Le Roswell Russe – Paul Stonehill & Philip Mantle

Révélations sur les Mystères Ufologiques de l’Union Soviétique…

De nombreux témoins attestent qu’en 1986 un mystérieux Objet Volant Non Identifié s’est écrasé sur une colline proche de la ville russe de Dalnegorsk. Des fragments de métal récupérés sur le site ne cessent d’intriguer les scientifiques. Lorsqu’ils soumettent ces étranges résidus à la chaleur, certains s’évanouissent et se voient remplacés par d’autres ! Plusieurs fragments présentent même de curieuses propriétés antigravitationnelles.

Souvent surnommé le « Roswell russe », cet incroyable événement a fait l’objet d’une enquête approfondie de la part de Paul Stonehill, un ancien réfugié devenu aujourd’hui un ufologue de renommée internationale, et de Philip Mantle, un Britannique expert en OVNIs.

Nous découvrirons aussi dans ce livre le mystérieux événement survenu en 1908 à Tuguska, en Sibérie, où une explosion détruisit 60 millions d’arbres avec une déflagration audible dans un rayon de 1500 km. Quelques témoins avaient vu passer dans le ciel une boule de feu qui a explosé entre 5 et 10 kms d’altitude causant une onde de choc plusieurs centaines de fois supérieures à la bombe d’Hiroshima.

Enfin, cet ouvrage lève le voile sur de nombreux phénomènes mystérieux liés aux Ovnis dans l’ex-URSS, avec le témoignage de cosmonautes russes et de membres de l’Armée Rouge.

Chapitres :

1/ L’affaire du Roswell russe : le crash de Dalnegorsk

2/ L’autre Roswell russe : le crash de Tunguska (1908)

3/ Quand l’Armée rouge se heurte au phénomène OVNI

4/ Les cosmonautes soviétiques face au phénomène OVNI

5/ CIA, espionnage et OVNIs en Russie

6/ Le KGB et les OVNIs

7/ Mystérieux océans : objets submersibles non identifiés dans les eaux russes et internationales

8/ Quand les astronomes russes observent des OVNIs

9/ Phobos et ses mystères

Les auteurs :

Paul Stonehill est né à Kiev (URSS) en 1959, Il a émigré aux Etats-Unis en 1973. C’est un expert reconnu de la culture de l’ancienne Union Soviétique. Spécialiste des phénomènes paranormaux, il dispose d’excellentes sources au sein des communautés ufologiques russe, ukrainienne et d’autres pays d’Europe de l’Est.

Paul Stonehill, réfugié juif d’origine de l’ex-URSS, plus précisément de l’Ukraine, est un auteur et conférencier américain, spécialiste de l’ufologie et des phénomènes paranormaux en Russie et dans les pays d’Europe orientale et d’Asie. Il a été orateur dans de nombreux congrès aux Etats-Unis et en Europe, et a rédigé de nombreux articles en anglaise et en russe sur les OVNIs et les OANIs (Objets Aquatiques Non Identifiés), ainsi que plusieurs articles sur l’histoire de la Chine antique et ses aspects paranormaux. Il est coauteur avec Philip Mantle de plusieurs livres sur le phénomène OVNI dans l’Union Soviétique et dans la période postérieure à la chute du Mur de Berlin.

Paul Stonehill : « Quand Gorbatchev prend en charge la question des ovnis en URSS, fini la censure. Un an plus tard des informations ont commencé à être rendu public. Pendant 4 ans, on découvre des informations, ils voulaient savoir ce qui se passait, la SETKA récoltait les informations. Dans l’armée soviétique, chaque soldat devait signaler toute chose inhabituelle aperçue dans le ciel. Chaque marin devait en faire autant. On a encore des formulaires signalement avec des descriptions scientifiques fascinants. Ils devaient décrire sous quel angle volait l’objet, sa forme, l’horaire et d’où il venait. Les É-U n’avaient pas un tel programme. »

Philip Mantle est un ufologue de renom international, conférencier et producteur. Ses livres ont été traduits dans 6 langues. Il est l’ancien Directeur des Recherches du BUFORA (British UFO Research Association) et l’ancien représentant du MUFON pour l’Angleterre, et membre honoraire de l’institut de recherche sur les phénomènes anormaux en Ukraine. Philip a écrit des articles pour de nombreuses publications dans le monde et a été directeur de la publication et rédacteur pour des magazines ufologiques de premier plan. Il vit actuellement à Pontefract, dans le West Yorkshire, Angleterre.

