearwater, Florida |
| 31 mars 1984 | Cessna 402b – Entre Fort Lauderdale et Bimini |
| 23 décembre 1984 | Aeronca 7AC – Entre Cross City, Florida et l’Alabama |
| 14 janvier 1985 | Cessna 337 – Au Nord de Jacksonville |
| 8 mai 1985 | Cessna 210k – Entre Miami et Port-au-Prince, Haiti |
| 12 juillet 1985 | Piper – Entre Nassau et Opa Locka |
| 3 août 1985 | Cessna 172 – Environs de Fort Meyers, FL |
| 8 septembre 1985 | Piper – Au nord de Key West, en route vers Fort Lauderdale |
| 31 octobre 1985 | Piper – Entre Sarasota, FL. et Columbus, Georgia |
| 26 mars 1986 | Piper – Entre Miami et Freeport |
| 3 août 1986 | Twin Otter charter – Dans les environs de St. Vincent |
| 27 mai 1987 | Cessna 402c – Entre Palm Beach, FL. et Marsh Harbour, Great Abaco,Bahamas |
| 3 juin 1987 | Cessna 401 – Entre Freeport et Crooked Island |
| 2 décembre 1987 | Cessna 152 – Entre La Romana et San Juan |
| 7 février 1988 | a Beechcraft – Au dessus de la mer des CaraIbes |
| 6 février 1989 | Piper – Après avoit décollé de Jacksonville, Florida |
| 24 janvier 1990 | Cessna 152 – Près de West Palm Beach, FL, Durant un vol d’instruction |
| 5 juin 1990 | Piper – Entre St. Maarten et St. Croix |
| 10 août 1990 | Piper – Entre Sebastian, FL. et Freeport, GBI – Les corps ont été retrouvé au large de la Virginie |
| 24 avril 1991 | Piper Comanche – Large de la Floride |
| 30 mai 1991 | Piper – Près de Long Boat Key. Le pilote signala que son gyro directionnel ne marchait plu, puis s’abima dans l’océan |
| 30 septembre 1993 | Cessna 152 – Secteur de Miami |
| 28 août 1994 | Piper PA-32 – Entre Treasure Cay, Bahamas et Fort Pierce |
| 19 septembre 1994 | Piper PA-23 – Au dessus des Caraïbes |
| 25 décembre 1994 | Piper PA-28 – Au large de la Floride |
| 2 mai 1996 | Aero Commander – Au dessus des Caraïbes |
| 19 août 1998 | Piper PA-28 – Au dessus des Caraïbes |
| 12 mai 1999 | Aero Commander – Dans les environs de Nassau |
| 13 décembre 2002 | Piper PA-23 – L’avion s’est abimé dans l’océean 15 km au Nord de Freeport, Bahamas |
| 2 mars 2004 | Piper PA-32RT – L’avion a disparu des écrans radar 25 km à l’Ouest de Freeport, Bahamas, après être entré dans une tempête. Une partie seulement de l’avion a été retrouvé. |
| 30 mars 2004 | Piper PA-32-300 – L’avion avait décollé de Staniel Cay, Bahamas et volait vers le sud. Il a disparu et n’a jamais été retrouvé |
| 8 septembre 2005 | Beech BE-58 – Environs Exuma Cay, Bahamas |
| 18 mai 2006 | Cessna 402C – L’avion s’est abimé en mer suite à une panne du moteur droit. 2 personnes ont été tuées, 6 légèrement blessées et 2 indemnes. |
Une autre dissimulation militaire : l’incident d’OVNI dans le Triangle des Bermudes en 1971
Bien que le témoin principal ne l’ait vu que pendant moins d’une demi-minute, un incident avec un objet bizarre dans les eaux du Triangle des Bermudes au début des années 1970 en est un autre qui semble avoir été dissimulé par les pouvoirs en place. En effet, même s’il s’agit d’un récit qui n’est pas riche en détails complexes, il s’agit d’un autre qui n’a vu le jour que grâce à l’arrivée d’internet et à la prise de conscience collective que beaucoup plus de personnes ont été témoins de ces étranges objets, que certains ne le pensaient auparavant, et en tant que tel, contribue à une vision plus large de la question des ovnis et des extraterrestres.
Le fait que l’incident se soit produit en mer ajoute une autre intrigue. Outre le fait que plusieurs photographies intrigantes ont été prises depuis des navires au fil des ans, il existe une croyance collective croissante parmi les chercheurs et enquêteurs sur les ovnis, selon laquelle des objets mystérieux n’arrivent peut-être pas ici depuis l’espace, mais depuis nos propres océans. On pourrait également se demander si le fait que la rencontre se soit déroulée dans le Triangle des Bermudes offre une sorte d’explication quant à la raison pour laquelle cette région de l’Atlantique recèle tant d’histoires d’incidents étranges ?
