Zecharia Sitchin est né à Bakou, en Azerbaïdjan, et a grandi en Palestine, où il s’est pris de passion pour l’archéologie du Proche-Orient. Il a fait ses études à la London School of Economics and Political Science, à Londres. Il a travaillé de nombreuses années en tant que journaliste en Israël et à New-York. Nommé scientifique de l’année 1996 par The International Forum on New Science, il a fait partie d’associations scientifiques comme The American Association for the Advancement of Science, The American Oriental Society, The Middle East Studies Association of North American et The Israel Exploration Society.
Après avoir obtenu son diplôme, Sitchin a travaillé comme journaliste et rédacteur en chef en Israël. En 1952, il s’est installé à New York. Après être devenu cadre dans une compagnie de transport maritime, il a profité de l’occasion pour voyager et visiter des sites archéologiques. Pendant cette période, il a également appris par lui-même l’écriture cunéiforme sumérienne.
Malheureusement, le monde a perdu Zecharia Sitchin le 9 octobre 2010. Son héritage perdure cependant.
Orientaliste reconnu et expert de la Bible, il a consacré 40 ans de sa vie avant sa disparition en 2010 à rechercher et à traduire des tablettes d’argile sumériennes et autres textes anciens liés aux Anunnaki et à leur planète, Nibiru.
En 1976, Sitchin a publié son premier livre sur les astronautes de l’Antiquité, La 12e Planète. Ce titre révolutionnaire associait ses recherches sur les tablettes et les textes anciens à ses théories sur les visiteurs extraterrestres qui ont créé la vie humaine sur Terre il y a bien longtemps. C’était un titre révolutionnaire et le premier des volumes des Chroniques de la Terre, un ensemble qui allait finalement s’étendre sur 7 livres. Ceux-ci étaient accompagnés des volumes Companion, des expéditions des Chroniques de la Terre et de quelques romans.
Décédé en 2010, Zecharia Stichin était un grand spécialiste de la langue sumérienne et un auteur mondialement connu pour ses thèses sur la Planète X (Nibiru) et la transformation génétique de l’humanité par des Extraterrestres, les Anunnaki.

Plusieurs auteurs ont déjà évoqué la possibilité d’un astronaute de l’Antiquité, notamment Immanuel Velikovsky et Erich von Däniken. Mais ce sont peut-être les idées de Sitchin qui ont le plus gagné en popularité.
En 1976, Zecharia Sitchin publie son livre La Douzième Planète, le premier d’une série appelée Les Chroniques de la Terre. Il y expose son interprétation révolutionnaire des divinités Anunnaki.
En se fondant sur les écrits sumériens, vieux de plus 5 000 ans, tenus pour une simple mythologie, Zecharia Sitchin annonce l’existence d’une « 12e planète » (désormais confirmée par la science sous l’appellation d’attente de « planète X ») et conte l’histoire des « dieux » venus sur la Terre depuis ce monde tout proche !
Il fallait donc absolument que reparaisse, dans une traduction nouvelle, cet ouvrage clé, la référence scientifique de ce qui se nomme désormais la « Théorie des Anciens astronautes ». Le livre où tout est analysé, calculé, pensé, démontré, illustré : il est impossible de nier, par des faits scientifiques tangibles, la plausibilité de cette thèse.
Après avoir étudié les tablettes cunéiformes sumériennes pendant 30 ans, il affirme que ces soi-disant dieux sumériens étaient en fait des extraterrestres qui ont atterri sur Terre en Mésopotamie il y a plus de 450 000 ans.
Selon les traductions de Sitchin, les Anunnaki ont à la fois créé des êtres humains et ont également joué un rôle dans la chute de l’humanité lorsqu’un grand déluge a presque détruit toute vie sur Terre.
Mais pourquoi ? Quel était le but des visites terrestres d’Anunnaki ? Et pourquoi ont-ils créé les humains ?
Zecharia Sitchin a écrit un certain nombre d’ouvrages bien reçus sur les Anunnaki, qu’il croyait être essentiellement des entités extraterrestres d’une planète appelée Nibiru. Cette allusion à cette planète à cependant été très controversé, mais on a découvert récemment qu’elle existe dans notre système solaire, même si des sceptiques pensent toujours le contraire.
Ils ont amélioré la race humaine et ont utilisé les hommes comme des esclaves.
Sitchin a compris, sur la base de son interprétation des tablettes, que la mission avait quelque chose à voir avec l’atmosphère défaillante autour de la planète Nibiru. Quand ils sont arrivé, ils sont venus chercher l’or de la Terre. À cette époque il y avait beaucoup d’or sur Terre. Les Anunnaki ont presque tout pris et c’est pourquoi il n’en reste que très peu.
Les Anunnaki avaient endommagé leur atmosphère, et avaient créé un genre de trou dans la couche d’ozone mais c’était encore bien plus grave que ça. En utilisant de l’or, ils ont découvert qu’ils pouvaient réparer ces trous atmosphériques.
C’est donc là toute l’histoire de notre humanité!
L’exploitation de l’or pour sauver la planète Nibiru
Les Anunnaki sont venus sur Terre pour exploiter les gisements d’or. Quand ils ont réalisé que c’était un dur labeur, les humains ont été créés comme une race de travailleurs pour le faire à leur place.
