Les Reptiliens sont-ils parmi nous ?

Au début des années 80, on a pu remarquer que des personnes qui prétendaient avoir eu des contacts avaient rapporté qu’ils n’avaient pas été effectués avec des petits êtres gris ou des blonds nordiques comme dans les années 50. Ces contacts étaient assez différents, c’était avec des êtres humanoïdes reptiliens. En d’autres termes, des êtres humanoïdes dont la physiologie ressemblait à celle des reptiles. Ils ont commencé à apparaître dans l’ombre de certains des cas les plus fiables sur lesquels les chercheurs ont été amenés à enquêter.

Il y a un certain nombre de cas où des personnes se sont réveillées au milieu de la nuit, comme figées dans leur lit et incapables de bouger, et ont vu ces créatures de type reptilien de plus de 2m de hauteur planant en train de les survoler. C’est arrivé à Eugene, dans l’Oregon, en 1982. Wes Penre se réveilla dans sa chambre, paralysé et glacé. Il a vu ce qu’il a décrit comme une créature horrible à travers la pièce, verdâtre, sans poils, extrêmement musclée, avec des yeux rouges. Wes était terrifié jusqu’à ce que la créature disparaisse de sa chambre. 

Chaque personne qui a fait un rapport à ce sujet a ressenti de la peur et de la haine. On peut cependant affirmer que la personne était tellement terrifiée qu’elle suppose que les Reptiliens étaient hostiles. C’est un angle intéressant à prendre en compte. Mais peut-être que c’était juste qu’ils avaient l’air féroce, ils avaient l’air intimidant, et nous supposons nécessairement qu’ils le sont. Peut-être qu’ils ne le sont pas. Mais c’est quand même plus prudent de s’en méfier.

Les récents rapports de rencontres humaines avec d’étranges créatures ressemblant à des reptiles pourraient-ils vraiment prouver que nos ancêtres reptiliens existent toujours ? Si oui, quel serait leur objectif ? 

L’agenda reptilien est-il une réalité ?

Selon l’écrivain David Icke, l’agenda reptilien est très simple. Ils cherchent à détourner la vie sur Terre depuis des milliers d’années et de plus en plus d’infiltrer et de noyauter la société humaine, de la transformer à leur image, de centraliser le pouvoir entre les mains de ceux qui représentent leurs intérêts au point de les dicter d’une décision centrale.

C’est une vision totalement complotiste qui demande à être prise en compte avec un certain recul. Mais vous devez pourtant vous demander quel rôle jouent réellement les reptiliens sur cette planète et s’il existe une sorte de bataille entre différentes races extraterrestres, et si les Reptiliens ont été forcés de vivre sous terre, loin de notre civilisation, par d’autres extraterrestres qui, en un sens, on remporté la bataille pour la planète Terre.

Parce que les Reptiliens semblent hostiles, cela signifie-t-il qu’il y a un agenda pour nous anéantir ? On ne sais pas. Nous pourrions voir les choses du point de vue de notre identité, nous sommes comme du bétail. Les reptiliens n’ont aucune envie de nous anéantir car, dans une certaine mesure, nous leur sommes utiles, de la même manière qu’une vache est utile à un agriculteur.

Personnellement, je ne souscris pas à l’ordre du jour reptilien. Nous ne sommes pas des esclaves. Nous avons le libre arbitre. Nous pouvons faire ce que nous voulons. Il est très facile pour les êtres humains de dire, regardez, la raison pour laquelle nous sommes sur la planète Terre est que nous sommes une espèce d’esclave, nous leur sommes redevables.

Je dirais que ce qui unira enfin les humains et les reptoïdes, c’est bien le fait que nous descendons tous d’un patrimoine commun. Et même si nous avons l’air différent maintenant, si nous partageons notre planète et avons une apparence physique différente, cela n’a pas vraiment d’importance. Beaucoup pensent que ce serait bien de réinventer l’humanité en nous présentant une autre espèce exotique. Le contact avec ces entités présente donc des avantages. 

Le plan reptilien pour diviser et conquérir la race humaine

Dans une interview accordée à Alfred Lambremont Webre, l’auteur Len Kasten documente le plan Reptilien pour diviser et conquérir la race humaine à partir d’une plate-forme en 4ème densité et en Terre intérieure, en alliance avec des Aliens Gris.

Le nouveau livre de Len Kasten, Alien World Order, est un aperçu exo-politique du plan reptilien : 

Il y a longtemps, la Fédération Galactique a envoyé des Atlantes, un groupe féroce d’humains des Pléiades, sur la Terre pour affronter la plus récente colonie de l’étranger combatif, d’une race connue sous le nom de Reptilien. La bataille qui a suivi a coulé le continent de la Lémurie et a poussé les Reptiliens sous le sous-continent indien ainsi qu’en Antarctique. 

Capables de changer de forme pour apparaître humain, les Reptiliens ont ensuite infiltré la civilisation atlante, enlevant des humains et créant des hybrides Reptiliens. Comme le montre Len Kasten, cette technique d’infiltration et d’hybridation avant une attaque totale a été la marque de la conquête reptilienne dans toute la galaxie.

Chronique de l’histoire de l’influence de l’Empire reptilien sur Terre et de la conquête des 21 systèmes d’étoiles, Kasten révèle comment la race humaine est emmêlée dans un complot habilement dissimulé pour asservir l’humanité et exploiter les ressources physiques et biologiques de notre planète. Révélant le pacte d’Hitler avec les extraterrestres et l’influence reptilienne sur l’état nazi, il partage de nouveaux documents qui révèlent le sauvetage et la réhabilitation des criminels de guerre nazis pour aider à la guerre froide, qui a ensuite corrompu de nombreuses institutions gouvernementales américaines.

En mettant l’accent sur les événements cruciaux dans la décennie après la Seconde Guerre mondiale, il examine les alliés humains des Reptiliens, les Illuminati, qui contrôlent les leviers du pouvoir financier, technologique et militaire dans le monde à travers diverses sociétés secrètes. Il montre comment le traité d’Eisenhower avec les Gris, signé à Holloman Air Force Base en 1954, a permis aux Aliens d’enlever des humains dans leurs vaisseaux spatiaux, apparemment pour une étude génétique – en retour de la technologie Alien – et comment ces enlèvements ont conduit à la création d’une course à l’hybride sous le contrôle de l’esprit reptilien. Il explique aussi comment Kennedy a été assassiné par la CIA en raison de ses plans pour éliminer cette présence nazie-reptilienne.