Peut-être que le fait que la rencontre ait eu lieu au-dessus d’un navire de la marine américaine laisse espérer que de nouvelles informations pourraient être divulguées dans l’espace public, que ce soit sous la forme de fuites de documents ou d’informations déclassifiées.
Quelque part dans le Triangle des Bermudes…
Selon le témoin principal, Jim Kopf, à un moment donné en 1971, il servait à bord de l’USS John F. Kennedy, un porte-avions de la marine américaine près de la tristement célèbre région du Triangle des Bermudes. Kopf travaillait dans le département des communications et le navire était sur le chemin du retour vers Norfolk, en Virginie, après avoir terminé une opération de deux semaines dans les Caraïbes.
Cette nuit-là, vers 20h30, Kopf était de service au centre de communication et surveillait les huit télétypes qui imprimaient les émissions de la flotte. C’est alors qu’il retirait l’un de ces imprimés qu’il remarqua que les télétypes « tapaient des conneries ». Pensant qu’il y avait un problème avec le système, il appela le service de contrôle des installations, les informant de l’erreur apparente. Une réponse est revenue rapidement, indiquant que « toutes les communications étaient interrompues ».
À ce stade, Kopf a jeté un coup d’œil au réseau des opérations de communications navales (qui travaillaient dans la même pièce) et s’est rapidement rendu compte qu’eux aussi avaient des problèmes avec leur équipement. Un réel sentiment que quelque chose d’extraordinaire se passait imprégnait la pièce. Puis, une voix retentit dans l’interphone et la situation devint encore plus étrange.
Alors que l’équipage du service des communications essayait de comprendre pourquoi tout leur équipement était en panne, la voix dans l’interphone annonça qu’« il y avait quelque chose qui plané au-dessus du navire ! »
Cette seule déclaration a incité tout le monde à arrêter ce qu’il faisait et à écouter. Un instant plus tard, une autre voix retentit dans l’interphone, celle-ci apparemment beaucoup plus affligée. Il disait : « C’est Dieu ! C’est la fin du monde! »
Les six membres d’équipage présents dans la pièce se regardèrent brièvement, tous ne sachant pas trop quoi faire jusqu’à ce que l’un d’eux leur suggère « d’aller voir ». Sur ce, tous les six quittèrent rapidement la pièce et longèrent le couloir jusqu’à l’écoutille qui les mènerait au poste de pilotage.
Alors qu’ils se dirigeaient vers le pont, ils ont rapidement, tous, pris conscience d’une « grande sphère lumineuse » planant dans le ciel nocturne. Alors que les témoins observaient cette sphère, ils ont pu voir que la lumière « pulsait », passant du jaune à l’orange.
L’ objet – quel qu’il soit – était complètement silencieux, et comme il n’y avait rien d’autre à voir dans le ciel nocturne, il était difficile pour les témoins de déterminer sa taille et sa hauteur au-dessus du navire. Le témoin a proposé dans son rapport que si l’objet était à seulement 100 pieds au-dessus du navire, il aurait fait environ 300 pieds de diamètre. S’il avait été cinq fois plus élevé, il aurait été nettement plus élevé.
Les témoins ont regardé l’objet avec admiration pendant environ 20 secondes. Ensuite, l’alarme des Battle Stations a retenti.
« Tous les écrans radar brillaient ! »
Au son de l’alarme, les témoins sont retournés au centre de communication. Ils sont restés là pendant environ 20 minutes avant que les équipements de communication ne se mettent soudainement en marche, apparemment débarrassé de ce qui les empêchait de fonctionner. Il est toutefois intéressant de noter que Kopf a noté qu’il n’avait ni entendu ni vu de messages ou d’autres communications concernant cet incident bizarre, ce qu’il trouvait étrange.
Quelques heures plus tard, il a réussi à parler à un autre membre d’équipage et ami proche qui était opérateur radar au centre d’information de combat. Il a informé Kopf – officieusement, bien sûr – que pendant l’épisode, « tous les écrans radar brillaient », ce qui signifie que tout ce qui se trouvait au-dessus du navire pendant ces 20 minutes avait des proportions gigantesques.
Kopf a parlé à un ami qui travaillait sur la passerelle de navigation, qui l’a également informé que toutes les boussoles avaient cessé de fonctionner pendant l’incident. Plus remarquable encore, l’un des membres de l’équipage qui était de garde sur la passerelle a dû être mis sous sédatif par des médecins, tellement il était choqué par ce dont il était témoin (on se souvient peut-être de la voix qu’ils ont entendue dans l’interphone disant que « c’était Dieu » et que la « fin du monde » était imminente).
Au cours des jours suivants, Kopf parlerait discrètement à autant de personnes que possible de l’incident afin de tenter de découvrir plus de détails que possible.
