Le projet Montauk au Camp Hero : contrôle de l’esprit, téléportation et voyage dans le temps
Un « budget noir » a financé le projet Montauk, une extension de l’ « Expérience de Philadelphie ». L’invisibilité des radars fait l’objet de recherches à bord de l’USS Eldridge sous le nom de « Projet Montauk ». John von Newman et les raisons pour lesquelles les gens n’ont pas résisté à l’Expérience de Philadelphie.

Le gouvernement américain a catégoriquement nié que les recherches décrites dans le livre de Nichols aient eu lieu au Camp Hero ou à la base aérienne de Montauk.

Mené à l’extrémité Est de Long Island pendant la guerre froide, le projet Montauk était une expérience militaire secrète visant à développer une guerre psychologique avec des enfants enlevés.
Le projet Montauk pourrait bien être le filon mère de théories du complot moins connues. Le voyage dans le temps, la téléportation et le contrôle mental font tous partie intégrante de l’histoire, tandis que le contact avec des extraterrestres et la mise en scène des atterrissages d’Apollo sur la lune ajoutent de la couleur à un fil déjà sauvage. Pourtant, même après tout cela et le fait que cela ait inspiré la série Netflix Stranger Things, relativement peu ont entendu parler de l’histoire du projet Montauk.
Alors, comment se fait-il que le projet Montauk – qui prétend que des éléments obscurs de l’armée américaine ont transformé deux installations militaires aux confins de Long Island en un centre de recherche illicite et effrayante sur le paranormal – fût négligé ?
C’est peut-être parce que l’histoire provient de sources douteuses, même selon les normes de la théorie du complot. Même si le projet Montauk lui-même est une fiction, l’histoire documentée d’expériences troublantes de la Central Intelligence Agency comme celles prétendument menées à Montauk signifie que cette théorie restera intrigante pour les rares personnes qui la connaissent.
Avec la popularité de la série « Stranger Things » bien établie, peut-être que le projet Montauk sous les projecteurs pourrait approcher à grands pas.
Camp Hero et la base aérienne de Montauk – l’armée a transféré une partie de Camp Hero à l’armée de l’air après la Seconde Guerre mondiale – seraient tous deux les centres de cette recherche paranormale. Nichols commence par dire qu’il a écrit le livre après avoir « récupéré » des souvenirs de son temps en tant que chercheur pour le projet, puis continue en donnant un récit détaillant l’intérieur des installations, ses procédures, ses technologies avancées et de nombreux incidents paranormaux, selon lui, avoir été témoin.
La fin du projet Montauk et la « vraie » histoire derrière Stranger Things…
Interview de d’Alfred Bielek réalisé par Suzanne Konicov, pour le magazine « Connecting Link »…
Alfred BIELEK était l’un des témoins de « l’Expérience de Philadelphie », et du Projet « Rainbow ». Il nous parle de sa vie, et de son implication dans le Projet Montauk et de toutes les choses dont il a été témoins.
Alfred BIELEK : Mon père (Alexander Duncan Cameron senior) s’est engagé dans l’U.S. Navy avant que les U.S.A. n’entrent dans la première guerre mondiale. Il m’a engendrer ainsi que plus tard A. Duncan Cameron junior (mai 1917) avec des mères différentes.
Duncan et moi, en tant que demi-frères, avons été élevés en grande partie par notre tante Arnold dans la Grande Maison, encore à West Islip, Long Island (notre père est resté dans la Navy jusqu’en 1930 où il a pris sa retraite avec une pension). Depuis nous n’avons jamais manqué d’argent (à cause de la fortune du grand magasin Arnold/Constable), Duncan Jr. et moi (après avoir terminé le lycée) sommes allés dans différentes universités. Je suis allé au début à Princeton, et plus tard à Harvard pour obtenir un Ph.D. en physique. Duncan est allé à l’Université d’Edimbourg en Ecosse et a également obtenu un Ph.D. en physique, en été 1939.
En septembre 1939, nous nous sommes engagés tous les deux dans l’U.S. Navy obtenant le grade de Lieutenant (J.G.) et ensuite on est allé à une école d’entraînement de 90 jours pour « Affectation Spéciale » du personnel de la Navy à Providence, Rhode Island. Après cette préparation, on a été assigné tous les deux à l’Institut d’Etudes Avancées (Princeton, New Jersey) et directement dirigés au « Projet d’Invisibilité ».
Avec un test complètement réussi en 1940 (Arsenal de la Navy Brooklyn), le projet a été classifié et renommé « Project Rainbow ».
Les bureaux se trouvaient dans l’arsenal de la Navy à Philadelphie. Duncan et moi effectuions des allers et retours entre Philadelphie et Princeton.
En janvier 1941, on a été envoyé en mer pour faire notre service maritime sur l’U.S.S. Pennsylvania. On a sillonné dans le Pacifique jusqu’en octobre 1941 quand le Pennsylvania fut mis en cale sèche à Pearl Harbor. Nous sommes allé en permission à San Francisco et nous y sommes resté jusqu’en décembre 1941, puis nous sommes retournés à l’Institut début janvier 1942.
On travaillait sur le projet durant l’année 1942 lorsque Nikola Tesla s’est retiré, en mars 1942, et le docteur Von Neumann à pris la relève à ce moment là. Duncan et moi, étions présent sur le Projet durant les deux tests avec l’Eldridge en 1943. Le second test du 28 Octobre 1943 fut un désastre total, avec de nombreuses victimes et avec Duncan qui a disparu de manière permanente.
