Disparition de la Civilisation Atlante & Le Déluge

Qui étaient Les Atlantes ?

Pour bien comprendre le présent il faut examiner le passé. À une époque très reculée de notre histoire il existait deux races qui peuplaient la Terre. Nous avions la race Atlante qui habitait l’Atlantide et la race des Lémuriens qui étaient les habitants de la Lémurie, plus connue sous le nom de Continent Mu.

Les Atlantes étaient un peuple de géants qui étaient de grands bâtisseurs. 

Platon est l’inventeur du mythe de l’Atlantide. Cependant, bien qu’il soit le 1er à avoir parlé longuement de ce pays imaginaire (essentiellement pour pouvoir décrire la société idéale selon lui), d’autres auteurs grecs avaient parlé des Atlantes bien avant lui. 

Le plus éminent des auteurs, auxquels nous devons des renseignements précis sur les peuples anciens, est l’historien grec Hérodote (-484 /-420), surnommé à juste titre : « Le Père de l’Histoire ». 

Il se rendit lui même en Égypte, et remonta le Nil très en amont de son delta. Au contact des commerçants grecs de Cyrène et d’Égypte il récolta un grand nombre de renseignements sur les peuplades du Sahara et fut le premier à parler des Atlantes.

Parmi les peuples de Libye (Afrique du nord), il cite (en partant du delta du Nil et en longeant la Méditerranée vers l’ouest) : 

  • Les Adyrmachides, 
  • Les Giligames, 
  • Les Nasamons, 
  • Les Asbytes, 
  • Les Psylles, 
  • Les Maces, 
  • Les Guidames, 
  • Les Lotophages , 
  • Les Machlyes, Auses et Zauèces du lac Tritonis (Chott Djerid en Tunisie). 

Ces deux derniers peuples semblent correspondre aux Amazones de Diodore de Sicile. 

Les Atlantes auraient été vaincus par les Amazones

Dans le livre III de sa Bibliothèque historique, Diodore de Sicile (-1siècle av. J-C.) prétend que Cerné était une ville Atlante et qu’elle a été prise, ainsi que les îles des Gorgones, par les Amazones :

Les Amazones soumirent un grand nombre de Libyens et de nomades du voisinage et elles fondèrent à l’intérieur du lac Tritônis (l’actuel chott Djerid en Tunisie) une grande ville qui fut appelée Chersonèsos à cause de sa forme. Utilisant cette ville comme base, elles entreprirent de grandes opérations, animées qu’elles étaient d’un ardent désir d’envahir de nombreuses parties de la terre habitée. 

Leurs premières campagnes, dit-on, furent dirigées contre les Atlantes, les hommes les plus civilisés de ces régions, qui occupaient un pays prospère et de grandes villes ; à ce qu’on affirme, c’est chez eux que la légende place la naissance des dieux, dans les régions proches de l’Océan, en accord avec les légendes grecques.

On raconte donc que Myrina, la reine des Amazones, rassembla une armée composée de trente mille femmes d’infanterie et de trois mille cavalières (dans les guerres, ce peuple cherchait plus particulièrement à utiliser la cavalerie). Comme armes défensives, elles utilisaient des peaux de grands serpents, les animaux de cette espèce étant en Libye d’une taille incroyable, et comme armes offensives, les épées et les lances, ainsi que des arcs, avec lesquels non seulement elles tiraient de face, mais encore, quand elles faisaient retraite, se retournant en arrière, elles décochaient avec sûreté des traits sur leurs poursuivants. 

Ayant donc envahi le pays des Atlantes, elles vainquirent dans une bataille rangée les habitants de la ville appelée Cerné ; et, après avoir poursuivi les fugitifs jusqu’à l’intérieur des murs, elles s’emparèrent de la ville. Désireuses de frapper de terreur les peuples voisins, elles traitèrent cruellement leurs prisonniers ; elles passèrent les hommes adultes au fil de l’épée et, ayant réduit les enfants et les femmes en esclavage, elles rasèrent la ville. 

Comme le bruit du désastre des Cernéens s’était répandu auprès de tous les membres de ce peuple, on raconte que les Atlantes, terrorisés, livrèrent leurs villes par convention et promirent qu’ils feraient tout ce qu’on leur commanderait ; alors la reine Myrina, les traitant avec modération, conclut avec eux un traité d’amitié et, à la place de la ville rasée, elle en fonda une autre en lui donnant son propre nom ; elle y établit les prisonniers de guerre et tous ceux des indigènes qui le désiraient. 

Comme, par la suite, les Atlantes lui offraient des cadeaux somptueux et lui votaient publiquement des honneurs considérables, elle accepta ces marques de leur attachement et promit en retour d’accorder ses bienfaits à leur peuple.

Où se trouvait l’île de Cerné ?

Pline l’Ancien (23 av. J-C – 79 ap. J-C), au livre VI de son Histoire naturelle, parle aussi de Cerné et de l’Atlantide :

À l’opposite du golfe Persique et vis-à-vis de la côte d’Éthiopie, est située l’île Cerné. On ne connaît au juste ni sa grandeur ni sa distance. Polybe place cette Cerné à l’extrémité de la Mauritanie, vis-à-vis du mont Atlas, à huit stades du continent. Cornelius Nepos parle d’une Cerné à laquelle il ne donne pas plus de deux milles de circuit. En face du mont Atlas est, dit-on, l’île Atlantide, passé laquelle, à cinq journées de navigation, la terre ne présente plus que des déserts…

Diodore de Sicile (Livre V.XV) parle lui aussi d’une île dans l’Atlantique qui aurait été découverte par les Phéniciens Carthaginois… se pourrait-il qu’il parle des Açores ou même de l’Amérique ? 

Á l’occident de l’Afrique on trouve une île distante de cette partie du monde de plusieurs journées de navigation. Son terroir fertile est entrecoupé de montagnes et de vallées. Cette île est traversée par plusieurs fleuves navigables. Ses jardins sont remplis de toutes sortes d’arbres et arrosés par des sources d’eau douce. On y voit quantité de maisons de plaisance, toutes meublées magnifiquement, et dont les parterres sont ornés de berceaux couverts de fleurs…

Autrefois, elle était inconnue à cause de son grand éloignement, et les Phéniciens furent les premiers qui la découvrirent. 

… les Phéniciens ayant passé le détroit et voguant le long de l’Afrique, furent portés par les vents fort loin dans l’océan. La tempête ayant duré plusieurs jours, ils furent enfin jetés dans l’île dont nous parlons. Ayant connu les premiers sa beauté et sa fertilité, ils la firent connaître aux autres nations. Les Toscans, devenus les maîtres de la mer, voulurent aussi y envoyer une colonie, mais ils en furent empêchés par les Carthaginois. Ces derniers craignaient déjà qu’un trop grand nombre de leurs compatriotes, attirés par les charmes de ce nouveau pays, ne désertassent leur patrie. D’un autre côté, ils le regardaient comme un asile pour eux, si jamais il arrivait quelque désastre à la ville de Carthage. Car ils espéraient, qu’étant maîtres de la mer, comme ils l’étaient alors, ils pourraient aisément se retirer dans cette île, sans que leurs vainqueurs qui ignoreraient sa situation pussent aller les inquiéter là.