Philip Mantle

4 octobre 1982 – Silo nucléaire d’Usovo, en Ukraine

Dans la salle de contrôle souterraine de l’unité militaire Usov 52035, renferme des postes prêts à lancer une attaque nucléaire sur les USA. Le colonel Boris Sokolov et le lieutenant-colonel Vladimir Platunov remarquent une inquiétante anomalie. Un énorme objet volant se déplace dans le ciel nocturne, qu’ils n’avaient vu que dans les films. Pas de fenêtres, une surface lisse, cet objet manœuvrait en silence de façon imprévisible. Dans la base, les voyants lumineux s’allument sur les deux panneaux, ils indiquent que les missiles nucléaires sont préparé pour le lancement. Une telle manœuvre aurait dû être approuvé par le commandement à Moscou, mais les autorités à Moscou n’en savent rien. À cette instant, le monde est a un pas de la 3ème guerre mondiale. Pendant 15 secondes, la base perd le contrôle de son arsenal nucléaire. Le major Davidovitch Katman, commandant du centre de contrôle, déclarera plus tard : « J’ai vu tous les écrans s’illuminer simultanément. » Quelque chose avait manipulé une série de codes d’activation et enclencher les missiles en attente d’être lancés. Les soldats présents ne pouvaient que regarder, impuissant, attendant la catastrophe imminente. Après 15 longues secondes tout est revenu à la normale. Après cet incident, le matériel fût démonté pièce par pièce, mais ne trouvent aucun élément qui aurait causé une anomalie. 

Ce n’est que 8 ans plus tard, après l’effondrement de l’Union Soviétique que le monde a appris avec stupeur qu’il était passé près d’un holocauste nucléaire. 

D’après les documents de la SETKA, dans la 2ème moitié des années 80, l’URSS a été témoin de nombreuses activité d’ovni. Quand Mikhaïl Gorbatchev devient le secrétaire général du parti communiste, la stratégie du secret a aussi changé. Les responsables des programmes spatiaux et des forces armées confirment publiquement qu’ils ont des instituts de recherche dédiés aux ovnis. 

À la chute de l’Union Soviétique, un certain nombres de révélations sur des apparitions d’ovnis sont apparues dans d’autres pays du bloc de l’Est.


LE CRASH D’OVNI DE DALNEGORSK EN 1986

La région de Primorsky Krai occupe l’extrémité sud-est de la Russie Primorsky signifie « maritime » en russe, c’est pourquoi la région est parfois appelée « Province Maritime”. Le Primorsky Krai est bordé par la Chine, la Corée du Nord et la mer du Japon. La ville pittoresque de Dalnegorsk (une ancienne colonie minière) est située dans le kraï de Primorsky, dans une étroite vallée bordée par le fleuve Rudnaya, entouré de tous côtés par des forêts et des collines. Ces collines sont également criblées de grottes profondes.

Position de Dalnegorsk dans la Province Maritime de Russie, à 400 km au nord-est de Vladivostok, face à la Mer du Japon (Image Google Earth)

Dalnegorsk est devenu un site fameux en 1986, le 29 janvier, à 19H55 pour être précis. Certains ont baptisé l’incident qui s’est produit cette nuit d’hiver le Roswell d’Union Soviétique.
Ce jour froid de janvier, une sphère orange-rougeâtre a survolé cette ville depuis le sud-est, a traversé une partie de Dalnegorsk et s’est écrasée sur le mont Izvestkovaya, également connu sous le nom de Colline 611 en raison de sa taille. L’objet a volé sans bruit et parallèlement au sol. Sa forme a été décrite comme étant presque parfaitement circulaire, sans projections, ailes ni ouvertures, et sa couleur était similaire à celle de l’acier inoxydable bruni.

Certains témoins locaux de l’époque ont supposé qu’il s’agissait d’une météorite, tandis que d’autres ont considéré que c’était un phénomène tout à fait inhabituel.

Un témoin oculaire, Yevgeny Serebrov, un écolier à l’époque (aujourd’hui un scientifique), a mentionné que l’objet n’avait ni queue ni traînée derrière lui. Il n’y a pas eu d’explosion, seulement un impact puissant lorsque l’objet a heurté la montagne. Les scientifiques, qui sont arrivés plus tard à Dalnegorsk en provenance de Vladivostok et Khabarovskont, ont utilisé un chronomètre pour déterminer que l’objet se déplaçait à 15 mètres par seconde. Ils ont dit à Yevgeny et aux autres garçons que les météorites et les fragments de fusées ne peuvent pas voler de cette façon.

Source : Shariki iz parallel’nogo mira, article de N. Leskova, publié dans le journal russe Trud (Moscow), le 17 janvier 2003.

V. Korotko, rédacteur en chef du journal local Trudovoye Slovo, se trouvait près de la montagne lors du crash de ce mystérieux objet. Il a déclaré qu’un petit feu s’est déclaré sur le site de l’impact, mais qu’il n’a brûlé que peu de temps. Korotko a poursuivi en décrivant l’événement comme suit :

« Du coin de l’œil, j’ai vu quelque chose qui tombait sur la montagne. Il y a eu un impact indistinct, non réverbérant, mais assez fort. Le bruit de l’impact a duré moins d’une seconde. Il y a eu une explosion, et de grandes flammes blanc-rougeâtre. On aurait dit que quelque chose était englouti dans un feu puissant. La sphère faisait environ un mètre de diamètre. Le feu a rugi. J’ai observé tout cela pendant environ 5 minutes. Le feu a brûlé pendant 1 à 2 minutes, puis s’est arrêté. »

Source : Article Inoplanetyane v Moskve, publié dans le journal Lipetskaya Nedelya, édition du 7 avril 2004.