Je suis resté à la Navy, et je me suis marié à la fin de l’année 1943. Mon fils, est né en février 1944. En juillet 1944, ma famille et moi avons été transféré à Los Alamos au Nouveau Mexique où je suis resté jusqu’au 2 juillet 1947. À ce moment-là, on m’a enlevé de force et séparé de ma famille que je n’ai jamais revu par la suite.
Avec des accusations d’espionnages qui ont été lancées contre moi, je m’attendais à passer au tribunal militaire. Au lieu de ça, j’ai été transféré à Washington D.C., où les accusations ont été retirées et j’ai été transféré à la base militaire Fort Hero de Montauk, Long Island. À partir de ce point j’ai été déplacé dans le temps en 1983, de retour dans le Projet Phoenix.
Une fois là, on m’a fait subir un super lavage de cerveau, et toute ma mémoire a été déménagée. De plus, on m’a régressé en âge (réduction de l’âge et de la taille physique à partir de mes trente ans jusqu’à approximativement l’âge d’un an) et puis, à l’âge d’un an, j’ai été renvoyé dans le temps en 1927 et placé dans une nouvelle famille comme substitut d’un fils mort. Cette nouvelle famille – les Bielek – est devenue mes seuls parents connus durant un demi siècle !
Lors de la seconde guerre mondiale, j’ai été incorporer dans la Navy (une seconde fois) comme marin jusqu’en 1946. Après mon service militaire, j’ai essayé de monter une entreprise (qui a échouée) et je suis allé au collège (1949-1950) à Newark, New Jersey, et plus tard à UCLA. Une carrière s’en est suivi comme ingénieur électronicien (1958-1988), avec la retraite en 1988.
Avec le retour de mes mémoires, en mai 1986, du Projet Phoenix et de l’Expérience de Philadelphie (Projet Rainbow) en janvier 1988, je me suis engagé dans de nombreux écrits et conférences au sujet de l’Expérience de Philadelphie, ses ramifications et le Projet Phoenix qui a suivi, ainsi que les incroyables conséquences de leur verrouillage à travers le temps.
CONNECTING LINK : Parlez nous du Projet Phoenix.
A. BIELEK : Je vais aborder la phase finale du Projet Phoenix et certains aspects qui en résultent. J’ai rejoint le projet en 1953 en tant que Al Bielek. Je faisais ce que le livre, « The Montauk Project » désigne, l’interface d’ordinateur entre la chaise psychique utilisée pour contrôler les tunnels de temps dans la phase finale des opérations. Ces phases au début étaient très difficiles, elles ne fonctionnait pas bien et elles avaient beaucoup de problèmes. Mais, j’y étais impliqué en tant que Al Bielek.
Preston Nichols y était impliqué en tant que Preston Nichols, et Duncan Cameron y était impliqué en tant que Duncan Cameron dans son second corps, ne se souvenant de rien de son implication dans l’Expérience de Philadelphie. Le projet générait les tunnels de temps.
Les gens avait la possibilité de voyager dans le temps et l’espace et ils le faisaient. Mais ils avaient également d’autres projets en cours à Montauk. On ne sait pas encore tout de ceux-là.
La technologie pour les tunnels temporel nous était donnée par un effort coopératif de groupes extraterrestres, principalement le groupe Orion, auquel étaient mêlés les reptiliens, un sous-groupe appelé les Leverons.
Le groupe technique qui nous fournissait la plupart de l’assistance, était le groupe de Sirius A. Des gens très scientifiques, très matérialistes. Peut-être pas un mauvais coeur mais mal orienté, car ils avaient des contrats à très long terme avec les Orions qui leur fournissaient les connaissances techniques et l’assistance dont ils avaient besoin. Et ils fonctionnaient avec notre gouvernement en secret pour mettre en place les techniques et technologies de contrôle de la pensée et pour pousser vers une société hautement technique et automatisée qui serait beaucoup plus facile à contrôler qu’elle ne l’ait actuellement. Mais nous approchons de cela rapidement. Il y avait aussi beaucoup de petits Gris qui étaient dans nos pattes.
Il y avait d’autres groupes qui ne participaient pas au projet, mais ils étaient là comme observateurs, le groupe d’Antares, des gens joviaux, très gais, très humains. Vous ne pouviez pas les distinguer d’un esprit humain. En fait, je pense que vous pouviez pas les distinguer anatomiquement non plus. Pourquoi ils étaient là, je ne sais pas. Ils ne faisaient rien. Ils étaient observateurs.
Mais les extraterrestres fournissaient la compétence, les outils. Ils transposaient ça depuis leurs données informatiques vers les IBM 360. Cela ne fonctionnait pas encore mais ça a marcher lorsque des modifications ont été faites. Je suis devenu, largement, impliqué dans la réalisation du système de fabrication du tunnel temporel. C’était une technologie extraterrestre. On n’avait pas la théorie. Mais on avait la capacité, la compétence technologique pour construire l’appareillage, et on l’a fait, selon leurs spécifications.
