Projet Camelot – Dan Burish & la Porte des Etoiles

Microbiologiste à la retraite, mais continuant à travailler dans un projet très inhabituel nommé Projet Lotus, Dan Burish a été employé par « Majestic » pendant une vingtaine d’années, après avoir été introduit en 1986 par les auspices du « Comité de la Majorité », en travaillant spécifiquement pour « Majestic-12 » assigné au projet Aquarius. Connu pour avoir rencontré un « J-Rod » et pour avoir travaillé au « S-4 », Dan nous emmène vers des horizons… déroutants. Dans cette interview en 2 parties, Dan donne des détails très précis tant sur la technologie que sur la politique des « Portes des étoiles » [Stargates] et du « Miroir » [Looking glass]. Il discute aussi du « Cube », qui pourrait éventuellement être le même dispositif que le légendaire « Livre Jaune » [Yellow Book], ou la « Boîte Noire » annoncée par notre important témoin Henry Deacon.

Michael E. Salla (chercheur & auteur australien spécialisé dans l’exopolitique) : Une porte des étoiles est semblable à un pont d’Einstein-Rosen ou à un « trou de ver », qui se forme lorsque l’espace-temps est déformé par des champs gravitationnels intenses. Au point de singularité (le point de l’univers où les lois de la physique cessent d’opérer), le temps s’arrête effectivement en s’étirant à l’infini, comme le prédit la théorie générale de la relativité d’Einstein. Cela permettrait à quiconque de survivre aux champs gravitationnels intenses qui accompagnent le point de singularité, un moyen de voyager en avant ou en arrière dans le temps. Cependant, les points de singularité sont très instables et nécessitent d’énormes quantités d’énergie pour maintenir une porte ouverte. Kip Thorne, de l’institut de technologie de Californie, a fait valoir que si une forme exotique de matière peut être déployée pour maintenir le point de singularité ouvert, un trou de ver ou une porte des étoiles ‘accessible’ serait théoriquement possible. Par conséquent, un point de singularité qui reste ouvert permet à des objets ou à des formes de vie de se déplacer dans le temps. Selon le professeur Paul Davies, il serait possible de créer une machine à voyager dans le temps si l’on trouvait un point de singularité et si l’on mettait en place la technologie nécessaire pour l’ouvrir au voyageur temporel. Davies décrit également un processus par lequel des civilisations avancées pourraient contrôler une porte des étoiles ou un trou de ver naturel. Ainsi, les principes qui sous-tendent les portes des étoiles, en tant que forme de technologie de voyage dans le temps, sont généralement bien connus des scientifiques et réalisables, même s’il ne s’agit que de technologies avancées qui ne sont pas encore accessibles au grand public.

La question est de savoir si de telles technologies secrètes existent dans le monde classifié des projets liés aux extraterrestres. C’est là que le témoignage du Dr Dan Burisch prend toute son importance, puisqu’il affirme avoir été impliqué dans de tels projets.

Burisch affirme que la technologie des portes des étoiles permet à ses utilisateurs d’entrer physiquement ou de déplacer des matériaux à travers le temps et dans différents flux temporels. Burisch confirme que les portes des étoiles artificielles sont des instruments qui pénètrent dans des ‘portes des étoiles naturelles’ pour fonctionner. Il pense qu’il existe environ une cinquantaine de stargates artificielles sur la planète et un nombre indéterminé de portes des étoiles naturelles. Il affirme que les informations nécessaires au développement des portails stellaires artificiels proviennent des ‘sceaux cylindriques’ extraits de l’Irak lors de la première (1991) et de la deuxième (2003) guerre du Golfe menées par les États-Unis et leurs alliés. Ces sceaux cylindriques contiennent des informations extraterrestres transmises aux anciens Sumériens, qui les ont fidèlement reproduites dans des textes cunéiformes. Les informations de Burisch accréditent la thèse selon laquelle l’intervention militaire américaine en Irak a été motivée par le désir de découvrir et de contrôler la technologie des portes des étoiles. Burisch affirme que la technologie des portes des étoiles a été utilisée par des extraterrestres pour pénétrer dans la ligne temporelle de la Terre. Mais elle n’a été utilisée par les humains que pour envoyer des informations dans divers flux temporels. Il affirme qu’en raison de la nature hautement instable des portes des étoiles, il a été jugé trop dangereux d’y envoyer des humains. L’intérêt scientifique croissant pour la faisabilité des trous de ver traversables, du voyage dans le temps ou de la technologie des portes des étoiles fait qu’il est important d’examiner les sources provenant de lanceurs d’alerte du monde classifié ou secret qui décrivent l’existence de ces technologies et leurs diverses applications.

