Les bases secrètes de Pine Gap et Woomera en Australie

Pine Gap en Australie, est la plus grande installation de la CIA NRO (Central Intelligence Agency – National Reconnaissance Office) en dehors des Etats-Unis. Située en plein dans la brousse près d’Alice Springs, la base emploie près de 1000 personnes, y compris des membres de l’US Army, de l’US Air Force, le 704ème bataillon du renseignement militaire et le 743ème bataillon de commandement du Décryptage de la Marine.

Hillary Clinton possède des intérêts financiers dans des entreprises fournisseurs de l’armée, y compris Honeywell, Boeing et Raytheon. Pas étonnant qu’elle possède les codes d’activation de clones. (Remarquez qu’elle est probablement elle-même un clone). 

Pine Gap est la plus importante et la plus évoluée des stations de contrôle satellitaire au sol dans le monde. L’installation descend à 8500 mètres de profondeur et jusqu’à 8,5 kilomètres là où se trouve une gigantesque antenne souterraine capable de créer d’énormes champs vibratoires qui se propagent sur la planète entière et pouvant provoquer le chaos dans la terre intérieure. Le NRO utilise cette antenne pour surveiller toutes les communications non seulement civiles et militaires, mais également extraterrestres. 

La région entourant la base est un portail naturel inter-dimensionnel ou une porte des étoiles pour des vaisseaux entrants. Pour gérer ce trafic, Pine Gap utilise un système de guidage des OVNIs à l’énergie nucléaire pour diriger les vaisseaux qui se déplacent en ligne droite vers et en provenance de la base. Des agents de liaison aliènes intégrés aux militaires et dans le gouvernement sont des procédures standard. 

Pine Gap a son équivalent sur l’île de Guam. Ce complexe comporte des ateliers de réparation et de maintenance de vaisseaux spatiaux, des laboratoires, des serres, des réserves de nourriture ainsi que des salles de téléportation et de sauts spatio-temporels. L’endroit est équipé d’un système informatique IBM à Intelligence Artificielle sur des plateformes flottantes. Le personnel porte des badges d’identification avec des codes couleur qui correspondent aux bandes courant le long des parois des corridors qui s’enfoncent à l’intérieur de la base.

Ces bases sont reliées entre elles par des trains à lévitation magnétique qui les relient également avec des bases aux Philippines, à Krugersdorp en Afrique du Sud et à la Base Amundsen Scott en Antarctique. Toutes les communications, langues et dialogues aliens déchiffrés aboutissent au quartier-général de la NSA à Fort Meade dans le Maryland.

Le Triangle du contrôle mental est concentré dans un énorme centre informatique de la bête dont les sommets se situent en Alaska, en Afrique du Sud et à Pine Gap. Le principal objectif de Pine Gap est de détruire les visiteurs qui franchissent les portails inter-dimensionnels sur toute la planète. Les quatre principaux points de focalisation de la gravité terrestre sur la planète sont Pine Gap, l’Ile de Pâque, San Diego et les Laboratoires Brookhaven dans la région de New York / New Jersey.

La station d’écoute britannique de la NSA à Menwith Hill est exactement le contraire de Pine Gap. Elle est libre de toute interférence électromagnétique nécessaire pour manifester des portails temporels informatisés vers Mars créés par des ondes radio. En plus le transmetteur du cap de Nouvelle-Galles du Sud en Australie occidentale est situé exactement à l’opposé du Triangle des Bermudes*. 

*Le triangle des Bermudes est formé par l’émergence énergétique d’un transmetteur immergé, résultat d’un projet Atlante raté. L’émission de section triangulaire porte jusque dans l’espace. C’est la raison pour laquelle l’espace-temps dans ce secteur est instable et provoque des phénomènes de désorientation et d’invisibilité aléatoire. (Ndt)

Lop Nor en Chine, où les Chinois ont installé un des sites de leur programme spatial, est connecté à Pine Gap. De plus, un groupe séparatiste de membres hautement connectés de la cabale venant de Chine, d’Europe et des Etats-Unis, a créé un autre projet connu sous le nom d’Echelon 11 situé près de l’équateur. Il ne s’agit pas d’un projet financé par le gouvernement des Etats-Unis. Comme le bloc européen croît en puissance, l’industrie aérospatiale de l’UE va venir de plus sur le devant de la scène pour contrer l’Occident. Echelon 11 fait partie de cette évolution. 

De Pine Gap, un tunnel long de 2200 km mène à la base sous-marine du Cap du Nord-Ouest, où les sous-marins peuvent s’enfoncer loin dans les terres australiennes jusqu’à Pine Gap pour se réapprovisionner en carburant (nucléaire). La base de Pine Gap possède 9 niveaux souterrains et un tunnel d’évacuation pour le personnel. La base est conçue pour résister à des frappes nucléaires, ce qui en fait la cible numéro un en Australie, ce qu’elle sera lorsque le temps viendra. La base abrite également une usine produisant des armes nucléaires et possède également des capacités de frappe à l’aide de missiles nucléaires. 