En contraste avec les Reptiliens et les ETs bienveillants, les extraterrestres de Zeta Reticuli qui se sont écrasé à Roswell, Kasten expose les tactiques furtives des Reptiliens, leur relation avec les Gris, et leurs capacités avancées de biotechnologie génétique et de téléportation, ainsi que ce que nous devons faire pour vaincre leurs plans.

Les restes reptiliens dans notre ADN

En extrapolant cette idée, si les extraterrestres avaient un rôle à jouer dans la reconfiguration de notre ADN, avons-nous aussi leur constitution génétique en nous, comme nous le ferions pour n’importe lequel de nos ancêtres ? Nous savons aujourd’hui que notre ADN contient beaucoup d’ADN indésirable que nous ne comprenons toujours pas. Ainsi, lorsque nous voyons ces anomalies génétiques se manifester physiquement chez des enfants, il se peut que ce ne soit pas une anomalie. C’est en fait un gène extraterrestre perdu, un marqueur qui refait surface au bon moment.

Comme les Néandertaliens, les extraterrestres se sont-ils reproduits avec un homme primitif il y a des milliers d’années ? Ont-ils laissé derrière nous des preuves génétiques dans notre ADN qui existe encore aujourd’hui ? Des partisans de la théorie des anciens astronautes l’affirment et suggèrent que la Terre a peut-être déjà abrité plusieurs races Aliens.

Existe-t-il vraiment des créatures humanoïdes écailleuses connues sous le nom de reptiliens ? Si oui, sont-ils une espèce créée par des extraterrestres ? Envisagent-ils un plan sinistre pour l’humanité ? Ou vont-ils se révéler être nos frères génétiques et initier un avenir où les Reptiliens et les humains se rencontrent enfin, un genre de Grand Remplacement (Big Reset) ?

Le cerveau reptilien

En Janvier 1977, le scientifique estimé Carl Sagan publie son livre Dragons of Eden, lauréat du prix Pulitzer. Il émet des spéculations sur l’évolution de l’intelligence humaine. Le livre explore la théorie mise en avant par le neuro-scientifique Paul MacLean, qui relie des parties du cerveau à différentes périodes de l’histoire.

Paul MacLean a suggéré que le cerveau antérieur lui-même puisse être subdivisé en trois parties différentes. L’une d’entre elles qu’il appelle le complexe reptilien, l’autre le complexe paléomammalien ou, plus tard, le système limbique et la troisième le complexe néomammalien. C’était significatif parce qu’il liait ces trois aspects différents du cerveau antérieur à l’histoire de l’évolution, au développement.

Ainsi, il suggéra que le cerveau reptilien, plus primitif, était la partie la plus ancienne du cerveau et rappelait notre évolution à partir des reptiles.

Donc, le complexe reptilien ou les ganglions de la base MacLean, est associé à certains des comportements les plus agressifs ou à la territorialité de certaines de ces choses que nous associons généralement à de nombreuses espèces de reptiles. Si un être humain ne possédait que la partie reptilienne du cerveau, il opérerait simplement par instinct. S’ils veulent de la nourriture, ils la prendraient. S’ils veulent du sexe, ils violeraient simplement la personne. Il n’y aurait aucune pensée d’ordre supérieur du tout.

Carl Sagan a suggéré que nous devions nous concentrer sur le cerveau reptilien, car c’est de là que viennent ces pulsions primitives d’agression et de territorialisme, en particulier à une époque de guerre et de conflit. Et là où les gouvernements font appel à notre peur et à nos aspects primitifs, cela nous motive.

Mais est-il possible que l’aspect reptilien de notre cerveau ainsi que de rares anomalies humaines, comme les personnes nées avec des queues, une peau écailleuse et des doigts fusionnés, soient le résultat d’autre chose que notre évolution des reptiles préhistoriques ? Serait-ce la preuve que non seulement les soi-disant reptiliens existent, mais que nous pouvons même partager un patrimoine génétique similaire ?

Des adeptes de la théorie des anciens astronautes pensent que la solution pourrait être trouvée avec d’anciens textes religieux décrivant des entités ressemblant à des humains avec des caractéristiques reptiliennes. 

Les reptiliens dans les cultures antiques

Fu Xi est l’un des dirigeants mythiques de la Chine et il est considéré comme l’homme original ou prototypique. Il a été créé avec sa sœur Nu Wa. Ils étaient de forme humanoïde, en ce sens que leurs corps supérieurs étaient ceux des humains, mais leurs corps inférieurs étaient ceux des serpents. Ils sont souvent représentés avec des queues de serpents entrelacées.

Des histoires similaires d’êtres humanoïdes reptiliens existent dans les cultures du monde antique, notamment au Japon, en Grèce et en Amérique du Sud. Nous avons même de bons dessins et reliefs de plusieurs de ces créatures fantastiques. Est-il possible que certaines de ces créatures soient vraiment des extraterrestres qui ressemblent à cela ? Il semble que, dans certains cas, c’est probablement le cas.

D’autres anomalies inhabituelles semblent également refléter les descriptions des êtres divins extraites de textes anciens. Des millions de nourrissons naissent avec des plaques de peau bleues appelées taches mongoles (ou « tâches de vin » en Bourgogne), évoquant les dieux à la peau bleue communs à l’Inde et à l’Égypte. Il y a eu également de nombreux cas de gigantisme au cours de l’histoire, rappelant des récits bibliques des géants Nephilim qui seraient les descendants hybrides des humains et des êtres divins appelés les Veilleurs. En nous se trouve tout le développement évolutif de l’humanité, ainsi que les autres espèces à partir desquelles les humains se sont développés, les reptiles, les poissons, etc.

Chichen Itza, au Mexique, Vijayanâgara, en Inde et la cité interdite en Chine. Dans le monde antique, il y a de nombreuses pyramides et temples dédiés à ce que les habitants de l’époque appelaient les dieux venus du ciel.

Mais est-il possible, que ces soit-disant dieux venus du ciel soient, en réalité, une autre forme d’extraterrestres de la race des gris connu sous le nom de Reptiliens ?

Que ce soit en Amérique centrale ou en Amérique du Sud, les gens adorent le serpent ailé. Mais le plus intéressant c’est qu’à l’autre bout du monde, dans l’Inde ancienne, nous retrouvons des histoires de serpents volants. Ils étaient pourtant très conscients que les serpents ne peuvent pas voler. Cependant, ce qu’ils ont vu voler dans le ciel pouvait être décrit comme un serpent avec des ailes. C’était tout simplement la meilleure description qu’ils pouvaient en faire avec leurs connaissances de l’époque. 