La Colline 611 est située en face d’une station de bus locale (avtovokzal). V Kondakov, un mécanicien local, était à la station de bus au moment où la sphère a survolé la ville. Il a dit que la sphère volait si bas qu’il semblait qu’elle allait sectionner une partie de la cheminée de l’usine industrielle de Dalnopolimetall. Elle était ronde, sans aucune protubérance ni cavité. Elle semblait être faite de métal, et sa couleur ressemblait à de l’acier inoxydable légèrement incandescent. Kondakov a pensé que la sphère était un obus, un projectile. Il n’a pas entendu de bruits. Kondakov a observé comment l’objet s’est écrasé sur la colline, mais n’a entendu aucun bruit de l’impact. Le sol à l’endroit de l’impact a commencé à brûler.

Selon Mikhail Gershtein, l’un des principaux enquêteurs ufologues russes et auteur de nombreux ouvrages sur l’ufologie et les phénomènes paranormaux, de nombreux témoins oculaires ont comparé le feu qui brûlait sur le site à une soudure électrique. La durée de l’incendie a été décrite alternativement comme étant d’une à deux minutes, d’environ une heure, ou se serait même prolongé tard dans la nuit.

RÉCUPÉRATION DES FRAGMENTS

Le 2 février 1986, le parent d’un des enfants qui avait observé le crash, accompagné d’un adulte et de quelques écoliers, a fait une excursion sur le site. Ils ont trouvé une souche d’arbre calcinée, une dépression peu profonde, et des branches qui semblaient avoir été coupées de l’arbre par l’objet pendant sa descente. Il n’y avait pas de fragments volumineux de matériaux comme ceux d’un crash d’avion.

Deux photos des scientifiques présents sur le site moins de cinq jours après l’incident.
Ils ont recueilli, très méthodiquement, des gouttes fondues d’une substance ayant une teinte métallique, des pierres et un fragment de la souche de l’arbre. Ils ont tout apporté au musée local d’études régionales. Son directeur était Valeri Viktorovich Dvuzhilni.

Les gouttes ressemblaient à du métal mou. Plusieurs acides différents ont été utilisés sur elles, mais il n’y avait aucune réaction. Ils ont alors décidé d’obtenir l’avis scientifique de V. Berlizov, un expert local, membre de l’expédition scientifique de 1947 sur le site de la météorite de Sikhote-Alin. V. Dvuzhilni voulait un avis d’expert sur ce que pouvait être ce matériau.

Source : Dalnegorskaya zagazka, article de S. Glukhovet V. Popov, publié dans le journal Sotsialisticheskaya Industriya, numéro du 5 avril 1986.

Les experts n’ont pas répondu rapidement, et Dvuzhilni a décidé d’utiliser les autres moyens à sa disposition. Son groupe a pu gravir la montagne trois jours après le crash.

L’OVNI, a déclaré Dvuzhilni aux journalistes soviétiques du Magadansky Komsomolets, avait fracturé une terrasse de roche d’environ deux mètres cubes, et 10 mètres carrés de neige se sont « évaporés » sur le site. La végétation avait été brûlée et le sol semblait avoir été brûlé lui aussi.

Le journal a révélé que l’équipe a trouvé des fragments magnétisés de schiste silicique. Pouvez-vous imaginer une brique qui attire le métal ? Les hautes températures annulent le magnétisme, mais dans ce cas, c’était tout le contraire. Ceci, mentionne Dvuzhilni, confirme une fois de plus que ce n’est pas une boule de foudre ou un plasmoïde qui a heurté la Colline 611, mais un OVNI.

Source : Article Puteshevstviye v Dal’negorsk, auteur A. Molchanov, publié dans le journal Magadansky Komsomolets, édition du 24 juin 1990.

L’équipe a été étonnée de constater que la zone brûlée par le feu était strictement délimitée, comme si elle était étanche. Un buisson de rhododendrons poussant à la limite de la zone réduite en cendres n’a absolument pas été touché par le feu. Mais la roche, composée de schiste siliceux brun clair, s’est fissurée et des fissures se sont formées, et elle est devenue noire comme du charbon. Une fine couche de terre était mélangée aux cendres. Un examen minutieux du site a permis de trouver une trentaine de grammes d’une substance inhabituelle. Il s’agissait de gouttelettes solidifiées de couleur sombre. La plupart des gouttelettes étaient minuscules, d’un demi-millimètre à deux millimètres de diamètre, et certaines étaient plus grandes, de trois à cinq millimètres.