ITT faisait partie du contrat. Tout était sous le niveau de laisser passer « Black Card » (Carte noire), qui est en l’occurrence le plus haut niveau de laisser-passer qui existe, et la plupart des gens ne savent même pas que ce niveau existe. Ça signifie, en essence, qu’un tel projet est un profond Trou Noir de sorte que toutes les archives, tout ce qui a un lien avec ça, est enterré dans un coffre-fort noir et personne n’a accès à ça sans avoir le laisser-passer adéquat et la nécessité de savoir. Cela inclut les départements d’achats qui achètent le matériel pour ces projets. Les archives des achats, des ventes, tout est enfermé dans un coffre-fort noir. Donc personne ne peut le trouver. C’est pourquoi ils appellent ça un projet Trou Noir. Il y a de nombreux projet de ce type. Celui-ci en est un parmi tant d’autres.
Les tunnels sont devenus complètement opérationnels vers 1977 après de nombreuses modifications. Vers 1979 ils ont eu tous les résultats qu’ils voulaient. Jusqu’au 12 août 1983, la nuit, lorsque le projet a été délibérément détruit. Saboté de l’intérieur. Cela est raconté dans le livre (The Montauk Project). Mais avant ça, ce qu’ils ont fait était incroyable.
L’une des applications du Projet Phoenix, dans l’utilisation des Tunnels de Temps, était de fournir un soutien aux Colonies Martiennes. Les Colonies Martiennes ont existé depuis le début des années 70. Alors qu’on est allé publiquement sur la Lune en 1969.
En fait les Allemands ont été sur Mars en 1947. Et nous y sommes allé en 1962 avec une expédition mixte, Russe et Américaine. Ils sont allés sur Mars le 22 mai 1962.
Le film, Alternative 3, fait par Anglia Television, le 1 avril 1977, qui est disponible dans l’ « underground », l’expose complètement. Il montre la transmission réelle. Les prises de vue en couleur venaient de Mars par transmissions TV, lorsque cet Exploreur voyageait et atterrissait.
Nous avons des colonies là-bas sur Mars depuis la fin des années 60 ou peut-être le début des années 70. Ils ont trouvé beaucoup de choses artificielles là-bas. Il y a plus qu’une cité en ruine. Et bien sûr le fameux visage sur Mars, les Pyramides et ce complexe entier que Hoagland (Dr. Richard) a parlé et a présenté au public. Il y a deux vidéos là-dessus plus son livre.
Ce qu’ils ont trouvé sur la surface indiquait qu’il y avait beaucoup plus de choses là, qu’ils ne pouvaient pas trouver, qui étaient enterrées. Et ils n’avaient pas apporté, et n’avaient pas à disposition un quelconque engin à cette époque. Ils n’avaient aucune pelleteuse ou gros tracteur ou cette sorte de chose. C’était trop lourd a emporter.
Donc, une requête a été envoyé par radio à la Terre, « On pense qu’il y a des installations souterraines ici. On a vu des ouvertures qui sont scellées. Vous les gars là en bas, pouvez-vous nous dire quoi faire ? » Donc, l’information est allé à Montauk, au Projet Phoenix. Et ils ont répondu en retour, bon donnez-nous les coordonnées de la surface de Mars où vous pensez que ces sites se trouvent ». Et ils l’ont fait, ils ont dit, « On va l’explorer ». Parce qu’ils pouvaient aller à n’importe quel endroit avec le tunnel, ils sont aller sur Mars aux coordonnées.
En premier ils n’ont pas envoyé quelqu’un. Ils ont fait aboutir un tunnel dans ce qu’ils pensaient pouvoir être une cavité souterraine et, plutôt que de risquer de tuer quelqu’un en l’enterrant dans le roc solide, ils ont envoyé une caméra, une caméra pour voir à distance. On a découvert que c’était une véritable caverne avec suffisamment de sécurité et alors Montauk a envoyé des personnes. Duncan et moi étions dans cette équipe.
La première équipe qui y est allé, dirigé par Montauk pour explorer le sous-sol de Mars. Ce n’est pas mentionné dans le livre qui est sorti, mais on y est allé. Et il y en a eu probablement d’autres. On y est allé plusieurs fois.
On a trouvé toutes sortes de choses artificielles. On a trouvé un système d’éclairage souterrain encore fonctionnel, un système d’énergie. On l’a trouvé et on l’a allumé et il fonctionnait encore. Aucun indice de vie. Un tas d’objet manufacturé, fichiers, archives, objets religieux, statues, tout stocké comme si c’était un entrepôt de magasin. Un énorme entrepôt.
CONNECTING LINK : Est-ce que les inscriptions étaient en anglais ?
A. BIELEK : Non. Ce n’était pas en anglais, c’était dans un autre langage. Duncan était capable de traduire certains d’entre-eux. J’en ai vu mais je ne pouvais pas les traduire. Et beaucoup d’affaires et d’archives ont été ramenées. Et en fait Duncan et moi avons décidé d’y retourner clandestinement de notre propre initiative.
(Après qu’un voyage est fait, tout est enregistré. Toutes les coordonnées et opérations nécessaires pour opérer le système sont enregistrées sur bande magnétique. Et vous pouvez prendre cette bande, la connecter à l’ordinateur, et sans utiliser le psychique et le numéro de chaise, vous pouvez ouvrir le tunnel au même endroit puisque l’ordinateur contient toutes les données célestes de tous les mouvements de la Terre, les mouvements du système solaire, tout est dans l’ordinateur, donc il y a la référence complète à la nouvelle position où doit se trouver la planète. Et « brancher » le tunnel exactement au même endroit.) Donc nous sommes allés deux fois à notre initiative pour nos propres petites explorations.
CONNECTING LINK : Et personne ne s’occupait de la machine pour votre retour ?