En Australie, il y a 3 bases importantes comme Pine Gap. Une se trouve à Nurrungar dans le Sud de l’Australie près de Woomera (l’ancien site des tests nucléaires britanniques), une autre à Snowy Mountains, en Nouvelle-Galles du Sud et la troisième qui est de loin la plus importante non loin d’Alice Springs à Pine Gap au pied des contreforts méridionaux de la chaîne des Monts MacDonnel. Ces autres bases sont également totalement souterraines et fonctionnent en-dessous des locaux de recherche de la Défense spatiale. D’autres constructions secrètes continuent d’être creusées dans et autour de Pine Gap jusqu’à nos jours avec pas ou peu de supervision publique, une recette assurée de désastre pour la liberté et la libération. 

source William Ross : https://supersoldiertalk.com/2012/12/07/what-lies-below/

Pine Gap & les OVNIs d’Australie
Réseau Echelon – Base de Pine Gape – Australie

La NSA (National Security Agency) est l’agence gouvernementale de renseignements des États-Unis, c’est-à-dire l’équivalent des Renseignements Généraux français. Cet organisme très secret existe depuis le 4 novembre 1952 mais on a commencé à vraiment la connaître que dans les années 1990. Avant cela le grand public n’avait connaissance que du FBI et de la CIA.

La NSA est chargée de collecter des informations qui peuvent avoir une importance pour la sécurité nationale des États-Unis. À ce titre, tous les moyens sont bons : écoutes téléphoniques, cryptographie, espionnage et infiltration des réseaux téléphoniques, hertziens et Internet.

En 2013, la fameuse affaire Snowden met en lumière les opérations de surveillance électronique et de collecte d’information menées à grande échelle sur le web. 

En juin 2015, WikiLeaks divulgue des documents internes de la NSA qui révèlent que celle-ci a secrètement espionné, entre 2006 et 2012, les conversations des présidents français Jacques ChiracNicolas Sarkozy et François Hollande, ainsi que celles de certains ministres ou conseillers. 

Les moyens de la NSA reposent en grande partie sur leur logiciel d’interception des communications baptisé ECHELON

Echelon c’est quoi ?

Echelon est un réseau mondial d’interception des communications s’appuyant sur des satellites, des sous-marins, des ordinateurs hyperpuissants. Avec le système Echelon, la NSA est en mesure d’intercepter toute communication radio, téléphonique, tout échange de mail et même de télécopies. Même les échanges cryptés peuvent être espionnés et c’est sans doute ceux qui sont le plus surveillés. 

Le système réagit en fonction de la présence de certains mots dans les communications et même en fonction de l’intonation de la voix. En cas de détection d’une alerte, les échanges sont enregistrés et seront analysés par les équipes de la NSA.

L’espionnage systématique de personnalités peut être décidé. Il s’agit alors ni plus ni moins d’une mise sur écoute (non seulement téléphonique mais également les échanges de mails et l’activité sur le réseau Internet). De nombreux chefs d’état en ont fait les frais.

Mais la force d’Echelon n’est pas la mise sur écoute d’appareils en particulier mais au contraire de tout scanner et de réagir en présence de certaines associations de mots clés. Donc, potentiellement, c’est comme si tout le monde était sur écoute.

Un projet qui date de la guerre froide…

Le projet Echelon a vu le jour pendant la guerre froide mais du départ il n’a jamais été destiné à un usage militaire mais bien civil. Il consiste à espionner les gouvernements et les entreprises, et s’étend à l’ensemble de la population civile (pas uniquement les américains mais du monde entier).

Le principe est de scruter tout ce qui se passe sur les réseaux et de réagir à certains stimuli. Les messages ou les conversations sont alors extraites pour analyse. Pour faire simple, tous les échanges qui contiennent le mot « bOmbe » sont systématiquement analysés, et cela dans toutes les langues possibles. C’est quand même un peu plus compliqué que ça, car vous avez parfaitement le droit de dire au téléphone à un ami que « votre nouvelle voisine est une bombe » et passer entre les mailles du filet. Mais si vous dites que « vous avez pris l’avion et l’hôtesse de l’air était une bombe » vous risquez fort bien de déclencher une alerte, car il y a association du mot « avion » avec le mot « bombe » dans la même phrase. Et voilà… vous êtes repéré par le système et sans doute fiché. Si en plus, au cours de la conversation, vous glissez des mots comme « attentat », « tuer », « mort », etc., vous allez vous retrouver sur écoute en moins de temps qu’il faut pour le dire.

Un réseau d’installations d’interception secrètes a été mis en place dans le monde entier, même jusqu’au fond des mers. Les satellites artificiels en orbite autour de la terre font également partie de ce système d’espionnage généralisé à l’échelle de la planète.