L’ arrivée des « hommes en trench-coat »
Kopf découvrit que non seulement les équipements de communication et de navigation étaient hors service pendant toute la durée de l’observation, mais que tout le système électrique du navire avait tout simplement cessé de fonctionner. Encore plus étrange, les deux avions F-4 Phantom – toujours prêts à décoller – ne pouvaient tout simplement pas démarrer, ce qui signifie qu’aucune mission d’interception n’ait pu être effectuée.
Bien qu’il ne les ait pas vus lui-même, il a en outre appris que dans les jours qui ont suivi la rencontre, plusieurs « hommes en trench-coat » ont débarqué à bord du navire. Ils ont systématiquement interrogé tous ceux qui avaient vu l’objet. Cependant, ni Kopf ni aucun des six membres d’équipage qui se trouvaient dans le centre de communication ce soir-là n’ont été interrogés. Cela a confirmé à Kopf que ses supérieurs et les hommes mystérieux arrivés à bord du navire étaient conscients que chacun d’entre eux avait vu quelque chose d’inhabituel (à part que leur équipement était en panne).
Même s’il y avait environ 5 000 membres d’équipage à bord du navire au moment des observations, seule « une poignée » d’entre eux ont été témoins des événements ce soir-là. Cela était dû en grande partie au fait qu’un exercice venait de se terminer, ce qui signifiait que la grande majorité de l’équipage se reposait sous le pont. Sur ce, ils ont été licenciés.
Kopf, ainsi que le reste de l’équipage, comprit clairement à quoi le capitaine faisait référence dans cette dernière partie de son discours. Et même s’il n’a pas spécifiquement mentionné l’objet non identifié qui planait clairement au-dessus du navire, c’était, selon le témoin, la seule référence officielle qu’il ait entendue à un moment donné depuis le déroulement de l’épisode.
Une rencontre presque oubliée
Aussi étrange que cela puisse paraître – même pour Kopf lui-même – il a rapidement oublié l’incident une fois rentré chez lui. Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’il a vu le film « Rencontres du troisième type ». En fait, il a vu le film avec son ami (avec leurs épouses respectives) qui avait été opérateur radar la nuit en question.
Il se souvient que, alors qu’ils retournaient à leurs véhicules après le film, Kopf lui avait demandé s’il se souvenait de la nuit en question. À sa grande surprise, son ami est devenu très pâle et a simplement répondu qu’il « ne voulait plus jamais en parler ». Après ça, l’incident fût oublié.
Ce n’est qu’avec l’arrivée d’internet que Kopf a finalement rendu public l’incident au début des années 2000. Après avoir lu plusieurs articles et rapports de personnes du monde entier ayant été témoins de choses similaires, il a décidé de soumettre son propre rapport. S’il ne l’avait pas fait, les événements de cette nuit de 1971 seraient restés complètement oubliés.
Ce qui s’est passé ce soir-là il y a près d’un demi-siècle reste inconnu. Cependant, il semblerait clair, sur la base d’autres observations et incidents similaires, que l’objet brillant était bien ce que la plupart d’entre nous identifierait comme un OVNI. Bien entendu, la question de savoir si cet engin est venu des confins de l’espace, d’un endroit discret sur Terre ou a même été construit et exploité par l’armée reste sujette à débat.
Nous pourrions également nous demander si l’emplacement est important. Nous savons que toutes sortes d’incidents étranges se sont produits dans et autour du Triangle des Bermudes depuis des siècles. Était-ce un facteur dans cet événement bizarre ?
Quoi qu’il en soit, les militaires semblaient désireux de réprimer et de dissimuler l’affrontement. Et cet empressement devrait peut-être nous amener à nous demander pourquoi ? Que savaient exactement les pouvoirs en place qui devaient être cachés au grand public ?
La vidéo ci-dessous examine certains des cas d’OVNIS les plus intrigants de l’histoire.
Les pôles magnétiques des Triangles des Bermudes et du Dragon créent un espace-temps dédoublé
Ces centaines de navires et leurs équipages qui ont disparu sans laisser de traces : auraient-ils franchi un portail dimensionnel ?
Le Triangle du Dragon
Juste au sud du Japon, vous avez une zone mystérieuse appelée Triangle du Dragon (ou Mer du Diable). Elle est très similaire au Triangle des Bermudes, car vous avez des avions qui ont disparu des airs, et des navires qui ont disparu de l’océan.
En fait, le Japon a même déclaré qu’il s’agissait d’une zone sinistrée et qu’il était interdit d’y naviguer ou de la survoler. Il faut rester à l’écart, car si on y entre, des choses terribles pourraient nous arriver.
Dans l’ancien Japon, et même dans l’ère relativement moderne, il existe des histoires sur la mer du Dragon, dans lesquelles des objets sortent de l’eau et volent dans les airs. Dans l’ancien Japon, c’étaient des monstres ailés qui respiraient le feu. Dans les temps plus modernes, ceux-ci ont pris l’apparence de machines bien réelles.