A. BIELEK : On avait mis en route l’équipement, on savait comment le faire. Et personne n’était là. Au second voyage on a été découvert parce qu’il y a des enregistrements automatiques qui disent combien de fois cet équipement est utilisé, et pour quel objectif, et à quelle date, heure, etc. Enregistreurs permanents et automatiques d’événements. Donc on a été appelé lorsque nous sommes revenu.
On a été écarté du projet et on s’est fait taper sur les doigts. « Vous ne ferez pas cela une fois de plus », et une des personnes qui était impliquée, un vétéran scientifique, a séparé notre équipe. Duncan et moi n’avons plus fait grand chose ensemble après cela mais par la suite les explorations ont été faites par d’autres. On ne sait pas ce qu’ils ont trouvé.
Certaines personnes avaient été choisies à l’avance, telle que moi-même, Duncan et Preston pour faire partie de ce programme. Et le niveau de lavage de cerveau variait. Duncan a eu un puissant lavage de cerveau, ainsi qu’une programmation, pour avoir fait ce qu’il a fait là et puisqu’il n’allait plus être utiliser dans sa compétence technique. On m’a fait un lavage de cerveau à un certain degré, et Preston, très fortement.
Mais on a reçu ce que vous pourriez appeler le « debriefing » après que ce projet entier fut détruit et a été déclaré formellement terminé le 1er janvier 1984. On a eu notre « debriefing » ce qui signifie qu’on a effacé de notre esprit tout ce qu’on a fait dans le cadre du projet. Et ils ont espéré que cela tiendrait indéfiniment.
Ça n’a pas été le cas. La raison pour laquelle cela n’a pas tenu indéfiniment était que le site n’a pas été détruit. Il est encore là. Il a été rendu à la Commission des Parcs de l’état de New York le 1er janvier 1986 ou courant janvier 1986 pour faire partie du parc qui existait déjà là-bas. L’Etat n’a jamais rien détruit. Ils n’ont jamais démoli un bâtiment. Ils ne l’ont jamais ouvert en tant que parc.
Ils ont abattu les barrières donc les gens pensent aller là, se promener et camper s’ils le veulent, durant la journée. Ils ne peuvent pas rester la nuit sans un permis spécial de la ville de Montauk. Cela n’est pas permis et les rangers du parc patrouille et les sortent.
Mais la propriété reste inchangé. En allant là-bas, comme je l’ai fait au début d’août 1985 à l’invitation de Preston (j’avais emmené Duncan avec moi), aucun de nous ne savait, à ce moment, que nous avions fait partie du Projet Montauk. Preston, en tant que revendeur de surplus électroniques, avait été là-bas pour la récupération d’équipement avant cette visite en août.

CONNECTING LINK : C’est là que le livre, « The Montauk project » débute.
A. BIELEK : Exact. Et il ne savait pas qu’il avait été impliqué. Il n’avait aucun souvenir. Lors de cette promenade au mois d’août, Preston nous a dit, « Vous êtes tous les deux sensitifs. Voyons ce que vous captez quand on se ballade par ici ». Il a dit, « Je pense que vous n’êtes jamais venu ici auparavant ». Il ne savait pas, honnêtement, à ce moment-là. Donc on s’est baladé et on a ressenti cette ambiance terrible sur la base, que quelque chose d’atroce s’était passé là. On a senti ce monstre, qui est apparu à la fin de l’histoire, qui a aidé dans le processus de destruction de cette station.
Preston et Duncan avait bien sûr l’avantage d’être sur place tandis que j’étais simplement en visite et suis retourné à Phoenix. Ils sont allé là à plusieurs reprises, et ils sont devenus conscient de leur implication dans le projet plus tôt que je ne l’ai été.
Je suis retourné à Montauk en mai 1986 et j’ai fait une autre visite avec un groupe de Phoenix sponsorisé, je crois, par le sénateur Barry Goldwater. Parce que j’avais parlé à ce groupe, que je connaissais depuis décembre 1985, à propos du projet et ils sont partis faire une enquête de détournement possible de fonds fédéraux depuis un projet fédéral normal vers un projet illégal. Ils cherchaient des preuves. Et c’était leur modus operandi, leur raison pour obtenir des autorisations de l’Etat de New York, de la Commission des Parcs, pour aller sur la base, à l’intérieur des bâtiments fermés. Il y en avait encore certains de fermés. Et de trouver, s’il y a lieu, une preuve si cela avait pu être un projet détournant des fonds fédéraux.
On sait maintenant qu’aucun financement fédéral n’était impliqué. Les principales enquêtes ont prouvées cela. Mais dans le processus on a pris un tas de photographies, et dans cette visite, la même que celle de mai 86, ma mémoire de Montauk a commencé à revenir puisque j’étais en train de visiter le site, la scène du crime, si vous voulez.
CONNECTING LINK : Et cela a agit comme un déclic.
A. BIELEK: C’était le déclic. Le même que pour Duncan, le même que pour Preston. Donc ma mémoire est revenue. J’ai su alors que j’avais participé à ça. Et mes souvenirs étaient en train de revenir car ils ne sont pas revenus tous à la fois comme dans un rush.
Ils reviennent par morceaux, cela dépend de ce que les déclics ramènent. Mais une fois que vous avez fait un trou dans le mur, c’est comme une fissure dans une digue. Le trou commence à s’agrandir et il continue de grandir et finalement tout passera au travers.