Un réseau interconnecté

Le réseau Echelon est composé de nombreux ordinateurs répartis à travers le monde. Ces ordinateurs sont tous interconnectés si bien que le réseau de surveillance est vu comme un seul composant.

De plus, la NSA a signé des accords avec les principales agences de renseignement du monde anglo-saxon (GB, Nouvelle Zélande, Canada et Australie). Ces agences d’espionnage ont directement accès aux différents fichiers de la NSA en plus de leur propre base de recherche locale. L’inverse est également vrai. Cela fait d’Echelon le plus gros système d’espionnage des communications au monde.

Chaque information qui circule sur le réseau Echelon est préfixée par un nom de code qui identifie la station qui a capté l’information. Un autre code identifie l’agence (NSAGCHQ Britannique, etc.).

Ce dernier code est important car, bien que les agences associées à la NSA puissent utiliser le système Echelon et toute sa puissance, seuls les informations venant de son propre réseau lui sont communiquées. La NSA, au contraire, à accès à toutes les informations, même celles qui ne proviennent pas de son réseau.

Une base de données entièrement paramétrable

Le système Echelon a beaucoup évolué depuis les années 1960. C’est maintenant devenu une véritable Intelligence Artificielle (IA) entièrement paramétrable. La base de données n’est pas simplement constituée de simples listes de mots-clés. Les type de communications sont tout d’abord catégorisés (échanges commerciaux, échanges diplomatiques, communications civiles, etc…). Chaque catégorie contient ses propres mots-clés qui peuvent être des noms de personnes, des noms de navires, de villes et des mots-clés classiques. Il y a aussi des listes d’adresses e-mail et de numéros de téléphones à scruter. Il est enfin possible de définir les combinaisons de mots-clés qui doivent être présents ensembles dans le même message pour que ce dernier soit retenu. 

Tous ces paramètres constituent ce qu’ils appellent le « dictionnaire ». Chaque Agence gère son propre dictionnaire.

Il doit sans doute exister un système de notation pour attribuer un niveau d’importance aux différents messages afin de les trier dans le but d’analyser plus précisément les messages qui présentent le plus de dangerosité.  Pour tous les échanges qui ont déclenché une alerte, les opérateurs peuvent savoir très précisément leur origine, leur horodatage et leur destinataire.

La fin de la guerre froide

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, la fin de la guerre froide n’a pas mis en sommeil le réseau Echelon, bien au contraire. Il s’est étendu a des applications civiles et à l’espionnage industriel et économique, au profit essentiellement des États-Unis et de leurs multi-nationales.

Les ambassades sont particulièrement visées. Des appareils de surveillance sophistiqués ont été secrètement transportés puis installés dans les les ambassades de divers pays étrangers. Ils sont utilisés pour surveiller les diverses communications dans les capitales étrangères.

Echelon peut tout écouter et tout déchiffrer. Le réseau Echelon couvre l’ensemble du monde. Avec un budget annuel de près de 30 milliards de dollars qui continue d’augmenter, les services de renseignement américains sont les mieux dotés de la planète. L’ensemble des faisceaux des satellites Intelsat de communications sont captés. 

Alors que l’Union Européenne nous fait croire en la protection des données personnelles et embête tous les internautes avec les cookies et les bandeaux qui recouvrent tous les sites que l’on souhaite consulter librement, chacun de nos échanges, par mail, téléphone, télécopie, est systématiquement transmis à la NSA via le réseau Echelon.

source : http://www.dramatic.fr/echelon-p673.html


Pine Gap : Le centre d’espionnage américain au cœur de l’Australie surveille le monde