Dvuzhilni a contacté le laboratoire des entreprises industrielles Bor et Dalnopolimetall. Les analyses qui y ont été effectuées ont révélé que les gouttelettes étaient constituées d’un alliage de plomb très atypique, et qu’il contenait jusqu’à 17 éléments du tableau de Mendeleïev. Les gouttelettes de grande taille se sont révélées être des composés de chrome, de nickel et d’aluminium. Seule une lame de scie diamantée était capable de les couper. Une autre incongruité a été révélée : l’alliage de métaux aurait dû présenter une structure cristalline mais était en fait amorphe, comme du savon. De tels métaux amorphes peuvent être produits en laboratoire (en utilisant de l’hélium liquide pour refroidir le métal fondu extrêmement chaud), mais l’accident a eu lieu au flanc d’une montagne rocheuse nue.

ANALYSES DES OBJETS RÉCUPÉRÉS

THE DALNEGORSK CRASH

Les objets recueillis sur le site ont ensuite été baptisés « petits filets » ou « mailles« , « petites boules », « boules de plomb », et « morceaux de verre » (c’est à cela que chacun ressemblait). Un examen plus approfondi a révélé des propriétés très inhabituelles. L’un des « petits filets » contenait des fils déchirés et très fins (17 micromètres). Chacun de ces fils était composé de fibres encore plus fines, liées en tresses. Des fils d’or très fins étaient entrelacés avec les fibres. L’étude des gouttelettes a permis de déterminer que la distance entre les atomes dans le réseau cristallin de billes métalliques était de 3,84 angströms, et non de 3,86 angströms comme c’est habituellement le cas dans le métal. Les spécialistes ont surtout été étonnés par des objets surnommés « net » (« maille »). Ils étaient composés de carbone amorphe. Les atomes de terres rares y étaient éloignés les uns des autres. Les scientifiques ont calculé 18 éléments dans le « filet ».

La teneur en or du « filet » était équivalente à 1100 grammes par tonne (seuls 4 grammes par tonne sont nécessaires pour l’exploitation industrielle d’un dépôt de minerai) ; et la teneur en argent était équivalente à 3100 grammes par tonne. En utilisant des microscopes électroniques, les scientifiques ont découvert que la surface du « filet » contenait des fils de quartz de 17 microns d’épaisseur. Les fils s’entrecroisaient et se nouaient en une corde précise. L’un des fils a révélé une sorte de nombre d’or : une ligne d’or extrêmement fine placée en quelque sorte au milieu du « filet ». Plus tard, des lignes d’or ont été découvertes dans d’autres spécimens. Lorsque les scientifiques ont essayé de redresser l’une des boucles, pour pouvoir mieux la voir, la boucle a disparu (« sauté ») de la vue, et ils n’ont pas pu la retrouver.

D’autres éléments étaient tout aussi sautillants. Alexey Kulikov, docteur en sciences géologiques- minéralogiques de l’Institut de Chimie Organique Générale de la branche extrême- orientale de l’Académie des Sciences russe a effectué des recherches sur les « boules métalliques ». Il a déclaré, en parlant du « filet », qu’il n’était pas possible de comprendre ce qu’il était réellement. Il ressemblait à du carbone vitreux mais on ne savait pas comment il avait été créé. Il est fort probable que des températures très élevées puissent produire les conditions permettant la création de ce carbone vitreux.

La souche d’arbre de la Colline 611 n’était pas moins étonnante. Le bois brûlé est du carbone pur, du charbon de bois. Un côté de la souche d’arbre était terne. L’autre côté était brillant, comme s’il était recouvert de laque. Après un certain temps, les scientifiques ont réalisé que la souche avait fondu. Le carbone fond à 3000 degrés Celsius.

Les spécialistes de la physique des métaux de Bor et de Dalnepolimetall, ainsi que d’autres scientifiques, ont déclaré qu’il serait impossible d’imaginer qu’une quelconque branche de l’industrie utilise simultanément une telle combinaison du tableau périodique de Mendeleïev à quelque fin que ce soit.

Après avoir examiné 15 spécimens de minéraux locaux, des ufologues russes ont découvert des signes récents de « polissage » par un métal dur et solide. Le polissage était « vitreux », de 0,5 à 4 ou 5 millimètres. Il aurait été effectué par un corps dur ou par des billes de métal volant (à la vitesse d’une balle).

Dvuzhilni a reçu un rapport de l’Institut IZMIRAN du magnétisme terrestre, de l’ionosphère et de la propagation des ondes radio (de la branche de Leningrad). Cet institut a été impliqué dans le programme secret de recherche soviétique sur les OVNIs de 1978 à 1991 (SETKA AN). Ils ont procédé à des analyses des billes de plomb provenant de la Colline 611. Les conclusions auxquelles sont arrivés les scientifiques sont les suivantes : les boules ont été fabriquées sur Terre, mais le plomb ne provenait pas du gisement de Dalnegorsk mais du gisement de Kholodnensky, dans la région nord du Baikal.