Donc j’ai su, finalement, que j’avais été fortement impliqué à un niveau technique et administratif dans de nombreux projets. Duncan a été aussi impliqué dans plus d’un projet.
Preston a été le chef technique de station après Matthew Zaret. Le professeur Zaret a été muté en 1980. En fait, il a quitté à ma suggestion, mais ils ne voulaient pas le lâcher, donc il a été envoyé à un projet parallèle à Brentwood, Long Island, où il est mort. Preston a pris la suite comme directeur technique, s’occupant de toute la gestion. Il concevait et construisait tout les systèmes modulateurs à ondes pulsées et les émetteurs de fréquences radio, dans tout ce qui touchait les RF ( transmissions électromagnétiques en Fréquences Radio, spécialement pour les radars.) et les émetteurs il était un expert.
Et c’était sa compétence et son travail habituel, puisqu’il travaillait pour une compagnie de l’aérospatial à Long Island durant quinze ans jusqu’à ce qu’il soit viré il y a deux ans. Il a été viré mais ils ont camouflé ça. C’était parce qu’il en savait trop et il parlait trop ouvertement, il avait retrouvé trop de mémoire et il était en train de divulguer de l’information, à plusieurs reprises, aux conférences de l’USPA [United States Psychotronic Association] que le gouvernement ne voulait pas rendre publique. Donc ils lui ont retiré son laisser-passé, et ensuite ils l’ont viré en juillet 1990 pendant qu’il était à une conférence de l’USPA. Quand il est revenu, il n’avait plus de boulot, on lui a dit, « Tu es fini, ramasse tes affaires et va-t-en ». Et son patron n’a même pas su pourquoi. Ce n’est pas son patron qui l’a viré. C’était une manipulation du gouvernement.
Il était expert dans la conception des émetteurs à hautes puissances, pour radar, pour quoi que ce soit. Dans le cas du Projet Montauk, pour les étages finals d’un Amplitron spécial qui est montré dans le livre, il y a une photo de ça. C’était conçu et construit spécialement pour le projet par Raytheon Electric (Les établissements R & D. La production était à Weymouth, MA, au moins 4000 amplitrons ont été produits) à Goleta en Californie.
Je me souviens être descendu là-bas pour homologuer la première livraison de tubes. Ils étaient très, très, chers et construit spécialement. Ils coûtaient plusieurs millions de dollars chacun. Ils en ont commandé plusieurs milliers. Donc vous pouvez voir pourquoi le coût de ce projet était hors d’imagination. Les condensateurs pour les réseaux en mode pulsé et le modulateur étaient aussi conçues spécialement selon des spécifications très strictes. Ils ont finalement trouvé quelqu’un pour les construire. Et tout le monde dans l’industrie, excepté un, a refusé de les faire. Ils ont finalement été capable de les fabriquer aux spécifications, et ils les ont vendu au gouvernement en paquets de cinquante à la somme modique de vingt cinq milles dollars le condensateur. Et ils en avaient une centaine sur chaque station. Un paquet complet de cinquante pour deux émetteurs opérationnels, et un paquet entier en réserve. Donc cela faisait deux millions et demi de dollars multipliés par 25 stations !
Ils étaient à court d’or. (Le projet avait commencé avec 10 milliards de dollars en or. L’histoire de l’or est documenté dans le livre « Nazi Gold », L’ or nazi) Ils étaient à court de finances. Donc ITT a payer la note.
CONNECTING LINK : Et toute cette technologie provenait de groupes extraterrestres ?
A. BIELEK : Ils avaient la coopération des extraterrestres. Voyez, ils avaient un OVNI crashé, qui a été délibérément crashé, en accord avec Hitler, par un certain groupe de Pléiadiens. Il était bourré de technologies. Et la raison pour l’avoir crashé, c’était que le Haut Commandement Allemand, s’il y était contraint, pouvait dire, « Oui, nous avons trouvé une soucoupe crashée dans les Alpes Bavaroises » ou dans un lieu comme ça, « et nous l’avons récupérer, nous l’avons démontée et analysé la technologie ».
Ça n’a certainement pas été rendu public. Mais les restes de ce vaisseau ont été trouvés près de Peenemunde après la fin de la guerre. C’était la base allemande d’essai des fusées, et où Wernher Von Braun opérait avec son équipe. Quand la guerre fût terminé, avec son groupe il s’est délibérément déplacer vers l’ouest, vers les américains. Et un autre groupe a été capturé par les russes, incluant, je crois, son professeur, Herman Oberth. Bien sûr c’est là que les Russes ont eu une tête d’avance en matière de fusées sur les U.S.A., ils avaient le professeur qui a enseigné Wernher Von Braun !
Ils en avaient peut-être certains autres, car les Russes ont capturés un nombre assez important d’élites intellectuelles allemandes lorsque Berlin est passé sous leur contrôle. Donc la guerre a reçu une énorme quantité de technologique en provenance des Pléiadiens. En ce qui concerne ce genre d’accord, Roosevelt avait fait le premier aux U.S.A en 1934, pas avec les Pléiadiens, qui avaient offert d’aider les Etats-Unis à sortir de l’enfer de la grande dépression qui sévissait, mais il a choisi un groupe différent pour des raisons personnelles quelconques que nous ne connaissons pas.
Ils s’appelaient le Groupe K ou les Kondroshkin. Autant que je peux le déterminer aujourd’hui, ce groupe s’est révélé être les bleu-gris. Pas les petits gris, mais un groupe plus vaste qui est appelé les bleu-gris.