Depuis une base connue sous le nom de Pine Gap, la NSA a localisé et surveillé des utilisateurs de téléphones portables à des milliers de kilomètres.
À quelques minutes de route au sud d’Alice Springs, la deuxième plus grande agglomération du Territoire du Nord de l’Australie, se trouve un complexe de haute sécurité, dont le nom de code est « RAINFALL ». Cette base isolée, au cœur de l’outback aride du pays, est l’un des plus importants sites de surveillance secrète de l’hémisphère oriental.
Des centaines d’employés australiens et américains vont et viennent chaque jour de l’installation de défense commune de Pine Gap, comme la base est officiellement connue. La « couverture » officielle, telle qu’elle est décrite dans un document secret des services de renseignement américains, consiste à « soutenir la sécurité nationale des États-Unis et de l’Australie. L'[installation] contribue à la vérification des accords de contrôle des armes et de désarmement et à la surveillance des développements militaires ». Mais, au mieux, c’est une version économique de la vérité. Pine Gap a une mission bien plus large – et des capacités plus puissantes – que les gouvernements australien et américain n’ont jamais reconnu publiquement.
Une enquête, publiée samedi par l’Australian Broadcasting Corporation en collaboration avec The Intercept, perce le mur du secret qui entoure Pine Gap, révélant pour la première fois un large éventail de détails sur sa fonction. La base est une importante station terrestre à partir de laquelle les satellites espions américains sont contrôlés et les communications surveillées sur plusieurs continents, selon des documents classifiés obtenus par The Intercept auprès du lanceur d’alerte de la National Security Agency, Edward Snowden.
Avec la base de la NSA à Menwith Hill en Angleterre, Pine Gap a été utilisé ces dernières années comme poste de commandement pour deux missions. La première, baptisée M7600, impliquait au moins deux satellites espions et devait, selon un document secret datant de 2005, assurer « une couverture continue de la majorité de la masse continentale eurasienne et de l’Afrique. » Cette initiative a ensuite été améliorée dans le cadre d’une deuxième mission, appelée M8300, qui impliquait « une constellation de quatre satellites » et couvrait l’ancienne Union soviétique, la Chine, l’Asie du Sud, l’Asie de l’Est, le Moyen-Orient, l’Europe de l’Est et les territoires de l’océan Atlantique.
Les satellites sont décrits comme étant « géosynchrones », ce qui signifie qu’ils sont probablement placés en orbite à plus de 30 000 km au-dessus de la surface de la Terre. Ils sont équipés d’une puissante technologie de surveillance utilisée pour contrôler les communications sans fil au sol, telles que celles envoyées et reçues par les téléphones portables, les radios et les liaisons montantes des satellites. Ils recueillent des « signaux de communication militaires, scientifiques, politiques et économiques stratégiques et tactiques », selon les documents, et surveillent également les essais de missiles ou d’armes dans des pays ciblés, recueillent des renseignements à partir de systèmes de données militaires étrangers et fournissent un soutien de surveillance aux forces américaines.

source : https://theintercept.com/2017/08/19/nsa-spy-hub-cia-pine-gap-australia/


Cette installation est située dans l’arrière-pays australien et fait partie d’un certain nombre de bases de la NSA situées dans le monde entier au sein du réseau UKUSA. Pine Gap est très éloignée et semble avoir une multitude de fonctions qui lui sont attachées. Il a été associé au phénomène OVNI par un certain nombre de chercheurs et semble avoir été la source du « faisceau » apparu sur la célèbre séquence STS 48, qui a fait dévier les objets anormaux, filmés par la caméra vidéo de la navette spatiale, dans une multitude de directions. Certains chercheurs ont donc émis l’hypothèse que Pine Gap abritait des armes terrestres de type « guerre des étoiles », capables de porter une première attaque contre des OVNI ou des satellites étrangers en orbite terrestre basse.

« Situé à douze miles d’Alice Springs dans le Territoire du Nord de l’Australie, Pine Gap est une base de communication hautement secrète gérée par la National Security Agency. Ostensiblement une « installation de recherche spatiale de défense conjointe » parrainée par les ministères de la défense américain et australien, Pine Gap sert principalement de liaison descendante pour les satellites géosynchrones de SIGINT (renseignement électromagnétique). »

M. Good poursuit dans « Alien Base » : « Il a été créé par la Central Intelligence Agency en 1966 et est géré conjointement par la CIA et la NSA. Selon un observateur américain : « Les Australiens ont accordé à l’installation [Pine Gap] une hospitalité remarquable. Des personnes et des cargaisons y entrent et en sortent régulièrement, sans avoir à subir de contrôles douaniers ou d’immigration. L’endroit jouit d’un statut presque extraterritorial. »

Il est clair que les Américains contrôlent cette installation massive sur un sol étranger. Cela ne serait pas surprenant, étant donné l’arrangement historique conclu par les signataires de l’accord UKUSA. L’Australie semble être le partenaire junior d’une opération de collecte de renseignements électromagnétiques dominée par l’Amérique et la Grande-Bretagne. L’aspect étrange de Pine Gap est son emplacement. Alors que la base d’espionnage britannique, le GCHQ, est située à la périphérie de la ville anglaise de Cheltenham (et fait actuellement l’objet d’un réaménagement très médiatisé de 600 millions de livres), l’éloignement de Pine Gap s’apparente presque à la zone 51 du Nevada. Il n’est donc pas étonnant que les rumeurs abondent sur la recherche et le développement d’ovnis dans cette installation. Son profil bas pourrait bien être dû à la sensibilité des opérations américaines menées sur le sol australien. Il est bien connu, par exemple, que le GCHQ et Menwith Hill en Angleterre ont une forte présence américaine, mais cela est acceptable ici en Grande-Bretagne en raison de la « relation spéciale » entre nos deux pays, en particulier en ce qui concerne le partage des informations de renseignement.