Chaque fois que des créatures ou des choses que nous ne connaissons pas sont rencontrées, nous allons nous tourner vers le règne animal pour trouver des comparaisons avec ce que nous observons. En gros, cela suggère que la créature nous ressemble, mais a aussi des caractéristiques reptiliennes. Ainsi, alors que nous examinons les créatures de la mythologie moderne des OVNIS, en particulier les Gris, on pense directement à un croisement possible entre les Gris et les reptiles.

Les colonisateurs extraterrestres auraient choisi les reptiles avant les primates 

Certains chercheurs pensent qu’avant d’avoir jeté leur dévolu sur des primates, les extraterrestres Gris pouvaient avoir considéré les reptiles comme la forme de vie dominante de la Terre, qu’ils pourraient exploiter à des fins de reproduction. Dans l’affirmative, les Gris auraient-ils pu associer leurs gènes à l’ADN des reptiles pour créer des créatures hybrides reptiliennes qui, pendant un moment, ont coexisté avec les premiers hominidés sur Terre ? Et cela pourrait-il expliquer les nombreuses et anciennes représentations d’êtres reptiliens ? 

Dans l’Inde ancienne, nous avons le Naga, mi-homme, mi-serpent. C’était vraisemblablement une création du dieu Vishnu ou du dieu Krishna. Mais qui étaient ces dieux ? Selon la théorie des anciens astronautes les dieux ne sont rien d’autre que des descendants d’extraterrestres.

Les Sheti sont un sous-ensemble intéressant de la tradition Hopi. Ils sont également de nature très reptilienne, parce qu’il s’agit d’une espèce qui a tendance à aller sous terre. Mais quand nous faisons une comparaison avec le folklore ovni, nous constatons assez souvent ou entendons que certaines de ces entités préfèrent aller sous terre ou vivent dans des bases souterraines.

Si vous remontez jusqu’à l’époque biblique, la description de Satan est un peu reptilienne. Il est fort possible que ce soit un extraterrestre reptilien et que les êtres humains de l’époque aient interprété cela comme quelque chose venu du ciel. 

L’influence mondiale des reptiliens

On trouve de nombreuses références aux reptiliens en Amérique du Sud et en Asie. En Chine, par exemple, les rois sont comparés à des dragons. Il doit donc exister une sorte d’influence mondiale provenant d’une source reptilienne.

Dans la mythologie chinoise, nous avons quatre rois dragons, qui sont les divinités de la mer. Et il est dit qu’ils avaient un palais de cristal sous l’océan. Cela appartient à la mythologie mais ce n’est pas pour cela que c’est complètement inventé. D’une manière ou d’une autre, ces étranges créatures sont entrées en contact avec les premiers Chinois et ont donc été rappelées dans la mythologie chinoise. Non seulement ils ont des caractéristiques reptiliennes, mais ils sont supposés pouvoir changer d’apparence, se métamorphoser en humain, changer la forme de leur corps et devenir mi-homme, mi-extraterrestre. 

Ils ont la capacité de changer de forme

Maintenant, beaucoup de ces choses sont difficiles à comprendre, mais à travers le temps, il a été rapporté que ces créatures reptiliennes avaient des capacités étonnantes, voire la capacité de changer de forme. Certains chercheurs ont également émis l’hypothèse que les Reptiliens pourraient avoir combattu les hominidés pour leur domination de la Terre, ce qui aurait entraîné la quasi-extinction de cette espèce hybride et forcé les survivants à entrer dans la clandestinité en se cachant sous terre.

Il est clair que l’homme ancien a été témoin de ces choses. Que ce soit des extraterrestres qui nous rendaient visite, ou des êtres qui vivaient sous terre, nous ne le savons pas. Mais il existe des références claires à un type d’être humanoïde reptilien avancé qui a influencé nos cultures.

De telles légendes et représentations de serpents et dragons reptiliens ont-elles été un moyen utilisé par l’homme préhistorique pour documenter leurs rencontres avec des créatures hybrides surnaturelles produites par des extraterrestres, comme le pensent certains théoriciens ? Peut-être que les preuves pourraient même montrer que nous sommes plus étroitement liés aux reptiliens qu’on ne l’a jamais imaginé.

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Cette race apparaît, dans le monde, à travers le temps, dans les légendes et des témoignages bouleversants.  

Les activités des Reptiliens semblent innombrables tellement on les accable de l’entière responsabilité de divers événements, nos ancêtres auraient même été leurs bêtes de zoo. 

Les Reptoïdes agiraient d’une dimension d’existence imperceptible aux sens communs des hommes. Ils se situeraient peut-être dans le bas-astral, d’où proviennent les esprits ou démons que l’homme invoque. Ces entités sont perçues par les shamans comme étant localisées dans les ténèbres les plus profondes, sous terre ; elles se nourriraient des énergies négatives provenant des comportements mauvais qu’elles induisent en nous. Toutefois ces mêmes shamans disent qu’il ne faut pas exagérer leurs pouvoirs qui seraient limités contrairement à ce qu’elles affirment.

Elles seraient selon certains « contactés » combattues par d’autres forces galactiques opposées au service des Ténèbres et nous ferions donc les frais, d’être placés sur un champ de bataille cosmique entre ces deux énergies. Plusieurs autres sources prétendent que les Lézards occuperaient des bases souterraines sur toute la surface du globe, en accord avec le Nouvel Ordre Mondial. Cependant il ne faut pas céder à la panique ! Il ne faut pas non plus diaboliser ces créatures (David Icke le dit lui même malgré ses accusations) : une partie d’entre eux est assez bonne pour prendre soins d’Indiens ou pour s’entretenir pacifiquement avec un Suédois le temps d’une brève interview.

Souvent confondus avec la caste guerrière des Alpha-Draconiens, il est dit que ces reptiliens ont pour origine la Terre. Très peu d’informations sont disponible pour cette espèce, à part que ce sont des Alpha-Draconiens bannis qui ont colonisé la Terre.

Leurs interactions avec l’humanité remontent à des milliers d’années dans le passé, offrant parfois leur assistance mais plus souvent ils nous ont utilisé comme de la marchandise.

Ils ont infiltré pratiquement tous les aspects de la vie humaine et détiennent des positions de pouvoir. Les Reptiliens manipulent nos élites, dirigent nos institutions, et organisations. Ils ont construit un système financier et influencent toutes les religions.

La race souterraine des reptiliens contrôle tous les médias et toutes les entreprises. Ils sont derrière la plupart des crimes contre l’humanité.

Les Indiens Hopi du nord de l’Arizona ont des traditions qui rappellent une époque où leurs « frères serpents » construisaient et occupaient des villes souterraines en Arizona, en Californie, au Mexique et en Amérique centrale.