En tout cas, il avait fait des accords avec eux. Ils avaient fait une offre pour fournir une base technologique entièrement nouvelle pour l’énergie atomique américaine en 1938. Roosevelt au début avait accepté et ensuite il a refusé parce que les militaires lui ont dit, « Oh, oh. On ne peut pas contrôler cela de A à Z. On ne sait pas ce qu’ils vont faire avec ça et comment ils pourraient nous manipuler à la fin ». Donc ils (le groupe K) ont disparu dans la nature.
A.B. : En 1943 eut lieu l’Expérience de Philadelphie et le verrouillage avec le Projet Phoenix, créant un énorme trou dans l’espace-temps. Cela a été fait délibérément par les extraterrestres à la fin 1983 pour opérer une trouée dans la trame de l’espace-temps, suffisamment grande pour que les extraterrestres et les vaisseaux puissent y entrer.
Ils avaient les capacités de voyager dans le temps, mais cette ouverture était nécessaire pour permettre aux grands vaisseaux extraterrestres (principalement les gris, et aussi d’autres types) de passer et procéder à une invasion massive des Etats-Unis, et plus tard de l’Europe. Quand ils ont atterri à la Base Edwards de l’Air Force dans le Muroc Dry Lake tout comme sur une autre base de l’Air Force, le gouvernement savait déjà pertinemment que les extraterrestres étaient sur cette planète. (Ils savaient) depuis 1887 avec la première commission d’enquête sous Grover Cleveland.
En tout cas, ils savaient qu’ils étaient là, mais ensuite ils arrivaient en masse. Nous étions confronté à une technologie que nous ne pouvions pas contrecarrer, avec laquelle nous ne pouvions pas manoeuvrer, nous ne savions pas quoi faire face à cela. Donc le compromis d’Eisenhower et de ses conseillers était de signer un traité avec eux, un traité de non-interférence et prendre d’eux toute la technologie que nous pourrions. Établir un quelconque accord. Nous gagnerions du temps et nous verrions ce que nous pourrions faire plus tard.
C’était la base de l’accord. À cause de cela, un très grand nombre d’extraterrestres sont arrivés et ont participé au Projet Phoenix. Ils étaient en train de planifier l’avenir. Nous ne savions pas ce qu’ils fabriquaient. Et en regardant cela rétrospectivement, ce n’est pas ce que nous pensions à l’époque. Ils planifiaient l’avenir, et savaient ce qu’ils étaient en train de faire. Ils manoeuvraient et manipulaient le Projet Phoenix. Ils ne s’attendaient pas à sa destruction alors. Je suis sûr qu’ils anticipaient sa continuité pour une autre décade, au moins dans les années 90.
Cependant, à cause de certaines personnes qui soudainement « ont vu la lumière », « sont entrées en religion », ou quoique ce soit qui les a frappé, Duncan, et quelques autres, ont conspiré pour détruire la station. Et la raison en était qu’ils en avaient assez de tout ce qu’ils ont vu comme malveillance se perpétrer ici.
J’étais au courant, et j’ai décidé que je ne ferais pas parti du commando destructeur. J’ai dit, « Oui, il y a beaucoup de choses qui ne vont pas, mais on a déjà remis de l’ordre dans un tas de pagaille, et on peut remettre de l’ordre dans le reste et continuer ça en tant qu’outil de recherche », comme John Von Neumann le voulait. Il disait, « C’est un outil de recherche; on en a besoin » . Grâce aux capacités de voyages dans le temps (vision à distance), il avait vu des choses arriver dans le futur qui pourraient causer de très sérieuses menaces aux Etats-Unis et au Monde.
Mais ces personnes avaient leur chemin. Ils ont mis un implant spécial à l’intérieur de la tête de Duncan de façon que, lorsque le Duncan Cameron d’origine et moi-même en tant qu’Edward Cameron, nous avons émerger de l’Expérience de Philadelphie et avons séjourné à la station (durant 12 heures) et sommes retournés sur l’Eldridge; ensuite l’Eldridge est retourné en 1943. À ce point, cette phase était terminée et cela a complété la boucle de temps. Alors les paroles ont été prononcées, « Maintenant c’est le moment » et Duncan a libérer cette chose de son subconscient dans la machine.
L’émetteur (qui déjà à cette époque avait sa propre personnalité) a créer ce grand monstre, en trois dimensions solides, quatre à cinq mètres de haut et il est littéralement sorti du subconscient. Il est allé de ci, de là, frappant et fracassant les bâtiments et les gens, et il a été retrouvé en train de saccager l’intérieur de la tour radar. Mais la tour était trop robuste pour qu’il puisse la détruire. La seule façon de le stopper était de détruire l’émetteur, et c’est ce qui a été fait. Et il a disparu dans quelqu’autre réalité. Il a été photographié en mai 1986.
Mais le chapitre final sur Montauk n’est pas encore écrit. On a découvert il y a un mois (août 1992) que Montauk a été réactivé.
