Expérience de PHILADELPHIE – Projet MONTAUK

L’expérience d’invisibilité de Philadelphie a eu lieu le 12 Août 1943, à bord de l’U.S.S. Eldridge

L’ Eldridge et son équipage ont été choisis pour cette expérience à cause de leur disponibilité.  En effet, des navires de guerre étaient difficiles à obtenir en cette période de guerre, et l’Eldridge était supposé être encore en cale sèche (il ne devait être officiellement mis à flot qu’en janvier 1944). L’Eldridge avait été achevé avant la date prévue, et par cela, rendu disponible. 

Alors qu’il se trouvait au chantier naval de Philadelphie en 1943, le destroyer USS Eldridge, qui venait d’être mis en service, était équipé de plusieurs dispositifs intrigants. Parmi ceux-ci figuraient des générateurs ultra-secrets censés rendre le navire totalement invisible aux yeux de l’ennemi.

Le but le plus communément connu de l’Expérience de Philadelphie était de rendre possible l’invisibilité radar. Pour permettre ceci, un équipement spécial était installé sur l’Eldridge alors qu’il était à quai dans le port de Philadelphie. Cet équipement était conçu et développé pour générer de très puissants champs électromagnétiques contre-rotatifs.

La théorie sous-jacente à la génération et les calculs de ces champs était basée sur les équations du champ unitaire d’Einstein, qui reliaient la gravité, le magnétisme, et l’électromagnétisme dans une même théorie. Le responsable technique initial de l’opération était Nikola Tesla

Tesla était largement connu pour ses bobines de forme de conception très spéciale qui permettaient de produire d’extrêmement hautes tensions et de très grandes puissances.

Tesla a été remplacé sur ce projet par John Von Neumann, en 1943. Il a commencé à avoir des doutes sur les considérations à propos du facteur humain impliqué que pouvaient avoir les financiers de l’opération. Incapable d’avoir confiance en les sponsors de l’expérience, Tesla s’est retiré de lui-même du projet et s’est isolé dans son appartement de New York. Il y est mort dans des conditions très suspectes, en décembre 1943.

Von Neumann a été impliqué dans l’expérience plus tôt, assistant l’opération avec les mathématiques et les calculs (il était officiellement engagé pour la création du premier ordinateur nécessaire aux calculs sur la bombe atomique, dans le projet Manhattan). Il assurait le rôle de chef de l’opération avec grande aise. L’expérience, qui eut lieu le 12 août 1943 fût un succès partiel. 

Alors que les derniers générateurs furent mis en place, l’équipage se prépare à tester le système. En plein jour, par une belle journée d’été, au milieu du chantier naval, les générateurs ont été mis en marche et une lueur vert-bleu entoura le navire. Sous les yeux de l’équipage, le USS Eldridge disparut pendant approximativement 15 minutes. 

La localisation exacte de l’Eldridge à l’époque de l’expérience diffère selon les divers témoignages. Certains disent qu’il était toujours dans le port, d’autres qu’il s’était rendu en mer. Des témoins du chantier naval de Norfolk, en Virginie, ont rapporté avoir vu l’Eldridge apparaître dans leurs eaux avant de disparaître tout aussi rapidement. Quelques heures plus tard, il est réapparu à Philadelphie.

Un succès partiel signifie que, bien que l’Eldridge disparu, lorsqu’il réapparu, son équipage avait souffert d’importants effets physiques et mentaux. Les corps de certains des hommes d’équipage faisaient partie des surfaces métalliques et des ponts. Ceux qui n’avaient pas été soumis à cette fusion étaient mentalement instables. 

La plupart des témoignages de l’expérience décrivent d’importants et graves effets secondaires que les membres de l’équipage survivants ont expérimenté durant le reste de leur vie. Sans avertissement, ils se mettaient à crier et commençaient à devenir invisibles par intermittence ou bien disparaissaient purement et simplement. 

Certains réapparaissaient tandis que d’autres non. Ces histoires de disparition intermittente ont été rapportées par plusieurs personnes. 

Durant un interview radio diffusé, un ancien vétéran de la marine US de Philadelphie affirmait que ces histoires avaient été racontées dans une feuille de presse interne à la marine !

Ce phénomène de disparition intermittente a été attribué à un désalignement de la référence temporelle de leur corps. L’équipage glissait continuellement entre notre dimension et l’endroit où l’Eldridge avait été lors de son voyage. En fait, l’Eldridge n’avait pas vraiment réussi l’invisibilité radar, mais il avait voyagé à travers le temps et l’espace. 

L’application pratique de la théorie du champ unitaire d’Einstein avait brisé les portes qui séparaient le temps, l’espace et la dimension. 

« L’objectif de cette expérience était de rendre le vaisseau indétectable au radar et pendant que cela était réalisé, il y avait un effet secondaire totalement inattendu et drastique. Le navire est devenu invisible à l’œil nu et a été éloigné du temps et de l’espace tels que nous le connaissons », explique Peter Moon.

«Bien qu’il s’agisse d’une percée remarquable en termes de technologie, ce fut une catastrophe pour les personnes impliquées. Les marins avaient été transportés hors de cette dimension et renvoyés dans un état de désorientation mentale complète et d’horreur. Certains ont même été plantés dans la cloison du navire lui-même. Ceux qui ont survécu ont été renvoyés comme «mentalement inaptes» ou autrement discrédités et toute l’affaire a été dissimulée », nous dit Peter Moon dans son livre : « Le Projet Montauk : Expériences dans le temps ».

L’annonce du rayon de la mort de Nikola Tesla n’a pas réussi à susciter l’intérêt du département de la guerre des États-Unis. Le département de la défense s’est rangé du côté de la bombe atomique d’Einstein et de Oppenheimer et n’a pas suivi les recherches de Tesla. Mais certains disent que d’autres travaux novateurs de Tesla ont pourtant attiré leur attention. 

Plus tôt dans sa carrière, alors qu’il effectuait des recherches avec l’une de ses bobines de transformateur, Nikola Tesla a vécu une expérience de mort imminente en entrant en contact avec une charge électromagnétique résonnante de trois millions et demi de volts. Tesla travaillait avec des éclairs de 20 mètres, et il a commis une erreur. Il a presque été électrocuté. Il n’a pas pu sortir et il a dû faire appel à l’un de ses ouvriers pour empêcher la foudre de se produire. Il a échappé de justesse à la mort, et à cause de ce choc qu’il a subit, il a eu une révélation.

Tesla a déclaré qu’il était entré dans un état d’intemporalité et qu’il pouvait voir le passé, le futur et le présent tout à la fois dans cette vision mystique, mais il était paralysé et il ne pouvait rien y faire. Tesla était essentiellement électrocuté, et son assistant lui coupe le courant. Mais ce que Tesla a dit que cela avait fait à travers le temps et l’espace l’avait ému.

Est-il vraiment possible que Tesla ait trouvé un moyen de percer le continuum espace-temps ? Des partisans de la théorie des anciens astronautes pensent que la solution pourrait être trouvée en examinant ce que l’on appelle désormais « l’Expérience de Philadelphie ».

Une expérience qui a mal tourné

Selon certaines informations, juste avant la mort de Tesla, ce dernier travaillait avec Albert Einstein et la marine américaine au Philadelphia Naval Yard pour créer un manteau d’invisibilité chargé électromagnétiquement pour le USS Eldridge. Ils essayaient de faire une technologie furtive. Et apparemment, ils ont monté un tas de bobines de Tesla pour fabriquer une enveloppe de plasma autour d’un navire, et ceci est bien connu pour aider à cacher des objets au radar. 

Mais quelque chose de très inattendu est arrivé. Le navire n’a pas simplement disparu du radar. Il a complètement disparu et est réapparu avec une partie de l’équipage incrusté dans le métal du navire.

Bien que les scientifiques traditionnels croient que la prétendue expérience de Philadelphie est un canular, certains insistent sur le fait que le récit est authentique.

Des témoignages ont été divulgués avec des niveaux de classifications « top secret » aux États-Unis. Au gouvernement, l’expérience de Philadelphie était réelle, les soldats à bord de ce navire étaient désorientés et finissaient par pénétrer dans la coque. Et lorsque le navire s’est ensuite rematérialisé dans notre réalité, leurs corps se sont fondus avec le métal de la coque.

Une technologie pour voyager dans le temps et l’espace ?

