
OVNI Nouveaux Dossiers Chinois
Après la publication de La Chine et les Extraterrestres et de L’Empire du Milieu troublé par les OVNIs, Shi Bo, ufologue chinois résident à Paris, propose ce 3ème volume consacré à l’étude du phénomène OVNI tel qu’il se présente dans ce pays-continent qu’est la Chine. Ce sont ici un peu plus d’une quinzaine de récits, livrés au lecteur avec la fraîcheur et le naturel que leur ont donnés ceux qui ont vécu ces étranges aventures, et dont le caractère extraordinaire n’a d’égal que le profond accent de sincérité qui en émane. Des récits de gens, de condition très simple pour la plupart et pas du tout au fait de déchaînement médiatique en Occident à ce sujet, qui ont fait ce qu’il est désormais convenu d’appeler des rencontre du 5ème type : le contact très rapproché avec des entités d’un autre monde. Dans les contrées les plus reculées de la Chine millénaire, des camionneurs, ont vu atterri près d’eux des soucoupes volantes à l’aspect fantastique, et ont eu avec leurs occupants des relations parfois très intime !
Pour aider à la compréhension du lecteur occidental, déjà familier avec ces épisodes les plus surprenants grâce à des centaines de série télévisées, l’ufologue français Jean-Pierre Tennevin a apporté un bref commentaire à chaque témoignages.
Chapitres :
1/ Un paysan disparu à trois reprises
2/ L’affaire du Mont Phénix
3/ Retour d’un disparu
4/ Une disparition sans retour
5/ Une nuit agitée à la frontière
6/ Un vieil homme sollicité pour la renaissance biologique d’une autre planète
7/ Des géants enregistrent le savoir d’un géologue
8/ Un camionneur blessé au ventre
9/ Kidnapping d’un commerçant
10/ Le facteur amoureux d’une extraterrestre
11/ La randonnée interrompue
12/ Deux entités volent des graines d’arbre
13/ La vieille dame se confie à son fils ufologue
14/ Lumière solide
15/ Messages venus d’ailleurs
16/ Une autre voie dans les recherches ufologiques
Entretien avec un maitre bouddhiste
17/ Une disparition inexplicable
Par rapport à l’Occident, la Chine s’est réveillée assez tard dans le domaine OVNIEN. La date historique est janvier 1981, qui a vu la naissance de sa première et unique revue: « Recherche sur les OVNIs », dont j’ai été Rédacteur en chef exécutif, secondé par Zhu Fushen et Paul Dong qui, des USA, m’envoyait des informations américaines ovniennes.
C’est grâce à cette unique revue ovnienne chinoise que les Chinois ont commencé à connaître les OVNIs. Sa large distribution (300.000 exemplaires / chaque numéro) a beaucoup contribué à ce réveil de la Chine dans l’étude des OVNIs.
Il est vrai que chaque province a une organisation de recherche, mais dans l’ensemble de la Chine, il n’existe qu’un seul rassemblement qui regroupe toutes les organisations provinciales sous le nom de CURO (société de recherches sur les OVNIs).
CURO, fondé en 1979, a eu trois grandes divisions – réorganisations, mais il reste toujours le seul représentant officiellement reconnu des ufologues chinois.
Ces derniers, ayant rapidement rattrapé leurs homologues occidentaux, orientent ces dernières années leur recherche sur la combinaison de l’étude ovnienne avec la recherche sur le Qi Gong et sur le Yin-Yang, c’est-à-dire qu’ils cherchent à déceler le mystère ovnien en s’aidant de la philosophie traditionnelle chinoise et de la théorie chinoise sur la vie (la vie sur notre terre et la vie d’ailleurs).
Le pouvoir central chinois adopte en principe une attitude de non-ingérence envers les ufologues, à condition que leur travail ne touche pas à la politique. Mais les ufologues chinois savent bien qu’ils font un travail de funambules, car tout prétexte est bon pour les classer dans le registre des auteurs de troubles sociaux et des agitateurs de superstition toujours considérés comme ennemis publics par les communistes chinois.
A l’heure actuelle, les ufologues chinois travaillent assez librement et cherchent à coopérer avec leurs homologues occidentaux.
Ce livre débute par 3 enlèvements, en fait la même personne enlevée à 3 reprises. Cela se passait en juillet 1977 et concerne Huang Yan Qui, jeune paysan qui disparut de son village pour réapparaître à la maison d’accueil de Shangaï (distance de 1140 kms) 10 heures après sa disparition. L’auteur prend d’ailleurs la peine de préciser que 22 heures en train direct ne suffisaient pas pour y parvenir. Le 8 septembre 1977, soit 44 jours plus tard, la seconde disparition eut lieu. De nouveau le jeune paysan se réveilla à Shangaï. Lorsqu’il fut de nouveau conduit à la gare, les autorités lui dirent : « la prochaine fois, on vous accueillera avec les menottes et on vous réservera une place en prison ».