L’hypothèse de Zecharia Sitchin, selon laquelle les Anunnaki seraient venus sur Terre pour extraire de l’or, puis créeraient des humains pour accomplir cette tâche, était à la fois audacieuse et controversée. Inutile de dire que cela n’a pas été adopté par les spécialistes du courant dominant. Mais de nombreux partisans de la théorie des anciens astronautes estiment que l’interprétation des tablettes par Sitchin est non seulement correcte, mais fournit également des preuves irréfutables du fait que les Anunnaki ont créé l’humanité.
Nous pourrions encore aller plus loin. Si toute l’histoire des Anunnaki était l’histoire globale d’une intelligence non humaine manipulant des gènes sur toute la planète ? Que ce n’était pas seulement une histoire d’or… si Nibiru n’était qu’une base planétaire. Les Anunnaki ont déclaré qu’ils venaient de la planète Nibiru. Mais si c’était une porte et un lieu de passage, laissant entrevoir la possibilité que les Anunnaki soient en train de parcourir les étoiles à travers les portes des étoiles et les trous de ver en installant des bases par ci, par là.
Est-ce que les descriptions de Nibiru offrent réellement la preuve des origines extraterrestres des Anunnaki ? Si oui, des récits similaires d’êtres d’un autre monde descendant du ciel, non seulement en Mésopotamie, mais dans le monde entier, pourraient-ils fournir une preuve supplémentaire qu’une race céleste avancée est arrivée sur Terre dans un passé lointain ? Peut-être que les réponses pourraient être trouvées dans les restes mystérieux d’une ancienne reine sumérienne.
La corvée des dieux
Les travailleurs Igigu se seraient plaints que le travail était trop exigeant et ils ne voulaient plus le faire. Voici ce qui est raconté dans les tablettes sumériennes :
Lorsque les dieux tenaient le rôle de l’homme, Ils étaient de corvée et travaillaient :
Énorme était leur besogne, Leur corvées, lourdes, infini leur labeur.
Car les grands Anunnakus, aux Igigus, Imposaient une corvée septuple !
Leur père à tous, Anu était leur Roi;
Enlil-le-preux, leur souverain;
Ninurta, leur préfet, Et Ennugi, leur contremaître.
Ils ont pris la boîte des sorts et créé les sorts.
Les dieux ont décidé de la division des tâches.
Anu était monté au ciel;
Enlil avait pris la terre pour domaine, et le verrou qui barricade la mer avait été remis à Enki-le-prévoyant.
Anu était monté au ciel, et les dieux de l’Apsu tout en bas.
C’est alors que les Anunnakis célestes imposérent aux Igigus leur corvée.
Ces dieux ont dû creuser des canaux, ils ont dû dégager les canaux, les digues de la terre.
Ces dieux ont creusé le cours du Tigre, et, après, celui de l’Euphrate.
Dans les profondeurs, ils ont installé l’Apsu, dans la terre, à l’intérieur d’elle.
Ils ont soulevé le sommet de toutes les montagnes.
Ils comptaient la durée de leur charges :
Pendant cent ans, ils besognèrent pendant cinq cents ans, ils besognèrent pendant neuf cents ans, ils besognèrent pendant mille ans, ils besognèrent !
Quand ils eurent entassé toutes les montagnes, ils firent le décompte de leurs années de besogne.
Quand ils eurent organisé le grand marécage méridional, ils firent le décompte de leurs années de besogne :
Deux mille cinq cents ans et davantage, qu’ils avaient, jour et nuit, supporté cette lourde corvée !
Ils se mirent alors à déblatérer et récriminer, se complaignant de leur fouissage :
« Allons trouver le préfet, notre chef, afin qu’il nous décharge de notre lourde corvée! Le preux souverain des dieux, venez, allons le tirer de chez lui, Enlil-le preux, le souverain des dieux, venez, allons le tirer de chez lui ! »
Il s’ensuivit la bataille des dieux !
Une autre version confirme le dur travail des dieux mineurs
D’autres séries de tablettes racontent l’histoire d’une manière différente mais les grandes lignes sont très similaires. En voici une traduction :
En ces jours, en ces jours où le ciel et la terre ont été créés ; dans ces nuits, les nuits où le ciel et la terre ont été créés ; en ces années, ces années où les destins ont été déterminés ; quand les dieux Anunnaki sont nés ; quand les déesses ont été prises dans le mariage ; quand les déesses ont été distribuées au ciel et sur la terre ; quand les déesses sont devenues enceintes et ont donné naissance ; quand les dieux ont été obligés (..?..) leur nourriture (..?..) pour leurs repas ; les dieux aînés ont surveillé le travail, alors que les dieux mineurs faisaient le dur travail. Les dieux creusaient les canaux et les empilaient la vase dans Harali. Les dieux, draguant l’argile, ont commencé à se plaindre au sujet de cette vie.