Et c’est ce que je voulais aborder ici. On ne sait pas qui est en train de faire ça. On a vu les preuves. De nouvelles séries de câble coaxial, de nouveaux transformateurs électriques sont placés dans le poste d’alimentation électrique. Les nouveaux sont affichés « sans PCB ». Puisque maintenant la loi n’autorise plus à ce que les transformateurs contiennent du PCB comme agent de refroidissement, s’ils explosent ou se fissurent, c’est un danger extrême pour l’environnement. Donc ils utilisent un agent de refroidissement qui préserve l’environnement, un liquide différent dans les transformateurs et ils portent de grandes étiquettes qui disent, « Sans PCB ». J’ai pris des photos de ça lors de ma visite il y a un mois. Il y a de nouveaux câbles électriques ça et là dans la base qui sont flambants neufs.
La tour radar a maintenant une nouvelle porte d’acier, là où c’était grand ouvert et que vous pouviez vous y promenez. Ils ont placé une nouvelle porte métallique avec double cadenas, donc vous ne pouvez plus y entrer. La porte d’entrée du garage arrière pour les camions et les livraisons de matériels lourds est maintenant fermée de l’intérieur. Et nous avons trouvé d’autres indices qui montrent que cela est entrain d’être réactivé.
Preston a été contacté par le gouvernement pour devenir le directeur du nouveau projet Montauk. Et ils lui ont dit qu’ils voulaient aussi que Duncan en fasse partie. Il y a de nouveaux employés là-bas. Il y a de nouvelles entrées pour le sous-sol. Une personne que nous connaissons est entrée par la porte extérieure et il y a une porte intérieure fermée avec une lumière rouge au-dessus. Vous devez avoir un badge d’accès spécial ou vous serez stoppés.
Nous n’avons pas tenté d’y aller car nous ne sentions pas vouloir risquer ça. Et nous ne savons pas vers où le projet peut aller, mais nous suspectons qu’un des objectifs soit d’élargir la trouée de temps (1943 à 1983) jusqu’à 1993, parce que 1993 est un point sous-noeud dans le cycle de 20 ans, et août 1993 serait encore une zone très critique et ils veulent très probablement que la station soit activée avant le mois d’août 93. C’est ce que nous sentons, techniquement, qu’ils mettent sur pied. Mais quel est l’objectif final, nous ne le savons pas avec certitude. C’est peut-être pour agrandir le tunnel de temps, la trouée de temps, pour des buts propres à eux.
Il y a beaucoup de choses sur ce projet que nous ne savons pas. Il a été utilisé pour certaines choses, que nous ne savons pas encore. Nous n’avons jamais eu accès aux archives classifiées des Laboratoires Lincoln au M.I.T. (Cambridge, MA).
Il ne leur était pas possible d’écarter Duncan et moi-même parce que nous aidons à maintenir la stabilité de toute la trouée de temps. Elle se stabilisera d’elle-même en l’année 2003 à moins qu’ils ne la rouvre. Si c’est le cas il y aura tout un fourmillement de choses à gérer.
Ils ne réalisent pas vraiment quels risques ils sont en train de courir en rouvrant ce truc. La trouée a été stabilisée en 1963, sinon ce continent Nord Américain aurait été maintenant sous l’eau salée. Pas à partir de l’année 2000, il l’aurait été en 1963. Il y a eu un projet spécial, maintenant bien caché, qui a été créé pour re-stabiliser l’onde de temps inverse qui aurait percuté l’onde de temps normale en 1963, au point noeud, et fracturé ce continent.
Cela est du au fait qu’ils avaient cette ouverture temporelle, et comme elle était instable à cause de la façon dont elle a été générée (comme une onde stationnaire dans une ligne de transmissions RF). Peut-être vous ne comprenez pas la théorie RF, mais vous avez une onde inverse dans une ligne non terminée ou incorrectement terminée.
Le temps en lui-même est une onde. Vous pouvez avoir une onde de temps qui va en avant et vous pouvez avoir une onde de temps inverse. Si les deux, d’égale amplitude, se percutent à un point noeud, qui est le point de synchronisation terrestre, comme le 12 août 1963, elles peuvent être extrêmement destructrices, physiquement, pour la structure physique de la terre.
Etant donné que ce projet a eu lieu aux Etats-Unis, à Long Island, ceux qui ont regardé dans la théorie ont dit que cela aurait provoqué une perturbation extrême du matériel géologique, ébranlant la terre, dans le continent Nord Américain. Cela aurait finalement briser les plaques tectoniques, et le continent Nord Américain, mis à part les montagnes, se serait en fin de compte retrouvé, selon l’estimation, sous 150 à 200 mètres d’eau de mer.
Cela ne s’est pas passé, évidemment, nous sommes ici!
Le projet de 1963, « Atlanticus Not Revisited », a été réussi en mouillant cette onde de temps inverse. C’est un domaine de la science, des technologies, et de la physique dont la majorité des gens ne savent rien.
On espère que si le projet est ressuscité, qu’il sera utilisé proprement plutôt qu’improprement comme par le passé, pourtant il y a eu quelques très bonnes utilisations du Projet Montauk.
Dans un point de vue plus large, cela serait peut-être mieux de le garder enterrer. Seul le temps dira ce qui se passera, et si oui ou non je jouerai quelque chose là-dedans. Ils ne m’ont pas demandé. Ils ne veulent pas. Tout ce qu’on peut faire est d’espérer le meilleur pour l’avenir et que les erreurs du passé seront comprises et que d’une manière ou d’une autre le futur sera pour le mieux malgré les problèmes que nous savons que nous avons à faire face.
source : https://newsinstact.com/project-montauk-time-travel-alien-contacts-1035/
Le récit du projet Montauk a véritablement débuté en 1992 avec un livre auto-publié de Preston B. Nichols intitulé The Montauk Project : Experiments In Time.