Est-il possible que Tesla ait mis au point une technologie de visualisation du temps ou de voyage dans le temps et qu’il se soit rendu compte de ces développements ? Tesla aurait déjà déclaré : « Le présent leur appartient, mais l’avenir pour lequel j’ai vraiment travaillé est « le mien » ».

Alors Tesla avait-il vraiment découvert un moyen de voyager dans le temps et l’espace ? Dans l’affirmative, les secrets de cette technologie, ainsi que les plans du rayon de la mort de Tesla, auraient-ils été inclus dans les documents scientifiques que le FBI aurait confisqués à sa mort ? Certains pensent que des preuves de ce fait pourraient être trouvées avec les nouvelles armes les plus sophistiquées du monde moderne.

Un voyageur temporel qui affirme avoir participé à un programme top secret de voyage dans le temps raconte les événements du futur… et certains de ces événements semblent se dérouler actuellement !

Les révélations d’Alfred Bielek sur l’expérience de Philadelphia…

En 1991, est paru un livre de Brad STEIGER sur l’expérimentation de Philadelphie, édité avant le premier livre de MONTAUK. Mais ce livre fut très vite épuisé. Il est intéressant à plus d’un titre, surtout parce qu’il rapporte la première interview directe, en texte écrit, d’Alfred BIELEK. 

Rappelons avant toute chose que A. BIELEK n’a écrit aucun livre ni article lui-même. Dès que ses souvenirs sont revenus, il ait apparu à la télé pour déclarer qu’il ferait une conférence sur l’expérience de Philadelphie. Cette conférence eut lieu en septembre 1989. Suivie par de nombreuses personnes, elle s’avérait comme le meilleur moyen de divulgation de l’information, sans que quiconque puisse l’empêcher, le menacer, ou le supprimer. 

Si l’homme avait eu un accident à la suite de son récit, tous ceux qui l’entendirent en auraient conclu que son message était vrai et qu’il gênait certaines personnes.

Alfred Bielek : TESLA a rejoint l’Institut de Princeton à la fin des années 30. Il fut enrôlé dans plusieurs projets, dont celui de Philadelphie. 

En septembre 1940, nous avons appliqué les bobines Tesla et le générateur, sur une mine « de balayage » et elle a réellement disparu. Aussitôt, la NAVY a été intéressée. Nous n’étions pas encore en guerre, mais nous savions que les sous-marins allemands avaient comme objectif de détruire nos bateaux. Il fallait essayer de les rendre invisibles aussi bien à l’oeil nu qu’au radar. 

ROOSEVELT venait de la NAVY et il rassembla un budget noir pour son corps d’armée favori. Après cette démonstration réussie, mon frère et moi avons été envoyés en service commandé sur le bateau, « le Pennsylvania ». 

TESLA, un jour froid de mars 1942, fut contraint de faire un essai sur l’invisibilité d’un bateau de guerre, avec son équipage malgré ses mises en garde sur la dangerosité du projet. L’opération échoua. Je suis sûr qu’il avait lui-même saboté le travail… Il abandonna le projet et, dix mois plus tard, le 7 janvier 1943, on le retrouva mort dans sa chambre d’hôtel à New York. 

Duncan et moi étions très concernés car nous faisions partie de cet équipage. Von Neumann devint le chef du projet Rainbow (sur l’invisibilité). Il fit construire une tourelle sur le pont de l’Eldridge et parvint à placer les deux énormes générateurs dans la cale et une antenne sur la « tour ». Un autre générateur, placé sur le pont, donnait l’électricité à bord. 

Une première expérience eut lieu le 20 juillet et l’Eldridge devint invisible à la vue et au radar. 

Avec mon frère, j’étais dans la cale et nous fûmes épargnés. Mais l’ensemble de l’équipage était devenu fou quand le bateau réapparut 20 minutes plus tard. Malgré cela, on nous dit qu’on allait refaire un nouvel essai le mois d’après, mais avec un seul objectif : l’invisibilité radar. Le bateau ne fut invisible que 60 à 70 secondes et ce fut le désastre que vous connaissez. Tous les deux, nous fûmes sauvés, semble-t-il, parce que nous étions cette fois encore dans la cale. Mais, alors que le générateur Tesla « 0 time » (pour se brancher sur le temps 0 de la galaxie) devait garantir une expérience sans problème pour les hommes, une partie de l’équipage fut désintégrée et rematérialisée. Une brèche s’était ouverte dans l’hyperespace. Or, ceci ne serait pas arrivé si nous avions exécuté la manoeuvre la veille ou le lendemain. Cette date nous avait été suggérée par les Aliens qui savaient très bien qu’il s’agissait d’une date-clé du biorythme de la Terre. 

Au début, j’ai cru à une conséquence malheureuse de l’expérience, mais je suis persuadé maintenant que les Aliens nous ont bernés. Ils voulaient ouvrir cette brèche, pour permettre l’invasion d’Aliens sur Terre, à grande échelle…

Quand les hommes revinrent sur le bateau, quatre étaient intégrés dans les cloisons d’acier du navire, certains subirent une crémation spontanée, d’autres étaient fous. Seuls, ceux qui avaient été protégés par des murs épais ou qui étaient dans la cale furent à peu près indemnes. L’ expérimentation fut classifiée au même titre que la bombe atomique. On détruisit toute allusion à l’affaire dans les dossiers de la NAVY. Les hommes furent gardés dans des endroits protégés, de manière à ce qu’ils ne parlent pas. 

Une expérimentation sans équipage fut à nouveau reprise le 27 octobre. Le bateau disparut, mais quand il revint, il était allégé de la moitié de son équipement. Personne ne savait où ces appareils se trouvaient. Le gouvernement en eut assez de ces expériences.

En 1947 et 1948, le Docteur Von NEUMAN réussit, avec un système aéroporté, léger et plus rudimentaire, mais efficace, à faire disparaître un avion des écrans radars. 

Le pilote sembla ne pas être affecté. Il fut cependant surveillé dans un hôpital, sous bonne garde, pendant un an. L’année suivante, il reprit son service et, au cours d’un vol d’essai avec un compagnon, il disparut brusquement du cokpit sous les yeux horrifiés de son coéquipier. Comme ce dernier ne savait pas piloter, l’avion s’écrasa en flammes. Dans les décombres, on ne trouva aucune trace ni du pilote, ni de son compagnon. Pourtant, en 1963, les essais sur l’invisibilité reprirent de plus belle. Il y eut 173 destroyers qui, non seulement disparurent, mais se dématérialisèrent en même temps qu’ils agrandissaient le trou dans l’espace-temps. 

Mon frère avait-il un temps de référence personnel en phase avec celui de la Terre? Je ne sais pas! Mais il repartit spontanément en 1983 à plusieurs reprises… Son corps physique se mit à vieillir brusquement et il mourut en trois jours, complètement usé (chaque heure, il vieillissait d’un an.)

Vous ne me croirez peut-être pas, mais la CIA et la NSA connaissent des techniques bouleversantes qui permettent de capter l’empreinte génétique et physique des individus et de les introduire dans d’autres corps physiques.

Pour des raisons que je ne peux pas vous expliquer, ni moi, ni mon frère, ne pouvions disparaître… 

Malgré un intense lavage de cerveau, j’ai commencé à me rappeler, lorsque j’ai visité Montauk en 1985 et surtout lorsque j’ai vu le film en 1988 « Philadelphia Experiment » (réalisé en 1986). J’ai décidé de consacrer ma vie à retrouver des personnes qui ont participé, des documents, des preuves tangibles de ces événements.

LE TRAITÉ DU PRÉSIDENT ROOSEVELT AVEC LES ALlENS

L’expérimentation de Philadelphie a été entièrement programmée par un groupe d’Extraterrestres que nous appelons les K. Ce ne sont ni des Gris, ni des Reptiliens. Ils rencontrèrent le Président en 1934 et un traité fut signé en plein Pacifique, à bord du Pennsylvania.

Ces Aliens ressemblent aux Terriens. Ils ont la peau légèrement verdâtre mais blanchissent leur épiderme pour masquer cette anomalie. Par le traité, ils nous donnaient de la technologie en échange de certains privilèges planétaires. 