On pense qu’une telle ville souterraine a été construite sur la côte ouest, près de l’océan Pacifique, sous Los Angeles, en Californie.

Curieusement, la recherche d’un ingénieur pour retrouver la cité souterraine mythologique de Los Angeles a acquis suffisamment de crédibilité pour que ses efforts soient présentés en première page du journal Los Angeles Times, le 29 janvier 1934.

En haut, au centre de la première page, se trouve une représentation artistique des quatre cavaliers de l’Apocalypse. Sous l’image se trouve un article intitulé,
« La cité des catacombes du peuple lézard traquée : un ingénieur creuse un puits sous Fort Moore Hill pour trouver un labyrinthe de tunnels et des trésors inestimables d’habitants légendaires. »

La ville animée de Los Angeles, bien que peu consciente de son existence moderne, se dresse au-dessus d’une cité perdue de catacombes remplies de trésors incalculables et de documents impérissables sur une race d’humains plus avancés intellectuellement que le type le plus élevé des peuples actuels, selon la croyance de G. Warren Shufelt, ingénieur minier géophysicien maintenant engagé dans une tentative d’arracher à la cité perdue au plus profond de la terre sous Fort Moore Hill les secrets du peuple lézard de renommée légendaire dans les pavillons de médecine des Indiens d’Amérique.

Shufelt et une petite équipe d’assistants sont si fermement convaincus qu’un labyrinthe de catacombes et de tablettes d’or inestimables se trouve sous le centre-ville de Los Angeles que l’ingénieur et ses assistants ont déjà creusé un puits de 75 mètres dans le sol, l’embouchure du puits se trouvant sur l’ancienne propriété de Banning, sur la rue North Hill, surplombant Sunset Boulevard, Spring Street et North Broadway.

Et l’ingénieur est si convaincu de l’infaillibilité d’un radio-rayon X qu’il a mis au point pour détecter la présence de minéraux et de tunnels sous la surface du sol, un appareil avec lequel il dit avoir tracé un schéma de catacombes et de voûtes formant la cité perdue, qu’il prévoit de continuer à creuser son puits jusqu’à atteindre une profondeur de 300 mètres avant d’arrêter les opérations.

Shufelt apprit l’existence de la légende du peuple lézard après que sa radio à rayons X l’eut conduit ici et là, sur une zone s’étendant de la bibliothèque publique de West Fifth Street jusqu’au musée du sud-ouest, sur Museum Drive, au pied du mont Washington.

« Je savais que j’étais au-dessus d’un réseau de tunnels », a expliqué hier l’ingénieur, « et j’avais cartographié le parcours des tunnels, la position des grandes salles disséminées le long du parcours du tunnel, ainsi que la position des gisements d’or, mais je ne pouvais pas en comprendre la signification. »

Shufelt fut ensuite emmené auprès du petit chef Greenleaf de la loge médicale des Indiens Hopi en Arizona, dont le nom anglais est L. Macklin. L’Indien a fourni à l’ingénieur une légende qui, selon les deux hommes, concorde exactement avec ce que Shufelt dit avoir trouvé.

Selon la légende racontée à Shufelt par Macklin, la radiographie a révélé l’emplacement de l’une des trois cités perdues de la côte Pacifique, la cité locale ayant été creusée par le peuple lézard après la « grande catastrophe » survenue il y a environ 5 000 ans.

Cette catastrophe légendaire se présentait sous la forme d’une immense langue de feu, qui,

« est venu du Sud-Ouest, détruisant tout sur son passage » (suite à la page 5, colonne 2) « … le chemin étant large de plusieurs centaines de kilomètres. »

La cité souterraine a été creusée pour échapper aux futurs incendies.

La cité perdue, creusée avec des produits chimiques puissants par le peuple lézard au lieu de pioches et de pelles, a été drainée dans l’océan, où ses tunnels ont commencé, selon la légende.

La marée passait quotidiennement dans et hors des portails des tunnels inférieurs et forçait l’air dans les tunnels supérieurs, fournissant une ventilation et « nettoyant et assainissant les tunnels inférieurs », dit la légende.

De grandes salles dans les dômes des collines au-dessus de la cité des labyrinthes abritaient 1000 familles « à la manière de grands bâtiments » et des réserves de nourriture impérissables de la variété des herbes étaient stockées dans les catacombes pour fournir de la nourriture au peuple lézard pendant une longue période de temps jusqu’à ce que le prochain incendie balaye la terre.

Les Lézards, selon la légende, considèrent le lézard comme un symbole de longue vie.

Leur ville est disposée comme un lézard, selon la légende, sa queue au sud-ouest, bien en dessous des rues Fifth et Hope, sa tête au nord-est, à Lookout et Marda.

La salle des clés de la ville est située directement sous South Broadway, près de la rue Second, selon Shufelt et la légende. Cette salle des clés est le répertoire de toutes les parties de la ville et de toutes les tablettes d’enregistrement, selon la légende.

Tous les enregistrements devaient être conservés sur des tablettes d’or, longues de quatre pieds et larges de quatorze pouces.

Sur l’une de ces tablettes d’or, l’or ayant été le symbole de la vie pour le légendaire peuple des Lézards, se trouve le récit de l’histoire des Mayas et sur une tablette particulière, dont le coin sud-ouest sera manquant, se trouve le « récit de l’origine de la race humaine ».

Shufelt a déclaré avoir pris des « photos aux rayons X » de trente-sept de ces comprimés, dont trois ont leurs coins sud-ouest coupés.

« Mes images radiographiques des tunnels et des salles, qui sont des vides souterrains, et des images dorées aux coins, aux côtés et aux extrémités parfaits, sont la preuve scientifique de leur existence », a déclaré Shufelt.

« Cependant, l’histoire légendaire doit rester une spéculation mise au jour par des fouilles. »

Selon Macklin, les Lézards étaient d’un niveau intellectuel bien supérieur à celui des êtres humains modernes. Les réalisations intellectuelles de leurs enfants de 9 ans étaient égales à celles des diplômés universitaires d’aujourd’hui, a-t-il déclaré.

Ces gens étaient si avancés scientifiquement qu’en plus de perfectionner une solution chimique grâce à laquelle ils foraient sous terre sans enlever de terre ni de roche, ils ont également développé un ciment bien plus résistant et meilleur que tout ce qui est utilisé à l’époque moderne avec lequel ils tapissaient leurs tunnels et leurs chambres.