En ce qui concerne le Looking Glass : cet appareil ne pouvait pas se concentrer sur une séquence détaillée d’activités dans le futur. En d’autres termes, vous ne pouviez pas voir exactement ce qui se passerait, comme une série d’événements. On m’a dit de considérer l’idée des multivers en combinaison avec les travaux de Richard Gott sur les cordes cosmiques. Il semble que l’on accède au multivers lorsque l’on passe en mode « forward ». On m’a également dit de considérer les vues fournies par LG comme l’une des nombreuses réalités potentielles (au moins dans le mode de vue futur).

On m’a également dit que récemment, un effort a été fait pour équiper des magnétoscopes qui seront envoyés dans l’appareil, permettant ainsi aux gens du projet « dark » d’avoir un aperçu de ce qui peut se passer.

Lorsque j’ai entendu parler de cela, plusieurs questions m’ont traversé l’esprit. La plus pressante était la suivante : si une caméra était envoyée vers l’avant dans le temps/l’espace, serait-elle capable d’enregistrer autre chose que ce qui se trouve immédiatement devant son objectif ? Je veux dire, et si LG était située au milieu des installations de Groom Lake, et que les opérateurs voulaient avoir un aperçu de l’issue d’un conflit, disons au Moyen-Orient. Comment un magnétoscope, réglé pour enregistrer ce qui se trouvait juste devant son objectif à cet endroit, pourrait-il recueillir des données sur le Moyen-Orient s’il était encore coincé au milieu du désert de Mojave quand il est arrivé dans le futur ? Un changement de quelques degrés dans la direction de la caméra permet de voir une série d’événements tandis qu’une autre série est complètement ignorée, et encore moins des événements qui se déroulent à l’autre bout du monde.

Pour répondre à cette question, mon contact n’a pas été précis, se contentant de dire que les caméras ne bougeaient pas, car la masse ne change pas de perspective par rapport à l’espace-temps. Cependant, un tel objet placé dans l’atmosphère injectée, pourrait connaître un temps différent, ne serait-ce que brièvement. Et les caméras pouvaient filmer dans le gaz ou voir des images dans l’atmosphère injectée comme s’il s’agissait d’un objectif reflétant les événements dans et autour de la colonne. On m’a fait comprendre que l’inclinaison ou le positionnement des électro-aimants permettrait de refléter dans la colonne de gaz différentes vues ou positions dans l’environnement.

(Je suis convaincu qu’au moins deux anneaux d’électro-aimants sont utilisés et que le reste de l’appareil est composé d’un baril et du gaz* injecté dans le baril. (Deux sources différentes ont indiqué que ce sont les composants de base.) Ces aimants tournent dans des directions différentes, créant une sorte de charge. Ensuite, le gaz est injecté dans le baril. Selon la direction de la rotation (je suis sûr que la vitesse et l’inclinaison, ainsi qu’un tas d’autres facteurs, doivent également avoir un effet), l’espace-temps peut être déformé vers l’avant ou vers l’arrière sur de longues ou de courtes distances par rapport au présent. J’ai des raisons de croire que les scientifiques ont établi une carte des positions et des vitesses exactes des aimants nécessaires pour atteindre les temps ciblés en avant et en arrière).