Les Atlantes habitaient l’Atlas

Au sud des peuples de la côte, était selon ses propres termes, « la Libye des bêtes sauvages », où une élévation sablonneuse s’étendait de Thèbes en Égypte jusqu’aux colonnes d’Héraklès (détroit de Gibraltar). 

Il situait à dix jours de Thèbes, les Ammoniens et l’Oasis d’Augila (l’actuelle Audjila), puis à dix jours encore les Garamantes situés quand à eux à trente jours de marche des Lotophages. Cette position géographique correspond à la ville de Garama alors capitale des Garamantes, connue aujourd’hui sous le nom de Djerma en Libye, au Sud de l’actuelle Tripoli. À dix jours des Garamantes, il présente les Atarantes et à dix jours encore, il situait les Atlantes qui habitent l’Atlas : 

 » Cette montagne est étroite et ronde de tous cotés et si haute, dit-on, qu’il est impossible d’en voir les sommets, car les nuages ne s’en écartent jamais, ni pendant l’été ni pendant l’hiver. Les gens du pays disent qu’elle est la colonne du ciel. C’est à cette montagne que les hommes doivent leur nom, car ils s’appellent Atlantes… Ils ne mangent aucune créature vivante et ne font jamais de rêves. « 

Pausanias de Sparte (2 siècle ap. J-C) parle aussi de ces Atlantes : 

 » Nous connaissons d’autres Éthiopiens voisins des Maures et dont le pays s’étend jusqu’à celui des Nasamons. Ces Nasamons, qui connaissent, disent-ils, les mesures de la terre, donnent le nom de Loxites aux peuples nommés Atlantes par Hérodote, et qui habitent les extrémités de la Libye vers le mont Atlas; ils ne sèment rien et vivent de raisins sauvages. « 

Le peuple des Loxites

Le périple d’Hannon cite ces mêmes Atlantes Loxites : 

… Continuant notre chemin, nous arrivâmes à la large rivière Lixus, qui vient de Libye et au-delà de laquelle des nomades appelés Lixites font paître leurs troupeaux. Nous restâmes un certain temps avec eux et ils devinrent nos amis.

Dans l’arrière-pays infesté de bêtes sauvages et hérissé de grandes montagnes, vivaient des Éthiopiens inhospitaliers. Ils disent que le Lixos coule de cette région et qu’au milieu de ces montagnes habitent des troglodytes, d’allure étrange, qui, d’après les récits des Lixites, peuvent courir plus vite que les chevaux.

En ce qui concerne le fleuve Lixos, Eratosthène (cité par Strabon) et Pomponius Mela disent qu’il donna son nom à la ville de Lixus. Il pourrait s’agir de Llegh sur l’actuel fleuve Ghâs Massa au sud d’Agadir, ou plutôt de Lixus (Lksh en phénicien), au sud de Tanger, sur l’oued Loukkos (Lekkous en phénicien). C’est à Lixus qu’on situait le jardin des Hespérides.

Diodore de Sicile rapproche d’ailleurs ces Hespérides (« celles du couchant ») des Atlantes :

Atlas eut d’Hespéris sept filles, appelées « Atlantides » du nom de leur père, et « Hespérides » de celui de leur mère. 

Les îles Hespérides

Pline l’Ancien parle également des îles des Hespérides (les actuelles Canaries) : 

On rapporte que, face au promontoire Hesperu, se trouvent les îles Gorgades (iles du cap vert), jadis le séjour des Gorgones, à deux jours de navigation du continent, ainsi que le rapporte Xénophon de Lampsaque.

Plus loin encore que les îles Gorgades, sont, dit-on, deux îles des Hespérides. Au reste, tout cela est tellement incertain, que Statius Sebosus a évalué la distance entre les îles des Gorgones et les îles des Hespérides à quarante journées de navigation le long de l’Atlas, et à une journée de navigation la distance entre les Hespérides et la Corne occidentale. Les renseignements sur les îles de la Mauritanie ne sont pas plus certains. On sait seulement qu’il y en a quelques-unes en face des Autololes, découvertes par Juba, qui y avait établi des fabriques de pourpre de Gétulie.

Dans le « Polyhistor », Caïus Julius Solin parle aussi des îles Hespérides et Gorgades :

Après avoir ainsi parcouru la mer Atlantique jusqu’à l’ouest, il est fait mention des îles Gorgades. Celles-ci sont situées, dit-on, en face du cap Hespérucéras. Les Gorgones les ont jadis habitées, et aujourd’hui encore un peuple monstrueux les occupe.

Au-delà des Gorgades sont les îles Hespérides, qui, selon Sébose, se prolongent dans la mer à une distance de quarante jours de navigation.

Il est certain, comme on le dit, que les îles Fortunées (Canaries) sont situées à gauche de la Mauritanie ; Juba les place au midi, mais toutefois se rapprochant beaucoup du couchant. Leur nom promet beaucoup ; mais la réalité est loin de ce qu’il faut attendre.

Le périple d’Annon continue ainsi : 

« Prenant des interprètes parmi les Lixites, nous naviguâmes pendant deux jours en direction du sud, le long d’un rivage désertique, puis une autre journée en direction de l’est. Nous trouvâmes une petite île de cinq stades de pourtour, à l’extrémité d’un golfe. Nous créâmes un établissement et l’appelâmes Cerné (Kerné). Nous avons estimé, en nous référant à notre itinéraire, que nous nous trouvions alors à l’opposé de Carthage, étant donné que le voyage de Carthage aux colonnes d’Hercule et de là jusqu’à Cerné semblait identique. »

Ce fort ou cette ville de Cerné pourrait se trouver vers la baie du Rio de Oro, où un îlot près de Dakhla porte encore le nom de Herné.

Polybe (cité par Pline), Denys le Périégète et Eustathe en parlent dans leurs livres et le Pseudo-Scylax prétend qu’au-delà de cette ville, la mer est infranchissable en raison de ses eaux boueuses :

Au delà du promontoire d’Hermès, est le fleuve Adonis, qui va se jeter dans le grand lac. On trouve ensuite le grand fleuve Lixos, sur les bords duquel est une ville phénicienne du même nom, … Après le fleuve Lixos vient le Crabis, sur lequel est Thymiateria, ville phénicienne avec un port. En sortant de cette dernière ville, vous découvrez le promontoire de Solœnte, qui s’avance beaucoup dans la mer… Sur le promontoire Solœnte, coule un fleuve qu’on appelle Xion, et dont les bords sont habités par une tribu d’Ethiopiens, appelés sacrés. Près de là est l’île Cerné.