Or, voilà que 12 jours après, le 20 septembre, la 3ème disparition eut lieu. Huang Yan se réveilla dans une chambre dans laquelle 2 autres lits étaient occupés par des jeunes gens. Cette fois il n’était plus à Shangaï, mais à Lanzhou, à plus de 1000 kms au sud-ouest de son village. Selon ses dires, une fois la nuit venue, l’un des deux jeunes gens le prit sur son dos et ils s’envolèrent dans les cieux. Le vol dura 1h et ils arrivèrent à Pékin (1200km), où deux inconnus les accueillirent. Le jeune paysan eut droit à une visite des monuments de la capitale, puis à un repas dans un restaurant luxueux avant d’enchainer les sorties : cinéma, théâtre etc… Des loisirs totalement étrangers à ses moyens, qui s’étalèrent du 21 au 28 sept. Après cette ration des faits rapportés par le contacté, l’ouvrage fait la place aux enquêtes qui ne manquèrent pas d’être menées. L’ufologue français J-P Tennevin considère que « ce cas est exceptionnel par ses garanties d’authenticité. Ce jeune homme ne pouvait pas se trouver à Shangaï dans un aussi bref délai… et nous avons les preuves administratives de cette incompatibilité d’horaire ».
Les chinois n’ont pas, bien entendu, le monopole de ce genre d’événements. Il y a bien longtemps de cela, au fil de nombreuses lectures, nous avions déjà pris connaissance de cas similaires de téléportations sans but apparent. Par exemple aux USA, dans les années 1960, 2 femmes – la mère et la fille – qui habitaient Philadelphie partirent pour faire des courses. Au moment de sortir d’un grand magasin, elles eurent toutes les deux un malaise qui dura quelques secondes. Elles reprirent connaissance entourées de gens qui s’étaient approchés pour leur porter secours. Elles les rassurèrent, et partirent du magasin. Mais une fois arrivés dans la rue, elles ne reconnurent plus rien, ni la rue, ni la façade du magasin dans laquelle elles étaient pourtant entrées.
Très perturbées, elles demandèrent à un policier qui surveillait le carrefour où elle se trouvaient. Ce dernier, surpris, leur répondit qu’elles s’étaient à Baltimore. La mère eut un nouveau malaise. Le policier les conduisit au poste, qui n’était pas très loin. Après un bon moment passé à multiplier les questions, coups de fil, les vérifications d’identité, les policiers durent admettre que ces deux femmes n’étaient ni folles, ni en état d’ébriété et que leur histoire, aussi absurde qu’elle semblait l’être, pouvait pourtant être la vérité. Bien sûr, ici il n’est pas fait mention d’une tierce personne, nul extraterrestre n’apparait, nulle entité ne semble diriger quoi que ce soit. On pourrait « simplement imaginer » une rupture spatio-temporelle n’ayant aucun rapport avec les ovnis.
L’auteur nous indique qu’en 1994, lors d’un dialogue entre une entité extraterrestre et un témoin du nom de Meng Zhaoguo, dernier demanda : « dans quel but êtes-vous venus ici ? » et l’extraterrestre répondit : « un, nous sommes venus ici pour fuir une catastrophe survenue chez nous. Deux, nous cherchons sur la Terre une race. Trois, nous étudions votre Terre. » La première partie de la réponse n’est pas nouvelle, la troisième partie est la plus récurrente. En revanche la seconde partie est tout à fait originale et plutôt surprenante. « Nous cherchons sur la Terre une race ». Évidemment, si nous considérons que Zhaougo a rêvé, le commentaire s’arrête là. Nous ne pouvons pas nous empêcher de faire un rapprochement tiré du Parzifal de Wolfram Eschembach : « Kyot le maître sage cherche où avait pu vivre une race assez pure pour devenir le gardien du Graal. Il trouva en Anjou ce qu’il cherchait ». Or, le Poitou et l’Anjou furent deux des départements français les plus survolés par les ovnis, et où les légendes sur les farfadets vont bon train. Tous ces détails mis bout à bout nous paraissent un peu moins absurdes, mais ces histoires restent toujours aussi mystérieuses.
Le même Zhaougo, un peu plus loin dans le livre, devient l’amant d’une extraterrestre (ce qui fait penser au cas bien connu d’Antonio Villasboas, en 1957, au Brésil). Les situations n’ont rien de bien nouveau : Orient ou Occident, le phénomène ovni ne fait pas de différence. Certains détails surprenants reviennent parfois dans les témoignages chinois, comme par exemple le fait que les extraterrestres craignent le contact du fer et n’aiment pas les lumières trop vives. Souvenons-nous qu’au Moyen-Âge la nuit était le moment où l’on craignait l’apparition des démons et où l’on utilisait du fer, épée ou autre, pour s’en protéger.