Source : Visota 611: zagadki ostayuts, article de A. Lyakhov, publié dans Sostialisticheskaya industriya, numéro du 9 juillet 1989 ; Inopanetyane dobivayut nash svinets, article de N. Ostrovskaya, publié dans Komsomolskaya Pravda, numéro du 9 juin 2003.

Dvuzhilni était certain que la sonde extraterrestre qui s’est écrasée sur la Colline 611 était capable d’utiliser des métaux provenant de dépôts terrestres pour ses besoins de réparation. Source: NLO pod mikroskopom, publié dans le magazine Priroda i Chelovek, numéro 12, 1989.

OBSERVATIONS D’OVNIS ÉTÉ 1986

Au cours de l’été 1986, dans l’un des aéroports militaires situés dans la région, les gardes ont été alertés par des rapports concernant le bruit fait par les moteurs d’avions à réaction ; c’était comme si quelqu’un les avait mis en marche. Quatre fois de suite, les gardes ont vérifié les alentours de l’aéroport. Rien de suspect n’a été détecté, bien que le bruit ait augmenté puis diminué. De retour au poste de garde, les agents ont observé l’ascension verticale d’un disque argenté depuis l’aérodrome. Il reproduisait le bruit des avions à réaction.

Source : Manuscrit de Dvuzhilni de 1988, Kratkoye opisaniye sobitiy 28 noyabrya 1987 goda nad primorskim Krayem.

OCTOBRE 1987

Viktor Sherstnev travaillait comme second pilote d’un avion AN-24, effectuant des vols réguliers en Extrême-Orient au milieu des années 1980. Il se souvient que la zone de vol au-dessus de la région de Dalnegorsk était déjà considérée comme anormale à l’époque. Les aviateurs soviétiques hésitaient à survoler cette zone, surtout après le crash d’un objet volant non identifié en janvier 1986. En l’occurrence, la ligne de faille tectonique de Dalnegorsk, dont la tension énergétique varie, se trouve précisément à cet endroit. Il est probable que c’est précisément à cause de ce phénomène que les appareils de bord ne fonctionnaient pas de manière satisfaisante. Il convient de noter que le crash de l’OVNI n’a pas été nié à l’époque, même par les commandants des unités anti-aériennes situées dans la Province Maritime. Les pilotes sont des gens superstitieux. Par conséquent, ils ne croyaient qu’en partie à la réalité des OVNIs. Il vaut mieux voir quelque chose une fois que d’en entendre parler une douzaine de fois. Le vol de ce 20 octobre 1987 était commandé par Nikolay Ledunov. Sherstnev était le second pilote. L’avion acheminait du fret et il n’y avait aucun passager à bord. Ils volaient depuis Vladivostok à destination de Petropavlovsk- Kamchatsky, en passant par Yuzhno-Sakhalinsk.

Sherstnev se souvient que Ledunov a plaisanté avant le vol « Alors, volons pour attraper des OVNIs? ». La boutade n’avait pas été bien reçue. Sherstnev se souvient souvent de cette blague.
À 12 heures 46 minutes, avec une visibilité parfaite, à l’approche de la zone de Rudniy- Kavalerovo, Sherstnev a commencé à ressentir une présence étrange. Il avait l’impression que quelqu’un l’observait sur le côté. Ils volaient à une altitude de 4700-4800 mètres, et on peut imaginer ce qu’une telle prémonition signifie pour un pilote. Le commandant de l’avion a également dit à Sherstnev qu’il se sentait déprimé. Le second pilote a automatiquement regardé à droite et a vu, à une distance approximative d’un kilomètre et demi de l’AN-24, un gigantesque objet volant en forme de cigare, de couleur sombre-argentée. Il se déplaçait à une altitude d’environ deux kilomètres depuis le sol, presque parallèlement à leur trajectoire. Il a rapporté l’observation au commandant. La manière dont le commandant a reçu le rapport de Sherstnev a convaincu ce dernier que jusqu’au dernier moment Ledunov n’a pas pleinement compris de quoi il s’agissait. Quelques secondes plus tard, le « cigare » argenté foncé, à un angle d’environ 35 degrés dans la ligne d’ascension et à une distance de deux kilomètres, a croisé la trajectoire de l’AN-24, et est resté en vol stationnaire. La taille du « cigare » était d’environ 250-300 mètres, pas plus que cela. Une lumière verdâtre était émise depuis la partie inférieure de la coque. Sherstnev a déclaré que le « cigare » ne ressemblait à aucun des avions qu’il avait vus dans le passé. L’objet continuait à se déplacer à distance de l’AN-24, et semblait surveiller le vol de l’avion soviétique. Ils ont tenté de contacter le contrôle au sol, mais personne n’a répondu à leurs demandes. Ils avaient l’impression de se trouver dans un espace clos.