La navigation, depuis les colonnes d’Hercule jusqu’au promontoire Hermès, est de deux jours depuis ce dernier lieu jusqu’au promontoire de Solœnte, de trois jours; et de Solœnte jusqu’à Cerné, de sept jours. Tout ce trajet depuis les colonnes d’Hercule jusqu’à l’île de Cerné, est de douze jours. Les mers qui sont au-delà de cette île, ne sont plus navigables, à cause de bas-fonds, des bancs de sables, et de l’algue marine qui couvre sa surface. Cette plante a une palme de largeur, et elle finit en une pointe tellement acérée, qu’elle tranche tout ce qui s’offre sur la surface de l’eau.

Platon dit la même chose à propos de la mer ou s’était abîmée l’Atlantide :

« … la mer qui se trouve là, n’est plus ni navigable, ni reconnue par personne, parce qu’il s’y est formé un limon provenu de la terre submergée.« 

Cette description d’une mer boueuse et encombrée d’algues fait curieusement penser à la mer des Sargasses.

Platon (philosophe grec 427-347 av. JC) : « En ces temps-là on pouvait traverser l’Atlantide. Il y avait une île en face de cet endroit que vous appelez les colonnes d’Hercule. Elle était plus grande que l’ensemble de la Lybie et de l’Asie. On pouvait facilement passer de ces îles aux autres puis à l’autre continent qui se trouvait sur la côte opposée. D’ici, le détroit dont nous parlons ressemble à un port avec une entrée étroite, mais c’est une véritable mer et la terre qui l’entoure un véritable continent. Dans cette énorme « île Atlantide » gouvernaient des rois au grand et merveilleux pouvoir; ils contrôlaient l’île et bien d’autres, et aussi quelques parties du continent. Ils régnaient aussi de la Lybie jusqu’en Egypte et, en Europe, jusqu’en Tyrrhénie… Le ciel s’est approché de la Terre et en seul jour tout a été recouvert par l’eau. Soudain, les montagnes ont pris la couleur du feu… Vous, les grecs, vous parlez d’un seul déluge bien qu’il y en a eu d’autres. »

Il est important de savoir que l’Atlantide dont la principale agglomération était Poseidonia occupait une grande partie de la planète. C’était une culture composée de nombreuses races, qui à leur apogée avaient de multiples contacts avec des êtres venus du cosmos qui leur ont transmis leur connaissances avancées dans les domaines de la science et de la technologie.

Actuellement nous possédons des preuves sur l’existence de cette civilisation, des Oopart venus de la planète entière, des pyramides gigantesques, des monolithes, des sarcophages, des vestiges d’un peuple de géants…

L’ Atlantide fût habitée pendant des dizaines de milliers d’années, mais la civilisation atlante a atteint son apogée entre 15 000 et 10 000 ans avant J-C

Sur le plan éthique et moral, c’était une civilisation très évoluée. Sur le plan technologique, en dépit de brillantes percées scientifiques, elle était beaucoup moins avancée que ce que les visions d’Edgar Cayce ont pu le faire supposer. Les Atlantes n’ont jamais eu à s’adapter à un milieu hostile, et leur évolution technologique s’est faite, non pas dans un contexte de contrainte environnementale, mais dans celui d’une société libérée des exigences de la lutte pour la vie.

Les Atlantes constituaient, dès le début, un groupe homogène. Ces ancêtres des Indiens actuels et de l’homme de Cro-Magnon mesuraient en moyenne 1m80. 

La civilisation Atlante est le fruit du rapprochement des différentes tribus qui habitaient l’île. Après avoir longuement vécu séparément, ces tribus décidèrent de coopérer pour faciliter les échanges et mettre les sols en valeur. Cette entente a abouti à une fédération. Vers 15 000 av. J-C., le 1er roi de l’Atlantide a été élu par l’Assemblée des représentants des tribus. Il y avait, en Atlantide, un régime de monarchie élective, un régime qui a très bien fonctionné. Les rois de l’Atlantide déléguaient beaucoup de leurs pouvoirs, leur rôle principal étant d’arbitrer entre les grandes options discutées par les Conseil de l’Assemblée des tribus. Les rois Atlantes ont été, pour la plupart d’entre eux, de remarquables gestionnaires, très soucieux de l’égalité des citoyens et de la prospérité commune.

Le système économique atlante pourrait être qualifié de patriarcal. La Maison Royale supervisait la production et la distribution de tous les biens et denrées, sous le contrôle des représentants de l’Assemblée des tribus. Le travail était obligatoire, l’oisiveté interdite. En échange, le roi veillait à une juste répartition des fruits de la production. Ceux qui étaient incapables d’exercer un métier ou de créer leur propre activité étaient réquisitionnés d’office et un travail leur était assigné; ils accomplissaient des tâches d’intérêt collectif. C’étaient en quelque sorte, des fonctionnaires. Hormis une aristocratie de mérite, dont l’influence était peu importante, et un corps de prêtres-médecins, très respecté, il n’y avait pas vraiment de distinction de classes à Atlantis. On entend, par « aristocratie de mérite », des gens qui ont rendu des services importants à la société, soit dans le cadre de leur activité professionnelle, soit au service du roi.

Ils venaient de tous les horizons et de tous les corps de métier. Leurs mérites étaient officiellement reconnus et récompensés par un titre honorifique et par des avantages matériels. Les membres de cette caste faisaient partie de la Maison Royale et pouvaient habiter, s’ils le désiraient, à l’intérieur de la triple enceinte des domaines de la Couronne. Leur seule obligation était de participer aux cérémonies officielles et de se rendre disponibles pour effectuer certaines missions au nom du roi.

Vers 14 000 ans av. J-C., les rois atlantes établirent un système éducatif ouvert à tout le monde. Ils créèrent des institutions spécialisées pour accueillir les sujets les plus doués et accordèrent une attention toute particulière aux sciences et aux techniques, dans l’intention d’améliorer le niveau de vie de leurs compatriotes. De ces institutions sortirent des générations d’excellents scientifiques et techniciens. Ceux-ci avaient droits à toutes les attentions et à toutes les faveurs des rois. Sous leur impulsion, la médecine, les mathématiques, la physique et la chimie, firent des progrès considérables. 

L’ innovation, en Atlantide, était plus le fruit de l’enthousiasme et de la curiosité scientifique que d’une nécessité dictée par les lois du marché. De plus, les scientifiques et les techniciens atlantes ne pouvaient s’appuyer, pour exploiter et banaliser leurs inventions, sur une base industrielle et productive. Aussi pourrions-nous qualifier d’ « artisanales » leurs réalisations scientifiques et techniques. 

Les Atlantes avaient percé « les secrets de la pesanteur », ils exploitaient l’énergie solaire en utilisant de façon astucieuse, les propriétés du cristal, et ils connaissaient l’électricité. C’étaient de grands architectes et de grands bâtisseurs.