Macklin a déclaré que le conseil légendaire donné aux Indiens d’Amérique était de chercher la cité perdue dans une zone située à l’intérieur d’une chaîne de collines formant « la grenouille d’un sabot de cheval. Le contour des collines entourant cette région forme un tel dessin, corroborant les découvertes de Shufelt », a-t-il déclaré.

L’appareil radio de Shufelt consiste principalement en un boîtier cylindrique en verre à l’intérieur duquel un plomb attaché à un fil de cuivre tenu par l’ingénieur oscille continuellement, pointant, affirme-t-il, vers des minéraux ou des tunnels sous la surface du sol, puis tourne lorsqu’il se trouve au-dessus du minéral ou oscille dans le prolongement du tunnel lorsqu’il se trouve au-dessus de l’excavation.

Il a beaucoup utilisé cet instrument dans les champs miniers, a-t-il déclaré.

source : https://www.bibliotecapleyades.net/sumer_anunnaki/reptiles/reptiles27.htm

https://www.bibliotecapleyades.net/sumer_anunnaki/reptiles/reptiles31.htm

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J’ai grandi à Greenville, en Caroline du Sud, et j’ai entendu parler de l’homme-lézard pour la première fois à l’âge de dix ans, lors d’un camp de basket-ball. Le gamin qui m’a fait découvrir la légende était originaire de Sumter, en Caroline du Sud, et il arborait une queue de rat et un accent dans la voix qui faisait honte à mon léger accent du Sud. Ce gamin a peint une histoire de violence et d’horreur : une bête reptilienne aux yeux rouges, haute de deux mètres et dotée de trois griffes, cherchant constamment à mutiler les gens, les voitures et les pneus près des abords du marais.

« Ne sors jamais seul la nuit. C’est là qu’il te trouvera. »

J’ai fait des cauchemars avec l’Homme Lézard en vedette. Mais, comme pour la plupart des choses qui n’étaient pas appelées « masturbation » durant mon adolescence, j’ai arrêté de m’y intéresser.

Plus tôt ce mois-ci, l’Homme Lézard a fait la une des journaux nationaux en étant photographié et filmé en train de se promener dans les bois. À part une série d’empreintes de pas trouvées à l’extérieur d’un hangar à haricots beurre en 1988, il existe très peu de preuves physiques de l’existence de l’Homme Lézard. Sur la photo la plus récente, l’Homme Lézard est ridiculement costaud et semble se pavaner comme Ric Flair, mais il possède toutes les caractéristiques clés : les trois griffes, les yeux rouges, des pieds qui pourraient faire des empreintes de pas.

En même temps que l’intérêt renouvelé, les articles de presse, les tweets et les messages, la plupart offrant un air de supériorité de la part des grands médias, ont fait leur apparition. J’ai vu les taquineries, j’ai vu les mèmes. Se moquer des cryptides est une tâche facile, mais se moquer des sudistes qui rapportent ces observations, c’est comme donner un coup de pied dans le fruit que vous avez déjà fait tomber par terre. Cette légende imprègne mon État et est indélébilement liée au comté de Lee. L’homme-lézard est bien plus qu’une chute de blague. Même si cette photo ressemble à celle d’un herpétophile ennuyé et adepte de la couture, comment peut-on affirmer avec certitude que l’homme-lézard existe ou non ? Qu’est-ce qui est le plus effrayant : ce que nous ne savons pas ou ce que nous pensons savoir ?

Les grands hommes-phalènes (Mothman) de la constellation du Draco sont une race qui visite la Terre. Ils ont une taille de 2,40m, sombres. Ils sont nocturnes. Leurs yeux sont rouges et brillent dans le noir ; ils ont des ailes pour voler. Ils sont liés aux légendes du passé sur les Gargouilles et les Valkyries. Ils n’ont pas beaucoup d’influence sur Terre à notre époque, autre que créer la panique et d’être cause de curiosité. Ils sont le plus souvent cachés en souterrain et ne désirent pas attirer l’attention.

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LES HUMAINS SONT-ILS ISSUS DES REPTILES ?

Aussi longtemps que l’humanité a gardé des traces de son existence, les légendes d’une race de serpents ont persisté.

Ces mythes parlent d’une mystérieuse race d’êtres reptiliens surhumains qui sont descendus des cieux pour participer à la création de l’humanité et pour enseigner les sciences, transmettre des connaissances interdites, imposer l’ordre social, se reproduire avec nous et veiller à notre développement.

Ces êtres ressemblant à des serpents n’étaient pas seuls, mais faisaient partie d’une suite d’êtres surhumains que les anciens considéraient comme des dieux. Pourtant, dans des cultures aussi répandues et diverses que celles de Sumer, de Babylone, d’Inde, de Chine, du Japon, du Mexique et d’Amérique centrale, les dieux reptiliens ont été craints et vénérés. À ce jour, le dragon et le serpent symbolisent l’héritage divin et la royauté dans de nombreux pays asiatiques, tandis qu’en Occident, le serpent représente la sagesse et la connaissance.

Le symbole de deux serpents enroulés autour d’un bâton (qui signifiait à l’origine l’arbre de la connaissance du mythe antique), connu sous le nom de caducée, est aujourd’hui utilisé par l’American Medical Association comme logo.

Il est intéressant de noter que des histoires d’êtres reptiliens qui exercent un contrôle mental sur des captifs humains tout en effectuant des procédures médicales sur eux ont émergé des recherches de certains enquêteurs sur les ovnis les plus connus, tels que Budd Hopkins, John Carpenter, Linda Moulton Howe, Yvonne Smith et d’autres.

Ces histoires, racontées par des Américains moyens et mentalement compétents, sont apparues indépendamment les unes des autres dans différentes parties du pays, mais n’ont pas encore reçu beaucoup d’attention du public.

Elles racontent des rencontres humaines avec des créatures qui ont des caractéristiques nettement reptiliennes :

• mains palmées en forme de griffes
• grands yeux dorés avec pupilles fendues verticalement
• peau écailleuse, brun verdâtre

De telles histoires circulent depuis de nombreuses années dans la communauté des chercheurs sur les ovnis, mais peu d’experts savent comment les interpréter.

Ces histoires sont si incroyables et si effrayantes que, par le passé, de nombreux chercheurs les ont simplement conservées dans leur esprit pour s’y référer plus tard, plutôt que de risquer de passer pour des idiots ou d’être ridiculisés. Petit à petit, lors de conférences sur les ovnis organisées dans tout le pays, les personnes enlevées et les chercheurs ont appris des expériences similaires avec des créatures reptiliennes, et peu à peu les histoires sont devenues publiques.