Nicolas TESLA était en contact avec des Pléiadiens depuis la fin des années 20. Il arrangea la première rencontre entre eux et le Président Roosevelt. Mais les échanges n’aboutirent pas. C’est ensuite que l’accord se fit avec les K… 

Nos sciences progressèrent rapidement pendant toutes ces années, grâce au soutien de ces ETs. Ils découvrirent rapidement les biorythmes de la Terre que nous avons découverts seulement qu’en 1983.

À partir de 1984, les membres des diverses agences secrètes du Gouvernement comprirent leur terrible erreur. Aucune espèce d’ET avec qui ils avaient traité, ne voulait le bien des Terriens. Chacune plus ou moins, travaillait pour son propre profit. 

Les manipulations génétiques s’intensifiaient et on n’avait plus aucun contrôle sur les opérations Aliens. 

Cependant, on s’aperçut qu’il existait un groupe, très avancé moralement et spirituellement, qui était intervenu au coup par coup, chaque fois que la Terre était en réel danger. Il s’appelle le Groupe Interplanétaire Galactique. Il s’indignait de cette massive invasion de la Terre et de l’exploitation éhontée que subissait la population terrienne au niveau sexuel. Il y a des millénaires, un groupe d’ET évolués avait donné carte blanche aux Reptiliens pour interférer dans l’évolution biologique et technologique de notre planète, et mener des expérimentations variées sur la population terrestre. Cependant, la mise en condition des cerveaux humains, le contrôle de leur pensée et les manipulations génétiques à grande échelle, devinrent dangereuses pour l’espèce. 

J’espère, dit toujours Bielek, que cette Fédération interviendra suffisamment tôt et que les responsables de nos malheurs reconnaîtront publiquement leurs erreurs et orienteront différemment leurs projets pour l’avenir de la Terre.

Interview de d’Alfred Bielek réalisé par Suzanne Konicov, pour le magazine « Connecting Link ».

Alfred BIELEK était l’un des témoins de « l’Expérience de Philadelphie », et du Projet « Rainbow ». Il nous parle de sa vie, et de son implication dans le Projet Montauk et de toutes les choses dont il a été témoins.

Alfred BIELEK : Mon père (Alexander Duncan Cameron senior) s’est engagé dans l’U.S. Navy avant que les U.S.A. n’entrent dans la première guerre mondiale. Il m’a engendrer ainsi que plus tard A. Duncan Cameron junior (mai 1917) avec des mères différentes.

Duncan et moi, en tant que demi-frères, avons été élevés en grande partie par notre tante Arnold dans la Grande Maison, encore à West Islip, Long Island (notre père est resté dans la Navy jusqu’en 1930 où il a pris sa retraite avec une pension). Depuis nous n’avons jamais manqué d’argent (à cause de la fortune du grand magasin Arnold/Constable), Duncan Jr. et moi (après avoir terminé le lycée) sommes allés dans différentes universités. Je suis allé au début à Princeton, et plus tard à Harvard pour obtenir un Ph.D. en physique. Duncan est allé à l’Université d’Edinbourg en Ecosse et a également obtenu un Ph.D. en physique, en été 1939.

En septembre 1939, nous nous sommes engagés tous les deux dans l’U.S. Navy obtenant le grade de Lieutenant (J.G.) et ensuite on est allé à une école d’entraînement de 90 jours pour « Affectation Spéciale » du personnel de la Navy à Providence, Rhode Island. Après cette préparation, on a été assigné tous les deux à l’Institut d’Etudes Avancées (Princeton, New Jersey) et directement dirigés au « Projet d’Invisibilité ».

Avec un test complètement réussi en 1940 (Arsenal de la Navy Brooklyn), le projet a été classifié et renommé « Project Rainbow ».

Les bureaux se trouvaient dans l’arsenal de la Navy à Philadelphie. Duncan et moi effectuions des allers et retours entre Philadelphie et Princeton.

En janvier 1941, on a été envoyé en mer pour faire notre service maritime sur l’U.S.S. Pennsylvania. On a sillonné dans le Pacifique jusqu’en octobre 1941 quand le Pennsylvania fut mis en cale sèche à Pearl Harbor. Nous sommes allé en permission à San Francisco et nous y sommes resté jusqu’en décembre 1941, puis nous sommes retournés à l’Institut début janvier 1942.

On travaillait sur le projet durant l’année 1942 lorsque Nikola Tesla s’est retiré, en mars 1942, et le docteur Von Neumann à pris la relève à ce moment. Duncan et moi, nous étions présent sur le Projet durant les deux tests avec l’Eldridge en 1943. Le second test du 28 Octobre 1943 fut un désastre total, avec de nombreuses victimes et avec Duncan qui a disparu de manière permanente.

Je suis resté à la Navy et je me suis marié à la fin de l’année 1943. Mon fils, est né en février 1944. En juillet 1944, ma famille et moi avons été transféré à Los Alamos au Nouveau Mexique où je suis resté jusqu’au 2 juillet 1947. A ce moment-là, on m’a enlevé de force et séparé de ma famille que je n’ai jamais revu par la suite.

Avec des accusations d’espionnages qui étaient lancées contre moi, je m’attendais à passer au tribunal militaire. Au lieu de ça, j’ai été transféré à Washington D.C., où les accusations ont été retirées et j’ai été transféré à la base militaire Fort Hero de Montauk, Long Island. A partir de ce point j’ai été déplacé dans le temps en 1983, de retour dans le Projet Phoenix.

Une fois là, on m’a fait subir un super lavage de cerveau toute ma mémoire a été déménagée. De plus, on m’a régressé en âge (réduction de l’âge et de la taille physique à partir de mes trente ans jusqu’à approximativement l’âge d’un an) et puis, à l’âge d’un an, j’ai été renvoyé dans le temps en 1927 et placé dans une nouvelle famille comme substitut d’un fils mort. Cette nouvelle famille – les Bielek – est devenue mes seuls parents connus durant un demi siècle !

Lors de la seconde guerre mondiale, j’ai été incorporer dans la Navy (une seconde fois) comme marin jusqu’en 1946. Après mon service militaire, j’ai essayé de monter une entreprise (qui a échouée) et je suis allé au collège (1949-1950) à Newark, New Jersey, et plus tard à UCLA. Une carrière s’en est suivi comme ingénieur électronicien (1958-1988), avec la retraite en 1988.

Avec le retour de mes mémoires, en mai 1986, du Projet Phoenix et de l’Expérience de Philadelphie (Projet Rainbow) en janvier 1988, je me suis engagé dans de nombreux écrits et conférences sur le sujet de l’Expérience de Philadelphie, ses ramifications et le Projet Phoenix qui a suivi, ainsi que les incroyables conséquences de leur verrouillage à travers le temps.

CONNECTING LINK : Parlez nous du Projet Phoenix.

A. BIELEK : Je vais aborder la phase finale du Projet Phoenix et certains aspects qui en résultent. J’ai rejoint le projet en 1953 en tant que Al Bielek. Je faisais ce que le livre, « The Montauk Project » désigne, l’interface d’ordinateur entre la chaise psychique utilisée pour contrôler les tunnels de temps dans la phase finale des opérations. Ces phases au début étaient très difficiles, elles ne fonctionnait pas bien et elles avaient beaucoup de problèmes. Mais, j’y étais impliqué en tant que Al Bielek.

Preston Nichols y était impliqué en tant que Preston Nichols, et Duncan Cameron y était impliqué en tant que Duncan Cameron dans son second corps, ne se souvenant de rien de son implication dans l’Expérience de Philadelphie. Le projet générait les tunnels de temps.

Les gens avait la possibilité de voyager dans le temps et l’espace et ils le faisaient. Mais ils avaient également d’autres projets en cours à Montauk. On ne sait pas encore tout de ceux-là.

La technologie pour les tunnels nous était donnée par un effort coopératif de groupes extraterrestres, principalement le groupe Orion, auquel étaient mêlés les reptiliens, un sous-groupe appelé les Leverons.

Le groupe technique qui nous fournissait la plupart de l’assistance, était le groupe de Sirius A. Des gens très scientifiques, très matérialistes. Peut-être pas un mauvais coeur mais mal orienté, car ils avaient des contrats à très long terme avec les Orions qui leur fournissaient les connaissances techniques et l’assistance dont ils avaient besoin. Et ils fonctionnaient avec notre gouvernement en secret pour mettre en place les techniques et technologies de contrôle de la pensée et pour pousser vers une société hautement technique et automatisée qui serait beaucoup plus facile à contrôler qu’elle ne l’ait actuellement. Mais nous approchons de cela rapidement. Il y avait aussi beaucoup de petits Gris qui étaient dans nos pattes.