Les Atlantes s’intéressaient tout particulièrement à l’environnement et aux écosystèmes. Ils respectaient la nature et les animaux; c’était aussi d’excellents agronomes. La génétique des plantes n’avait plus de secrets pour eux. Pour les Atlantes, la science n’était qu’un divertissement, et ils leur importaient surtout de vivre en harmonie avec la nature. Leur niveau de vie était modeste, et n’étaient pas obsédés par les biens matériels. 

Les Atlantes n’avaient pas le même sens de la propriété que nous, ils considéraient la terre et la nature comme des entités vivantes et estimait qu’elles appartenaient à tous. Ils partagent ce trait avec les Indiens d’Amérique, puisque ceux-ci sont les descendants directs des Atlantes.

Les techniques de manipulation de la pesanteur servaient principalement à transporter des matériaux lourds, notamment dans le cadre de la construction des grands édifices dont les architectes atlantes étaient très entreprenant.

Combinées à l’utilisation de l’énergie solaire, elles leur permirent de mettre au point des navires à propulsions rapide, des véhicules terrestres motorisés et des machines volantes assez rudimentaires.

Ils avaient perçu l’unité qui existe entre l’esprit, la pensée et la matière. La plupart des prêtres atlantes, maitrisaient la transmission de pensée, la télékinésie, la lévitation etc…

Presque tous ces prêtres pouvaient, à des degrés divers, faire léviter ou déplacer des objets. Les prêtres-médecins étaient en contact permanent avec le monde des esprits. Ils établissaient leurs diagnostics et décrivaient à leurs patients les traitements à suivre en se livrant à différentes formes de méditation. Ils puisaient leur savoir, leur inspiration, aux mêmes sources qu’Edgar Cayce.

Dans la période allant de 14 000 à 10 000 ans av. J-C., celle qui correspond au plein épanouissement de leur civilisation, les Atlantes avaient atteint les plus hauts niveaux jamais atteints par une civilisation terrestre.

C’était un peuple épris de spiritualité, profondément conscient de l’unité de toutes choses, ce qu’Edgar Cayce appelait la « Loi de UN », ou la croyance absolue que Dieu est au cœur de toute chose. Les Atlantes vivaient en harmonie avec eux-mêmes, Dieu, la nature, l’environnement, le monde animal et les autres peuples.

Pendant la plus grande partie de leur histoire, les Atlantes n’ont pas ressenti le besoin de s’implanter en dehors de leur île. Pourquoi seraient-ils allés chercher ailleurs les ressources naturelles qu’ils avaient à profusion, et la civilisation qu’ils possédaient déjà ? Par contre, la curiosité scientifique les amena à explorer le monde entier, ce qu’ils firent par air et par mer. Ils n’interféraient jamais avec les peuplades qu’ils rencontraient, de peur de perturber leur équilibre économique et social. Ils observaient mais gardaient leurs distances. Aussi étaient-ils considérés comme des dieux inaccessibles par les différents groupes humains dont ils croisaient la route.

Vers la fin de son histoire, la société Atlante fût confrontée à de graves difficultés. Vers 10 000 av. J-C., les rois atlantes ont commencé à s’éloigner des valeurs spirituelles qui avaient fait la force, pendant des millénaires, de la société atlante. Rompant avec la tradition, ils encouragèrent l’implantation de colonies atlantes en Europe, puis dans le Moyen-Orient et en Amérique. La population de l’Atlantide approchait alors les 60 millions d’individus. Au bout d’un certain temps, une fracture eut lieu entre les partisans d’un empire atlante dominateur et ceux qui prêchaient la fidélité à des traditions qui privilégiaient une vie simple, naturelle, et empreinte des valeurs spirituelles qui avaient assuré l’harmonie de leur société pendant des millénaires. Les prêtres perdirent peu à peu de leur influence. En quelques générations, la société atlante se laissa emporter par une vague de matérialisme dont les initiateurs étaient les élites politiques, administratives et scientifiques. Avec le matérialisme, vinrent le goût des richesses et du pouvoir, l’envie et la revendication, la dégénérescence des mœurs et la violence. Les quelques décennies qui précédèrent la catastrophe qui allait détruire l’Atlantide furent marquées par une exacerbation des antagonismes entre factions rivales. L’ Atlantide fut alors ravagée par des guerres meurtrières entre tribus. 

La puissance du cristal ayant été utilisée à des fins militaires, il en résulta d’épouvantables destructions. L’un des clans finit par l’emporter et imposa sa loi à tous les autres. Les vaincus, bannis, durent quitter l’Atlantide avec femmes et enfants, et leurs armes leur furent confisquées, ainsi que les machines volantes pouvant servir à la guerre. Certains émigrèrent vers l’Europe, d’autres vers l’Afrique (d’où ils gagnèrent l’Egypte, à travers le Sahara qui étaient alors une région bien arrosée et verdoyante), alors que d’autres encore se dirigèrent vers l’Amérique, les deux derniers groupes étant à l’origine des civilisations égyptienne et amérindienne. 

Quelques années après la fin de la guerre, se produisit la catastrophe à l’origine de la fin de l’Atlantide. C’était en 8498 av. J-C. Un astéroïde de plusieurs kilomètres de diamètre percuta la Terre à environ un millier de kms au nord-est de la Floride et 500 kms au nord de Porto Rico, provoquant une explosion gigantesque et surtout l’embrasement de toute la tranchée océanique.

Atlantis faisait partie d’un vaste plateau situé entre deux bras de cette tranchée. Le choc de cet impact colossal libéra des quantités de magma sur toute la longueur de la fracture de l’écorce terrestre qui éclata au fur et à mesure qu’elle était parcourue par l’onde de choc. La déperdition de matière fut telle que le plateau atlante, privé de son assise, s’effondra brusquement dans la mer. 

Dans le récit que fait Platon, il ne fallut qu’un seul jour et qu’une seule nuit à l’Atlantide pour être engloutie dans la mer. Un jour et une nuit de cauchemar pour ceux qui auraient pu survivre à la déflagration qui suivit la chute de l’astéroïde, au déferlante des gaz asphyxiants vomis par les entrailles de la terre, et aux raz de marée gigantesques provoqués par l’onde de choc.

La détonation liée à la chute de l’astéroïde fit plusieurs fois le tour de la Terre, et cette dernière se mit, sous la force de l’impact, à osciller comme une toupie. Le choc fut tel qu’il provoqua un déplacement de l’axe de rotation de la Terre d’environ 30°. Le pôle Nord, qui se trouvait alors dans la baie d’Hudson, glissa vers sa position actuelle.

De terribles raz de marée balayèrent les côtes, pénétrant profondément à l’intérieur des terres. Des milliards de tonnes de matériaux furent arrachés à la terre. Les énormes quantités d’eau propulsées dans le ciel par l’onde de choc (des milliards de mètres cubes) retombèrent en engloutissant des régions entières. Une pluie d’eau et de boue s’abattit pendant des semaines sur l’hémisphère Nord. C’est le déluge évoqué par toutes les légendes de la Terre. Le ciel était noir, et lorsque la pluie cessa, un immense nuage noir constitué de poussières météoritiques et de cendres volcaniques dispersées dans la stratosphère continua d’obscurcir le ciel des siècles durant. De nombreuses légendes européennes rendent compte de cette période de ténèbres.