À ce moment-là, le dieu de grande sagesse, le créateur de tous les dieux aînés, Enki étendu sur son lit, ne se réveillait pas de son sommeil, dans l’Engur profond, dans l’eau débordante, l’endroit dont aucun autre dieu ne connait l’intérieur. Les dieux lui ont dit en pleurant :
« Il est la cause de la lamentation ! »
Ninmah Namma (Nammu) la mère primitive qui a donné naissance aux dieux aînés, a pris les larmes du dieu, à celui qui étendait en sommeil, à celui qui ne s’est pas réveillé dans son lit, à son fils :
« Vous trouvez-vous vraiment endormi, et ne vous réveillez-vous pas ? Les dieux igigus, vos créatures, ont cassé leurs outils. Mon fils, réveillez-vous de votre lit ! Veuillez appliquer votre compétence et votre sagesse et créez un produit de remplacement pour les dieux igigus de sorte qu’ils puissent être libérés de leur dur travail ! »

L’homme est-il né pour faire la guerre ou lui a-t-on appris à la faire ? Avec ce troisième tome des « Chroniques terriennes », Zecharia Sitchin parvient à établir la preuve étonnante que les « dieux » venus sur la Terre depuis Nibiru, la douzième planète du système solaire, se sont livrés à des combats féroces. But : la suprématie sur la planète des hommes. En impliquant par la force des choses les êtres humains dans leurs guerres de conquête.
Sitchin va se livrer à un examen minutieux des archives anciennes – les tablettes sumériennes, l’Ancien Testament, mais aussi les mythes antiques des Cananéens, des Hittites et des Hindous – pour reconstituer la saga des dieux et des hommes tout au long de leur aventure commune, de son origine jusqu’à sa fin tragique.
Au passage, l’étonnant chercheur nous livre une découverte inouïe : la Grande pyramide de Gizeh fut l’enjeu d’une guerre en raison de la technologie qu’elle recélait.
Publié en 2012 chez Macro éditions sous le titre Guerres des dieux, guerres des hommes, puis réédité sous le nouveau titre Le Feu du Ciel, la destruction de la 1re civilisation humaine traduction d’Olivier Magnan.


Zecharia Sichin, dès 1976 reconstitue la « genèse » véritable des hommes. Avec « Cosmo Genèse », le livre-laboratoire que vous tenez en mains, il entreprend d’en rapporter les preuves scientifiques.
- Les Sumériens décrivent l’existence d’une douzième planète en plus des dix autres (avec Pluton, le Soleil et la Lune), habitée par les Anunnaki venus coloniser la Terre dans un très lointain passé. Ils décomptaient déjà neuf planètes, quand l’astronomie moderne n’a « découvert » la neuvième, Pluton, qu’en 1930
- Le 20 janvier 2016, deux astrophysiciens américains établissent avec certitude l’existence d’une telle planète, géante et tellurique : quelle sera la prochaine révélation ?
- Les étapes bibliques de l’apparition de la vie sur terre, illogiques jusqu’alors, trouvent leur confirmation dans la réévaluation scientifique actuelle des biologistes.
La science officielle sait qu’elle ne fait que redécouvrir un savoir légué par nos créateurs. Mais elle le nie farouchement par peur des conséquences d’une telle révélation.

Sommes-nous, en tant qu’êtres humains, le fruit d’une manipulation génétique, orchestrée il y a plus de 400 000 ans par les « dieux » qui vivent sur la « douzième planète » du système solaire, géante et excentrée, Nibiru ? « Reviendront-ils ? Et si oui, quand ? » Ce sont bien les deux questions – et leurs réponses – qu’attendaient depuis 27 ans les millions de lecteurs de Zecharia Sitchin de par le monde. « Ils », les Anunnaki. Les dieux créateurs de l’homme.

Les ANUNNAKI préparent leur retour sur Terre
Janet Sitchin, nièce de l’écrivain, organisatrice de ses explorations a rassemblé :
- Des chapitres entiers soigneusement sélectionnés à travers l’ensemble des Chroniques terriennes que viennent enrichir des lettres, des articles et des conférences inédits.
- Ses introductions pour chacun des chapitres où elle offre le contexte et les perspectives des travaux passionnants de Zecharia Sitchin, de quoi révéler l’homme derrière les théories.
- Comment est né le tout premier livre, La 12e planète, les véritables influences des Anunnaki sur la civilisation sumérienne, l’explication de l’orbite de Nibiru qu’aucun astrophysicien n’a remise en cause, la préhistoire du continent américain, les origines extraterrestres de l’homme contemporain et bien d’autres révélations de l’oeuvre.
- Et pourquoi Zecharia Sitchin en est arrivé à la conclusion que les ovnis d’aujourd’hui signent bien la présence tout près de nous de ces « dieux » anunnaki.
Zecharia Sitchin sillonna la planète pour recouper ses exceptionnelles intuitions. Si, bientôt, comme le préfigure le tout nouveau consensus scientifique autour de l’existence d’une planète supplémentaire géante dans le système solaire, les théories de cet érudit qu’était Zecharia Sitchin se révélaient fondées, alors le monde entier se précipitera sur ces ouvrages hors du commun, révélateurs de nos origines… et de notre avenir.
Sitchin, cet exégète hébraïsant, spécialiste de la Bible et des récits sumériens cunéiformes, a patiemment prouvé, fort d’une quinzaine de livres, que la véritable histoire de l’humanité avait été écrite il y a plus de 6 000 ans par les scribes et les prêtres astronomes de la première civilisation humaine, Sumer. Des savants initiés qui tenaient pour certaine l’existence d’une planète géante supplémentaire dans le système solaire. Or les astrophysiciens du XXIe siècle sont en train de confirmer l’existence d’une telle planète !
