George Green, dont la carrière a revêtu des formes très variées, et qui pendant de nombreuses années a côtoyé les puissants de ce monde, nous raconte comment tout a basculé pour lui un certain jour à la suite d’une rencontre avec Ted Kennedy. Dans la première partie de cette interview-datant d’avril 2008, il évoque la relation des Illuminati à l’argent, le rapport Mondial 2000, rédigé sous Jimmy Carter et les sinistres plans qui en dérivent, les clones qui nous entourent, les cataclysmes, naturels et programmés qui, selon lui, nous attendent bientôt, et il nous confie plusieurs manières de s’en prémunir dans la mesure du possible. George Green nous fait également part de ses contacts avec des entités extraterrestres et avec Billy Meier.
Dans la deuxième partie, non moins dense, George Green développe la nature de ses contacts avec les Pléiadiens, et de l’enseignement qui nous est donné par eux. Il y est aussi question de l’importance de la Loi de l’Attraction, de sa propre mission d’éveil, de ses démêlés avec Billy Meier, des plans politiques des élites et des relations internationales, des structures de contrôle, de l’importance soudaine de l’Amérique du Sud comme refuge, et d’autres choses encore…
La carrière de George Green va du service militaire dans l’US Air Force (où il s’est trouvé en présence d’un engin discoïdal aliène dans un hangar isolé de la base aérienne d’Edwards), à la promotion immobilière sur une grande échelle, en passant par « le jeu de Monopoly » qu’il pratique dans les grandes banques, pour finalement œuvrer à « éveiller les gens », en relation étroite avec les Pléiadiens et d’autres êtres intelligents et bienveillants, en prévision des changements à venir. Très peu de personnes, parmi toutes celles avec lesquelles nous avons parlé, possèdent une expérience personnelle – et des contacts – aussi variée et aussi étendue.
Comme le raconte George, il « fréquentait les grands ». On lui a demandé de construire un camp pour prisonniers de guerre ennemis au centre de Las Vegas – il a refusé – mais aussi de devenir le directeur du financement de la campagne présidentielle de Carter, poste qu’il a décliné après avoir compris que la moralité des principaux acteurs était loin d’être au-dessus de tout soupçon. Peu de temps après son rejet de l’offre en question, on l’a obligé à rembourser ses prêts, lui faisant perdre ainsi des millions de dollars par l’impossibilité de financer des douzaines de projets immobiliers. Sans se décourager, George a reconstruit sa vie, et il est maintenant en contact avec des Pléiadiens et d’autres intelligences. Il consacre sa vie à faire passer le message que tout n’est pas comme on le croit. Son très important livre électronique gratuit, Handbook for the New Paradigm (Manuel pour le nouveau paradigme) a déjà touché des millions de lecteurs dans le monde entier.
C’est un grand plaisir d’écouter George : il est détendu, sympathique et amusant. Son message est [néanmoins] extrêmement sérieux : Il reste peu de temps pour se préparer. Ses « sources », nous dit-il, l’informent que peu de gens « s’éveillent », qu’il est presque trop tard, ses bagages sont prêts et il va bientôt déménager pour l’Équateur où, affirme-t-il, beaucoup de gens « dans le secret » ont acquis des biens immobiliers et déjà quitté les États-Unis.
Lorsqu’on lui a demandé quand on pouvait s’attendre à de grands changements, il nous a répondu en regardant sa montre : Dès que nous lancerons une attaque contre l’Iran, il ne fera plus bon être aux États-Unis. Nous allons bientôt nous réveiller un lundi matin et découvrir que le monde n’est plus le même.
source : https://projectavalon.net/lang/fr/george_green_interview_transcript_1_fr.html
https://projectavalon.net/lang/fr/george_green_interview_transcript_2_fr.html
GG : Si on va à Disneyworld, par exemple. À la Maison Hantée, on voit l’hologramme, d’accord ? Vous savez fabriquer un hologramme ? Eh bien nos scientifiques ont appris à fabriquer des gens. Ils les appellent des synthétiques. Êtes-vous au courant de ça ?
KC : Bon, nous venons en fait d’interroger John Lear, et il nous a raconté avoir fait partie d’un auditoire qui assistait à une conférence présentée par un type qu’ils pensaient réel – mais qui s’est révélé plus tard être un hologramme.
GG : C’était un synthétique. Quand vous leur touchez la peau, elle a presque la consistance du plastique. C’est le dernier cri. Dans les anciennes techniques… Louez une vidéo, les amis, intitulée The Boys from Brazil (titre français : Ces garçons qui venaient du Brésil). Louez-la, parce qu’on y trouve la manière exacte dont notre gouvernement fabrique des gens.
KC : Vraiment ?
GG : Oui.
KC : Allons donc !
GG : Les Soviétiques utilisent une méthode différente nommée…
KC : …fabriquer des gens, vous voulez dire des êtres temporaires ?
GG : Non, des gens qui marchent et qui parlent.