Charles Berlitz et son livre « Le Triangle du Dragon » : la disparition de navires et de plus de 800 personnes
« Il se passe quelque chose dans le ciel… le ciel est en train de s’ouvrir… » Après ce dernier message, l’avion japonais disparaît. 1952, temps clair, mer calme : le KAIO Maru n°5 qui croise au large des côtes japonaises s’abime sans laisser de traces.
Pétroliers, sous-marins nucléaires qui s’évanouissent, torpilles qui se retournent contre leur navire d’origine, apparitions d’OVNI, pannes inexpliquées, anomalies électro-magnétiques, distorsions de l’espace-temps, voici quelques uns des mystèrieux phénomènes du TRIANGLE du DRAGON. Situé dans le Pacifique, à l’exacte opposé du Triangle des Bermudes, il en est le double inquiétant.
Son histoire remonte aux temps les plus lointains. On y a vu des Îles apparaître et sombrer en quelques jours. Durant la préhistoire, une civilisation très avancée dont témoignent, sur l’Île de Pâques, d’étranges vestiges archéologiques, se serait développée sur un immense continent alors émergé.
L’histoire immémoriale remonte ici les interrogations de la science contemporaine. Et c’est sur ces coïncidences qui défient l’imagination que Charles Berlitz est allé enquêter.
Des similitudes avec le Triangle des Bermudes…
Lorsque vous comparez les descriptions de ces dispositifs à la description donnée par Christophe Colomb s’approchant du Triangle des Bermudes, d’un engin émergeant de l’eau, une lumière qui suit le navire, vous réalisez qu’il existe une similitude dans ces deux endroits avec des objets, qui sortent de l’eau et s’envolent dans les airs.
Mais pourquoi les deux structures submergées se trouvent-elles dans le périmètre de ces régions étranges de la planète où se déroulent tant d’activités inhabituelles ? Est-ce une coïncidence si le 27e parallèle au nord de la Terre traverse à la fois le Triangle des Bermudes et celui du Dragon ? Ils se situent sur la même latitude, et tous deux ont les mêmes phénomènes magnétiques, dans lesquels les instruments de bord sont déréglés et les appareils tombent en panne.
Des bases extraterrestres sous-marines…
Les gens se demandent s’il existe une véritable et étrange connexion avec les OVNIs ?
Des millions de personnes dans le monde pensent que des extraterrestres ont visités la Terre par le passé. Les anciens astronautes ont-ils vraiment contribué à façonner notre histoire ? Si oui, quelles preuves se trouvent dans les profondeurs des mers ?
Ce qui se passe sous la surface des océans est un vaste mystère en grande partie inexploré. Il existe beaucoup de légendes avec des lumières venant de sous la surface de l’eau. L’idée commence à germer qu’il pourrait exister d’anciennes bases extraterrestre sous la mer.
Si les soucoupes volantes ou les OVNIs existent, alors nous pourrions penser qu’ils devraient provenir d’une civilisation très ancienne. Vous vous demandez sans doute si les ovnis utilisent réellement la région du Triangle du Dragon comme base principale et reviennent peut-être même aux vestiges d’une civilisation qu’ils connaissaient bien.
Et si les monuments engloutis à Yonaguni et ceux près de Cuba avaient des origines extraterrestres ? Pourraient-ils avoir été utilisés comme bases extraterrestres ? Si nous croyons que les extraterrestres se sont manifestés sur terre, auraient-ils également pu le faire dans les eaux ? Pourrait-il y avoir plus de preuves dans les vastes profondeurs du Pacifique ?
source : http://www.dramatic.fr/triangle-dragon-p788.htm
L’Île de Yonaguni
Dans l’archipel de Ryūkyū, situé à l’extrême sud du Japon, en septembre 1997, de nombreuses équipes de chercheurs, géologues et plongeurs professionnels lancent une expédition sous-marine près de la plus méridionale des îles Ryūkyū, Yonaguni. Ils sont là pour enquêter sur une mystérieuse configuration de pierre connue sous le nom de pyramide de Yonaguni. L’île de Yonaguni se situe à l’extrémité ouest de l’archipel japonais. Les chercheurs pensent que les premiers habitants de l’Asie du Sud-Est ont émigré ici à l’époque préhistorique.
En 1987, dans les eaux voisines, l’organisateur de voyages de plongée Kihachiro Aratake a fait une découverte époustouflante : un vaste complexe de formations rocheuses dissimulé à une centaine de mètres sous la surface de l’océan. Les experts le qualifient de l’une des plus grandes découvertes de l’histoire de l’archéologie sous-marine.
Ce qui est intriguant dans le complexe de Yonaguni, c’est qu’il existe toute une série de monuments juxtaposés, ce qui semble indéniablement être l’œuvre d’êtres humains et non l’action aléatoire de l’océan sur des couches différentielles de pierre.