Apparemment, les images des événements à différents endroits, par rapport à l’emplacement de l’appareil, peuvent être captées et essentiellement réfléchies par le gaz, ce qui fait que celui-ci se comporte comme un téléprompteur ou une boule de cristal, faute d’un meilleur exemple. Mais je ne suis pas tout à fait sûr que la masse ne bouge pas, ou qu’elle ne soit pas affectée. On m’a également parlé, il y a de nombreuses années, d’une expérience qui a très mal tourné au cours des premières années du projet LG, impliquant un sujet d’essai quelconque. D’après ce que j’ai compris, il y a eu un important mouvement de masse au cours de cette expérience, et cela s’est terminé par une mort plutôt horrible pour le pauvre sujet d’essai. (J’ai d’abord cru qu’il s’agissait d’un singe, mais j’ai découvert que de nombreux sujets de test avaient été envoyés, donc je ne suis pas certain du type de sujet impliqué dans l’expérience qui a mal tourné. Cependant, dans ma recherche typique de logique inverse pour trouver des corollaires, cela me dit qu’il y a dû y avoir de nombreux sujets de test qui ont bien réussi. Je suis donc certain que toutes les erreurs qui ont été commises ou tous les mauvais calculs ont été corrigés depuis longtemps).

J’aimerais pouvoir vous offrir plus d’informations. Pour ce que ça vaut, mes sources ont confirmé la présence d’électro-aimants et d’un dispositif en forme de baril auquel on injecte une sorte de gaz [une source indépendante a déclaré que le gaz concerné est l’argon. Project Camelot] …ces composants semblent nécessaires pour que LG puisse fonctionner comme un dispositif de visualisation. Quant aux changements de masse ou de mouvement dans l’espace-temps, je ne sais pas vraiment, car mes sources d’information ne m’en diraient pas plus sur ce qu’ils ont vu ou vécu au moment où ils ont été impliqués. Mais on peut raisonner, en se basant sur ce qu’ils ont dit, qu’il y a eu des expériences significatives dans le mouvement de la masse en arrière et en avant dans le temps, dont beaucoup ont été couronnées de succès. Je suis sûr que beaucoup de choses ont été découvertes et/ou affinées au cours de ce processus depuis lors.

Bill Wood : « Cela fait déjà 10 ans que la technologie aérospatiale américaine a la capacité de voyager à des vitesses proches de la vitesse de la lumière, comme par exemple, atteindre Mars en un jour. La technologie cachée, disponible depuis longtemps rend absurde l’usage du pétrole. Depuis des décennies, au sein du pouvoir, le projet « Looking Glass » est utilisé pour décider les actions et les décisions à prendre dans le présent en fonction du futur probable montré par cette technologie. Cependant, actuellement, l’élite est prise de panique, car cette technologie lui montre que quoi qu’elle fasse, les lignes du temps convergent toujours au même point d’arrivée, Décembre 2012. Il se produira un événement inévitable, c’est le processus d’éveil, l’évolution de la conscience humaine, nous saurons la vérité, et l’humanité sera consciente de la quantité massive de mensonges à laquelle nous avons été soumis. »

Entretien avec Dan Burisch par Paola Harris

Ce n’est un secret pour personne que feu le colonel Philip Corso pensait que les êtres de Roswell étaient un cadeau du futur. Il a déclaré que les corps contenaient des « micropuces de surveillance » qui rendaient compte aux créateurs et il a ajouté que le Pentagone se demandait qui étaient ces créateurs ? Étaient-ils des gens comme nous ? Dans son interview dans ce livre, il dit tristement que le corps extraterrestre était le plus beau cadeau, la découverte la plus étonnante, car il pouvait voyager dans l’espace et se maintenir grâce à l’électromagnétisme.

Ici, Dan Burisch, un microbiologiste qui aurait travaillé à S-4 sur la base de la Zone 51, nous livre une réalité qui pourrait être interprétée comme un conte de science-fiction. Quiconque a personnellement interviewé Dan « face à face » peut constater qu’il raconte sincèrement des épisodes réels. Personnellement, je crois que toute interaction entre civilisations extraterrestres avec témoignage direct mérite d’être étudiée ! Mais ma règle d’or a toujours été de rencontrer ces personnes « en tête à tête », de les interroger longuement puis d’observer leurs expressions. Certaines personnes revivent leurs expériences et ne les inventent pas.