KC : C’est-à-dire par la génétique ? Vous ne parlez pas de ça ?!
GG : Bon, laissez-moi tout vous raconter. Le film le montre, mais je vais vous en parler tout de suite.
KC : D’accord.
GG : Tout ce dont j’ai besoin, c’est de deux cellules prises de votre corps. Le vôtre.
KC : Han-han…
GG : Nous leur apportons une petite charge électrique. Je simplifie. Ça va agir comme un ovule fertilisé. Si je veux un ovule fertilisé, tout ce dont j’ai besoin, c’est d’un receveur pour le faire. Ils ont donc hypnotisé des femmes. Ils leur ont raconté qu’elles étaient violées par des aliens et le fœtus commence à se développer. Il a besoin de nourriture.
Bon, ils peuvent aussi se servir de vaches et de brebis. Une source de nourriture, là encore : nous n’avons besoin de rien d’autre. Après 14 semaines, tout à coup le fœtus disparaît, parce qu’ils ont appris à le… C’est le moment où le fœtus commence à développer sa propre production de sang. Ils utilisent ensuite des extraits d’hormone pituitaire, dont ils disposent pour accélérer la croissance de l’être.
La technologie originelle a été fournie à notre gouvernement par les Gris. La raison en était que nos scientifiques étaient tout joyeux à l’idée que nous puissions avoir des pièces de rechange. Si on a besoin d’un cœur, d’un foie ou d’autre chose, il n’y a pas de rejet puisqu’il s’agit de notre propre ADN.
KC : OK, parce que, en théorie, s’il y a surpopulation, nous n’avons pas besoin de plus de gens, pas vrai ?
GG : De toute manière, la soi-disant « élite » sélectionne ceux qu’ils veulent avoir auprès d’eux
On souhaite donc voir les gens durer aussi longtemps que possible. J’en ai parlé au médecin qui travaillait sur la régénération de Castro, par exemple.
KC : Bien.
GG : Du séquençage de l’ADN, et ils commencent seulement à le comprendre.
KC : Bon, je pense que beaucoup de présidents ont déjà été remplacés.
GG : Exact.
KC : On les voit circuler – ils paraissent âgés, mais certains d’entre eux sont en fait des deuxièmes ou troisièmes copies…
GG : Je vais vous donner matière à réflexion. Procurez-vous des vieilles vidéos de George Bush, de quand il est arrivé au pouvoir. Examinez la personne et écoutez-le parler. Regardez ses gestes, et écoutez ses… tout ce qu’on peut y découvrir. Maintenant, il est beaucoup plus facile de faire jouer à quelqu’un le rôle de… – même Bush l’a fait. Il avait un sosie pour jouer son rôle.
Même Hitler avait un remplaçant. C’est en fait le remplaçant qu’ils ont trouvé dans le [bunker], là-bas en Allemagne. Hitler, Eva et le chien, et 14 autres personnes se sont échappés en avion pour rallier l’Espagne, Barcelone. Vous le saviez. Ils ont fini en Antarctique, ou en [Nouvelle(?)-]Souabe, avant de mourir il y a quelques années au Brésil.
KC : Nous l’avons entendu dire.
GG : J’ai tous les documents de notre gouvernement.
KC : Oh, vraiment ? OK.
GG : Même Staline. Staline a posé des questions ; ils voulaient brûler le corps, mais il l’a récupéré et a dit : Attendez un peu ! Les oreilles étaient différentes, les testicules aussi, et tout le reste. Ils savaient donc que ce n’était pas Hitler.
KC : Mais s’agissait-il d’un clone, ou pas ?
GG : Maintenant il faut que je vous dise quelque chose sur le clonage. Les techniques de clonage… Ils clonent des gens depuis 1938. 8 pays produisent des clones. J’ai un ami médecin dont le seul boulot est de traiter les clones.
KC : D’où tenez-vous vos informations ?
GG : Des gens qui veulent bien me les donner. Ils me parlent parce qu’ils espèrent que je vais répandre l’information. Ils ont en permanence deux types aux basques et ils risquent leur vie s’ils parlent trop de clonage.
Les gens impliqués là-dedans disparaissent, donc je ne vais pas entrer dans plus de détails. Mais il y a des informations disponibles. Il y en a de plus en plus sur Internet. Je vous l’ai dit : allez louer le film.
KC : The Boys from Brazil (Ces garçons qui venaient du Brésil) ?
GG : Et vous y verrez tout sur la manière de… on vous le montre à différents endroits, pour que vous puissiez imaginer ce qui se passe.
KC : OK. Donc…
GG : Passons maintenant à l’étape suivante, qui est la plus importante.
KC : D’accord.
GG : Si la réalité physique que vous avez, fondée sur votre vie physique, ce rêve, est constituée des expériences imprégnées dans votre corps et dans votre esprit, de façon consciente…
KC : Mm-hm.
GG : …la mémoire de votre âme est autre chose.