Environ deux minutes plus tard, le « cigare » a disparu, comme s’il s’était évaporé. Mais le sentiment de sa présence n’a jamais quitté les pilotes. À l’approche de Dalnegorsk, l’OVNI est réapparu sur leur trajectoire. À une altitude d’environ 3000-3500 mètres du sol, il volait dans la zone nord-est de la ville.

Soudain, s’élevant brusquement, le « cigare » est parti vers le Pristan’ de Rudnaya et en direction de la Mer du Japon, et a immédiatement disparu. À ce moment précis, Sherstnev a eu l’impression qu’une montagne se déchargeait de ses épaules. Il a ressenti un soulagement inexplicable. Comme par ordre, leur demande a été immédiatement reconnue par le contrôle au sol et la radio a recommencé à fonctionner. Un an et demi après leur rencontre avec le « cigare » sombre et argenté, Nikolay Ledunov a perdu son emploi pour cause de maladie, et un an plus tard, Sherstnev a quitté le service de l’aviation civile. Il ne sait pas pourquoi mais il ne peut pas dormir les nuits de pleine lune. Il se met à éprouver des douleurs sur tout le corps et la peur s’insinue dans son âme. Pour une raison indéterminée, devant les yeux de Sherstnev, comme un plan fixe dans une scène de film, apparaît ce moment où un cigare noir-argenté avait coupé la trajectoire de leur avion.

Source : Article K taynam dal’negorskoy katastrofy, publié dans le journal Znamya, article de Pavel Beregovsky, numéro 22 du 7 février 2004.

OVNIs de NOVEMBRE 1987

Le 28 novembre 1987 (samedi soir vers 23 H00), 32 objets volants sont apparus de nulle part. Il y eut des centaines de témoins, parmi lesquels des militaires et des civils. Les objets ont survolé 12 localités différentes, et 13 d’entre eux se sont dirigés vers Dalnegorsk et le site. Les objets volants non identifiés observés le 28 novembre 1987 étaient de différentes formes: cigare, forme cylindrique ou sphérique. Leur vol était silencieux, régulier et ils circulaient à des altitudes différentes.

La division territoriale du KGB pour l’Extrême-Orient a mené sa propre enquête sur les événements de novembre 1987, mais n’a pas pu déterminer l’origine des sphères, « soucoupes », cylindres et cigares volants. La population fut informée que ce qu’elle avait observé était un « phénomène atmosphérique », et l’affaire fût classée.

Source : V Moskvu preivezli oblomki NLO, article de G. Tel’nov, publié dans le magazine Zhizn’, numéro du 27 mars 2004.

Dvuzhilni a donné sa propre explication des multiples observations du 28 novembre 1987. Il a déclaré que les objets étaient venus chercher le vaisseau qui s’était écrasé en 1986 à Dalnegorsk. Le scientifique russe a analysé les trajectoires de vol des ovnis ; il a conclu que dans la soirée du 28 novembre un énorme vaisseau s’était scindé (en plusieurs engins de taille inférieure). Cet incident s’est produit au-dessus d’une partie isolée de Sikhote-Alin, dans une zone montagneuse inhabitée, entre les rivières Malinovka et Bol’shaya Ussurka, au sud du village de Mel’nichnogo. Les pilotes d’avions civils qui ont survolé la zone ont signalé que des arbres avaient été abattus (le rayon de chute était de plusieurs dizaines de kilomètres). La zone n’a toujours pas fait l’objet d’une enquête systématique.

Source : Kratkoye opisaniye sobitiy 28 noyabrya 1987 goda nad primorskim Krayem, manuscrit de Dvuzhilni de 1988, en possession de Mikhail Gershtein.

SONDE DE RECONNAISSANCE EMBARQUÉE SUR UN AÉROSTAT

Valentin Psalomschikov, expert russe des crashs d’avions, éminent journaliste et auteur de livres sur les phénomènes paranormaux, a déclaré que l’objet avait été fabriqué en URSS, que la technologie nécessaire à la production de tels objets remontait aux années 1970 et qu’il possédait des filaments ultra-fins similaires.

Il a déclaré que, puisque les « pouvoirs en place » n’ont pas admis leur relation avec les événements de Dalnegorsk 1986, il est possible de supposer que l’objet était une sonde de reconnaissance embarquée dans un aérostat et envoyée en URSS dans la région de Dalnegorsk depuis un autre pays. La sonde était initialement invisible car il faisait sombre à l’extérieur.

Lors de son approche de Dalnegorsk, l’objet s’est auto-liquéfié lorsque l’auto-liquidateur thermique embarqué s’est activé (les raisons auraient pu être un dispositif barométrique, la mise à exécution de tâches programmées. L’objet, jusqu’alors invisible, est alors devenu une sphère ardente. Il a continué à se déplacer à la même vitesse (15 mètres par seconde, mais à l’approche de la colline 611, suite à la destruction du système de fixation de la coque, l’objet s’est désolidarisé et s’est écrasé. En raison du vent violent, du faible poids et de la navigation facile, l’objet s’est écrasé en biais et non verticalement.