Il y avait d’autres groupes qui ne participaient pas au projet, mais ils étaient là comme observateurs et le groupe d’Antares, des gens joviaux, très gais, très humains. Vous ne pouviez pas les distinguer d’un esprit humain. En fait, je ne pense que vous pouviez les distinguer anatomiquement non plus. Pourquoi ils étaient là, je ne sais pas. Ils ne faisaient rien. Ils étaient observateurs.

Mais les extraterrestres fournissaient la compétence, les outils. Ils transposaient ça depuis leurs données informatiques vers les IBM 360. Cela ne fonctionnait pas encore mais ça a marcher lorsque des modifications ont été faites. Je suis devenu largement impliqué dans la réalisation du système de fabrication du tunnel temporel. C’était une technologie extraterrestre. On n’avait pas la théorie. Mais on avait la capacité, la compétence technologique pour construire l’appareillage, et on l’a fait, selon leurs spécifications.

ITT faisait partie du contrat. Tout était sous le niveau de laisser passer « Black Card » (Carte noire), qui est en l’occurrence le plus haut niveau de laisser-passer qui existe, et la plupart des gens ne savent même pas que ce niveau existe. Et ça signifie, en essence, qu’un tel projet est un profond Trou Noir de sorte que toutes les archives, tout ce qui a un lien avec ça, est enterré dans un coffre-fort noir et personne n’a accès à ça sans avoir le laisser-passer adéquat et la nécessité de savoir. Cela inclut les départements d’achats qui achètent le matériel pour ces projets. Les archives des achats, des ventes, tout est enfermé dans un coffre-fort noir. Donc personne ne peut le trouver. C’est pourquoi ils appellent ça un projet Trou Noir. Il y a de nombreux projet de ce type. Celui-ci en est un parmi tant d’autres.

Les tunnels sont devenus complètement opérationnels vers 1977 après de nombreuses modifications.

Vers 1979 ils ont eu tous les résultats qu’ils voulaient. Jusqu’au 12 août 1983, la nuit, lorsque le projet a été délibérément détruit. Saboté de l’intérieur. Cela est raconté dans le livre (The Montauk Project). Mais avant ça, ce qu’ils ont fait était incroyable.

L’une des applications du Projet Phoenix, dans l’utilisation des Tunnels de Temps, était de fournir un soutien aux Colonies Martiennes. Les Colonies Martiennes ont existé depuis le début des années 70. Alors qu’on est allé publiquement sur la Lune en 1969.

En fait les Allemands ont été sur Mars en 1947. Et nous on y sommes allé en 1962 avec une expédition mixte, Russe et Américaine. Ils sont allés sur Mars le 22 mai 1962.

Le film, Alternative 3, fait par Anglia Television, le 1 avril 1977, qui est disponible dans l’ « underground », l’expose complètement. Il montre la transmission réelle. Les prises de vue en couleur venaient de Mars par transmissions TV, lorsque cet Exploreur voyageait et atterrissait.

Nous avons des colonies là-bas sur Mars depuis la fin des années 60 ou peut-être le début des années 70. Ils ont trouvé beaucoup de choses artificielles là-bas. Il y a plus qu’une cité en ruine. Et bien sûr le fameux visage sur Mars, les Pyramides et ce complexe entier que Hoagland (Dr. Richard) a parlé et a présenté au public. Il y a deux vidéos là-dessus plus son livre.

Ce qu’ils ont trouvé sur la surface indiquait qu’il y avait beaucoup plus de choses là, qu’ils ne pouvaient pas trouver, qui étaient enterrées. Et ils n’avaient pas apporté, et n’avaient pas à disposition un quelconque engin à cette époque. Ils n’avaient aucune pelleteuse ou gros tracteur ou cette sorte de chose. C’était trop lourd a emporter.

Donc, une requête a été envoyé par radio à la Terre, « On pense qu’il y a des installations souterraines ici. On a vu des ouvertures qui sont scellées. Vous les gars là en bas, pouvez-vous nous dire quoi faire ? » Donc, l’information est allé à Montauk, au Projet Phoenix. Et ils ont répondu en retour, bon donnez-nous les coordonnées de la surface de Mars où vous pensez que ces sites se trouvent ». Et ils l’ont fait, ils ont dit, « On va l’explorer ». Parce qu’ils pouvaient aller à n’importe quel endroit avec le tunnel, ils sont aller sur Mars aux coordonnées.

En premier ils n’ont pas envoyé quelqu’un. Ils ont fait aboutir un tunnel dans ce qu’ils pensaient pouvoir être une cavité souterraine et, plutôt que de risquer de tuer quelqu’un en l’enterrant dans le roc solide, ils ont envoyé une caméra, une caméra pour voir à distance. On a découvert que c’était une véritable caverne avec suffisamment de sécurité et alors Montauk a envoyé des personnes. Duncan et moi étions dans cette équipe.

La première équipe qui y est allé, dirigé par Montauk pour explorer le sous-sol de Mars. Ce n’est pas mentionné dans le livre qui est sorti, mais on y est allé. Et il y en a eu probablement d’autres. On y est allé plusieurs fois.

On a trouvé toutes sortes de choses artificielles. On a trouvé un système d’éclairage souterrain encore fonctionnel, un système d’énergie. On l’a trouvé et on l’a allumé et il fonctionnait encore. Aucun indice de vie. Un tas d’objet manufacturé, fichiers, archives, objets religieux, statues, tout stocké comme si c’était un entrepôt de magasin. Un énorme entrepôt.

CONNECTING LINK : Est-ce que les inscriptions étaient en anglais ?

A. BIELEK : Non. Ce n’était pas en anglais, c’était dans un autre langage. Duncan était capable de traduire certains d’entre-eux. J’en ai vu mais je ne pouvais pas les traduire. Et beaucoup d’affaires et d’archives ont été ramenées. Et en fait Duncan et moi avons décidé d’y retourner clandestinement de notre propre initiative.

(Après qu’un voyage est fait, tout est enregistré. Toutes les coordonnées et opérations nécessaires pour opérer le système sont enregistrées sur bande magnétique. Et vous pouvez prendre cette bande, la connecter à l’ordinateur, et sans utiliser le psychique et le numéro de chaise, vous pouvez ouvrir le tunnel au même endroit puisque l’ordinateur contient toutes les données célestes de tous les mouvements de la Terre, les mouvements du système solaire, tout est dans l’ordinateur, donc il y a la référence complète à la nouvelle position où doit se trouver la planète. Et « brancher » le tunnel exactement au même endroit.) Donc nous sommes allés deux fois à notre initiative pour nos propres petites explorations.

CONNECTING LINK : Et personne ne s’occupait de la machine pour votre retour ?

A. BIELEK : On avait mis en route l’équipement, on savait comment le faire. Et personne n’était là. Au second voyage on a été découvert parce qu’il y a des enregistrements automatiques qui disent combien de fois cet équipement est utilisé, et pour quel objectif, et à quelle date, heure, etc. Enregistreurs permanents et automatiques d’événements. Donc on a été appelé lorsque nous sommes revenu.

On a été écarté du projet et on s’est fait taper sur les doigts. « Vous ne ferez pas cela une fois de plus », et une des personnes qui était impliquée, un vétéran scientifique, a séparé notre équipe. Duncan et moi n’avons plus fait grand chose ensemble après cela mais par la suite les explorations ont été faites par d’autres. On ne sait pas ce qu’ils ont trouvé.

Certaines personnes avaient été choisies à l’avance , telle que moi-même et Duncan et Preston pour faire partie de ce programme. Et le niveau de lavage de cerveau variait. Duncan a eu un puissant lavage de cerveau, ainsi qu’une programmation, pour avoir fait ce qu’il a fait là et puisqu’il n’allait plus être utiliser dans sa compétence technique. On m’a fait un lavage de cerveau à un certain degré, et Preston, très fortement.

Mais on a reçu ce que vous pourriez appeler le « debriefing » après que ce projet entier fut détruit et a été déclaré formellement terminé le 1er janvier 1984. On a eu notre « debriefing » ce qui signifie qu’on a effacé de notre esprit tout ce qu’on a fait dans le cadre du projet. Et ils ont espéré que cela tiendrait indéfiniment.