L’hémisphère Nord a été particulièrement touché par la chute de l’astéroïde, et principalement dans les régions situées entre le quarantième et le soixantième parallèle.

La disparition des mammouths de Sibérie n’est qu’un des innombrables épisodes liés à cette catastrophe. Comme la plupart des créatures qui se trouvaient sur le chemin de la nuée de gaz volcaniques en provenance de l’Atlantide, les mammouths furent asphyxiés, puis ils furent noyés par un déluge d’eau et de boue, avant d’être gelés en un clin d’œil lorsque les oscillations de la Terre provoquées par le choc de l’astéroïde firent basculer les régions où se trouvaient les mammouths, de leur ancienne attitude à un autre beaucoup plus proche du pôle.

Il fallut plusieurs mois à la Terre pour ‘digérer’ un tel choc, plusieurs siècles pour en absorber complètement les effets, et près d’un millénaire pour que le nuage de cendres et de poussières météoritiques ne disparaisse du ciel de l’hémisphère Nord.

Parmi les effets à long terme de cette catastrophe, il y eu la fin anticipée de la dernière période glaciaire, provoquée par la brusque injection, dans l’atmosphère, de quantités considérables de gaz carbonique d’origine volcanique. Il y eu aussi une évolution accélérée en Amérique du Nord, suite au déplacement de l’axe de rotation de la Terre, ainsi qu’en Europe, grâce à la nouvelle direction prise par le Gulf Stream qui, ne trouvant plus d’obstacle pour bloquer sa course au milieu de l’Atlantique, était maintenant libre d’aller réchauffer les côtes européennes, repoussant l’isotherme zéro jusqu’à 75° Nord. 

Les colonies Atlantes qui s’étaient installées sur les rivages de l’ancien et du nouveau monde furent anéanties. Dans l’ancien monde, survécurent une colonie installée dans les Pyrénées (il s’agit des ancêtres des Basques), quelques groupes installés à l’emplacement du Maroc actuel, et ceux qui sont à l’origine de la civilisation égyptienne. Cela représente, en tout, quelques milliers d’individus dont les caractéristiques raciales se diluèrent peu à peu au cours des croisements successifs avec les autochtones. 

Les colonies Atlantes d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, moins touchées par le cataclysme, purent redémarrer un cycle de civilisation, mais perdirent en quelques générations le plus gros de leur héritage scientifique et culturel. Les civilisations Incas, Mayas et Aztèques ne sont qu’un très pâle reflet de celle d’Atlantis. Quelques groupes isolés, aujourd’hui les ancêtres des Indiens d’Amérique du Sud, connurent une décadence encore plus rapide et ne conservèrent de l’Atlantide que quelques traditions et un respect atavique pour les choses de la nature et l’environnement.

Cette catastrophe n’est que peu de chose en comparaison d’une autre collision qui eut lieu il y a 38 millions d’années, et surtout de celle qui, il y a 65 millions d’années mit fin aux dinosaures.

Textes Mayas 8060 av. J-C. : « L’écorce terrestre a été soulevée à plusieurs reprises et enfoncée à plusieurs endroits par les forces souterraines jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus résister aux tensions et que de nombreux pays soient séparés par de profondes fissures. »

Le Popol Vuh Maya-Quiché : « L’eau et le feu ont provoqué la ruine universelle à l’époque du dernier grand cataclysme qui a précédé la quatrième création. »

Mahabharata hindou : « Un seul projectile chargé de toute la puissance de l’Univers… Une colonne incandescente de fumée et des flammes aussi brillantes que 10 000 soleils s’élevaient dans toute leur splendeur. »

Genèse chap. 6 et 7 : « Dieu voulut supprimer le mal qui avait envahi la Terre et décida d’exterminer l’humanité corrompue… des pluies diluviennes tombèrent et submergèrent le monde. » Alors le déluge dura 40 jours sur la Terre. Les eaux grossirent de plus en plus et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel furent entièrement submergées par les eaux.


Des traditions millénaires relient l’origine « d’Agartha » à ce qui pourrait être le Noé biblique et la destruction de la civilisation de l’Atlantide. Cette civilisation était hautement développée, dotée d’une technologie de pointe, avec des vaisseaux spatiaux qui utilisaient une énergie d’une puissance illimitée. De nombreuses preuves et des recherches corroborent ce fait. Cependant, à sa dernière époque et avant sa destruction, l’Atlantide a vécu une période de décadence. Des guerres terribles ont eu lieu, avec des armées employant des armes sophistiquées. À un certain moment, des êtres ont lancé un avertissement pour essayer d’aider l’humanité, avant que le grand déluge ne survienne.

De nombreux survivants de l’Atlantide, de la Lémurie et de l’Hyperborée ont trouvé refuge dans la Terre creuse, où ils ont pu vivre en tant que civilisation. Une civilisation qui a su tirer des leçons du passé et s’est depuis développée en paix.

L’ étude des mythes indiens, grecs, égyptiens, mayas et même des contes persans des Mille et Une Nuits, nous a fait découvrir des références sur l’apogée et le faste de l’Atlantide, jusqu’à sa décadence et fin inexorables qui nous ont conduit aux débuts de la race actuelle. De ce fait, notre humanité semble suivre les mêmes étapes auto-destructives, à moins qu’elle ne fasse quelque chose pour l’éviter.

Comment l’Atlantide en tant que civilisation hautement développée a pu finir dans une décadence totale avec des guerres, des conflits et des divisions, et cela a été relaté par des chercheurs, des historiens et des écrivains, sans oublier les vestiges géologiques et historiques liés à de nombreuses cultures.

David Wilcock (écrivain et chercheur américain) : « À l’origine de l’existence humaine sur cette planète, il y a un passé si illustre qu’il englobe tout. Selon de très nombreuses sources issues de domaines variés, le corpus de la connaissance atlante a été conservé par ses survivants bien que sous une forme éparse. Le seul récit historique de l’Atlantide qui ait été porté à la connaissance du public est celui du philosophe grec Platon. D’après lui, l’Atlantide a disparu lors d’un cataclysme soudain qui l’a fait sombrer sous la mer. Seuls quelques-uns avaient réalisé ce qui allait se passer et ont pu évacuer l’île-continent avant que cela ne se produise. Ils ont migré vers différentes régions d’Europe, d’Afrique et d’Asie, ainsi que vers les Amériques. Le jardin d’Eden dont l’humanité a été expulsée par la menace d’une épée flamboyante est peut-être une allusion au paradis terrestre censé se trouver à l’ouest des colonnes d’Hercule et détruit par des cataclysmes volcaniques. La légende du déluge remonte également aux inondations survenues en Atlantide au cours desquelles un « monde » fut détruit par l’eau. Les mythologies de nombreuses cultures contiennent des récits de dieux « sortis de la mer ». Parmi les légendes des Chaldéens figure celle d’Oannès, une créature amphibie qui sortit de la mer et apprit aux peuples sauvages du littoral à lire et à écrire, à cultiver le sol, à utiliser les herbes pour se soigner, à étudier les étoiles, à établir des formes rationnelles de gouvernement et à connaître les Mystères sacrés. Ne se pourrait-il pas que ces demi-dieux d’un âge mythique sortant de la mer soient des prêtres atlantes ? Tout ce que les hommes primitifs ont retenu des Altlantes, c’est la gloire de leurs ornements en or et la transcendance de leur sagesse. Partout où les Atlantes sont apparus, ils ont érigé des pyramides et des temples sur le modèle du grand sanctuaire atlante de la Cité des Portes d’or. Telle est l’origine des pyramides d’Égypte, du Mexique et d’Amérique centrale. Les tumulus de Normandie et de Bretagne, ainsi que ceux des Indiens d’Amérique, sont les vestiges d’une culture similaire.