Comment dès lors ne pas se passionner pour les travaux de cet historien libre de tout dogme quand il rappelle, textes à l’appui, que cette civilisation mère décrivait les « dieux » en provenance de cette planète comme les créateurs mêmes de l’Homo sapiens…
Voici les textes essentiels de celui qui sera peut-être un jour le « prophète » reconnu de l’histoire inconnue des hommes.
Sommaire des Chapitres :
- 1 – Comment est « apparu » “La 12e planète”
- 2 – La civilisation surgie de nulle part
- 3 – Ovnis, pyramides et 12e planète
- 4 – Les degrés du Ciel et l’Épopée de la Création
- 5 – Rendez-vous avec Nibiru ?
- 6 – Dieu, cet extraterrestre
- 7 – La connexion cosmique passe par l’ADN
- 8 – Les guerres des pyramides
- 9 – Un mont si furtif
- 10 – Quand les dieux exploraient le Nouveau Monde dépourvu d’hommes
- 11 – Ces cités perdues et retrouvées
- 12 – D’où vient donc le très biblique “Quand les géants dominaient sur terre ?”
- 13 – Affaires de calendrier
- 14 – “La 12e planète”, clé de l’énigme des ovnis
Les Chroniques de la Terre
En 1976, l’auteur Zecharia Sitchin publie ses propres traductions des textes sumériens sous le nom des Chroniques de la Terre. Selon lui, les tablettes d’argile décrivent une race d’extraterrestre connue sous le nom d’Anunnaki qui est venue sur Terre pour extraire de l’or.
Zecharia Sitchin a laissé entendre que les extraterrestres seraient venus sur Terre parce que leur planète d’origine avait besoin d’or pour alimenter leur atmosphère et parce que la teneur en or dans l’atmosphère était en train de s’épuiser. Ils seraient donc venus sur Terre pour extraire de l’or et le rapporter sur leur planète.
Selon la théorie de Zecharia Sitchin, des extraterrestres seraient donc venus d’une autre planète de notre système solaire, dont l’orbite elliptique serait de 3 600 ans. Leur planète aurait manqué de minéraux et d’or plus précisément, avec lesquels ils avaient besoin d’une manière ou d’une autre pour isoler leur atmosphère.
Les extraterrestres ont d’abord mesuré notre planète. Puis ils ont utilisé leurs instruments pour savoir où se trouvaient les matières premières dont ils avaient besoin. Grâce à leur équipement très perfectionné, ils ont trouvé une planète qui avait ce qu’il cherchaient : de l’or. Ils ont décidé de s’y rendre pour extraire le minerai précieux. Des expéditions seraient venues sur Terre. Une fois ici ils auraient commencé leur recherche et ont découvert qu’il y avait de nombreux gisements d’or.

Les Sumériens, il y a 6 000 ans environ, ont transcrit sur tablettes d’argile des récits extraordinaires : ils content la création du système solaire avec la survenue d’une planète lointaine qui aurait modelé sa configuration actuelle. Mythologie ? Voire.
Nos modernes sondes d’exploration envoyées vers les planètes extérieures (Jupiter, Neptune, Uranus, Pluton) confirment les descriptions des Sumériens. Mieux : les astronomes sont convaincus désormais de l’existence d’une planète supplémentaire au-delà de Pluton. Un astronome français établit même en 2003 son orbite plausible, selon une période de plusieurs milliers d’années. Exactement ce que révèlent les épopées.
Le journaliste scientifique Zecharia Sitchin, qui a mis en évidence la véracité des récits sumériens, va jusqu’au bout de leurs révélations : l’annonce ultime des tablettes est que cette planète porte une civilisation très avancée. Dont il est écrit qu’elle est à l’origine de l’humanité sur Terre. Lorsque la planète annoncée par les astronomes paraîtra dans le ciel, mieux vaudra savoir ce qu’en disaient les Anciens.

Dieu est-il un extraterrestre ? Par essence, Dieu « ne vient pas de la Terre », il est donc, au sens premier du terme, extraterrestre. Mais au-delà des définitions, l’enquête minutieuse de l’auteur de « La 12e planète » nous offre une véritable relecture de la Bible comme jamais elle n’a été osée : Yahvé, père de l’humanité, bienveillant et dispensateur de miracles, et Yahvé en guerre contre l’humanité, guerrier, sont-ils la même déité ?
En analysant avec lucidité toutes les rencontres avec le divin, Zecharia Sitchin devient le premier exégète libre de toute obédience à dresser une typologie des contacts divin-humain : contacts directs comme au jardin d’Éden, dérobés dans la nuée comme sur le mont Sinaï, par le truchement des anges, contacts à travers les prophètes, les Nabih en hébreu, contacts via les songes et les visions : c’est un véritable « guide » des rencontres entre Dieu et l’homme qu’établit celui qui a déjà démontré avec force la véritable nature des dieux qui ont créé l’humanité.
Dieu est-il un extraterrestre ? Oui mais qui se cache derrière l’invisible ? La conclusion de Sitchin est véritablement ahurissante. Zecharia Sitchin est né en Russie et a grandi en Palestine, où il s’est pris de passion pour l’archéologie du Proche-Orient. Il a fait ses études à la London School of Economics and Political Science, à Londres. Nommé Scientifique de l’année 1996 par The International Forum on New Science, orientaliste reconnu et expert de la Bible, il a consacré les 40 dernières années de sa vie à rechercher et à traduire des tablettes d’argile sumériennes et autres textes anciens liés aux Anunnaki.