Lors d’une enquête menée par l’urologue taïwanais Yang Shuimu, ce dernier reçut une mise en garde concernant Zhaougo : « il ne faut pas faire confiance à ce jeune paysans envouté par le mauvais esprit… en réalité ce jeune homme aurait été ensorcelé par un démon errant dans la montagne. » Dans cet ordre d’idées, c’est-à-dire le parallèle entre les témoignages actuels et les croyances anciennes, il apparait tout naturel de songer aux rapports que les humains pouvaient avoir la nuit avec les incubes et les succubes. Ces derniers sont des démons qui prennent des figures de femmes. C’est ainsi que sous le règne de Roger, roi de Sicile, un jeune homme se baigna au clair de lune et crut voir une femme qui se noyait.
Il la sortie de l’eau, tomba amoureux d’elle, l’épousa, et eurent un enfant. Par la suite elle disparu avec son enfant et on n’entendit plus jamais parler d’elle. Une disparition qui laissa croire qu’elle était un succube. Victor de Boece, dans son Histoire d’Écosse rapporte le cas d’un jeune homme qui était poursuivi par une démonte qui passait au travers de sa porte, fermée à clé (comme des extraterrestres évoqués dans les témoignes d’aujourd’hui) et qui venait lui offrir de l’épouser. Delancre dit qu’en Egypte un maréchal-ferrant travaillant la nuit vit apparaître un diable sous la forme d’une belle femme. Il lui jeta un fer chaud à la face et le succube s’enfuit. Parfois le tableau se complète jusqu’à l’odeur : « ils examinèrent le sol, les herbes brulées, et notèrent dans l’air une odeur de souffre ». N’oublions pas que le souffre est l’odeur des démons.
Le livre de Shibo comporte de nombreux commentaires de l’ufologue J-P Tennevin. Pour lui les ovnis se comportent comme s’ils nous jouaient la comédie. Quelle comédie et dans quel but ? Dans ces témoignages de contact avec une extraterrestre, certains détails précis se recoupent d’une histoire à une autre que l’on pourrait croire qu’il y a plagiat. Et pourtant un témoignage provient du Brésil et l’autre des montagnes du Tibet. Le premier de ces témoignages est celui de Villaboas qui décrivit une femme à peau blanche, au visage triangulaire, au menton pointu et au nez minuscule. Le second, Wang Yognion, décrit « une femme très pâle au menton pointu et au nez minuscule ».
Un autre témoins au nom de Chee le 6ème, nous parle aussi d’un contact avec une extraterrestre au visage triangulaire, au nez inexistant, mais couverte de poils d’au moins 3 cm et qui voilait au ras du sol. Peu de temps après, Chee le 6ème – septuagénaire fatigué et bien que marié, abstinent depuis des années – finit par avoir une relation sexuelle avec cette alien velue.
Puis un géologue du nom de Liu Yumin qui fut, lui aussi, en contact avec des extraterrestres relate : « leur visage très pâle, de forme presque triangulaire, s’achevait en menton pointu, presque pas de bouche, un nez minuscule… ». Un autre est enlevé à bord d’un engin qui l’emmène dans une base sous-marine où se trouvent plusieurs ovnis et extraterrestres. À ce sujet, une réflexion de J-P Tennevin est judicieuse. Il dit que « Xia Doicchi, tout comme l’immense majorité des abductés, ne connait pas le dossier ovni. Il n’a donc aucune raison de douter que les choses se soient passées autrement que sa mémoire le lui restitue ».
L’auteur rencontre également le Maître bouddhiste Chang Hong, à l’origine d’une théorie sur les ovnis qu’il nomme Ufologie Générale. Chang Hong prône que « cette science peut non seulement résoudre tous les problèmes ufologiques qui perturbent les chercheurs dans ce domaine, mais encore ouvrir un nouvel horizon à notre conception du monde ». Sa théorie ramène intégralement à la théorie traditionnelle chinoise sur la division de l’univers en 2 éléments, le Yin et le Yang. Chang Hong développe sans sourciller qu’avec « la théorie du yin yang, tous les casse-têtes posés par les ovnis seront résolus aussi facilement qu’un jeu d’enfant car les ovnis sont venus de l’autre univers, de l’antimatière, ils sont invisibles, capables de dépasser la vitesse de la lumière grâce à l’énergie de la pensée. » Avec le plus grand sérieux, Chang Hong nous explique que certains humains, possédant des dons extrasensoriels, peuvent contacter les occupants des ovnis et que lui-même les appelle et les rencontre souvent, mais que seule une minorité d’humains peut ainsi les contacter et que cette minorité est composée de maîtres du qi gong comme lui, de maître du yoga et de maîtres bouddhistes.