En Atlantide il y avait une compréhension très directe de Dieu et de ses œuvres, une connaissance suffisamment pragmatique pour être la source de technologies utiles qui, même aujourd’hui, dépassent de loin tout ce que nous avons pu connaître… des engins à énergie illimitée et gratuite, des systèmes anti-gravité, une propulsion à la vitesse de la lumière et des machines qui interagissent avec la conscience en l’élargissant. Pourtant, cette ancienne société a dramatiquement abusé de cette technologie par des guerres et d’autres moyens, provoquant ainsi sa propre destruction. C’est des Atlantes que le monde a reçu, non seulement l’héritage des arts et de l’artisanat, des philosophies et des sciences, de l’éthique et des religions, mais aussi l’héritage de la haine, des conflits et de la perversion. Les Atlantes ont déclenché la première guerre, et il a été dit que toutes les guerres suivantes ont été menées dans un effort infructueux pour justifier la première et réparer le mal qu’elle avait causé.

Avant que l’Atlantide ne sombre, ses initiés spirituellement éclairés, qui avaient compris que leur terre était condamnée parce qu’elle s’était écartée du chemin de la lumière, se retirèrent du continent infortuné, emportant avec eux la doctrine sacrée et secrète, et ces Atlantes s’installèrent en Égypte où ils devinrent ses premiers « souverains divins ». En outre, certains de ces survivants originaux ont pris des dispositions pour s’assurer que toutes les connaissances seraient préservées par le biais des mythes et des symbolismes. Quant à nous, nous connaissons déjà la fin de ce grand Opéra, tel qu’il nous a été écrit et transmis il y a presque 2000 ans dans nos écritures sacrées, et cette fin est que la Lumière triomphera des ténèbres, comme toujours. »

L’ apparition de vestiges de constructions retrouvés sous l’eau et datant d’environ 12.000 ans dans différentes mers, corrobore l’existence de la civilisation atlante.

La mythologie et les écrits anciens nous racontent que les dernières époques de l’Atlantide ont été marquées par une immense catastrophe au cours de laquelle des vagues hautes comme des montagnes, des ouragans et des explosions volcaniques ont secoué la planète entière. Certains chercheurs contemporains avancent que l’impact d’un grand astéroïde ou d’une comète, il y a environ 13.000 ans, aurait précipité la fin de la dernière période glaciaire et aurait entraîné un changement crucial dans l’histoire de notre civilisation, détruisant l’Atlantide et provoquant le Déluge.

La grande civilisation Atlante aux avancées technologiques colossales, avec ses vaisseaux volants et ses grands progrès, a succombé à la fin, à son Kali Yuga, ravagée par un cataclysme planétaire, une énorme catastrophe accompagnée de feu, de volcans, de tremblements de terre et d’inondations, ceci a été rapporté dans de nombreuses cultures lointaines et les scientifiques sont en train de le confirmer.

L’ Atlantide a atteint un haut degré de développement qui allait bien au-delà de notre civilisation actuelle, mais ce continent a été balayé de la surface de la Terre. Le souvenir qui en reste nous est offert par l’étude des mythes et des légendes des peuples qui font référence aux catastrophes qui ont provoqué le Grand Déluge. D’énormes tempêtes solaires ont modifié le climat et précipité la fin de la dernière glaciation il y a environ 9 200 ans.

Ils possédaient des armes de destruction capables d’anéantir de grandes concentrations de population. Ils se sont servis de ces armes lors des grandes guerres qui ont eu lieu entre la lumière et les ténèbres au cours de leur dernière ère. Il n’y a eu que quelques survivants qui ont servi de rempart pour la création d’une nouvelle race.

Tout se répète une fois de plus. Notre race se trouve au bord du précipice et à nouveau deux voies s’ouvrent devant nous : continuer avec la folie de vouloir jouer à Dieu avec la vie, la génétique, les mutations… ou élever notre fréquence et récupérer l’intégrité de notre ADN modifié il y a des millénaires, activer ses 12 brins originaux et retourner occuper le lieu de notre origine, nous libérant de toutes sortes d’esclavages et de limitations.

La décision nous appartient, maintenant ou jamais, soit nous allons de l’avant en déclenchant une transformation radicale, soit nous serons la proie d’un nouveau flash solaire qui anéantira notre technologie et nous serons perdus dans une involution totale.

La grande civilisation Atlante pourrait avoir été détruite par une puissante micro-nova solaire qui a provoqué une catastrophe mondiale, ainsi que par l’utilisation d’armes inconnues, des guerres nucléaires et des manipulations génétiques, et cela peut arriver maintenant dans notre race actuelle!

Robert M. Schoch (écrivain américain) : « La véritable civilisation atlante existait avant la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 12 000 ans. Cette civilisation a été décimée par l’éruption solaire qui s’est produite alors, plongeant l’humanité dans un âge sombre induit par le soleil pendant environ 6 000 ans avant la réapparition de la civilisation aux alentours de 4 000 à 3 000 ans avant J-C.

Des changements climatiques ou de température extrêmes et des modifications de la Terre se sont produits à la fin de la dernière période glaciaire, en particulier au début et à la fin de la période d’environ 1200 ans. Ce qui a causé le début et la fin de cette période est depuis longtemps un point de discussion, et le débat s’est animé lorsque la théorie de l’impact d’une comète a été proposée. Divers journalistes, divulgateurs et auteurs de semi-fiction et de science-fiction ont repris la théorie des comètes et l’ont rendue sensationnelle malgré la faiblesse des preuves. Je dois admettre qu’au début j’étais d’un avis favorable à l’égard d’une telle théorie mais, après avoir analysé attentivement les prétendues preuves présentées pour la soutenir, je ne suis toujours pas convaincu. Je pense que l’activité solaire peut mieux expliquer les changements majeurs au début et à la fin de cette étape. Les dernières données astronomiques et astrophysique montrent à quel point notre étoile, notre soleil, peut être instable et erratique, et l’a ailleurs été.