Sommaire des Chapitres :
- 1 – Premières rencontres
- 2 – Au temps du Paradis perdu
- 3 – Ils furent trois à monter au Ciel
- 4 – Les Nephilim : du sexe aux demi-dieux
- 5 – Le Déluge
- 6 – Les Portes du Ciel
- 7 – En quête de l’immortalité
- 8 – Rencontres au sein du Gigunu
- 9 – Visions depuis la quatrième dimension
- 10 – Des songes de rois aux oracles du destin
- 11 – Anges et autres émissaires
- 12 – La plus grande théophanie
- 13 – Les prophètes d’un dieu invisible

Dans ses précédents travaux, Zecharia Sitchin a décrit par le menu l’impact des Anunnaki sur la civilisation humaine, en temps de paix et en temps de guerre, se basant pour cela sur des fragments disséminés dans des textes sumériens, akkadiens, babyloniens, assyriens, hittites, égyptiens, cananéens et israélites ; en un mot, dans les « mythes » de tous les peuples de l’Antiquité, du Vieux et du Nouveau Monde.
Cependant, ces comptes rendus ne faisaient pas état du point de vue des Anunnakis.
Comment était la vie sur leur planète ?
Quels motifs les ont poussés à s’établir sur Terre, et qu’est-ce qui les a finalement éloignés de leur territoire d’adoption ?
Convaincu de l’existence d’un livre, aujourd’hui disparu, à l’origine des textes sumériens détenant les réponses à ces questions, l’auteur a recherché dans des sources de première main les preuves venant confirmer son hypothèse. Puis il a reformulé dans cet ouvrage les récits qu’il a découverts pour en faire les mémoires d’Enki, l’éclaireur de ces premiers « astronautes ».
À travers le très élaboré récit autobiographique du seigneur Enki, un dieu anunnaki, nous découvrons la version humaine de notre création par les Anunnaki. Ce récit relate la colonisation de la Terre par ces extraterrestres venus de Nibiru, la 12e planète. Le but de cette colonisation : l’or, qui aurait permis aux Anunnaki de régénérer l’atmosphère mourante de leur planète d’origine. La découverte du précieux métal conduira à la création par ces mêmes Anunnaki de l’Homo sapiens, la race humaine, destinée à travailler à son extraction.

Selon Sitchin, Adam fut génétiquement programmé il y a environ 300.000 ans, lorsque les gènes des Anunnaki furent croisés avec ceux d’un hominidé. Puis, selon la Bible, des mariages mixtes furent célébrés : sur Terre vécurent les Géants qui prirent pour épouses les descendantes d’Adam, d’où naquirent des « héros » : des êtres que l’auteur associe aux demi-dieux des traditions sumériennes et babyloniennes, dont le fameux roi mésopotamien Gilgamesh, enquête du droit à l’immortalité, et Utnapishtim, le héros babylonien du Déluge.
Sommaire des Chapitres :
- 1 – Alexandre en quête d’immortalité
- 2 – Avant le déluge
- 3 – À la recherche de Noé
- 4 – La civilisation commence à Sumer
- 5 – La royauté venue du Ciel
- 6 – Planète Nibiru
- 7 – Anunnaki et Igigi
- 8 – L’esclave créé pour rester maître… de la situation
- 9 – Dieux et autres ancêtres
- 10 – Des Patriarches aux demi-dieux
- 11 – Il y avait des géants sur Terre
- 12 – Immortalité : la grande illusion
- 13 – L’aurore des déesses
- 14 – Gloire d’empire, vents du destin
- 15 – Enterrements grandeur nature
- 16 – La déesse qui jamais n’abandonna
Les ancêtres extraterrestres de l’humanité : toutes les preuves
Depuis la proposition de Darwin de faire de l’évolution l’explication de la vie sur Terre, son chapitre le plus important – celui qui traitre des origines humaines – s’est fracassé contre deux remparts, à l’image des vagues de la mer qui s’écrasent sans effet sur les rochers de la côte : pour les « croyants », le caractère sacré de l’affirmation biblique que c’est Dieu, et non l’évolution, qui a créé l’homme; pour les « scientifiques fondamentaux », l’incapacité d’expliquer comment, au cours d’un processus évolutionniste qui exige des millions et des dizaines de millions d’années, l’homme a bien pu passer de l’état d’hominidés tout juste capable d’apprendre à marcher à l’homme qui pense (Homo sapiens) nous. Pratiquement d’un jour à l’autre, il y a quelque 300 000 ans. Plus l’on remonte dans le temps par la découverte de fossiles, plus s’épaissit l’énigme du « chaînon manquant » (puisque telle est l’expression par laquelle l’on désigne cette problématique).