De tels appareils, pour être invisibles sur les écrans radar, sont fabriqués à partir de matériaux non métalliques. Dans ce cas, le principal matériau de construction est le polymère renforcé de fibres de carbone ou le plastique renforcé de fibres de carbone. Le « filet » est un vestige de la structure textile de fibre de carbone après que la reliure a été brûlée ; des traces de celle-ci, sous la forme de boules blanches et jaunes, ont été conservées dans les cordons du « filet ». Le faible poids du plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP) et la possibilité de l’utiliser comme un « pot » résistant à la chaleur où le contenu peut brûler avant l’enveloppe sont des considérations importantes pour cet appareil. La base en carbone du CFPR peut résister à des températures extrêmement élevées.

De grandes quantités de fer, d’aluminium, de magnésium et de phosphore étaient, très probablement, des éléments du mélange thermique du liquidateur (et non des fragments de la construction). En combinaison avec le chlorate et le permanganate de potassium, contenant une grande quantité d’oxygène de liaison, ces éléments forment une composition qui ne peut être éteinte ni par l’eau ni par le sable. Les billes de plomb étaient très probablement une partie du mécanisme de compensation aérodynamique, contenant des boulettes de plomb, éjectées lors de la décélération du vol.

Le silicium était la base des dispositifs semi-conducteurs et de l’optique. Le lanthane, lyttrium, le cérium et d’autres éléments de terres rares sont utilisés pour des optiques spéciales et des filtres à lumière, ce qui peut indiquer que l’objet de Dalnegorsk a été utilisé pour réaliser des photographies spectrozonales de la surface afin de révéler des détails invisibles lors d’une séance photo normale. Le plus curieux est la présence de praséodyme.

Le praséodyme et le néodyme sont utilisés dans les résonateurs laser solides. Il est naturel qu’il y ait eu des sources d’énergie à bord ; il s’agissait très probablement d’accumulateurs argent-zinc de grande capacité. Il y a peut-être eu d’autres développements plus modernes (par exemple, les piles zinc-air). Des électrolytes à base de métaux alcalins sont généralement utilisés pour ces batteries. Le titane pourrait être utilisé dans certaines petites pièces, là où il serait difficile ou impossible d’utiliser du plastique. Les signaux émis par ces objets étaient généralement transmis à un satellite ou à un avion de reconnaissance à haute altitude qui fréquentait la zone de la frontière orientale soviétique. D’où la présence de circuits électriques de capture et de diffusion de l’information vidéo (câbles, équipement de diffusion radio) ; le fil d’or dans le revêtement de quartz était utilisé dans cette technologie. Ce type de revêtement extérieur est le plus stable à basse température. Il est possible qu’un équipement pour capturer les communications téléphoniques et radio se trouvait à bord de l’objet.

Selon Valentin Psalomschikov, il n’est pas correct d’affirmer que le fil d’or ultra-fin dans le quartz est une technologie extraterrestre. Plus de vingt ans avant 1989, la technologie permettant de produire des fils ultra-minces a été mises au point dans l’industrie du quartz en URSS. Les fils étaient produits à partir de divers métaux dans une enveloppe de verre, extraits directement de la fonte. Il n’y a pas non plus de réelles difficultés à produire de tels revêtements extérieurs à partir de verre de quartz pour des métaux plus résistants à la fusion. Comme nous ne pouvons pas cesser d’utiliser des fils dans la technologie radio, plus le fil utilisé est fin, plus le signal radar qu’il réfléchit est atténué. Les morceaux préservés de l’enveloppe extérieure du CFRP s’expliquent par la présence de croûte de glace et de neige. Lorsqu’ils fondent, ils évacuent de grandes quantités de chaleur ; le CFRP n’a donc pas endommagé la couverture du sol.

Le changement des propriétés des roches environnantes (apparition de la conductivité de surface, changement de la coloration et des propriétés magnétiques) s’explique facilement par la sédimentation sur les roches de vapeurs métalliques provenant du mélange thermique ; l’effet sur le bois s’explique non par un rayonnement inconnu, mais par l’intégration dans celui-ci de vapeurs à haute température d’une grande quantité d’éléments biologiquement actifs.

Après avoir expliqué l’origine terrestre de l’objet de Dalnegorsk, V. Psalomschikov a ajouté que la situation des objets aperçus le 28 novembre 1987 était complètement différente. D’après les nombreux rapports de témoins, il s’agissait d’OVNIs typiques. Un objet de 300 mètres de long, avec des « hublots » et des « projecteurs », volant à une altitude de 100-150 mètres, ne peut être défini autrement que comme un appareil volant extraterrestre.

Source : O prirode dal’negorskogo obyekta 29 yanvarya 1986 goda, manuscrit de V. Psalomschikov de 1988, en possession de Mikhail Gershtein.