En 2012, la plupart des astronomes acceptaient encore l’idée que notre soleil était relativement stable depuis des dizaines de milliers d’années ou plus, mais aujourd’hui, le paradigme change et la communauté scientifique réalise peu à peu que notre soleil est une étoile typique qui connaît des périodes d’activité plus ou moins importantes sur des échelles de temps de plusieurs siècles et millénaires, y compris à la fin de la dernière période glaciaire et à l’époque moderne. La fin de la dernière période glacière a peut-être connu une période d’éruptions solaires majeures et sévères, que nous pouvons considérer comme une phase de type nova ou une période de micro nova pour notre soleil, d’une durée de quelques milliers d’années. Lors d’une micro nova, un type d’événement comme celui d’il y a 12 000 ans, se produit, l’étoile concernée (par exemple notre soleil) peut cracher une couche de matière composée non seulement de photons et d’ion divers, mais aussi de véritables morceaux de matière (poussières et débris), ce qui explique que les petits projectiles qui ont pu frapper la Terre : ça aurait pu être des météores, des astéroïdes ou n’importe quel autre projectile (et je pense qu’ils l’ont réellement fait), auraient tout balayé sur leur passage. La géologie n’est pas si simple! Le plasma solaire brûlant, éjecté sur de vastes masses d’eau, aurait posé l’humidité dans l’atmosphère, qui serait retombée sous forme de pluies torrentielles et prolongées, ce qui explique les érosions hydriques sur le Grand Sphinx à l’époque préhistorique.

Les évènements solaires rapprochent des mystères apparemment disparates du monde ancien comme les abris souterrains trouvés dans le monde entier (nécessaires pour se protéger des radiations), l’extinction de nombreux grands mammifères (qui n’ont pas pu s’abriter dans des grottes avec les rares populations humaines survivantes), la montée du niveau des océans (due à la fonte de vastes glaciers) et les enregistrements sur des pétrographes d’un plasma solaire généralisé. Les catastrophes qui ont eu lieu il y a près de 12 000 ans, et qui ont anéanti une civilisation lointaine et oubliée, semblent être sur le point de se reproduire. Les peuples anciens auraient pu avoir des connaissances sur le monde et sur le cosmos qui ont été perdues. Or, si nous pouvons nous libérer des chaînes et des œillères des paradigmes et des opinions conventionnelles, alors nous pourrons retrouver cette connaissance essentielle. »

Après la destruction de l’Atlantide causée par une catastrophe planétaire qui a entraîné le déplacement des pôles, le grand déluge et son extinction totale certains des rares survivants ont formé des colonies pour donner naissance à la race actuelle, tandis que les guerres nucléaires ont détruit les restes qui subsistaient…

Les anciennes civilisations ont longtemps considéré la Terre Intérieure comme leur foyer

La fin de l’Atlantide : les dieux ont envoyé un bataillon d’incendies et de tremblements de terre

Edgar Cayce : Le déplacement des pôles s’est produit de nombreuses fois auparavant


Les grands prêtres et prêtresses de l’âge d’Or de l’Atlantide

Qui étaient les grands prêtres et les grandes prêtresses de l’âge d’Or de l’Atlantide ? D’où venaient-ils ? Quels pouvoirs possédaient-ils ? Comment ont-ils régné sur l’Atlantide ? Comment peuvent-ils vous aider à réinstaurer votre matrice divine ? Diana Cooper répondra à ces questions et plusieurs autres encore. Par la suite, elle vous mènera en un voyage extraordinaire de l’intérieur où vous : 

  • Explorerez l’une de vos vies en Atlantide, 
  • Rencontrerez un grand prêtre ou une grande prêtresse, 
  • Recevrez une guérison par les cristaux d’une grande prêtresse, 
  • Nettoierez vos résidus karmiques personnels, ancestraux et d’une vie passée, 
  • Réinstaurerez votre matrice divine originale.

L’âge d’or de l’Atlantide fut la période la plus spirituelle qu’il y eut sur terre. Les pouvoirs et les habiletés de son peuple sont légendaires. Diana Cooper explore l’histoire de ce peuple, son habileté à léviter, se déplacer et le voyage intergalactique. Elle nous explique comment ils sont parvenus à atteindre et développer leurs pouvoirs psychiques ainsi que leur extraordinaire capacité technologique basée sur l’énergie des cristaux. Vous découvrirez une expérience méditative qui vous permettra : 

  • de rencontrer les anges et les dauphins de l’Atlantide ; 
  • de visiter la Cathédrale des monts sacrés et du Sphinx ; 
  • de vivre une expérience de vie passée en Atlantide ; 
  • de vivre l’expérience mystique d’une chambre de guérison cristalline.


Nous nous éveillons progressivement avec stupeur devant la manifestation de plus en plus ardue de l’effritement de ce que furent les fondements des Sociétés Occidentales et Orientales : crime, mensonges érigés en vérité politique, avidité financière, délitement de la jeunesse et de la famille, solitude des individus perdus dans un monde dont la vitesse d’écroulement ne cesse de croître d’année en année. Nous sommes confrontés à ce que tous nous nommons confusément « le Mal ». Mais celui-ci est-il si nouveau ? Ne serait-il pas que la concrétisation de plus en plus dense d’un plan de destruction planétaire multi-millénaire que les élites des deux derniers siècles se sont complues à en accélérer l’expression ?

Ce Mal est ancien… Inoculé sur Terre aux temps de l’Atlantide, il vint de l’espace pour nous détruire. Il se manifeste, depuis des millénaires – et de façon plus intense ces deux derniers siècles par l’intention volontaire de soumettre les êtres à un esclavage irrémédiable en leur supprimant les ressources financières, en valorisant des instincts les plus violents et destructeurs et en favorisant un abêtissement graduel qui permet de ne plus penser et donc de rester passif face à ce système aliénant menant, à terme, à la perte de notre humanité, c’est-à-dire de notre Âme. Tel est le but auquel tendent ceux qui le servent et que l’on nomme « les Fils de Bélial »… Il s’agit bien de la survie de notre dignité humaine et spirituelle. Nous sommes, par conséquent, tous concernés. 

Dans des éléments enfouis, « cachés » – et donc dits « secrets »- de l’Histoire des Atlantes réside, pour l’humanité du XXIe siècle, non pas un intérêt intellectuel mais un véritable « plan de survie »… car, tout comme dans l’ancienne Atlantide, nous sommes confrontés à un « choix »… 

C’est avec une grande érudition et une simplicité percutante que Guillaume Delaage révèle les enjeux actuels dus à qui enserre, tel le serpent néfaste des mythologies, notre monde.

Il s’agit bien de la survie de notre dignité humaine et spirituelle. Nous sommes par conséquent tous concernés.