Voilà plus de 30 ans, désormais, depuis la publication de La Deuxième Planète, que j’essaie de mon mieux de montrer qu’il n’existe aucun conflit entre Bible et science, croyance et savoir. Le « chaînon » manque, ai-je affirmé, parce que des êtres ont brûlé les étapes de l’évolution, et ont recouru à une ingénierie génétique de haut niveau pour améliorer un Homo recrus ou un Homo ergaster (comme certains préfèrent nommer son cousin africain) en mariant ses gènes avec les leurs, plus évolués. Parce que ces « êtres » étaient les Elohim de la Bible (que les Sumériens nommaient Anunnaki) venus sur Terre depuis leur planète Nibiru. Qu’ils fabriquèrent L’Adam, puis couchèrent avec les filles de l’homme. J’ai expliqué cette relation sexuelle possible pour la raison que la vie sur leur planète et la nôtre est régie par le même ADN – transmis au moment où les deux planètes se sont percutées.
Il existe sans doute un meilleur moyen, d’expliquer l’ensemble de l’affaire sans tomber dans la polémique. Non pas seulement de se contenter d’affirmer que l’enquête sur la scène du crime prouve qu’un meurtre a bien eu lieu. Mais le moyen de retrouver le corps du délit pour affirmer : voilà!
Ah…si seulement un Anunnaki pouvait encore se tenir parmi nous, un type sympa ou une nana dont l’identité nibirienne ne serait pas douteuse, quelqu’un qui retrousserait sa manche histoire de dire : allez-y, testez mon ADN, déchiffrez mon génome, constatez que je viens d’ailleurs ! Allez, marquez les différences, découvrez le secret de la longévité, éradiquez vos cancers. Oui, si seulement!
Mais, eh bien? Par la grâce de la chance et le professionnalisme des archéologues, une telle preuve – le corps physique d’un Anunnaki – existe bel et bien. Ce sont les ossements de Nin Puabi.
En août 2002, le British Museum de Londres révèle le contenu de boîtes scellés qui prenaient la poussière dans ses caves depuis l’époque de Woolley. Il s’agit de crânes en provenance des tombes royales d’Ur. En quête de détails auprès du musée, je m’enquiers de savoir « si l’on a intention d’analyser l’ADN de ces os ». On me répond poliment que, « pour le moment, rien n’est prévu en termes d’analyse ADN », mais que, pourtant, « une recherche complémentaire est menée par le Département de la Recherche scientifique et le Département du Proche-Orient ancien, et que l’on espère que les premiers résultats seront rendus publics au début de l’année 2003 ».
À la suite d’échanges ultérieurs à propos de la taille des crânes et des coiffes, le conservateur du Département du Proche-Orient ancien du musée m’informa qu’« un examen minutieux de tous les ossements collectés à Ur est en cours ». Le rapport, publié en 2004, révéla que le réexamen avait consisté en des radiographies (aux rayons X) prises par des scientifiques au Musée d’Histoire naturelle de Londres. Il explique qu’ « en dépit du délai important écoulé depuis l’exhumation des squelettes, les conclusions des spécialistes de l’époque étaient en mesure de se voir confirmer ». Par « spécialistes de l’époque », on entendait Sir Arthur Keith et ses assistants.
Penché sur une copie du rapport, me voilà frappé à l’idée que plusieurs années après la découvertes de Wooley, un musée de Londres détenait toujours les restes intacts de la « Reine Puabi » et du « Prince Meskalamdug »!
Était-ce bien sûr ? Me suis-je demandé. Affirmatif : le British Museum me fit savoir, le 10 janvier 2005 : « Le squelette de Puabi est détenu par le Musée d’Histoire naturelle, entre autres corps en provenance des fouilles de Leonard Wooley à Ur ».
Découverte sensationnelle : le squelette d’une déesse nibirienne (et d’un roi demi-dieu), ensevelis il y a près de 4 500 ans, se retrouvaient intacts, en dépit de toute attente!
L’on peut débattre autour des bâtisseurs réel de la Grande Pyramide, chipoter sur la signification de tel texte sumérien, ou encore invalider une trouvaille gênante en alléguant un faux. Mais nous sommes là en présence d’une preuve physique irréfutable dont la provenance, la date et l’emplacement de sa découverte excluent le doute.
Autrement dit, si mon identification de Puabi à une déesse Anunnaki, et non à une reine, et celle de Mes.kalam.dug à un demi-dieu, et non à un prince sont fondées, alors nous avons à notre disposition deux génomes de gens totalement ou en partie issue d’une autre planète!
J’insiste et enfonce le clou : des test ADN ont-ils été ou seront-ils menés ? On finit par me mettre en contact avec la responsable du réexamen scientifique, le Doc Theya Mollenson. Quand je parvins à la contacter, elle était partie à la retraite. De nouvelles tentatives pour en savoir plus avec l’aide d’amis londoniens débouchèrent sur une impasse. D’autres priorités avaient rejeté les conclusions dans un « trou noir ».puis des informations nouvelles établirent que des biologistes avaient réussi à déchiffrer et à comparer de l’ADN néandertalien vieux de 38 000 ans avec celui d’un homme moderne. Ce fut un éclair : pourquoi, dès lors, ne pas déchiffrer et comparer l’ADN d’une femme Anunnaki morte il n’y a que 4 500 ans ?
J’écrivis en ce sens en février 2009 au Musée d’Histoire à Londres. Une réponse polie signée par le Docteur Margaret Clegg, chef de la section des Restes humains du musée, me confirma que leurs collections comptaient à la fois « Nin Puabi, répertoriée aussi sos l’appellation de Reine Shubad, et le Roi Mes.Kalam.dug ». Elle ajoutait qu’« aucune analyse ADN n’avait été conduite sur ces restes », que « le musée ne procédait pas systématiquement à une analyse ADN sur les ossements de la collection, et qu’aucun projet en ce moment n’avait été envisagé dans l’immédiat ». Position reconduite par le musée en mars 2010.