Il semble y avoir un consensus sur le fait que le crash de la colline 611 pourrait avoir une explication conventionnelle, mais il reste à savoir laquelle exactement. D’autres chercheurs ont tendance à ne pas être d’accord, bien sûr. Il y a des parallèles en Occident. Roswell est l’un d’entre eux mais il y en a d’autres. Quoi qu’il en soit, il s’agit d’un cas fascinant, qui ne manquera pas de produire davantage d’informations et de théories dans les années à venir.

Conclusion des auteurs :
Bien que nous ayons décrit le crash de Dalnegorsk dans nos livres, nos recherches sur l’ufologie russe se poursuivent et nous publions toute information supplémentaire significative que nous découvrons, mettant ainsi à jour les cas d’OVNI de cet immense pays et de ses voisins d’Asie centrale, d’Extrême-Orient et d’Europe de l’Est. Nous espérons que nos mises à jour aideront d’autres personnes impliquées dans des recherches sérieuses sur les OVNIs.

La Russie est un grand pays, couvrant plus de 17 millions de kilomètres carrés et certains de ces territoires sont les plus accidentés de la Terre, dont une grande partie est inhabitée et largement inexplorée. C’est également le pays natal du « cosmisme » une croyance que la civilisation humaine est née dans le cosmos et est destinée à retourner dans l’espace. Mais beaucoup croient que la montée du communisme a conduit à un mur de silence entourant le contact d’anciens et modernes extraterrestres en Russie.

Les vastes cieux de l’Union Soviétique ont témoigné de milliers d’observations d’OVNIS. Mais le régime soviétique était connu pour garder le secret. Beaucoup de leurs rencontres rapportées durant la guerre froide ont eu des conséquences potentiellement mortelles pour le monde entier. Allons derrière le rideau de fer pour enquêter sur 50 ans de rencontres d’OVNIS soviétiques. 

Coopération entre la Russie et les USA


Ce documentaire relate des événements qui se sont produits en URSS. Vous y verrez comment l’armée russe a récupéré un engin d’origine extraterrestre ainsi que l’autopsie de son occupant. Vous serrez seul juge sur le contenu de ce documentaire.


La Vallée de la Mort en Yakoutie

La Yakoutie, en Russie, est une région désolée de Sibérie où il existe un lieu connu sous le nom de « Vallée de la Mort ». Le géographe et naturaliste Richard Karl Maak a dirigé une expédition scientifique de la Société géographique russe dans le bassin de la rivière Vilyuy. Dans son journal, Maak écrit que lui et son équipe ont rencontré plusieurs objets métalliques volumineux et mystérieux incrustés dans la terre, que les chasseurs locaux ont qualifiés de « chaudrons ».

Des comptes-rendus supplémentaires ont été signalés à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Selon les descriptions, ces grands dômes métalliques qui dépassent du sol mesurent chacun entre 6 et 9 m de diamètre. Leur existence est également soutenue par les légendes des Yakouts locaux, qui affirment qu’au fil des ans, les chaudrons s’ouvraient périodiquement et lançaient des boules de feu dans le ciel.

Ce qui se passe, c’est qu’un objet enfouis sous la terre intercepterait un corps céleste entrant, qu’il s’agisse d’un bolide, d’un météore, de tout ce qui peut réellement endommager notre planète. C’est comme si quelqu’un utilisait une station automatique programmée pour éliminer un corps céleste qui pourrait nous causer des dégâts considérables et peut-être mettre fin à la vie sur Terre.

L’explosion de Tunguska

Le 30 juin 1908, une boule de feu a été vue traversant le ciel au-dessus de la rivière Tunguska dans une région rurale de Sibérie, suivie d’une explosion massive. C’était au même endroit où se trouveraient les mystérieux chaudrons de la Vallée de la Mort. Lorsque l’armée soviétique a examiné la zone, elle a rapporté avoir trouvé des arbres aplatis à des kilomètres du lieu de l’explosion, mais aucun cratère. 

Un officier de l’armée soviétique, Alexander Kazantsev, a eu l’idée dans les années 1940 qu’il s’agissait d’un vaisseau extraterrestre, d’un OVNI qui avait explosé dans l’atmosphère de notre planète. D’autres ont repris cette idée. Mais ce qui en est sorti est très difficile à dire, car le secret est partout en Russie.

Est-il possible que les chaudrons de Yakoutie constituent un type d’arme anti-aérienne contre les menaces spatiales ? Il est possible que la Terre ait été équipée d’une technologie hyper-avancée qui nous garde tous en sécurité, et que ceux qui ont gagné ces anciennes guerres extraterrestres, – qui pourraient bien être nos géniteurs –, l’utilisent de manière à ce que leur progéniture soit protégée de quiconque, y-compris ceux qui avaient été leurs ennemis plusieurs milliers d’années auparavant.

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