Aujourd’hui, les chercheurs s’accordent à dire qu’il existe une variété d’entités impliquées dans le scénario d’enlèvement par des extraterrestres, notamment :

• les familiers Gris
• les grands blonds à l’apparence humaine (Nordiques)
• les reptiliens (Anunnaki)
• les hybrides (mi-humains et mi-extraterrestres)

De plus, il semble y avoir des variations de chacun de ces types, ce qui implique des croisements et une diversité considérable. On ne comprend pas clairement comment chaque type interagit avec les autres, bien qu’ils soient souvent observés ensemble.

Les découvertes du MUFON

John Carpenter suit de près le phénomène des enlèvements. Il est le directeur de la recherche sur les enlèvements du Mutual UFO Network (MUFON), l’une des organisations les plus importantes et les plus crédibles dédiées à l’étude scientifique des OVNIs et des enlèvements. Carpenter est titulaire d’une maîtrise en travail social et est un hypnothérapeute hautement qualifié qui travaille comme travailleur social psychiatrique à Springfield, dans le Missouri.

Depuis la fin des années 1980, il a travaillé avec plus de 100 personnes abductées et a compilé des informations sur des centaines d’autres. De plus, il est en contact avec d’autres chercheurs dans le domaine. Il a été impliqué dans 10 cas où des personnes ayant vécu l’expérience ont décrit des entités reptiliennes, et il connaît des chercheurs dans d’autres régions du pays qui ont des cas similaires. Les personnes enlevées ont souvent des coupures et des ecchymoses distinctes ressemblant à des griffes sur leur corps après leurs enlèvements apparents.

Carpenter a résumé ce qu’il sait de ces êtres dans sa chronique régulière, « Abduction Note », MUFON UFO Journal, avril 1993 :

« En général, ces créatures reptiliennes mesurent entre 1,80 et 2,10 mètres de haut, sont dressées, ont des écailles semblables à celles d’un lézard, sont de couleur verdâtre à brunâtre et ont des mains palmées à quatre doigts en forme de griffes. … Leur visage serait un croisement entre celui d’un humain et celui d’un serpent, avec une crête centrale descendant du sommet de la tête jusqu’au museau. Leur apparence de serpent est renforcée par leurs yeux qui ont des fentes verticales dans leurs pupilles et des iris dorés. »

L’ aspect le plus effrayant et le plus controversé de ces histoires est peut-être celui des allégations selon lesquelles les créatures auraient occasionnellement des relations sexuelles avec les personnes enlevées.

Les conclusions de Carpenter sont appuyées par une étude du MUFON, financée par le Fond pour la recherche sur les ovnis. Cette étude de grande envergure, connue sous le nom de « Projet de transcription des enlèvements », vise à recueillir et à corréler des informations sur des centaines de cas d’enlèvements grâce à l’utilisation d’une base de données informatique sophistiquée.

En juillet 1995, lors du symposium de l’organisation à Seattle, Washington, Dan Wright a résumé les conclusions en se basant sur 142 cas distincts et 560 transcriptions.

Wright a déclaré :

« Une lecture attentive de ces séances indique clairement que de multiples groupes d’entités s’immiscent régulièrement dans la vie des Américains – enfants comme adultes… Lorsqu’un soi-disant reptilien est décrit à plusieurs reprises comme ayant le même teint écailleux, des griffes en guise de doigts et un intérêt extrême pour la sexualité, il faut y prêter attention. »

Les résultats préliminaires de l’étude indiquent que les types reptiliens ont été signalés dans un pourcentage relativement faible (moins de 20 %) des cas étudiés.

Ils ne sont Pas de cette galaxie

Que les êtres rapportés par les abductés soient des Gris, des blonds, des reptiliens ou toute autre variété, le scénario du phénomène d’enlèvement est assez cohérent parmi les milliers de cas étudiés jusqu’à présent.

En plus de subir de nombreuses procédures médicales, les abductés rapportent également avoir reçu des informations sous forme de symboles ou d’images, dont la signification est souvent obscure, mais qui ont en grande partie à voir avec les futures catastrophes terrestres.

Les êtres se désignent parfois eux-mêmes comme les « Observateurs », les « Gardiens » ou les « Gardiens de l’humanité » et de tous les êtres vivants sur Terre ; et ils disent qu’ils se préparent pour le temps dans un avenir proche où les changements globaux affecteront considérablement la vie sur notre planète. Dans certains cas, ils ont indiqué qu’ils venaient de diverses parties de l’Univers, y compris d’autres galaxies, ou d’« un endroit très éloigné ».

L’ aspect le plus troublant des procédures rapportées est certainement le fait que les hommes et les femmes enlevés, mais le plus souvent les femmes, rapportent qu’on leur montre des pièces remplies de centaines de tubes de verre dans lesquels des fœtus hybrides sont cultivés, un peu comme dans un jardin hydroponique. Dans de nombreux cas, on montre aux personnes qui ont vécu l’expérience des nurseries de nourrissons hybrides ou des pièces remplies d’enfants hybrides d’âges divers.

Les êtres amènent souvent un nourrisson ou un enfant aux femmes pour qu’elles le prennent dans leurs bras et l’aiment, et on leur dit que c’est leur enfant.

Ces événements ont été rapportés par Betty Andreasson Luca, enlevée par des extraterrestres, dont le cas fait l’objet d’une enquête depuis plus de 20 ans et qui a fait l’objet de quatre livres de l’enquêteur sur les ovnis, Ray Fowler.

Dans son livre, The Watchers, Fowler relate une séance d’hypnose au cours de laquelle Betty se souvient que les êtres qui l’avaient emmenée à bord de leur vaisseau lui ont dit que « l’homme deviendra stérile » à cause de l’environnement pollué. De plus, on lui dit qu’il y a des « bons et des mauvais observateurs », que Betty appelle des « anges ».

On l’avertit qu’il y en a qui sont « contre l’homme, qui vont lui faire du mal et le détruire ».

Preuves des Manuscrits de la Mer Morte

Des références aux Veilleurs, aux bons et mauvais anges, et aux bébés hybrides, peuvent être trouvées dans de nombreux textes anciens, y compris l’Ancien Testament, qui s’inspire largement de documents plus anciens, notamment les Livres d’Enoch.

Le prophète Enoch est mentionné dans la Genèse comme le fils de Caïn et le père de Mathusalem, et il est considéré comme l’un des patriarches antédiluviens (pré-déluge) qui, avec Noé, « marchaient avec Dieu » (Genèse 5:24 ; 6:9).