Cependant, cet ouvrage présente de nombreux témoignages qui viennent compléter ce que l’on a déjà lu ou entendu sur les ovnis. À sa lecture nous voyons qu’il existe des constantes universelles pour ce qui est des apparitions, des rencontres du 3ème type.
Source : article écrit par Eric Sérée et Gérard Cazarelly

Les ovnis ignorent par définitions les frontières. Or, jusqu’à présent, les chinois ne les avaient guère vus évoluer dans l’immensité de leur empire céleste. Du moins, à notre connaissance.
M. Shi Bo, ufologe chinois résident à Pékin, comble d’un coup cette étrange lacune. Dans ce présent livre, directement écrit en français, il réunit un nombre impressionnant de témoignages directs sur tous les aspects du phénomène ovni, tel qu’il a pu être observé un peu partout en Chine au cours de ces dernières décennies.
Concernant la Chine, les ufologues disposent désormais d’un corpus substantiel, digne de leurs meilleurs travaux. Ils y trouveront des descriptions remarquablement conformes aux stéréotypes répandus en Occident : forme en soucoupe, cigare ou spirale et forte luminosité de l’apparition, perturbation des circuits électriques et radioélectriques, enlèvement et séquestration de personnes, rencontres de différents types, etc.
Outre la concordance des témoignages, parfois vérifiée à l’échelle de toute une région, ce qui retiendra l’attention du lecteur, spécialiste ou non, c’est la diversité des fonctions sociales représentées dans cet ouvrage. Ici, la révélation ufologique n’est pas, comme ailleurs, l’apanage d’une population rurale que son isolement et son ignorance même semblent privilégier. La majorité des observations recueillies par M. Shi Bo sont le fait de techniciens et scientifiques.
Comme le souligne Aimé Michel dans sa préface, « en Occident comme en URSS, l’expérience des ovnis est officiellement non reconnue. Mais aux plus hauts niveaux politiques et militaires, ne sait-on pas à quoi s’en tenir ?
Dans cette hypothèse, le pouvoir politique chinois, qui lui aussi saurait à quoi s’en tenir, n’aurait-il pas décidé unilatéralement de rompre cette conspiration du silence, assuré qu’il est de ne jamais devoir perdre la face en faisant un tel choix ? » Ces perspectives confèrent à la publication en France de livre de M. Shi Bo une importance considérable.
Chapitres :
1ère partie – Depuis quand ?
2ème partie – Faits incontestables
1/ Les rapports de l’armée
2/ Les rapports d’avant 1980
3/ Une vague d’ovni en 1981
4/ Humanoïdes et contacts rapprochés
3ème partie – Premières réponses des chercheurs chinois
Mon analyse du phénomène ovni, par Lu Yingzhong
Rapport rédigé par un astronome
Article de Zhang Zhousheng
4ème partie – Le débat est à peine engagé
Deux opinions opposées
Mon défi lancé à Sheng Juinshan, par Lu Yingzhong
Le 7 juillet 1977, à Zhang Po, en Chine, dans un cinéma en plein air, environ 3000 personnes étaient regroupées pour assister à la projection d’un film. Quand à 22h30, deux énormes ovnis de couleur orange, sont descendus du ciel et passèrent au ras de la tête des spectateurs qui ressentirent la chaleur se dégageant des engins. Puis les ovnis remontèrent rapidement dans le ciel avant de disparaître. Bien entendu la panique gagna la foule. On compta la mort de deux enfants, et 200 adultes blessés.
Les théoriciens des anciens astronautes suggèrent que la preuve de la visite extraterrestre existe dans tous les coins de la Terre, mais certains disent aussi que le plus convaincant peut être trouvé dans l’un des endroits les moins accessibles au monde : la Chine.
La Chine est le berceau de l’une des civilisations les plus anciennes et les plus influentes de l’humanité. Les découvertes de la poudre, du papier, de la boussole et d’innombrables autres innovations majeures forment la base technologique sur laquelle nos sociétés modernes fonctionnent.
Mais historiquement, la Chine a eu aussi une politique d’isolationnisme. De la Grande Muraille érigée il y a des milliers d’années au «Grand Pare-feu» d’aujourd’hui, la Chine a longtemps empêché les personnes et les informations d’entrer ou de sortir de son pays.
Alors que la Chine a longtemps été un pays secret et isolationniste, de nouvelles preuves suggèrent que les extraterrestres ont marché parmi nous dans le passé antique, et ont toujours été avec nous jusqu’à aujourd’hui… se cachant parmi nous.
Un avis sur “Les Dossiers Secrets Chinois – Shi Bo”