Certes, l’ADN de Nin Puabi n’est pas à 100% anunnaki dans la mesure où son père, Lugalbanda, n’était que demi-dieu. Mais son ADN mitochondrial en provenance exclusive de la mère, est, lui, totalement anunnaki – via Ninsum et Bau, il remonte aux aïeuls nibiriennes. En cas de test, ses os révéleraient les différences ADN et mtADN constitutives de notre chaînon génétique manquant – ce groupe réduit mais crucial de « gènes extraterrestres » (au nombre de 223) qui nous firent passer de l’état d’hominidés sauvages à celui d’homme moderne il y a quelque 300 000 ans.
Je garde le fervent espoir que cet ouvrage convainque le musée que les restes de NIN-Puabi ne relèvent pas d’une « procédure », qu’ils sortent de l’ordinaire, et que de tels test seront menés. Ils sont de nature à donner une explication vitale à la réponse prodiguée à Gilgamesh :
– Quand les dieux créèrent l’humanité, ils lui conférèrent une vaste intelligence; la sagesse ils lui donnèrent; ils lui ont donné le savoir – La vie éternelle, ils ne la lui donnèrent pas.
Était-ce à dire que, sur le plan génétique, les « dieux », délibérément, se coupèrent de nous ?
Peut-être le Créateur de toute chose a-t-il voulu que la « Déesse qui jamais n’abandonna » restât parmi nous pour nous donner enfin une réponse.
Zecharia Sitchin
La reine Puabi
Au Sud-Est de l’Irak, lors d’une fouille avancée dans l’ancienne ville mésopotamienne d’Ur, l’archéologue britannique Leonard Woolley découvre les restes de la reine Puabi.
Selon certaines informations, la reine aurait un crâne exceptionnellement grand, semblable à celui de certains pharaons égyptiens et momies du Pérou. Pour beaucoup de chercheurs, le crâne de la reine constitue une preuve supplémentaire des origines extraterrestres de l’humanité.
La description de la reine était très inhabituelle. Elle avait une tête énorme. Elle ne ressemblait pas à un humain normal. Elle n’était peut-être pas complètement Anunnaki, mais aurait pu être une hybride.
Des efforts sont en cours pour obtenir une analyse génétique des os. Il y a des caractéristiques qui font allusion aux gènes Anunnaki. C’est ce à quoi les Anunnaki auraient ressemblé, avec ces crânes à tête conique. Nous pensons donc naturellement qu’elle est l’une des premiers Anunnaki ou certainement une hybride extraterrestre-humain.
L’intérêt de la reine Puabi est qu’elle est une première reine et / ou prêtresse de la dynastie. Donc, le fait qu’elle soit de la première dynastie signifie qu’elle est très proche du règne des Anunnaki. Cela la place dans une position tout à fait unique, car elle détient vraiment la clé. Elle pourrait être la preuve suggérant que les anciens Anunnaki étaient physiquement réels et que, précisément, les Anunnaki se sont croisés avec les humains.
Les êtres venus de l’espace…
Mais si les crânes inhabituels trouvés en Mésopotamie et ailleurs sont vraiment des preuves du règne des Anunnaki sur Terre, les légendes les décrivant descendant du ciel seraient-elles également vraies ? Pourrait-on en dire autant des autres légendes qui décrivent des êtres similaires, retrouvées dans des textes anciens du monde entier ? Les anges, les serpents volants d’Amérique centrale, le peuple des étoiles des Anasazi, la notion selon laquelle des êtres d’un autre monde sont venus du ciel sur Terre est l’un des thèmes les plus courants des mythologies et des religions anciennes. Les histoires pourraient-elles vraiment avoir une base de vérité ?
Si nous revenons en arrière et examinons l’Histoire ancienne, nous trouvons des histoires qui sonnent de manière très similaire. Ce sont des entités super puissantes, magiques et supérieures, et viennent d’en haut.
Quand vous entrez dans la mythologie, les récits du peuple des étoiles, ou dans le mythe des Anunnaki, c’est la similitude, la similitude est partout autour de la planète, ce qui vous fait dire que quelque chose doit être responsable des mêmes rêves, de la même mythologie. La même idée que la vie est venue des étoiles. Partout dans le monde, nous trouvons des histoires d’êtres extraterrestres ou des étoiles venant sur Terre et influençant l’humanité. Cela soulève une question.
Existe-t-il différentes races d’êtres venant des étoiles et influençant toutes ces cultures ? Ou est-il possible que ce soit une race d’êtres, les Anunnaki, qui a influencé toutes ces cultures et qui ont raconté l’histoire des mêmes êtres ? Les légendes mondiales de soi-disant dieux aident-elles vraiment à prouver que l’homme ancien était en contact avec des êtres extraterrestres ? Si oui, est-il possible que des récits religieux d’êtres d’un autre monde se métissant avec des humains soutiennent la notion selon laquelle les histoires des Anunnaki sont basées sur des faits historiques ? Selon certains chercheurs, les réponses pourraient se trouver dans l’histoire des Nephilim dans la Bible hébraïque.