Moins de 30 mètres sous la surface, les plongeurs rencontrent des formations rocheuses comprenant des plates-formes à piliers et des marches géantes qui semblent être creusées dans le substrat rocheux. Le monument de Yonaguni a été modifié par gravure, et il a été très soigneusement sculpté dans des mégalithes, des plates-formes, des escaliers. Le seul problème est qu’il est construit pour des géants. Les escaliers sont immenses. Alors qui a construit ce monument ? Et quel événement cataclysmique l’a envoyé au fond de la mer ?
Un complexe de temples sous-marins
On pense aussi que ce n’est pas une formation naturelle pour plusieurs raisons. Des outils et des pierres gravées se trouvent sur le site. À cause de ces choses, il ne fait aucun doute que cela fût fait artificiellement.
Immergé sous la plus grande des formations sous-marines, quelque chose ressemble à une pyramide en escalier massive à cinq niveaux, de la taille de deux terrains de football. Vous voyez des sculptures non ambiguës qui sont clairement de nature géométrique, avec de nombreux angles droits. Les angles droits ne se rencontrent pas naturellement dans la nature. Il y a toutes ces coupes qui semblent être d’origine artificielle et non d’origine naturelle, car elles sont trop précises.
Nous voyons des canaux traversés par des cages d’escalier parfaitement rectangulaires. Il y a des endroits où vous trouvez des mégalithes empilés les uns sur les autres pour créer un tunnel dans lequel vous pouvez nager. Il y a un ensemble de mégalithes positionnés côte à côte contre le bord de la falaise. Il y a un gigantesque visage humain sculpté sous l’eau. Il y a une pierre qui inscrit une grande face, environ sept mètres de hauteur. Notre première impression était qu’elle ressemblait beaucoup aux Moai sur l’île de Pâques.
Puis nous avons commencé à comprendre que cela ressemblait beaucoup au sphinx qui gardait les pyramides et nous nous sommes demandé : « Est-ce la fonction que le visage occupe ici ? ». C’est la combinaison de toutes ces structures qui nous convainc que nous avons affaire à un complexe de cérémonie.
Des constructions datant de 14000 ans
Le mystère entourant la structure sous-marine de Yonaguni est de savoir quand il s’est retrouvé sous l’eau ? Yonaguni a-t-il été modifié artificiellement à un moment où le niveau d’eau des océans étaient plus bas ? Nous savons que cela s’est produit à un moment donné au cours de la dernière période glaciaire, il y a 14 000 ans. La preuve géologique est qu’il a été submergé lors de la fusion du dernier âge glaciaire. Partout dans le monde, que ce soit en France, en Inde ou au Japon, des structures artificielles se trouvent sous l’eau. De quelles manières nos ancêtres auraient pu faire cela ? Ils ne disposaient pas de matériel de plongée. Ces structures ont donc été construites lorsque le niveau de la mer était plus bas, il y a plus de 14 000 ans. Nous devons nous rappeler qu’à la fin de la dernière période glaciaire, le niveau de la mer était plus bas que 90 mètres au-dessus de ce qu’il est aujourd’hui, de sorte qu’à cette époque, cette structure aurait été au-dessus du niveau de la mer. Elle aurait été, à cette période de l’histoire, sur la terre ferme. Le problème c’est qu’il y a 14 000 ans, selon l’archéologie traditionnelle, nous habitions simplement dans des grottes et nous étions des chasseurs-cueilleurs.
Les structures de Yonaguni auraient-elles pu être construites par de tels peuples primitifs ?
L’immense structure sous-marine connue sous le nom de Yonaguni pourrait-elle réellement être les vestiges d’une civilisation avancée qui existait ici sur Terre il y a plus de 10 000 ans ? Et quelle preuve existe-t-il des personnes qui ont habité cette île ? Des fossiles humains ont été trouvés, alors c’est certain qu’il y avait des gens sur l’île, mais on ne sais pas s’ils avaient la technologie pour créer des structures ou quelque chose comme ça.
Ce n’est pas tant la question de savoir si la pierre a pu être ébréchée et enlevée. C’est une question de vision, d’échelle du complexe, de penser en ce genre de termes. Nous ne connaissons aucune autre culture de l’âge de pierre qui ait pensé de la sorte à créer un complexe gigantesque, apparemment cérémonial.
Qui aurait pu construire le complexe de Yonaguni ?
Si, selon les spécialistes, l’ancien peuple japonais n’aurait pas pu construire ce monument, qui l’a fait alors ? Et comment est-il arrivé ici ? La spéculation est que ce sont les extraterrestres qui ont créé le monument de Yonaguni.