Ça n’a pas été le cas. La raison pour laquelle cela n’a pas tenu indéfiniment était que le site n’a pas été détruit. Il est encore là. Il a été rendu à la Commission des Parcs de l’état de New York le 1er janvier 1986 ou courant janvier 1986 pour faire partie du parc qui existait déjà là-bas. L’Etat n’a jamais rien détruit. Ils n’ont jamais démoli un batiment. Ils ne l’ont jamais ouvert en tant que parc.

Ils ont abattu les barrières donc les gens penvent aller là et se promener et camper s’ils le veulent, durant la journée. Ils ne peuvent pas rester la nuit sans un permis spécial de la ville de Montauk. Cela n’est pas permis et les rangers du parc patrouille et les sortent.

Mais la propriété reste inchangé. En allant là-bas, comme je l’ai fait au début d’août 1985 à l’invitation de Preston (j’avais emmené Duncan avec moi), aucun de nous ne savait, à ce moment, que nous avions fait partie du Projet Montauk. Preston, en tant que revendeur de surplus électroniques, avait été là-bas pour la récupération d’équipement avant cette visite en août.

CONNECTING LINK : C’est là que le livre, « The Montauk project » débute.

A. BIELEK : Exact. Et il ne savait pas qu’il avait été impliqué. Il n’avait aucun souvenir. Lors de cette promenade au mois d’août, Preston nous a dit, « Vous êtes tous les deux sensitifs. Voyons ce que vous captez quand on se ballade par ici ». Il a dit, « Je pense que vous n’êtes jamais venu ici auparavant ». Il ne savait pas, honnêtement, à ce moment-là. Donc on s’est baladé et on a ressenti cette ambiance terrible sur la base, que quelque chose d’atroce s’était passé là. On a senti ce monstre, qui est apparu à la fin de l’histoire, qui a aidé dans le processus de destruction de cette station.

Preston et Duncan avait bien sûr l’avantage d’être sur place tandis que j’étais simplement en visite et suis retourné à Phoenix. Ils sont allé là à plusieurs reprises, et ils sont devenus conscient de leur implication dans le projet plus tôt que je ne l’ai été.

Je suis retourné à Montauk en mai 1986 et ai fait une autre visite avec un groupe de Phoenix sponsorisé, je crois, par le sénateur Barry Goldwater. Parce que j’avais parlé à ce groupe, que je connaissais depuis décembre 1985, à propos du projet et ils sont partis faire une enquête de détournement possible de fonds fédéraux depuis un projet fédéral normal vers un projet illégal. Ils cherchaient des preuves. Et c’était leur modus operandi, leur raison pour obtenir des autorisations de l’Etat de New York, de la Commission des Parcs, pour aller sur la base, à l’intérieur des bâtiments fermés. Il y en avait encore certains de fermés. Et de trouver, s’il y a lieu, une preuve si cela avait pu être un projet détournant des fonds fédéraux.

On sait maintenant qu’aucun financement fédéral n’était impliqué. Les principales enquêtes ont prouvées cela. Mais dans le processus on a pris un tas de photographies, et dans cette visite, la même que celle de mai 86, ma mémoire de Montauk a commencé à revenir puisque j’étais en train de visiter le site, la scène du crime, si vous voulez.

CONNECTING LINK : Et cela a agit comme un déclic.

A. BIELEK: C’était le déclic. Le même que pour Duncan, le même que pour Preston. Donc ma mémoire est revenue. J’ai su alors que j’avais participé à ça. Et mes souvenirs étaient en train de revenir car ils ne sont pas revenus tous à la fois comme dans un rush.

Ils reviennent par morceaux, cela dépend de ce que les déclics ramènent. Mais une fois que vous avez fait un trou dans le mur, c’est comme une fissure dans une digue. Le trou commence à s’agrandir et il continue de grandir et finalement tout passera au travers.

Donc j’ai su, finalement, que j’avais été fortement impliqué à un niveau technique et administratif dans de nombreux projets. Duncan a été aussi impliqué dans plus d’un projet.

Preston a été le chef technique de station après Matthew Zaret. Le professeur Zaret a été muté en 1980. En fait, il a quitté à ma suggestion, mais ils ne voulaient pas le lâcher, donc il a été envoyé à un projet parallèle à Brentwood, Long Island, où il est mort. Preston a pris la suite comme directeur technique, s’occupant de toute la gestion. Il concevait et construisait tout les systèmes modulateurs à ondes pulsées et les émetteurs de fréquences radio, dans tout ce qui touchait les RF ( transmissions électromagnetiques en Fréquences Radio, spécialement pour les radars.) et les émetteurs il était un expert.

Et c’était sa compétence et son travail habituel, puisqu’il travaillait pour une compagnie de l’aérospatial à Long Island durant quinze ans jusqu’à ce qu’il soit viré il y a deux ans. Il a été viré mais ils ont camouflé ça. C’était parce qu’il en savait trop et il parlait trop ouvertement, il avait retrouvé trop de mémoire et il était en train de divulguer de l’information, à plusieurs reprises, aux conférences de l’USPA [United States Psychotronic Association] que le gouvernement ne voulait pas rendre publique. Donc ils lui ont retiré son laisser-passé, et ensuite ils l’ont viré en juillet 1990 pendant qu’il était à une conférence de l’USPA. Quand il est revenu, il n’avait plus de boulot, on lui a dit, « Tu es fini, ramasse tes affaires et va-t-en ». Et son patron n’a même pas su pourquoi. Ce n’est pas son patron qui l’a viré. C’était une manipulation du gouvernement.

Il était expert dans la conception des émetteurs, des émetteurs hautes puissances, pour radar, pour quoi que ce soit. Dans le cas du Projet Montauk, pour les étages finals d’un Amplitron spécial qui est montré dans le livre, il y a une photo de ça. C’était conçu et construit spécialement pour le projet par Raytheon Electric (Les établissements R & D. La production était à Weymouth, MA, au moins 4000 amplitrons ont été produits) à Goleta en Californie.

Je me souviens être descendu là-bas pour homologuer la première livraison de tubes. Ils étaient très, très, chers et construit spécialement. Ils coûtaient plusieurs millions de dollars chacun. Ils en ont commandé plusieurs milliers. Donc vous pouvez voir pourquoi le coût de ce projet était hors d’imagination. Les condensateurs pour les réseaux en mode pulsé et le modulateur étaient aussi conçues spécialement selon des spécifications très strictes. Ils ont finalement trouvé quelqu’un pour les construire. Et tout le monde dans l’industrie, excepté un, a refusé de les faire. Ils ont finalement été capable de les fabriquer aux spécifications, et ils les ont vendu au gouvernement en paquets de cinquante à la somme modique de vingt cinq milles dollars le condensateur. Et ils en avaient une centaine sur chaque station. Un paquet complet de cinquante pour deux émetteurs opérationnels, et un paquet entier en réserve. Donc cela faisait deux millions et demi de dollars multipliés par 25 stations !

Ils étaient à court d’or. (Le projet avait commencé avec 10 milliards de dollars en or. L’histoire de l’or est documenté dans le livre « Nazi Gold », L’ or nazi) Ils étaient à court de finances. Donc ITT a payer la note.

CONNECTING LINK : Et toute cette technologie provenait de groupes extraterrestres ?

A. BIELEK : Ils avaient la coopération des extraterrestres. Voyez, ils avaient un OVNI crashé, qui a été délibérément crashé, en accord avec Hitler, par un certain groupe de Pléiadiens. Il était bourré de technologies. Et la raison pour l’avoir crashé, c’était que le Haut Commandement Allemand, s’il y était contraint, pouvait dire, « Oui, nous avons trouvé une soucoupe crashée dans les Alpes Bavaroises » ou dans un lieu comme ça, « et nous l’avons récupérer, nous l’avons démontée et analysé la technologie ».

Ça n’a certainement pas été rendu public. Mais les restes de ce vaisseau ont été trouvés près de Peenemunde après la fin de la guerre. C’était la base allemande d’essai des fusées, et où Wernher Von Braun opérait avec son équipe. Quand la guerre fût terminé, avec son groupe il s’est délibérément déplacer vers l’ouest, vers les américains. Et un autre groupe a été capturé par les russes, incluant, je crois, son professeur, Herman Oberth. Bien sûr c’est là que les Russes ont eu une tête d’avance en matière de fusées sur les U.S.A., ils avaient le professeur qui a enseigné Wernher Von Braun !