Les livres écrits par des auteurs anonymes, mais attribués à Enoch, ont reçu une grande crédibilité auprès des premiers érudits juifs et ont ainsi influencé les auteurs de l’Ancien Testament. Des parties des Livres d’Enoch écrites en araméen ont été retrouvées parmi les morceaux de parchemin dans les grottes de Qumran en 1947, après y avoir été placées il y a près de 2 000 ans par une secte juive connue sous le nom d’Esséniens.

Il s’agit bien sûr des Manuscrits de la mer Morte. Il existe une autre version en éthiopien.

Selon les textes araméens, « Enoch fut le premier parmi les enfants des hommes nés de la Terre qui avaient appris l’écriture, la science et la sagesse » des anges.

Dans un écrit, le « Livre des Veilleurs », nous apprenons que les Veilleurs sont des anges et qu’il y a de bons et de mauvais Veilleurs.

On nous dit que les Veilleurs sont des anges du Seigneur, « descendus sur Terre pour instruire les enfants des hommes et pour faire régner la justice et l’équité sur Terre ». Mais dans le cas des anges méchants ou mauvais, la science qu’ils enseignent se tourne vers des fins mauvaises à cause de leurs péchés. Leur péché est qu’ils permettent à leur appétit sexuel de les dominer :

« Quand les mauvais veilleurs descendirent et virent les filles des hommes, ils commencèrent à se corrompre avec elles. Quand les fils de Dieu virent les filles des hommes, ils ne purent réprimer leur inclination. »

Ces Veilleurs tombent en disgrâce auprès de Dieu lorsqu’Enoch se rend au ciel sous une forme physique pour témoigner contre eux.

Il dit à Dieu que les Veilleurs « avaient commencé à aller vers les filles des hommes, de sorte qu’elles devinrent impures ». En guise de punition pour les péchés des Veilleurs maléfiques contre l’humanité, Dieu détruit l’humanité, y compris la race hybride d’êtres qui sont la progéniture des humains et des Veilleurs, en provoquant un grand déluge.

Les Veilleurs maléfiques sont jetés dans une fosse de feu et emprisonnés par les quatre chefs des bons Veilleurs, les Archanges,

• Michael
• Sariel
• Rafael 
• Gabriel

Une autre référence intéressante aux Veilleurs a été trouvée dans la même grotte que les Livres d’Enoch, mais elle n’a été connue qu’en 1992, lorsque deux érudits bibliques, Robert Eisenman et Michael Wise, ont publié leur livre, The Dead Sea Scrolls Uncovered.

Parmi les 50 documents publiés pour la première fois dans ce livre, il y a une référence aux Veilleurs qui est unique, car elle fournit l’une des rares descriptions physiques d’eux.

Le texte, appelé le « Testament d’Amram », décrit l’expérience d’une personne nommée Amram dans laquelle « un ange et un démon » luttaient pour son âme :

« [J’ai vu des Veilleurs] dans ma vision, la vision du rêve. Deux [hommes] se battaient pour moi. Je leur ai demandé : « Qui êtes-vous, pour avoir ainsi le pouvoir sur moi ? » Ils m’ont répondu : « Nous [avons été] habilités et régnons sur toute l’humanité. » Ils m’ont dit : « Lequel d’entre nous choisis-tu pour [te] gouverner ? » J’ai levé les yeux et j’ai regardé.

[L’un] d’eux était terrifiant dans son apparence, [comme un serpent, [son] manteau [de chêne] multicolore mais très sombre. … [Et je regardai à nouveau], et … dans son apparence, son visage comme une vipère. … [Je lui répondis], « Ce [veilleur], qui est-il ? » Il me répondit, « Ce [veilleur], … [et ses trois noms sont Bélial et Prince des Ténèbres] et Sorte de Mal. »

Ce qui rend ce testament encore plus intriguant, c’est le fait que ce personnage peu connu, nommé Amram, est un personnage très important. Il s’avère qu’Amram était le père d’un des plus célèbres contactés de l’histoire, l’homme qui a délivré les Juifs de l’esclavage en Égypte.

Cette personne n’est autre que Moïse !

Dieux reptiliens extraterrestres

Si c’était la seule référence aux êtres reptiliens dans les textes anciens, elle pourrait facilement être écartée, mais les histoires de telles créatures remontent aux premiers écrits humains, ceux de Sumer (qui signifie « terre des gardiens »), de Babylone (qui signifie « porte des dieux ») et d’autres civilisations de l’ancienne Mésopotamie.

Parmi les milliers de tablettes d’argile qui ont été récupérées et traduites datant des premières traces de l’histoire, on trouve des documents qui relatent des événements remontant à 240 000 ans.

L’une d’entre elles, la Liste des rois sumériens, raconte l’histoire du dieu Anu, dieu principal d’une race extraterrestre appelée les Anunnaki, et de ses fils, Enki et Enlil.

Il ressort clairement des textes et des illustrations laissés par les Sumériens qu’au moins certains de ces « dieux », dont Enki (également connu sous le nom d’Ea), avaient une apparence reptilienne.

C’est Enki qui a donné aux premiers hommes le fruit de l’arbre de la connaissance et qui a sauvé l’humanité plus tard en avertissant un personnage semblable à Noé du grand déluge.

Ces histoires sont si semblables à l’Ancien Testament qu’on ne peut que conclure que les auteurs de l’Ancien Testament s’en sont largement inspirés. Dans le conte sumérien, Enki est chargé de créer une force de travail pour aider les Anunnaki à labourer le sol et à extraire le minerai pour lequel ils sont venus sur Terre. Il y parvient au prix de nombreux essais et erreurs, créant ainsi d’étranges créatures.

La légende implique qu’Enki possédait une technologie très avancée qui comprenait la capacité de modifier génétiquement les espèces indigènes. En utilisant un procédé mystérieux pour créer une substance semblable à de l’argile, il a pu « y lier l’image des dieux », ce qui indique qu’Enki a utilisé les gènes des Anunnaki pour créer une espèce hybride. Elle implique également que certains des premiers humains pouvaient avoir une apparence reptilienne.

Nos ancêtres reptiliens

Aussi ridicule et répugnant que cela puisse paraître, il est communément admis par la science moderne que les premiers ancêtres de l’humanité étaient peut-être des reptiles.

Selon l’explication darwinienne des origines de l’espèce humaine, les mammifères ont évolué à partir des reptiles et n’ont pris le contrôle de la Terre qu’après une grande catastrophe de nature discutable qui a détruit les dinosaures. On suppose que ce n’est qu’à ce moment-là que les mammifères ont pu proliférer et finalement évoluer en êtres intelligents. Il est assez remarquable que l’ancienne histoire sumérienne de la création soit si étroitement parallèle à la vision darwinienne.