L’ingénierie est juste au-delà de la capacité des civilisations de l’âge de pierre. Des partisans de la théorie des anciens astronautes pensent que la clé du mystère de Yonaguni réside dans son positionnement mondial. Étrangement, le complexe se trouve dans une région du Pacifique longtemps soupçonnée d’activité extraterrestre. C’est ce qu’on appelle le Triangle du Dragon. Ils affirment aussi que de nouvelles preuves peuvent être trouvées dans les récits polynésiens d’un continent perdu depuis longtemps, appelé le continent Mu. Le monument de Yonaguni pourrait représenter les vestiges d’une civilisation trans-pacifique que les Polynésiens appellent Mu.
Il existe des preuves dans toute la Polynésie d’une ancienne civilisation mégalithique. Des ruines similaires se trouvent au large de Pohnpei, qui sont partiellement submergées. Ce continent perdu de Mu se trouvait au milieu de l’océan Pacifique et comprenait Hawaii et Tahiti. Les Tonga et les Samoa et même l’île de Pâques faisaient tous partie de ce continent perdu de Mu, et le complexe pyramidal central de Tonga s’appelle Mu’a.
Tandis que la plupart des érudits conventionnels considèrent que l’histoire de Mu est une mythologie, les partisans de la théorie des anciens astronautes suggèrent qu’une nouvelle découverte énorme en Asie du Sud-Est pourrait fournir une preuve irréfutable que cette civilisation perdue existait bel et bien : un site mystérieux appelé Gunung Padang.
Des centaines de navires et leurs équipages ont disparu sans laisser de traces : ont-ils franchi un portail dimensionnel ?
L’incident du Kaio Maru 5, 31 membres d’équipage ont été porté disparus
Le « Guro Sio Maru » n°1 et n°2, le « Chyo Huku Maru » et le « Shin She Maru » disparaissent dans la mer du Diable
Triangle de l’Alaska
En 1972 l’avion transportant Hale Boggs et Nick Begich disparaît dans les airs
Un DC-4, un monomoteur et un bombardier Privateer avec 12 homes à bord disparaissent en Alaska
Le Triangle de la Burle
En France il existe de hauts lieux telluriques, dans le Massif Central et particulièrement en Ardèche. Mais l’un d’eux reste fort méconnu alors que pourtant il s’y est produit près de 70 cas de crash aériens en 50 ans. Il s’agit du Triangle de la Burle.
On a rapporté sur ce site, non seulement des accidents d’avions mais aussi des crash de rien, des avions fantômes et des observations d’OVNIs ou de boules lumineuses dans le ciel.
Le Triangle de la Burle est formé par le Mont Mézenc, qui domine les Cévennes, le massif du Pilat et la ville du Puy-en-Velay. Cette région est crainte et imprégnée de redoutables légendes. On raconte que c’est ici que Ponce Pilate se serait donné la mort après la crucifixion du Christ. Mais il y a plus que ça. Toute cette région, bien que très peu habitée, regorgeait de lieux de culte. Les noms des montagnes qui l’entourent en portent encore les traces : La montagne de la peur, Le mont maudit, Le lac effroyable, La pierre qui enchante, etc. Ce n’était pas par hasard que les anciens avaient fait de tous ces lieux des endroits privilégiés pour organiser leurs cérémonies religieuses. On trouve encore dans la région de nombreux monuments qui sont pour la plupart d’anciennes sépultures, des restes d’oppidums et des constructions mégalithiques. Dès la préhistoire les hommes vénéraient déjà cette région et la craignaient. C’était le domaine des dieux venus de l’espace.
Par la suite, d’autres légendes sont venues se greffer sur celles existantes. On raconte que les druides y auraient enterré un trésor et que la magie protégerait le lieu. Plus tard il a été dit que la Montagne du Pilat renfermait dans ses entrailles le trésor des Templiers. Ce qui est certain c’est qu’on y trouve de nombreuses grottes dans toute la région et sans doute que l’une d’elles renferme l’un des secrets les plus gardés de l’humanité.
Ce triangle de la Burle serait-il l’épicentre de la connaissance humaine, du sacré et du profane ? Contiendrait-il les réponses à nos questions sur le cosmos, sur la vie ? Est-ce l’endroit où sont stockées les Annales Akashiques ? Ou est-ce un portail inter-dimensionnel avec des univers parallèles ou d’autres points très éloignés de notre propre univers ?
La Burle est une région montagneuse sauvage, peu peuplée, avec un environnement hostile, se trouvant dans les Cévennes au sud du Massif Central. Elle détient également le triste record français des accidents d’avions inexpliqués. Bordé par le mont Pilat, le mont Mézenc et la ville du Puy-en-Velay, le Triangle de la Burle tire son nom du vent glacial qui souffle dans la région et provoque de fréquentes tempêtes de neige.