Le grand public australien serait-il aussi favorable à une présence américaine manifeste dans les territoires du Nord ? Cela semble peu probable, surtout si l’on considère l’héritage historique des essais de bombes atomiques effectués par la Grande-Bretagne dans les années 50. Malgré cela, les rumeurs d’ovnis et d’armes spatiales à Pine Gap pourraient être fondées, et les preuves ne cessent de s’accumuler.

source : Timothy Good

La base de Pine Gap, comme on l’appelle communément, porte officiellement le nom de Joint Defence Space Research Facility (base conjointe de recherches spatiales de défense). Toutefois, les Australiens, eux, disent « Pine Gap ». La base de Pine Gap a eu plusieurs fonctions. A l’origine, elle a servi à la recherche et au développement de la technologie spatiale de défense. La responsabilité première de la base revenait à la U.S. Defence Advanced Research Projects Agency (DARPA) située au USA. 

Au cours des premières étapes d’implantation de Pine Gap, le Directeur de la DARPA était Stephen J. Lukasik. Les membres-clés de son personnel étaient : 

  1. Kent Kresa, adjoint spécial pour la technologie de guerre sous-marine et directeur de la technologie tactique, 
  2. Lawrence G. Roberts, directeur des techniques de traitement des informations, 
  3. Eric H. Willis, directeur de la recherche de surveillance nucléaire, 
  4. David E. Mann, directeur de la technologie stratégique et 
  5. le lieutenant colonel Austin W. Kibler, directeur de la division de recherche sur les ressources humaines. 

Tapie dans une petite vallée au pied des montagnes, au sud de la chaîne de Macdonnell, à environ 19 km en avion du centre de l’Australie, se trouve l’une des merveilles du monde moderne. Les entrées de surface apparentes de cette retraite super technologique se situent par 23 degrés 48 min Sud sur 133 degrés 43 min Est. C’est en Australie, l’une des trois plus importantes bases ultra-secrètes que finance le gouvernement des Etats-Unis.

survol de Pine Gape

Pine Gap est installée sur ce que l’on croit être le puits d’eau le plus profond et le plus droit qui fut jamais foré en Australie. Il a une profondeur d’au moins 8.535 mètres (8,5 km).
Ce puits pourrait aussi servir d’antenne souterraine pour la diffusion d’électricité à très basse fréquence. Etant donné que Pine Gap mène apparemment des recherches autant sur la haute atmosphère que sur le sous-sol, il est très probable, à moins que ce ne soit pour une autre raison, que l’antenne du puits serve à synthoniser un énorme champ d’onde stationnaire autour de la planète ! Un système de ce genre pourrait facilement être synthonisé sur des fréquences allant de, disons 9000 cycles par secondes à 14.336 cycles par secondes ou hertz, soit suffisamment pour produire un champ résonnant électrique à une altitude de 400 km. 

On a aussi entendu dire que Pine Gap possédait une centrale nucléaire très grande pour alimenter son énorme émetteur-récepteur. Au nombre des autres projets que la rumeur a fait circuler, citons des accélérateurs à plasma à haute tension et à haute énergie… utilisés probablement dans de nouvelles méthodes de production d’énergie, un rayon de la mort, ou canon à plasma et même des émissions spécialisées d’énergie servant à recharger les sous-marins électriques loin dans l’océan Indien. Il est à peu près certain que les premières versions de l’émetteur-récepteur à très basse fréquence de Pine Gap, près de la Baie d’Exmouth en Australie, servait et sert encore à la transmission de courants électriques sous-marins très puissants aux sous-marins américains qui remorquent de longues antennes derrière eux. On sait, aussi, que l’électricité transmise de cette manière peut être suffisamment puissante pour recharger les batteries de bord à haute tension appelées cellules d’emmagasinage de plasma dynamique.

Le Nation Review, un journal national australien, disait certaines choses intéressantes sur Pine Gap, dans son numéro du 17 et 23 mai 1974 :
« La base de recherche de Pine Gap, près d’Alice Springs, a réussi à tenir secret jusqu’à ce jour l’un des projets de recherches les plus incroyables du monde.
Les Etats-Unis mènent des recherches continues sur la propulsion électromagnétique (PEM) à Pine Gap depuis sa création en 1966.

Nixon (ancient président des Etats-Unis) annonçait que 1975 était la date cible pour le parachèvement du projet. A ce moment, cette réalisation devait estomper la crise du pétrole.
Des défauts de dernière minute dans la conception et le fonctionnement des véhicules PEM auraient probablement repoussé la date de quatre autres années.

Selon de nombreux témoins oculaires, des disques d’environ 9 mètres de diamètre portant les inscriptions « U.S. Air Force » ont été livrés en Australie dans de gros avions militaires… qui ont attéri à l’un ou l’autre des deux aéroports qui desservent Pine Gap. D’autres témoins disent avoir vu ces mêmes avions décharger une quantité phénoménale de meubles modernes, de nourriture et d’autres provisions que l’on s’attendrait ordinairement à voir dans un hotel « rupin ». Se pourrait-il que près de la base de Pine Gap il y ait une ville souterraine construite sur plusieurs niveaux ?…

Se pourrait-il que Pine Gap soit aussi ce qu’il est convenu d’appeler un abri destiné à recevoir le personnel-clé des Etats-Unis en cas de catastrophes météorologique naturelle ou d’attaque nucléaire à l’échelle mondiale dont le nom de code serait Noah’s Ark (l’arche de Noé) ?