LA TRADITION ÉSOTÉRIQUE ET LA PRÉHISTOIRE

Chapitre 1: Il n’y a pas de religion supérieure à la vérité

  1. Religions, Mouvement Ésotériques et la Doctrine Hermétique
  2. Parcours historique et géographique de le Tradition hermétique
  3. Monothéisme et Tradition Hermétique
  4. La « séparativité »
  5. La Loi du Karma et la dette karmique de l’humanité
  6. La sagesse Divine ou Théosophia
  7. Helena Petrovna Blavatsky et Henry Steel Olcott
  8. Ammonios Saccas – Alexandrie
  9. Hypatie d’Alexandrie (vers 370-415)
  10. Loges Secrètes et Enseignement parcellisé
  11. Le Comte de Saint-Germain et Alexandre de Cagliostro
  12. Les adeptes ou Maîtres de Sagesse et la Théosophie
  13. Être Théosophe aujourd’hui
  14. Shamballa, Cité réelle mais invisible 
  15. « La Doctrine Secrète » : révélation des Annales planétaires – notre passé
  16. La fin de notre civilisation

Chapitre 2 : Il y a 5 millions d’années

  1. L’évolution de notre Terre et ses 7 Grandes Races
  2. La Loi du Septénaire, fondement de l’Univers « manifesté »
  3. Les Races-Racines et leurs familles raciales
  4. La Race Atlantéenne et les Terres Atlantes
  5. L’Atlantide et son engloutissement
  6. Grande Atlantide avant Poséidonis
  7. La Grande Atlantide avant Poséïdonis
  8. La Science face aux engloutissements
  9. Les cataclysmes cycliques 
  10. Les différents engloutissements
  11. Notre sort à venir
  12. La Race Atlantéenne : les Atlantes
  13. Leur environnement
  14. Leur taille
  15. Leur conscience
  16. Leur santé
  17. La grandeur de leur civilisation
  18. Leurs capacités psychiques
  19. La Force du Vril
  20. Leur splendeur « aux temps où la Terre était encore bénie »
  21. L’Atlantide face à nos sociétés contemporaines : un enjeu

Chapitre 3 : L’ Atlantide au Temps de sa gloire

  1. Les Lémuriens
  2. Les Dynasties Divines et le don du mental
  3. Les dépourvus du mental
  4. Le retrait des « Dieux »
  5. Les Lémuro-Atlantes : l’ère des géants
  6. La quatrième Race, la Race Atlantéenne
  7. Ses 7 branches ou familles
  8. Les 3 premières sous-races atlantéennes

Chapitre 4 : L’ Atlantide de l’Âge d’Or

  1. Tlavatlis et Toltèques
  2. Leur magnificence 
  3. Leur Spiritualité et leur état de conscience
  4. Leur pouvoirs psychiques 
  5. Leurs relations
  6. La matière ou l’esprit : la prise de conscience
  7. Les polarités opposées ; la dualité
  8. La Libération : aller vers l’Esprit 
  9. La falsification de l’Histoire de l’humanité

Chapitre 5 : L’Atlantide avant la catastrophe ultime

  1. Le mal germe en terre atlante : Naissance des « deux chemins »
  2. Les Touraniens
  3. Résurgence d’un « Mal ancien »
  4. Le mal venant de l’espace
  5. Matérialité et cruauté
  6. Les premiers Sémites
  7. Naissance de la 5ème Race ou Race Aryenne
  8. Une dégradation inévitable
  9. Création du « noyau » aryen
  10. Les 2 Sentiers
  11. La Grande Guerre
  12. Le retrait des Maîtres de Sagesse
  13. Un retrait progressif
  14. La Loi du Karma
  15. La Connaissance Occulte fut ôtée à l’humanité
  16. Division de l’humanité en « deux camps »
  17. Les Aryens
  18. Les connaissances et la technologie des Aryens
  19. Les « Serpents de Sagesse »
  20. Une histoire oubliée et divulguée aujourd’hui
  21. Les sombres Rakshasas et les êtres hybrides
  22. Sri Lanka et ses géants
  23. Le singe descend de l’homme
  24. Les prémisses du conflit
  25. Un choix crucial pour l’humanité
  26. Le début de la Grande Guerre

Chapitre 6 : Guerre des Fils de l’UN contre les Fils de Bélial

  1. Le Grand Déluge (869 000 ans avant av. JC)
  2. Un combat titanesque
  3. Ram ou Rama
  4. Un adepte de Lumière
  5. Ram et son allié Hanuman
  6. Un combat planétaire impitoyable
  7. Risque de la planète par l’usage d’une magie destructrice
  8. Des armes de destruction massive
  9. Un conflit qui s’enlise
  10. L’intervention des Maîtres de Sagesse
  11. Le départ des Aryens
  12. Le Grand Déluge
  13. Bouleversements géologiques et climatiques
  14. Sa place dans la mémoire collective
  15. Les mythes et les légendes : récit historique

Chapitre 7 : La découverte d’un nouveau Monde

  1. Après le grand cataclysme
  2. Les Aryas, rescapé du cataclysme
  3. Les vestiges laissés par les Aryens
  4. Une mixité de peuples
  5. La « théorie » des Annunakis
  6. Des vérités cachées sous des allégories

Chapitre 8 : Poséïdonis

  1. L’ Égypte, terre d’élection
  2. La première Dynastie Divine
  3. La deuxième Dynastie Divine
  4. La troisième Dynastie Divine et les Pyramides
  5. Edgar Cayces et les « choses »
  6. Les dernières familles raciales atlantes 
  7. Poséïdonis, dernier bastion Atlante
  8. Les peuples amérindiens héritiers de l’Atlantide
  9. Le retour du « mal » atlante
  10. La fin de Poséïdonis

Chapitre 9 : La Disparition des Peuples

  1. L’extinction des Dynasties Divines
  2. Les peuples africains
  3. L’Inde, berceau des « nouvelles » civilisations
  4. La réorganisation des Forces de l’Ombre

L’auteur :

Guillaume Delaage est un chercheur contemporain sur le sentier spirituel. Son parcours sur le chemin du Bouddhisme, de la Théosophie et de la pratique Théurgique lui a permis de nous offrir ce livre de qualité qui est notre Quête intérieure. « Grâce à l’enseignement public de la Théurgie, il s’inscrit comme d’autres qui en ont pris conscience, dans cette orientation que les Maîtres de Sagesse ont décidée dès la fin du XXe siècle. Beaucoup ne voient peut-être pas l’importance que revêt ce « travail » s’ils jugent celui-ci comme une présentation de simple ouvrages – ceux de Franz Bardon et Alexandre Moryason – noyés dans la profusion d’autres publications. Il nous faut cependant reconnaître la chance qui nous est offerte de suivre Enseignement extraordinaire présenté de nos jours sous la forme d’un média insignifiant alors même que cette initiative émane de la Grande Loge Blanche. Se placer dans ce courant c’est retrouver les racines de notre véritable identité, c’est nous permettre de nous libérer des chaînes qui, depuis trop longtemps, nous tiennent captifs de ce monde désaxé duquel notre Âme cherche à s’extraire.

« Si je peux, par cet humble travail, inciter des chercheurs sincères à suivre ce même chemin, alors mon vœu sera réalisé. »

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