Le Sénateur, colonel John Glenn, le premier astronaute américain a déclaré :
« Certains rapports sur les Ovnis sont fondés. ».
Le même, quelques années plus tard, c’était le mardi 6 mars 2001, déclara sur la chaîne américaine NBC :
« En ces jours glorieux, j’étais très mal à l’aise lorsque l’on nous demandait de dire des choses que nous ne voulions pas et d’en démentir d’autres. Certaines personnes nous demandaient, vous savez, étiez-vous seuls là haut ? Nous n’avons jamais répondu la vérité, et cependant nous avons vu des choses là-bas, des choses étranges, mais nous savons ce que nous avons vu là-haut. Et nous ne pouvions réellement rien dire. Nos supérieurs avaient vraiment très peur de cela, ils avaient peur d’un truc du genre de la guerre des mondes, et de la panique générale dans les rues. Donc, nous devions rester silencieux. Et maintenant nous voyons ces choses seulement dans nos cauchemars ou peut-être dans des films, et certaines sont très proches de la vérité ».

La transmission radio de l’astronaute John Glenn, entouré dans l’espace par des dizaines d’ovnis...
Voici la transcription du fichier audio où l’on peut entendre l’étonnement de l’astronaute John Glenn après que sa capsule ait été entourée par d’innombrables ovnis luminescents. Cette transmission audio peut facilement être décrite comme l’une des preuves les plus étonnantes d’une mystérieuse présence d’extraterrestre lors de missions habitées dans l’espace. Ce vieux fichier audio vous permettra de prendre connaissance d’une petit partie de la conversation entre la capsule Mercury-Atlas 6 (MA-6), pilotée par John Glenn, et CAPCOM, le 20 février 1962, pendant ce qui fut la 1ère mission orbitale, habitée, des É-U. Lancé du Centre Spatial Kennedy, en Floride, John Glenn a accompli une mission réussi de 3 orbites autour de la Terre, atteignant une altitude maximale d’environ 162 miles terrestres, soit 260 kms, et une vitesse orbitale d’environ 17 500 miles par heure, soit 28 158 km/h.
John Glenn : Ici « Friendship Seven ». C’est aveuglant à cause de la portée. Ça a commencé au moment où j’ai donné le signal ; je mets en place le filtre noir pour mieux observer.
CAPCOM : Bien reçu « Friendship Seven ».
J. Glenn : Ici « Friendship Seven », je vais essayer de décrire ce qu’il y a ici. Je suis dans une grande masse de très petites particules qui sont brillamment éclairées comme si elles étaient luminescentes. Je n’ai jamais rien vu de tel. Elles tournent un peu, elles passent par la capsule et ressemblent à de petites étoiles. Une pluie d’entre elles arrive. Elles sont probablement en moyenne à 2-3 mètres l’une de l’autre, mais je peux aussi les voir en dessous de moi.
Intriguée par les événements, CAPCOM a demandé à Glenn de décrire les objets et de déterminer s’ils avaient un impact sur son engin spatial.
CAPCOM : Bien reçu, « Friendship Seven ». Vous entendez un impact avec la capsule ? Terminé.
J. Glenn : Négatif, négatif. Ils sont très lents ; ils ne s’éloignent pas de moi, ils sont toujours là autour de la capsule, nous sommes seulement à quelques mètres de distance. Ils vont à la même vitesse que moi. Ils ne sont que très légèrement en dessous de ma vitesse. Terminé. Ils ont un mouvement différent de celui que j’ai, parce qu’ils tournaient autour de la capsule spatial et répartent quand je regarde. Vous me recevez ? Terminé. Il y en a, littéralement, des milliers.
Après avoir décrit les objets, Glenn n’obtient aucune réponse de CAPCOM et demande s’il est en contact avec qui que ce soit, tout en continuant à discuter des objets étranges autour de son engin spatial.
J. Glenn : Ici « Friendship Seven », je suis en contact avec quelqu’un ? Terminé.
Finalement, près de 5 minutes après avoir décrit les événements, CAPCOM répond en disant que Glenn avait l’air un peu « embrouillé », et on lui a demandé quel était son taux d’oxygène. Curieusement, CAPCOM n’a pas abordé ces événements étranges avec Glenn qui explique que les particules mystérieuses sont toujours autour de l’engin spatial. Après avoir réalisé que CAPCOM ne répond plus, Glenn décida de photographier les objets mystérieux. Ensuite, CAPCOM lui a demandé quelle était la taille des particules et si elles passaient ou flottaient avec lui. CAPCOM a laissé entendre que les particules provenaient probablement de l’engin spatial, mais J. Glenn a dit que ce n’était pas le cas. Curieusement, après la réussite de l’orbite de « Friendship Seven », Scott Carpenter, un autre astronaute à bord de la capsule Aurora 7, a également vu les objets mystérieux dans l’espace. Les scientifiques de la NASA se sont finalement penchés sur l’étrange phénomène et en ont conclu que les objets observés dans l’espace n’étaient que des particules de glace capturées par la lumière du soleil. La NASA a affirmé que les 2 astronautes avaient vu des particules de glace flottant librement. Cependant, John Glenn n’était pas convaincu par l’explication. Au cours de sa 2ème orbite, il a rapporté avoir revu les objets pendant des kilomètres dans chaque direction.
Source : Mercury 6 Space Log,
http://mercury6.spacelog.org/page/00:01:01:14/
En février 1962, John Glenn fut le premier Américain à effectuer un vol en orbite autour de la Terre, un an après le Soviétique Youri Gagarine…
Il fut le 1er américain à avoir effectué un vol orbital autour de la Terre. Une légende. En pleine guerre froide, l’espace était un terrain d’affrontement entre les É-U et l’URSS. Le soviétique Youri Gagarine avait réussi le même exploit en 1961. John Glenn, qui avait effectué ce vol un an plus tard, est décédé à l’âge de 95 ans, a indiqué la faculté de l’université de l’Ohio qui porte son nom.
En pleine guerre froide, les É-U avaient vu l’ennemi soviétique les doubler quand Moscou a réussi à envoyer Youri Gagarine autour de la Terre en avril 1961. La NASA a voulu laver l’affront rapidement et a, dans un premier temps, envoyé Alan Shepard pour un bref vol spatial le mois suivant, mais Shepard n’avait pas orbite autour de la Terre. John Glenn est devenu le 1er Américain à réussir cet exploit l’année suivante, pour un vol orbital qui dura au total 4h et 56minutes. « La guerre froide était réelle, l’URSS était en pleine expansion et qu’elle ait une supériorité technologique était impensable pour les É-U, il fallait rattraper notre retard », a-t-il raconté bien des années plus tard.
voir article : https://www.lepoint.fr/astronomie/l-astronaute-john-glenn-est-decede-08-12-2016-2089079_1925.php#
merci très intéressant
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