Ils en avaient peut-être certains autres car les Russes ont capturés un nombre assez important d’élites intellectuelles allemandes lorsque Berlin est passé sous leur contrôle. Donc la guerre a reçu une énorme quantité de technologique en provenance des Pléiadiens. En ce qui concerne ce genre d’accord, Roosevelt avait fait le premier aux U.S.A en 1934, pas avec les Pléiadiens, qui avaient offert d’aider les Etats-Unis à sortir de l’enfer de la grande dépression qui sévissait, mais il a choisi un groupe différent pour des raisons personnelles quelconques que nous ne connaissons pas.

Ils s’appelaient le Groupe K ou les Kondroshkin. Autant que je peux le déterminer aujourd’hui, ce groupe s’est révélé être les bleu-gris. Pas les petits gris, mais un groupe plus vaste qui est appelé les bleu-gris.

En tout cas, il avait fait des accords avec eux. Ils avaient fait une offre pour fournir une base technologique entièrement nouvelle pour l’énergie atomique américaine en 1938. Roosevelt au début avait accepté et ensuite il a refusé parce que les militaires lui ont dit, « Oh, oh. On ne peut pas contrôler cela de A à Z. On ne sait pas ce qu’ils vont faire avec ça et comment ils pourraient nous manipuler à la fin ». Donc ils (le groupe K) ont disparu dans la nature.

En 1943 eut lieu l’Expérience de Philadelphie et le verrouillage avec le Projet Phoenix, créant un énorme trou dans l’espace-temps. Cela a été fait délibérément par les extraterrestres à la fin 1983 pour opérer une trouée dans la trame de l’espace-temps, suffisamment grande pour que les extraterrestres et les vaisseaux puissent y entrer.

Ils avaient toutes les capacités de voyager dans le temps, mais cette ouverture était nécessaire pour permettre aux grands vaisseaux extraterrestres (principalement les gris, et aussi d’autres types) de passer et procéder à une invasion massive des Etats-Unis, et plus tard de l’Europe. Quand ils ont atterri à la Base Edwards de l’Air Force dans le Muroc Dry Lake tout comme sur une autre base de l’Air Force, je suis en train de sauter un tas de détails, le gouvernement savait déjà pertinemment que les extraterrestres étaient sur cette planète. (Ils savaient) depuis 1887 avec la première commission d’enquête sous Grover Cleveland.

En tout cas, ils savaient qu’ils étaient là, mais ensuite ils arrivaient en masse. Nous étions confronté à une technologie que nous ne pouvions pas contrecarrer, avec laquelle nous ne pouvions pas manoeuvrer, nous ne savions pas quoi faire face à cela. Donc le compromis d’Eisenhower et de ses conseillers était de signer un traité avec eux, un traité de non-interférence et prendre d’eux toute la technologie que nous pourrions. Faire un accord quelconque. Nous gagnerions du temps et nous verrions ce que nous pourrions faire plus tard.

C’était la base de l’accord. À cause de cela, un très grand nombre d’extraterrestres sont arrivés et ont participé au Projet Phoenix. Ils étaient en train de planifier l’avenir. Nous ne savions pas ce qu’ils fabriquaient. Et en regardant cela rétrospectivement, ce n’est pas ce que nous pensions à l’époque. Ils planifiaient l’avenir, et savaient ce qu’ils étaient en train de faire. Ils manoeuvraient et manipulaient le Projet Phoenix. Ils ne s’attendaient pas à sa destruction alors. Je suis sûr qu’ils anticipaient sa continuité pour une autre décade, au moins dans les années 90.

Cependant, à cause de certaines personnes qui soudainement, si vous me pardonnez l’expression, « ont vu la lumière », « sont entrées en religion », ou quoique ce soit qui les a frappé, Duncan, et quelques autres, ont conspiré pour détruire la station. Et la raison en était qu’ils en avaient assez de tout ce qu’ils ont vu comme malveillance se perpétrer ici.

J’étais au courant. J’ai décidé que je ne ferais pas parti du commando destructeur. J’ai dit, « Oui, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas, mais on a déjà remis de l’ordre dans un tas de pagaille, et on peut remettre de l’ordre dans le reste et continuer ça en tant qu’outil de recherche », comme John Von Neumann (qui, soit dit en passant, est encore en vie) le voulait. Il disait, « C’est un outil de recherche; on en a besoin » . Grâce aux capacités de voyages dans le temps (vision à distance), il avait vu des choses arriver dans le futur qui pourraient causer de très sérieuses menaces aux Etats-Unis et au Monde.

Mais ces personnes avaient leur chemin. Ils ont mis un implant spécial à l’intérieur de la tête de Duncan de façon que, lorsque le Duncan Cameron d’origine et moi-même en tant qu’Edward Cameron, nous avons émerger de l’Expérience de Philadelphie et avons séjourné à la station (durant 12 heures) et sommes retournés à l’Eldridge; ensuite l’Eldridge est retourné en 1943. À ce point, cette phase était terminée et cela a complété la boucle de temps.

Alors les paroles ont été prononcées, « Maintenant c’est le moment » et Duncan a libérer cette chose de son subconscient dans la machine.

L’émetteur (qui déjà à cette époque avait sa propre personnalité) a créer ce grand monstre, en trois dimensions solides, quatre à cinq mètres de haut et il est littéralement sorti du subconscient. Il est allé de ci, de là, frappant et fracassant les bâtiments et les gens, et il a été retrouvé en train de saccager l’intérieur de la tour radar. Mais la tour était trop robuste pour qu’il puisse la fracasser. La seule façon de le stopper était de détruire l’émetteur, et c’est ce qui a été fait. Et il a disparu dans quelqu’autre réalité. Il a été photographié en mai 1986.

Mais le chapitre final sur Montauk n’est pas encore écrit. On a découvert il y a un mois (août 1992) que Montauk a été réactivé.

Et c’est ce que je voulais aborder ici. On ne sait pas qui est en train de faire ça. On a vu les preuves. De nouvelles séries de câble coaxial, de nouveaux transformateurs électriques sont placés dans le poste d’alimentation électrique. Les nouveaux sont affichés « sans PCB ». Puisque maintenant la loi n’autorise plus à ce que les transformateurs contiennent du PCB comme agent de refroidissement, s’ils explosent ou se fissurent, c’est un danger extrême pour l’environnement. Donc ils utilisent un agent de refroidissement qui préserve l’environnement, un liquide différent dans les transformateurs et ils portent de grandes étiquettes qui disent, « Sans PCB ». J’ai pris des photos de ça lors de ma visite il y a un mois. Il y a de nouveaux câbles électriques ça et là dans la base qui sont flambants neufs.

La tour radar a maintenant une nouvelle porte d’acier, là où c’était grand ouvert et que vous pouviez vous y promenez. Ils ont placé une nouvelle porte métallique avec double cadenas, donc vous ne pouvez plus y entrer. La porte d’entrée du garage arrière pour les camions et les livraisons de matériels lourds est maintenant fermée de l’intérieur. Et nous avons trouvé d’autres indices qui montrent que cela est entrain d’être réactivé.

Preston a été contacté par le gouvernement pour devenir le directeur du nouveau projet Montauk. Et ils lui ont dit qu’ils voulaient aussi que Duncan en fasse partie. Il y a de nouveaux employés là-bas. Il y a de nouvelles entrées pour le sous-sol. Une personne que nous connaissons est entrée par la porte extérieure et il y a une porte intérieure fermée avec une lumière rouge au-dessus. Vous devez avoir un badge d’accès spécial ou vous serez stoppés.

Nous n’avons pas tenté d’y aller car nous ne sentions pas vouloir risquer ça. Et nous ne savons pas vers où le projet peut aller, mais nous suspectons qu’un des objectifs soit d’élargir la trouée de temps (1943 à 1983) jusqu’à 1993, parce que 1993 est un point sous-noeud dans le cycle de 20 ans, et août 1993 serait encore une zone très critique et ils veulent très probablement que la station soit activée avant le mois d’août 93. C’est ce que nous sentons, techniquement, qu’ils mettent sur pied. Mais quel est l’objectif final, nous ne le savons pas avec certitude. C’est peut-être pour agrandir le tunnel de temps, la trouée de temps, pour des buts propres à eux.