Si quelqu’un doute du degré de surveillance orbital qu’il est possible d’atteindre aujourd’hui, un communiqué de presse de 1973 sur les autres fonctions de Pine Gap devrait le convaincre. Le communiqué indiquait que Pine Gap et sa station soeur, Guam, entretenaient des satellites photographiques dans le cadre de ce qui fut appelé Operation Big Bird (opération grand oiseau).

Chacun de ces « oiseaux » pesait 9 tonnes, mesurait 16 mètres de longueur sur 3 mètres de largeurs, pouvait balayer la surface entière de la terre toutes les 24 heures et pouvait modifier son altitude sur 160 à 320 km pour prendre des photos rapprochées de secteurs intéressants. Chaque fois que le centre de contrôle demandait à « l’oiseau » de prendre une vue rapprochée ou une photographie à haute résolution d’une zone stratégique donnée, il utilisait un énorme appareil Perkin-Elmer pour prendre une photographie à basse altitude de l’objectif. Les photos que l’on tirait étaient tellement claires que des objets de quelque 30 cm de largeur étaient identifiables.

Au Transvaal, en Afrique du Sud, se trouve une station similaire à Pine Gap. Mais il est difficile d’obtenir des renseignements à son sujet. La plupart des employés qui y travaillent se font passer pour des employés consulaires américains. Cependant, un personnel consulaire de 1200 personnes, c’est pour le moins excessif. Comment s’appelle cette station ?… est-ce Krugersdorp ou Koedespoort ?  

Cet endroit aurait aussi un lien avec une autre station de TBF (très basses fréquences) au pôle Sud. L’opération Deep Freeze (opération surgelé)?… n’est-ce pas une étrange coïncidence que les deux grilles dont parlait le capitaine Bruce Cathie (dans son ouvrage intitulé : Harmonic 695) aient des pôles situés au pôle Sud aussi ?

Certains des principaux entrepreneurs et fournisseurs de Pine Gap ont été Collins Radio, Ling-Tempco-Vought (L.T.V.), tous deux du Texas, McMahon Construction et I.B.M.
Le bruit court aussi qu’au fond du puits, sous la base, des super-systèmes informatiques IBM reposeraient sur une plate-forme.

L’existence d’un émetteur-récepteur d’énergie à TBF et des machines volantes électriques n’est pas si difficile à croire. On se souviendra que L.T.V. est une société aérospatiale qui constitue un conglomérat de filiales dans la fabrication d’appareils électroniques et d’avions. IBM a aussi, il y a longtemps, mis au point des ordinateurs géants comportant des unités de mémoire principale cristallines et refroidies à l’extrême. Ces ordinateurs sont capables de reconnaître la voix et des formes visuelles. La capacité de leur mémoire principale serait supérieure à 2 milliards d’octets (caractères)! N’est-il pas possible qu’il y ait certains secrets que le gouvernement invisible de la Terre ait cachés à ses sujets ?

Il faut se rappeler qu’il y avait plus de 100.000 personnes qui travaillaient au Projet Manhattan pour produire la première bombe atomique. Ce secret a-t-il filtré pour aider les Japonais ?

La pointe d’un compas placée sur Pine gap et l’autre s’étendant jusqu’à Perth, formera, lorsque l’on trace le cercle, un cercle autour de l’Australie qui passe par les secteurs suivants : Perth, l’émetteur-récepteur TBF d’Exmouth, Brisbane, Canberra, Sydney, Melbourne (le long de la péninsule de Mornington et une zone un peu au large du Cap Otway entre le cap et l’île King.
 
Soit dit en passant, Darwin et Adelaïde tombent sur un cercle autour de Pine Gap dont le rayon est de quelque 1200 km et des poussières alors que la zone dont il était question plus haut donne un rayon d’un peu plus de 1900 km. Le ministère des Transports (qui s’appelait ministère de l’Aviation civile auparavant) enregistre Pine Gap comme R233 sur les cartes de navigation pour cette zone. R233 est un espace aérien limité réservé à la recherche spatiale (c’est-à-dire, ne volez pas dans la zone indiquée sur la carte). L’espace R233 est un cercle d’un rayon de cinq milles miles marins dont le centre est Pine gap.