Dans un article intitulé Psychologie 101 : « Parler face à face est le meilleur moyen de repérer un menteur habituel, disent les psychologues ! – Daily Mail, dimanche 14 janvier 2007. Dans cet article, ce principe même a été souligné. « Des recherches ont montré que les gens hésitent à mentir lorsqu’ils parlent à quelqu’un d’autre – peut-être parce qu’ils craignent d’être plus facilement surpris, soit par leur langage corporel, soit par le ton de leur voix. » J’ai trouvé que cela était vrai pour Charles Hall et Dan Burisch.

Malheureusement, le cas Dan Burisch est plein de controverses ; c’est à peu près la même controverse que celle que j’ai rencontrée autour de l’affaire Michael Wolf Kruvante sur laquelle j’ai travaillé pendant deux ans, avec une série de soixante-dix enregistrements audio et quatre longues visites prolongées. L’ironie est que certains des principaux chercheurs de Burisch se portent garants de Dan parce qu’ils ont passé du temps avec lui en personne et ont pu l’interroger, mais nient que Michael Wolf mérite la même considération et ont ouvertement démystifié son témoignage.

Nous pouvons ici voir la valeur d’une véritable recherche sur le terrain, même si elle nécessite de l’argent et un temps considérable. Ces deux hommes travaillaient dans la zone 51, en particulier dans les installations S-4. Tous deux parlent de portes des étoiles ; les deux étaient des interfaces pour les invités extraterrestres ; tous deux étaient des scientifiques et tous deux ont eu la permission de révéler leur implication, même s’il restait une certaine marge pour le « déni plausible » dont j’ai parlé précédemment. C’est ainsi que cela semble fonctionner. Écrivez un livre de science-fiction, concrètement, comme l’a fait Michael Wolf, afin que l’on puisse nier votre implication directe et cacher la vérité entre les lignes.

Le cas Dan Burisch a d’abord été étudié par William Hamilton, puis par Linda Moulton Howe, deux chercheurs experts. C’est ma curiosité et ma volonté de « relier les points » qui m’ont conduit à Las Vegas à deux reprises pour interviewer Dan. Ce fut un plaisir à chaque fois car il est très honnête, ouvert et clair dans ses réponses. Il veut juste « dire au monde » et il le fait sur son DVD avec le même titre produit par son amie et conseillère sanctionnée par le MJ-12, Marcia McDowell. Elle est très importante dans l’histoire, alors je lui ai demandé des informations personnelles. C’est la description de poste que Marcia McDowell m’a fournie. « Je suis un ami de longue date de Dan et de sa famille, qui a officiellement prêté serment dans Majestic en tant qu’opérateur à la fin de 2003 et a été immédiatement affecté, à la demande de Dan, au poste de directeur des opérations, il est devenu responsable de toutes les formalités et opérations informelles, recherche, communications et publications pour Dan et l’équipe. Maintenant, je suis envoyé en permanence auprès de Dan et de sa famille, pour continuer mon rôle dans nos recherches continues.

Il est d’usage, dans Majestic, qu’une personne soit attribuée à une personne qui a détenu un numéro J. Dan a siégé en tant que J-9 pendant un court mandat, et donc si jamais il était appelé à témoigner devant le Congrès américain, il pourrait le faire en qualité d’ancien membre du Majestic. C’est pour cette raison que je travaille en permanence dans diverses fonctions pour Dan et sa famille.

Je remercie William Hamilton qui a écrit le livre sur cette affaire intitulé Projet Aquarius pour la première fois, alors que nous conduisions toute la journée depuis Laughlin, en 2006, pour nous rendre ensemble à cette réunion prévue. Dan et Marcia ont été honnêtes, cordiaux et pleins d’informations qui stimuleront la réflexion du lecteur. « La soi-disant communauté ufologique a créé autant de désordre autour de moi que possible, depuis quelques années maintenant. Cela ne s’arrêtera pas et je n’essaie ni de les convaincre ni de les courtiser. »

Interview with Micro-biologist Dr. Dan Burisch