Dans les deux cas, les humains sont censés être apparentés à une race reptilienne supérieure et, dans les deux cas, un grand cataclysme éradique l’espèce primitive. (Dans la Bible, c’est la race hybride de géants connus sous le nom de Nephilim que Dieu souhaitait détruire.) Enfin, dans les deux histoires, les survivants de la catastrophe prennent un nouveau départ et finissent par devenir des humains.

Dans son livre, Les Dragons de l’Eden, l’éminent astronome Dr. Carl Sagan spécule sur les origines reptiliennes des humains et sur le saut mystérieux dans l’évolution du cerveau que l’on peut trouver dans les fossiles.

Il note que si les humains avaient évolué naturellement à partir des reptiles, comme le prétendent les darwinistes, il aurait fallu 200 millions d’années aux mammifères pour évoluer d’abord, puis cinq à dix millions d’années supplémentaires aux humains. Mais il remarque, avec une extrême perplexité, que les fossiles ne confirment tout simplement pas cette conclusion. En fait, l’évolution des mammifères, et particulièrement des humains, s’est accomplie très rapidement, « dans une explosion majeure d’évolution du cerveau ».

La preuve en est claire dans le fait que les outils en pierre n’apparaissent pas progressivement, mais plutôt « en très grande quantité d’un seul coup ». Frustré, Sagan conclut qu' »il n’y a aucun moyen d’expliquer cela à moins que les Australopithèques aient eu des institutions éducatives » pour enseigner la fabrication d’outils. Bien sûr, il existe une autre explication, mais aucune qu’aucun scientifique conventionnel n’oserait envisager.

L’ alternative consiste à admettre que Dieu ou des êtres divins ont joué un rôle dans l’accélération du processus évolutif.

La partie reptilienne du cerveau

Sagan continue à s’interroger sur les similitudes entre le cerveau reptilien et le cerveau humain.

Il souligne qu’au cœur du cerveau humain se trouve un vestige de notre passé reptilien. Cette partie du cerveau, connue sous le nom de complexe R (complexe reptilien), serait la partie de l’esprit qui exécute les fonctions des dinosaures – comportement agressif, territorialité, rituel et établissement de hiérarchies sociales.

La couche intermédiaire est appelée le système limbique et est censée générer l’amour, la haine, la compassion et la sentimentalité – des caractéristiques considérées comme strictement mammifères. La plus grande partie du cerveau humain, le néocortex ou couche externe, est censée être le foyer du raisonnement et de la délibération et « l’endroit où nous connaissons la différence entre le bien et le mal ».

Une fois de plus, la science semble être d’accord avec les mythes de la création antique, car c’est la connaissance du bien et du mal (donnée par un serpent) qui a conduit la femme puis l’homme à tomber en disgrâce auprès de leur créateur. Si le créateur était reptilien, il se pourrait alors qu’en devenant mammifère – et en développant un néocortex – l’humanité soit devenue moins reptilienne, tombant ainsi en disgrâce.

D’autres textes anciens confirment cette conclusion troublante. En 1945, dans une petite ville d’Égypte, on a découvert une jarre en argile contenant des parchemins anciens similaires à ceux de la mer Morte. Ces textes sont connus sous le nom de Textes de Nag Hammadi, du nom de la ville où ils ont été découverts.

Ils racontent ainsi l’histoire de la création humaine :
Les corps d’Adam et d’Ève étaient recouverts d’une peau cornée aussi brillante que la lumière du jour, comme un vêtement luminescent.

Il semble donc qu’ils n’avaient pas besoin de vêtements.

De plus, ces textes racontent une histoire de l’arbre de la connaissance bien différente de celle racontée dans la Genèse :

« Elle prit de son fruit et en mangea, puis elle en donna aussi à son mari. … Alors leurs esprits s’ouvrirent. Car lorsqu’ils mangèrent, la lumière de la connaissance brilla pour eux. Lorsqu’ils virent leurs créateurs, ils les haïrent, car ils avaient des formes bestiales. Ils comprirent beaucoup de choses. »

Dans un autre ancien document juif, connu sous le nom de Haggadah, il est clairement indiqué que le serpent n’était pas simplement un serpent :

« Parmi les animaux, le serpent était remarquable. De tous, il possédait les qualités les plus excellentes, dont certaines ressemblaient à l’homme. Comme l’homme, il se tenait debout sur deux pieds et, en taille, il était égal au chameau. …

Ses dons mentaux supérieurs l’ont amené à devenir infidèle. Cela explique également son envie envers l’homme, en particulier ses visites conjugales. … En punition pour avoir tenté Ève, Dieu dit : « Je t’ai créé pour être le roi des animaux… mais tu n’as pas été satisfait. … Je t’ai créé avec une posture droite… c’est pourquoi tu marcheras sur ton ventre. »

Ces indices fascinants du passé lointain semblent au moins étayer quelque peu l’idée selon laquelle les occupants actuels des OVNIs, reptiliens ou non, sont exactement ce qu’ils prétendent être : les anciens gardiens de l’humanité. Si tel est le cas, alors la théorie selon laquelle les OVNIs sont pilotés par des extraterrestres venus d’autres planètes doit être soigneusement réévaluée. Mais quelle que soit la réponse, il est clair que les chercheurs sur les OVNIs ont fort à faire pour résoudre ce mystère persistant et déroutant.

source : https://www.bibliotecapleyades.net/vida_alien/esp_vida_alien_28.htm

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UN ANCIEN MEMBRE DU PENTAGONE RÉVÈLE QUELQUE CHOSE DE PERTURBANT SUR LES REPTILIENS

Et si je te disais que le président des États-Unis, D.T. Harrington, non seulement a eu un contact avec des êtres reptiliens… Mais qu’il existe un pacte officiel, signé par lui, donnant à ces entités l’accès au sous-sol américain — en échange de quelque chose que jamais un être humain ne devrait contrôler ?

Ce n’est pas une théorie comme les autres. C’est une histoire qui traverse des tunnels secrets, des documents jamais révélés au public, des codes cachés dans des discours présidentiels… Et une série de décisions qui n’ont jamais été validées par le Congrès, ni par aucune instance démocratique. Derrière les discours sur les crises, les ennemis invisibles et les menaces extérieures… il y avait autre chose. Quelque chose qui n’est pas humain. Une présence qui agissait à ses côtés, à l’intérieur même de la Maison-Blanche — et en dehors de notre réalité — et qui pourrait encore y être aujourd’hui.

Ce que tu t’apprêtes à voir n’est pas une fiction. C’est un témoignage qui remet en question tout ce qu’on pense savoir sur ceux qui dirigent vraiment notre planète.