Le Dr steven Greer eu le témoignage d’une personne ayant travaillé dans un projet top secret, avoua que lors d’un transfert en hélicoptère à Pine Gap, il vécut une expérience tout à fait inhabituelle, le flanc de la colline d’apparence normale, s’ouvrit comme s’il s’agissait d’un hologramme.
L’appareil pénétra profondement jusqu’a un endroit où se trouvaient d’énormes OVNIs de fabrication humaine dont certains étaient de formes triangulaires.

source : http://ufotopsecret.over-blog.com/page-1885355.html


Selon le contacté Alex Collier, certaines de ces bases sont des réseaux de très vieilles cavernes, qui ont été remises en état et aménagées. Pine Gap, en Australie, est l’une des plus importantes. Du matériel en direction de la base lunaire – Lunar Operations Command – part de cet bases. En Australie, il existe une autre base, celle de Snowy Mountains, toutes deux sont alliées aux reptiliens-gris.

Greg Szymanski (journaliste d’investigation américain) : « La plupart des gens qui défient le pouvoir regardent dans la mauvaise direction. Il faut exposer et alerter la population sur les dangers sous la surface de la terre… personne ne veut croire à la véritable nature sinistre qui sous-tend les milliers de bases militaires qui existent dans le monde entier. »

source : Alcyon Pléiades 142

Joint-venture avec l’armée américaine, Pine Gap est sans doute le lieu le plus secret d’Australie. En outre, il est synonyme d’activité ovni et ce, depuis des décennies. La base a officiellement vu le jour en 1970, mais certains chercheurs pensent que des témoignages suggèrent qu’elle était opérationnelle depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Bien qu’il y ait d’énormes dômes (radomes) à la surface, la grande majorité de la base opérationnelle est souterraine. Située à peu près au milieu de l’Australie, au sud des MacDonnell Ranges et à l’ouest d’Alice Springs, c’est l’endroit idéal pour capter un signal et empêcher les autres signaux d’entrer.

En vérité, les terres désertiques du centre et du sud-ouest de l’Australie ont toujours eu leur part de phénomènes étranges et d’observations bizarres. Cependant, après la construction de Pine Gap, cette activité allait augmenter de façon spectaculaire. Pour sa part, le gouvernement australien a fait de son mieux pour éviter toute discussion sur l’installation. Jusqu’à ce qu’en décembre 1989, une observation étrange fasse l’objet d’une couverture, bien que limitée, dans les médias grand public.

Avant de nous pencher sur ce récit, regardez la vidéo ci-dessous. Il s’agit d’une séquence d’un documentaire de 1977 qui présente des détails sur Pine Gap.


L’observation du voyage de chasse à Pine Gap

Au retour d’une nuit de chasse, vers 4h30 du matin le 22 décembre 1989, trois hommes ont été témoins d’une rencontre surréaliste. Alors qu’ils se promenaient sur les terres proches de la base de Pine Gap, une activité soudaine dans l’enceinte de la base a attiré leur attention.

Une porte camouflée s’est soudainement ouverte devant eux, révélant des lumières et du mouvement derrière elle. De l’intérieur de cette enceinte cachée, un disque gris et métallique a émergé. Aucun son n’accompagnait ses mouvements, et à part leur propre respiration, tout autour d’eux était silencieux. Soudain, mais toujours sans bruit, le disque s’est élancé à une vitesse étonnante, dépassant certainement tout ce que les témoins avaient déjà vu. La porte s’est ensuite refermée calmement, cachant une fois de plus sa présence.

Le rapport est parvenu au chercheur sur les ovnis, John Lear, par l’intermédiaire d’un professeur d’université. Il y mentionne que « tous les témoins sont fiables, bien que réticents à parler de ce qu’ils ont vu ». Il déclare également que « cet état a plus d’ovnis qui vont et viennent que n’importe où ailleurs en Australie ! ».

Étant donné les affirmations de certains chercheurs selon lesquelles un « contact » a déjà eu lieu, Pine Gap pourrait-il être l’une des prétendues bases aliens-humains autour de la planète ? Ou bien l’engin en forme de disque qui a émergé de la porte cachée serait-il le résultat d’une technologie militaire de rétro-ingénierie ?

Les enquêtes menées dans la région révèlent rapidement l’existence de nombreuses observations similaires.

« Quelque chose d’énorme va se produire ! »

L’une des observations les plus intrigantes s’est produite en 1984. Ce qui est particulièrement intéressant dans ce récit, c’est qu’il met en scène 5 membres du gouvernement australien (probablement de la défense), espionnant essentiellement leurs collègues américains. Cependant, ils ont décidé eux-mêmes de s’y aventurer et, pour ne pas révéler leur identité à leurs supérieurs et à leurs invités, l’identité des témoins est inconnue du public.

Il y a également une certaine part de mystère quant à la présence de ces témoins sur la base en premier lieu. Le leader de ce groupe avait récemment reçu de nombreux rapports d’activité d’OVNI dans la région de Pine Gap et de ses environs. L’un d’entre eux, cependant, déclarait qu’entre certaines dates (une période de 5 ou 6 jours – les détails et les dates restent inconnus) « quelque chose d’important allait se produire ».