En 1982, l’Éveil, le journal local de la ville du Puy-en-Velay, parle d’un « triangle de la mort » où plus de 60 victimes sont mortes dans divers accidents d’avion. Un certain nombre de ces incidents seraient accompagnés d’événements étranges et de ce que certains pensent être des observations d’OVNIs.
Des accidents d’avion étranges…
En novembre 1943, un bombardier Halifax s’est écrasé, ne laissant qu’un seul survivant. Les témoins qui ont vu l’écrasement ont rapporté que l’avion était « entouré d’une multitude de petites lumières multicolores ». Cependant, le Halifax naviguait avec toutes les lumières éteintes, comme c’était approprié pour cette mission de nuit.
D’autres rapports signalent le crash de deux Javelins anglais en 1963, l’un à Jaujac et l’autre à proximité, les pilotes éjectés n’ont jamais été retrouvés. En 1965 au Mont Mézenc, deux F104 sont tombés, et des témoins ont affirmé avoir vu six petites sphères roses entourant les appareils. Un autre incident est survenu en 1971 quand un avion Nord 262 s’est écrasé au Suc du Paradou, tuant les 21 passagers. Curieusement, 22 cadavres ont été retrouvés, et l’un d’entre eux n’a jamais été identifié.
Au total, il y a eu près de 70 accidents d’avions dans ce périmètre pourtant 1000 fois plus petit que le triangle des Bermudes.
Le plus étrange est que ces accidents ont souvent impliqué des personnalités. En 1948, c’est la sœur du futur président américain John Fitzgerald Kennedy, Kathleen Kennedy Cavendish, qui a trouvé la mort dans cette région. Le 22 janvier 1971, le crash du Nord 262 de l’Armée de l’Air transportait les 7 plus grands « cerveaux » de la physique nucléaire française de l’époque.
L’accident du Nord 262…
Le Nord 262 est un bimoteur. Le vol n°44 F-RBOA de l’Armée de l’Air était parti de Villacoublay le 21 janvier 1971 à destination d’Orange. Il transportait 21 personnes civiles et militaires, dont 8 membres de l’Armée de l’Air, 6 membres de l’Etat-Major des armées et 7 hauts responsables du Commissariat à l’Energie Atomique qui se rendaient à une réunion confidentielle au CEA de Pierrelatte près d’Orange. L’ avion s’est écrasé en bas du suc du Paradou, entre les cols de Mézilhac et des 4 Vios, au lieu-dit des Hubertes. Le Commissariat à l’Energie Atomique était décimé.
Les circonstances du crash…
Les radars de la tour de contrôle avaient perdu le signal de l’appareil vers 9h40 après que ce dernier eut informé les aiguilleurs du ciel qu’il déviait de sa trajectoire initiale en raison de la météo calamiteuse ce jour là. Il y avait un épais brouillard et de fortes chutes de neige. On se serait cru en Suisse. L’alerte générale fut lancée. Elle a mobilisé trois hélicoptères et des dizaines de pompiers et gendarmes. Ce n’est que vers la fin de l’après-midi de ce jeudi que les premiers débris de l’appareil furent retrouvé. Il s’était écrasé contre un rocher à environ trois kilomètres de Mézilhac. La journée du lendemain verra une mobilisation de plus de 500 gendarmes et militaires, y compris des chasseurs alpins, pour sécuriser le site et empêcher toute intrusion. Ce n’était pas pour aider les secours à localiser les corps et rassembler les effets personnels des victimes qui étaient éparpillés dans la montagne ; c’était avant tout pour tenter de récupérer les documents classés « secret défense » que les passagers transportaient.
Les rumeurs les plus folles se mirent à circuler et certains témoignages recueillit font mention d’une soucoupe volante qui aurait été vue par les habitants du village. Elle venait du Mont Mézenc et se dirigeait vers le Meygal. On n’a jamais sut les véritables causes de ce drame car l’enquête a conclus à un accident en raison du mauvais temps. Mais bien entendu tout ceci est classifié et certaines sources avaient avancé l’hypothèse d’un attentat ou même d’un sabotage. La présence d’un corps supplémentaire entretient le mystère. Serait-ce une « affaire Roswell » à la française avec un crash ayant eu lieu en l’air entre un avion militaire et une soucoupe volante et ce corps non identifié est-il celui d’un extraterrestre ? Toujours est-il qu’il n’a pas été conduit à la chapelle ardente installée dans l’hôtel de ville de Privas comme ce fut le cas de tous les autres corps.
Les accidents n’ont pas lieu à l’intérieur du triangle…
Le triangle de la Burle est approximativement délimité par le Mont Mézenc, le massif du Mont Pilat et la ville du Puy-en-Velay. Ca forme un triangle mais si vous effectuez des recherches sur le net vous tomberez très souvent sur des articles qui précisent bien que tel ou tel accident n’a pas eu lieu à l’intérieur de se triangle. En fait, ils se produisent toujours proche de ce périmètre, mais à l’extérieur du triangle. C’est étrange!