Toutes les légendes de géants tombés du ciel…
Les Nephilim sont mentionnés dans le sixième chapitre de la Genèse, où nous avons les fils des dieux qui s’accouplent avec les filles des hommes. Produisant, par conséquent, des êtres surhumains.
Certaines traductions décrivent les Nephilim comme des géants.
La relation entre les Anunnaki et les Nephilim est en réalité une histoire de deux cultures. Mais sont liés. Les Anunnaki étaient la caste des dieux qui créa l’homme primordial pour les asservir, tandis que les Néphilims étaient la progéniture de ceux qui descendaient et se mêlaient aux humains. Ces êtres pourraient avoir une stature gigantesque, mais on nous dit aussi que les Néphilims possédaient une connaissance surnaturelle extraordinaire qu’ils partageaient avec certaines parties de l’humanité.
Dans la mythologie grecque, Zeus, le souverain des dieux, aurait engendré deux fils hybrides, Hercule et Persée, tous deux avec des femmes terrestres.
Et le livre apocryphe d’Hénoch décrit des êtres connus sous le nom de Veilleurs, des anges tombés du ciel qui se sont ensuite accouplés avec les humains.
Ces récits pourraient-ils réellement trouver leur origine dans les anciennes histoires des Anunnaki ?
L’histoire des Anunnaki peut sembler être un projet issu de la science-fiction. Mais lorsque nous comparons le fait que toutes les cultures du monde, des Hindous aux Grecs, en passant par les Romains, les Égyptiens et les Mayas, partout dans le monde, nous avons une description similaire de ces êtres venant sur la Terre et qui ont une progéniture alors singulière, moitié divine, moitié humaine, on peut réellement se poser la question.
Les prophéties de Zecharia Sitchin sur le retour des Anunnaki
Si une présence extraterrestre sur Mars peut être trouvée, une prise de conscience mondiale de notre propre ascendance Anunnaki serait-elle également possible ? Selon l’auteur et chercheur sumérien, Zecharia Sitchin, Nibiru, la planète des Anunnaki, est sur une trajectoire elliptique qui ramène la planète sur notre orbite tous les 3 450 ans, et la prochaine visite serait prévue pour l’année 2900.
Zecharia Sitchin a écrit dans le livre de The End of Days au sujet de certaines des prophéties du retour. La prochaine fois que Nibiru se rapprochera de la Terre, il devrait y avoir une autre apparition des Anunnaki. Certains Anunnaki peuvent être vraiment excités et heureux de voir ce qui s’est développé et ce que nous sommes devenus. Certains peuvent aussi être mécontents parce que nous sommes allés trop loin. Peut-être avons-nous outrepassé nos limites. Ils peuvent porter un jugement sur nous, cela pourrait-il être bon ou mauvais ?
Les anciens Égyptiens parlaient du duat, qui était essentiellement la traversée entre ce monde et un autre, et Nibiru en était l’équivalent dans la culture sumériene. C’est un domaine qui existe à la fois dans cet espace mais aussi ailleurs. Il s’agit essentiellement d’un pont, d’un territoire dans lequel les êtres humains peuvent passer de la vie terrestre au royaume des dieux.
Selon l’interprétation de Sitchin à propos des textes sumériens, Nibiru a également joué un rôle majeur dans la création cataclysmique de la Terre et de la ceinture d’astéroïdes entre Mars et Jupiter. Si cela est vrai, un changement similaire pourrait-il être prévu la prochaine fois que nous entrerons en contact avec les Anunnaki ?
Que pourrait nous apporter le retour des Anunnaki ?
Les retrouvailles humaines avec les Anunnaki, quelle que soit leur origine, aboutissent presque toujours au même résultat, à la stimulation de l’évolution humaine. Les Anunnaki entrent dans la culture et les consciences humaines, apportant sagesse, connaissance et souvent technologie.
Ainsi, lorsque nous verrons le retour des Anunnaki, basé sur le passé, nous pourrions nous attendre à voir de nouvelles technologies, une nouvelle sagesse et de nouvelles idées germer dans la conscience humaine.
Lorsque nous examinons l’histoire des Anunnaki et leur implication dans la culture sumérienne, nous devons comprendre qu’il s’agit potentiellement d’un héritage d’informations, car nous examinons les antécédents de l’humanité pour interpréter d’où nous venons réellement. Il y a un dénominateur commun dans toutes ces histoires d’extraterrestres qui nous ont visités dans le passé, c’est leur promesse de retour.
Comment pouvons-nous nous préparer au retour de ces extraterrestres dans le futur ? Accepter l’idée que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, en numéro un. Et le numéro deux, que s’ils étaient ici dans le passé, ils reviendront dans le futur ? Mais est-il possible, comme le soutiennent des partisans de la théorie des anciens astronautes, que la race humaine ait été relancée ou peut-être même créée génétiquement par des extraterrestres dans un lointain passé ? Est-ce que cela pourrait vraiment être la pièce manquante dans la théorie de Darwin sur l’évolution des espèces ? La notion de présence extraterrestre sur Terre contribue-t-elle également à réconcilier le prétendu conflit entre science et religion ? Peut-être une notion aussi profonde est-elle la raison pour laquelle les musées en Irak ont été pillés et saccagés : parce que la vérité peut être trop troublante pour être contemplée.