Fascinés par ce que cela pouvait signifier, les 5 personnes se séparent en deux groupes. Équipées de télescopes spécialement conçus et dotés de capacités de vision nocturne, elles partirent dans deux véhicules. Chacun s’approchera de Pine Gap dans une direction différente. L’un s’approcherait par l’ouest et le désert de Gibson, tandis que l’autre s’approcherait par le nord et les MacDonnell Ranges.

Ils ne voyageraient même que de nuit, une fois qu’ils seraient dans un rayon prédéterminé de la base. Lorsqu’ils arrivaient à leurs positions convenues, ils attendaient et commençaient leur surveillance officieuse.

De solides piliers de lumière

Chaque unité est restée en position pendant 3 jours entiers sans observer la moindre activité, et encore moins quelque chose d’étrange. Le quatrième soir, cependant, les choses ont changé et une activité accrue a commencé autour de la base. De gros véhicules militaires se déplaçaient autour de la base et des groupes de travailleurs se rassemblaient à des endroits précis, généralement près des grands radômes.

Soudain, au milieu du terrain de la base, un intense pilier de lumière dorée a jailli vers le haut. Large de plusieurs mètres, il semblait solide et s’étendait dans le ciel nocturne. Au-dessus d’eux, et autour du point de lumière, un étrange nuage semblait se former. Comme la lumière « pulsée », le nuage a semblé grandir.

Aussi soudainement qu’elle a commencé, la lumière s’est éteinte. Avant que les cinq témoins ne puissent s’orienter, la lumière est réapparue, mais cette fois-ci, elle est descendue d’en haut et a frappé le sol de la base. C’est à ce moment-là que les témoins ont vu pour la première fois 5 objets étranges au-dessus de la base. Quatre d’entre eux étaient en « formation de diamant », tandis que derrière eux se trouvait un objet cylindrique. Les quatre premiers objets se sont déplacés dans des positions nord-est-sud-ouest, tandis que l’objet cylindrique s’est positionné au milieu d’eux. Puis une intense lumière solide, bleue cette fois, a frappé le sol depuis les objets situés au-dessus. Les étranges formations nuageuses sont également apparues en haut du faisceau. Cela a continué pendant plusieurs minutes avant que les lumières ne s’éteignent et que les 5 engins apparemment extraterrestres ne s’élèvent lentement vers le haut avant de disparaître dans un éclair.

Bien qu’aucun des témoins ne sache ce qu’il vient de voir, tous s’accordent à dire que les rumeurs de contact établi avec une race extra-terrestre sont apparemment vraies.

Projets multiples

Plus récemment, l’installation de Pine Gap a fait l’objet d’un examen minutieux pour ses liens avec les drones américains. En particulier ceux responsables de la mort de civils pakistanais. Selon un avocat au Pakistan en juillet 2013, les renseignements qui pilotent ces drones proviennent de Pine Gap.

Ces liens et les activités de Pine Gap ont peut-être été regardés avec encore plus de suspicion après les révélations apparentes d’Edward Snowden. Selon Snowden, Pine Gap était l’une des bases clés à partir desquelles des agences comme la NSA surveillent les communications des citoyens. Officiellement, Pine Gap est une station de suivi pour les nombreux satellites en orbite autour de la Terre. Il semble que tous les satellites espions américains soient effectivement contrôlés depuis Pine Gap. La vidéo ci-dessous s’y attarde un peu.

En outre, l’installation de Pine Gap compte environ un millier d’employés, dont la plupart résident dans la ville voisine d’Alice Springs. La plupart de ces employés sont des agents de renseignement américains ou australiens. Cependant, selon ceux qui ont fait des reportages et des recherches sur la ville, tout Américain que vous rencontrerez vous dira probablement qu’il est « jardinier » ou qu’il occupe un autre emploi discret. Selon ces chercheurs, cela indique presque certainement qu’ils travaillent réellement à Pine Gap.

Ce secret apparent et cette nature clandestine autour de Pine Gap et de ceux qui y travaillent ouvrent également la porte à des affirmations plus farfelues. Dans son livre intitulé « Underground Bases and Tunnels », Richard Sauder parle d’allégations selon lesquelles la base fonctionnerait dans des dimensions alternatives. Pine Gap est également mentionné en relation avec les « missions secrètes de voyage dans le temps vers Mars » comme point de lancement. Aussi folles que soient ces suggestions, pourraient-elles au moins commencer à expliquer les étranges lumières bleues et or dont témoignent les récits susmentionnés ?

source : https://www.ufoinsight.com/conspiracy/government/pine-gap-secret-alien-technology

La vidéo ci-dessous présente Pine Gap de manière plus détaillée…


2 commentaires sur “Les bases secrètes de Pine Gap et Woomera en Australie

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