Il y a beaucoup de choses sur ce projet que nous ne savons pas. Il a été utilisé pour certaines choses, que nous ne savons pas encore. Nous n’avons jamais eu accès aux archives classifiées des Laboratoires Lincoln au M.I.T. (Cambridge, MA).

Il ne leur était pas possible d’écarter Duncan et moi-même parce que nous aidons à maintenir la stabilité de toute la trouée de temps. Elle se stabilisera d’elle-même en l’année 2003 à moins qu’ils ne la rouvre. Si c’est le cas il y aura tout un fourmillement de choses à gérer.

Ils ne réalisent pas vraiment quels risques ils sont en train de courir en rouvrant ce truc. La trouée a été stabilisée en 1963, sinon ce continent Nord Américain aurait été maintenant sous l’eau salée. Pas à partir de l’année 2000, il l’aurait été en 1963. Il y a eu un projet spécial, maintenant bien caché, qui a été créé pour restabiliser l’onde de temps inverse qui aurait percuté l’onde de temps normale en 1963, au point noeud, et fracturé ce continent.

Cela est du au fait qu’ils avaient cette trouée de temps, et comme elle était instable à cause de la façon dont elle a été générée (comme une onde stationnaire dans une ligne de transmissions RF). Peut-être vous ne comprenez pas la théorie RF, mais vous avez une onde inverse dans une ligne non terminée ou incorrectement terminée.

Le temps en lui-même est une onde. Vous pouvez avoir une onde de temps qui va en avant et vous pouvez avoir une onde de temps inverse. Si les deux, d’égale amplitude, se percutent à un point noeud, qui est le point de synchronisation terrestre, comme le 12 août 1963, elles peuvent être extrêmement destructrices, physiquement, pour la structure physique de la terre.

Etant donné que ce projet a eu lieu aux Etats-Unis, à Long Island, ceux qui ont regardé dans la théorie ont dit que cela aurait provoqué une perturbation extrême du matériel géologique, ébranlant la terre, dans le continent Nord Américain. Cela aurait finalement briser les plaques tectoniques, et le continent Nord Américain, mis à part les montagnes, se serait en fin de compte retrouvé, selon l’estimation, sous 150 à 200 mètres d’eau de mer.

Cela ne s’est pas passé, évidemment, nous sommes ici.

Le projet de 1963, « Atlanticus Not Revisited », a été réussi en mouillant cette onde de temps inverse. C’est un domaine de la science et des technologies et de la physique dont la majorité des gens ne savent rien.

On espère que si le projet est ressuscité, qu’il sera utilisé proprement plutôt qu’improprement comme par le passé, pourtant il y a eu quelques très bonnes utilisations du Projet Montauk.

Dans un point de vue plus large, cela serait peut-être mieux de le garder enterrer. Seul le temps dira ce qui se passera, et si oui ou non je jouerai quelque chose là-dedans. Ils ne m’ont pas demandé. Ils ne veulent pas. Tout ce qu’on peut faire est d’espérer le meilleur pour l’avenir et que les erreurs du passé seront comprises et que d’une manière ou d’une autre le futur sera pour le mieux malgré les problèmes que nous savons que nous avons à faire face.

https://newsinstact.com/project-montauk-time-travel-alien-contacts-1035/


L’ expérience de Philadelphie et sa relation cachée avec un groupe d’extraterrestres

Dans les années 30, le gouvernement secret (militaire) était à la recherche d’une technologie anti-détection. Des scientifiques furent sollicités pour développer une méthode qui rendrait des objets invisibles, tels des avions et des navires. 

Quelques-uns des plus illustres penseurs furent recrutés, dont Albert Einstein, Nikola Tesla et le mathématicien Von Neumann. Or, il est apparu improbable que la technologie des humains furent suffisamment avancée pour que le phénomène de l’invisibilité soit maîtrisé. 

Tel fut le cas à cette époque, et ce sont les extraterrestres Zétains qui finalement procurèrent les informations pertinentes pour la création d’un système qui répondrait à leurs besoins. Selon Laura Eisenhower, les accords signés avec les Extraterrestres remontent à 1934.

De nos jours, nous possédons la technologie Stealth, laquelle offre l’invisibilité radar alors qu’en fait elle offre plutôt l’invisibilité luminaire.  Les avions, tout particulièrement, peuvent être camouflés. Le camouflage est un terme juste, puisque la technologie anti-détection ne veut pas dire invisible aux cinq sens. L’invisibilité est obtenue lorsque de puissants champs électromagnétiques courbent l’espace autour d’un objet. La lumière contourne ainsi l’objet, et ce dernier n’est plus visible.

Avec l’aide des Zétas, la Marine américaine et les scientifiques ont entrepris de doter le navire de guerre USS Eldridge d’un système électromagnétique, en utilisant des bobines de Tesla, mais à l’insu du gouvernement secret, les Zétas exploitèrent cette occasion à leurs propres fins. 

En fait, les extraterrestres procurèrent une technologie secrète menant à la création d’un trou de ver dans l’espace-temps !

En 1943, les premiers essais pour l’obtention de l’état de l’invisibilité furent réussis, mais au grand étonnement de la Marine et des scientifiques, le navire disparut complètement. Au retour du navire, la Marine insista pour que le prochain essai soit doté d’un équipage qui recueillerait des renseignements pertinents sur le déroulement de l’expérience. 

Tesla se serait opposé à cette initiative et il aurait soit remis sa démission, soit tenté de saboter la mission. 

En dernier ressort, il aura été remercié, le navire aura disparu et réapparu, et les effets horribles de cet événement seront resté dans l’histoire ; par exemple, un équipage atteint de folie, des hommes encastrés dans le pont du navire. Ce qui est peu connu du public c’est que l’expérience, qui devait avoir lieu en août 1943, était sous l’influence et la gouverne des Zétas. 

C’était dû, en partie, à des cycles magnétiques dont les crêtes ont lieu tous les 20 ans. Les crêtes magnétiques favorisent une meilleure transition entre les bandes de fréquences dimensionnelles ; par exemple, la nuance électrique (un pôle du vortex électrique/magnétique) de la bande dimensionnelle D3 se relie à la tonalité magnétique de la bande D4, ce qui crée une fenêtre magnétique.

En 1943, le Eldridge fut téléporté temporairement dans le futur, plus précisément en 1983, lors d’une crête subséquente. 

Les Zétas avaient réussi à créer un trou de ver (un vortex reliant des dimensions et des lignes temporelles) dans le cadre d’une expansion de leur système d’implants relié à la grille terrestre, ainsi qu’à créer des sentiers de l’espace-temps vers la Matrice fantôme. La Matrice fantôme est un domaine astral cloisonné, un trou noir langoureux, la résidence des forces de l’Ombre.

En outre, les Zétas profitèrent de la brèche dans l’espace-temps pour faire passer en secret leur flottille de vaisseaux. Une fois positionnés, les vaisseaux dirigèrent vers le Soleil des impulsions électromagnétiques codées du type D1. Cette manœuvre s’effectue au travers des dimensions astrales internes de notre planète pour enfin rejoindre le corps terrestre D2 dont le noyau est relié à celui du soleil par la géométrie de l’espace-intérieur.

L’objectif visait à désaligner la relation qu’entretiennent les énergies de la Terre et du Soleil – ce qu’ils ont réussi à faire – et de désaligner également la Terre de sa version parallèle Tara, où D1 se relie à D4. (La Terre comprend les dimensions D1, D2 et D3 ; Tara comprend D4, D5 et D6.) 

Le désalignement créerait une zone de répulsion entre la Terre et Tara, obstruant ainsi le processus de l’ascension qui accompagne habituellement la conclusion d’un cycle planétaire de 26.556 ans

Résultat, nous serions contraints de nous réincarner dans le cadre de cycles répétitifs. 

Les impulsions dirigées vers le soleil avaient pour but de renverser la polarité magnétique en une polarité électrique au niveau D1, causant la répulsion des vortex D1 de la Terre et du Soleil. Ils ont en outre renversé les fréquences D4 pour provoquer une répulsion entre Terre et Tara, et subséquemment, un désalignement des autres dimensions, soit D2, D3, D5 et D6.

Cette violation de l’équilibre harmonique entre ces planètes et le Soleil a eu pour effet d’augmenter le nombre de protubérances solaires entre 1943 et 1972. 