À quoi ressemble la géologie du lieu ? Certains sommets culminent à plus de 1500 m. On y trouve le Mont Tonnerre qui s’élève à 1458 m, le Suc de la Lauzières qui est à plus de 1500m, le Mont Mézenc qui se dresse à 1753 m. On a surnommé ce dernier le « géant des Cévennes ». C’est un ancien volcan éteint du massif central.
source : http://www.dramatic.fr/burle-p474.html
Cette expression a été popularisée par le journaliste Jean Peyrard, au milieu des années 1980, dans un ouvrage sur ce fameux triangle qui serait redouté par les aviateurs, notamment en hiver.
C’est là que souffle la Burle, « un vent indompté qui réussit à créer en quelques heures des congères de plus de 8 mètres de haut, un vent incontrôlable qui a fait se perdre plus d’un aéronef dans les Cévennes et qui a transformé cette magnifique région en un véritable tombeau à ciel ouvert, rempli d’avions venus s’écraser sur les monts de l’Ardèche et de la Haute-Loire », écrit le romancier Renaud Benoist, auteur d’un livre enquête sur le même sujet.
Quelle est cette zone étrange sur le haut des Cévennes, où la Burle noire mêle le ciel et les roches dans un même gouffre de forces inconnues ?
Dès l’Antiquité on y parle de corps célestes. Les vieux grimoires citent des objets tombés du ciel et puis, plus près de nous, depuis le début du siècle, avec la conquête des airs, les catastrophes aériennes se succèdent là-haut avec une régularité troublante. Les commissions d’enquête restent perplexes et demeurent impuissantes à définir l’origine des catastrophes, le vulgaire parle de « loi des séries », mais ici, les séries sont toutes rassemblées en un même lieu géographique de façon troublante, la presse titre sur le fameux Triangle des Bermudes dans l’Atlantique par sinistre analogie, bref, la réputation du Triangle de la mort Cévenol n’est plus à faire. Il a déjà sa légende : c’est le Pot-au-Noir des Cévennes. Mais d’explication, point.
Face à ces accidents répétés et spectaculaires, dont l’un priva la France de son Etat-Major atomique, Jean Peyrard, natif de ce haut pays de l’étrange et déjà bien connu pour ses enquêtes sur les mystères des Hautes Terres, nous livre ici un véritable dossier, en un récit haletant, pittoresque, truffé de controverses de faits et d’hypothèses, au carrefour céleste et mystérieux des O.V.N.I. et des spectaculaires longs courriers d’aujourd’hui, au-dessus peut-être de l’attraction tellurique du territoire de la Burle. Aux limites de l’Etrange, un dossier à ne pas manquer.
Jean Peyrard Journaliste indépendant, éditorialiste, collaborateur de nombreux magazines, est né en 1922 à Queyrières en Cévennes, il est également auteur de nombreux ouvrages où il conte avec talent le charme et l’attrait de ce pays qu’il connaît si bien.
Il existe des endroits disséminés sur toute la planète, tels que le Triangle des Bermudes ou le Triangle du Dragon, où se produisent d’étranges phénomènes, des anomalies, des vortex ou des ouvertures se connectant à plusieurs réalités spatio-temporelles, une sorte de portails ou de portes des étoiles qui pourraient expliquer ces événements mystérieux.
Il existe de nombreux cas documentés tels que la disparition du « vol 19 », du « Star Tiger », du Star Ariel, d’un Lockheed Electra avec son équipage dont faisait partie la célèbre pilote Amelia Earhart qui a disparu sans laisser de traces, et bien d’autres encore… Y aurait-il un rapport avec les récits d’aviateurs, militaires ou civils, qui ont vu ou eu des contacts avec des soucoupes volantes? Et avec les Foo Fighters, dont les célèbres observations d’OVNIs qui ont eu lieu pendant la Seconde Guerre mondiale? Sans oublier les récits concernant des collisions d’OVNIs avec de gros appareils aériens ?
D’autres disparitions célèbres ont été celles du vol de la Malaysia Airlines, avec 227 passagers à bord et 12 membres d’équipage, ou du célèbre vol d’Air France, dont le crash a été causé par une collision avec un OVNI, le cas du jet supersonique Concorde dont on sait qu’il a été accompagné par des OVNIs à plusieurs reprises. Et d’autres qui ont disparu en présence d’OVNIs… Quel est le mystère qui se cache derrière ces cas ?
Parmi les énigmes et les mystères, nous aborderons également la disparition de navires, de yachts, tels que le Mary Celeste, le Valbanera, le Frigorifique, le Zebrina, le Cyclope, ainsi que des événements concernant des navires fantômes, tels que le Hollandais Volant, le Tricoleur et d’autres cas intéressants encore non résolus.
Aliens! Ils sont déjà là 