Inquiétés du sort de notre planète, les astronomes avaient prédit pour 1972 une explosion solaire qui, une fois maintenue, aurait pu détruire toute forme de vie sur Terre. 

Effectivement, le 7 août 1972 des scientifiques ont enregistré l’une des protubérances solaires les plus intenses jamais observées, mais ils furent étonnés de son apaisement soudain, gracieuseté de l’intervention du Conseil Sirien. 

Les vortex solaires étaient déséquilibrés, et la correction de cette anomalie fut longue et difficile. Une solution temporaire visait à créer une clôture de fréquences autour de la Terre afin d’empêcher toute résonance de l’impulsion rouge et la destruction subséquente de toute forme de vie sur Terre. La bande de fréquence D1 correspond à la région rouge du spectre; c’est pour cette raison qu’on l’a nommée impulsion rouge. C’est une intense onde croissante d’énergie à très basse fréquence. Ce processus est décrit dans un article sur le soi-disant 11:11.

Malgré l’échec du programme des Zétas voué à l’obstruction du processus d’ascension des humains et de l’alignement du Soleil, de la Terre et de Tara, ils ont néanmoins réussi à créer un trou de ver en 1943, première manœuvre essentielle d’une série de trois, les deux autres atteignant leur sommet magnétique en 1983 et 2003 respectivement.

Les livres Montauk traitent en détail des événements de 1983, alors que le gouvernement secret s’acharnait à créer une machine à voyager dans le temps dont le but était de relier les années 1983 et 1943, et par conséquent permettre au trou de ver de 1943 de s’élargir et se fortifier. 

La troisième expérience devait avoir lieu en 2003, la dernière crête magnétique avant la période de l’ascension prévue aux environs de 2012. 

Le gouvernement devait une fois de plus jouer les dupes et procéder à une troisième expérience qui eut pour effet de renforcer suffisamment le réseau d’implants des Zétas, de sorte qu’une clôture de fréquences efficace puisse être érigée autour de la planète et ainsi obstruer le processus d’ascension de l’humanité. 

Le trou de ver de 1983 aura occasionné l’élargissement de la brèche créée en 1943, et aura relié avec succès ces deux périodes aux périodes correspondantes de la dimension D4, cette base d’opération des Zétas-Draconiens. 

À noter que ce programme des Zétas est un véritable bâton dans les roues pour les Annunakis, une faction rivale active au niveau de l’implantation d’un Unique Ordre Mondial. Les Annunakis auraient tenté de saboter ce programme. 

Le réseau de trous de ver qui se trouvait en expansion a consolidé sa connexion à la Matrice fantôme (également au travers de leur Vortex du Faucon), et ce soi-disant système de coordonnées/vortex Montauk peut maintenant émettre des directives psychotroniques et effectivement procéder au contrôle mental de la population.

source : Noel Huntley, les informations de sources extraterrestres contenues dans ce texte proviennent de l’Alliance des Gardiens.


Il a été prouvé que sur le point magnétique des Bermudes, a eu lieu le « Projet Philadelphie », utilisant ces puissants centres vortex inter-dimensionnels, où 2 navires militaires, l’Eldrige et l’Idaho ont été dématérialisés. Mais en quoi consistait cette étrange expérimentation de technologie extraterrestre ? Le but de l’expérience était de faire des essais de télé-portation en défiant les lois de la Terre, et cela est resté enregistré dans des documentaires, et même dans le domaine cinématographique. 

Par ailleurs un récit d’Alfred Bielek, un des membres de l’équipage de l’USS Eldrige, révèle que lorsque l’Eldrige s’est dématérialisé en 1943 l’impact fût si grand, qu’il provoqua une énorme fissure dans l’hyperespace, de 40 années de longitude.

Et c’est à partir de cette expérience qu’un grand nombre d’Aliens en profita pour pénétrer dans notre espace-temps continu, et de là s’organisa un complot-machination, lors d’une réunion entre ce groupe d’Aliens et le président Roosevelt en 1934. Serait-ce le fameux pacte conclu avec les envahisseurs extraterrestres Aliens-Réticuliens, pour asseoir leur autorité aussi bien face à F. Roosevelt, puis H. Truman, que le britannique W. Churchill ?

https://allthatsinteresting.com/philadelphia-experiment

références cinématographiques


Vous avez probablement entendu parler de la série : Stranger Things, mais avez-vous entendu parler de la théorie du complot qui a inspiré la série à succès?

Le projet Montauk est une théorie du complot alléguant que le gouvernement des États-Unis menait des expériences de guerre psychologique. Les expériences auraient été menées à Montauk sur Long Island, New York

La théorie du complot a gagné du terrain dans les années 1980 lorsque Preston B. Nichols a publié un livre intitulé The Montauk Project : Experiments In Time .

Les histoires de Nichols ont mis en lumière les voyages dans le temps , la téléportation, le contrôle de l’esprit et d’autres recherches paranormales qui auraient été menées au Camp Hero et à la base aérienne de Montauk.

Comment le projet Montauk se chevauche-t-il avec Stranger Things?

Dans son livre, Nichols décrit le travail sur la chaise Montauk, une chaise qui améliore les pouvoirs psychiques de quelqu’un via l’électromagnétisme. Cette chaise est utilisée pour ouvrir des portails vers d’autres dimensions.

Dans Stranger Things, Eleven utilise de la même manière un appareil pour ouvrir un portail vers Upside Down.

D’autres domaines de chevauchement incluent la visualisation à distance, les enlèvements et la capacité d’invoquer des choses et des monstres dans la réalité.

Les créateurs de Stranger Things, Matt et Russ Duffer, ont été tellement inspirés par le projet Montauk que le titre original était en fait Montauk, selon Variety.


L’interview de Henry Deacon par Kerry Cassidy & Bill Ryan du Projet Camelot, parlant de plusieurs Projets secrets Américains, Cette interview, datant de 2006, a été transcrite à partir d’une vidéo pour conserver l’anonymat de la personne avec qui cette entrevue s’est déroulée. « Henry Deacon » est un pseudonyme.

Projet Camelot : Est-ce que vous connaissez le Projet Montauk ?

Henry Deacon : « Il nous a causé d’énormes problèmes, et a généré une boucle de 40 ans. Je ne sais pas pour Al Bielek. Je crois qu’une partie de son témoignage est suspect. Mais quelque chose comme ceci a bien eu lieu, l’Expérience de Philadelphie aussi. John Neumann était très impliqué dans tout cela. »

PC : Et Tesla, et Einstein ?

HD : « Je ne sais pas. Mais Neuman… » [Henry fait un signe de la tête]

PC : Montauk était-il réel ?

HD : « Oui. Et ce fût un vrai bordel. Ils ont créé une fente dans le temps que nous ne sommes toujours pas capables de réparer. Il faut comprendre que ceci est lié au Projet Rainbow, les Stargates… ils travaillaient sur cela là-bas. Mais une partie des dossiers sur Montauk qui sont sur Internet ne sont pas convaincants pour moi. J’ai vu des photos d’équipements qu’ils étaient supposés avoir utilisés, et ce sont des déchets, un tas d’ordure. »

Bill Ryan : J’ai toujours eu du mal a comprendre l’idée des portails temporels parce que je ne vois pas comment ou pourquoi ils pourraient rester sur la planète dans une certaine position alors qu’elle bouge dans l’espace. Si un portail est créé dans l’espace-temps, on s’attend à ce qu’il soit projeté très vite quelque part parce que la Terre est en train de tourner sur elle- même, sur son orbite, et le système solaire en lui-même orbite autour du centre de la galaxie dans un cycle énorme. Je veux dire tout est en mouvement, tout le temps, et ceci est bien connu. Pouvez-vous expliquer ceci?

HD : « Non je ne peux pas. Mais je comprends ce que vous voulez dire, et les portails restent vraiment sur des points spécifiques, liés à cette planète. Cela ce passe comme ça. Pourquoi ils ne sont pas projetés en arrière ou flottent simplement je n’en ai aucune idée. Ils sont peut être liés gravitationnellement d’une manière ou d’une autre. Votre supposition est aussi bonne que la mienne. Un des portails est connecté à Mars et c’est un lien stable, peut importe où la Terre et Mars sont positionnés sur leur orbite. Nous avons une base là-bas établie depuis le début des années soixante. En fait, nous avons plusieurs bases. »

2 commentaires sur “Expérience de PHILADELPHIE – Projet MONTAUK

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