Il s’agit de l’édition Silver Anniversary du 25e anniversaire du Projet Montauk : Expériences dans le temps, initialement publié en 1992, provoquant un tollé et choquant les communautés scientifiques, universitaires et journalistiques, qui ont toutes mis beaucoup de temps à comprendre le monde secret. qui se cache au-delà du vernis superficiel de la civilisation américaine.
Nom familier des expériences secrètes qui ont eu lieu au Camp Hero de Montauk Point, le projet Montauk représentait le point culminant de recherches approfondies menées après la Seconde Guerre mondiale ; et, en particulier, à la suite des phénomènes rencontrés lors de l’expérience de Philadelphie de 1943, lorsque la marine américaine a tenté d’atteindre l’invisibilité radar.
Le projet Montauk a tenté d’étudier pourquoi et comment les êtres humains, lorsqu’ils étaient exposés à des ondes électromagnétiques de grande puissance, souffraient de désorientation mentale, de dissolution physique, voire de mort. Une autre conséquence de ce phénomène est que ces ondes électromagnétiques ont brouillé les composants de l’univers matériel lui-même. Selon les rapports, ces recherches comprenaient non seulement des tentatives réussies de manipulation de la matière et de l’énergie, mais également du temps lui-même.
Dans cette édition Silver Anniversary, vous lirez non seulement le texte original, accompagné de commentaires comprenant des détails qui n’avaient pas pu être publiés au moment de la publication originale, mais également un résumé détaillé d’une enquête de vingt-cinq ans sur le projet Montauk qui a abouti à la preuve scientifique des capacités de voyage dans le temps. Lisez le livre et découvrez les capacités les plus élevées de l’Homme.
Des rumeurs circulaient déjà selon lesquelles l’armée américaine avait mené des expériences de guerre psychologique à l’extrémité est de Long Island dès le milieu des années 1980. Le livre de Nichols a donc alimenté un incendie déjà existant.
Après la publication du livre, d’autres ont commencé à dire qu’eux aussi étaient au courant des recherches illicites menées par le projet Montauk, déclenchant le processus de renforcement circulaire qui est le mécanisme essentiel d’une théorie du complot.
En ce qui concerne ses affirmations, le livre de Nichols va jusqu’au bout : expériences de contrôle mental et de télépathie, ouverture de portails spatio-temporels vers d’autres dimensions, contact avec des intelligences extraterrestre, et enlèvement d’enfants en fuite – le tout sous l’autorité d’une armée américaine, programme financé par l’or nazi récupéré pendant la Seconde Guerre mondiale.
La chaise Montauk, l’espionnage psychique et les portails à travers le temps et l’espace…
Preston Nichols détaille son prétendu travail sur la chaise Montauk dans son livre, affirmant qu’elle utilisait l’électromagnétisme pour renforcer les pouvoirs psychiques de celui qui y était assis. Duncan Cameron – par une étrange coïncidence – possédait des capacités psychiques substantielles, notamment la capacité de manifester des objets avec son esprit à l’aide de l’appareil.
Cela peut sembler familier aux fans de Stranger Things, où un appareil similaire est utilisé par le personnage Eleven, joué par Millie Bobby Brown, pour ouvrir un portail vers la dimension parallèle et alternative appelée Upside Down. Dans l’histoire du projet Montauk, Cameron et d’autres chercheurs du projet utiliseraient la chaise Montauk pour ouvrir de la même manière des portails à travers l’espace-temps.
Nichols a décrit dans son livre une autre expérience curieusement similaire à la visualisation à distance – Remote viewing, un concept paranormal qui a en fait été étudié par la CIA (et également inclus dans Stranger Things).
Nichols écrit : « La première expérience s’appelait « L’œil qui voit ». Avec une mèche de cheveux d’une personne ou un autre objet approprié dans sa main, Duncan pouvait se concentrer sur la personne et être capable de voir comme s’il voyait à travers ses yeux, et entendait à travers ses yeux, oreilles et ressentir à travers leur corps. Il pouvait réellement voir à travers d’autres personnes n’importe où sur la planète. »
Mais plus que la visualisation à distance ou toute autre affirmation de Nichols, celle concernant l’enlèvement de jeunes enfants – certains n’ayant pas plus de quatre ans – pour les utiliser comme sujets dans les diverses expériences du projet Montauk est sûrement la plus choquante. Nichols a qualifié ces mineurs enlevés de « Montauk Boys », et a déclaré qu’ils avaient été arrachés dans la rue ou même enlevés de chez eux.
Selon Nichols, ces enfants étaient tellement brisés psychologiquement par le projet Montauk que la plupart oublieraient leur séjour au Camp Hero pour le reste de leur vie. Et les histoires des Montauk Boys ne sont devenues plus intrigantes que lorsque quelqu’un a commencé à se manifester pour les confirmer.
Un homme a affirmé avoir « récupéré », de la même manière, ses souvenirs traumatisants du projet Montauk, tout comme Bielek et Nichols. Stewart Swerdlow, un homme de 52 ans vivant dans le Michigan, a déclaré au Sun en 2017 qu’il était l’un des Montauk Boys décrits par Nichols et d’autres comme lui avaient été soumis à d’horribles abus :
« Lorsque les expériences ont commencé, elles ciblaient les garçons « remplaçables », comme les orphelins, les fugueurs ou les enfants de toxicomanes. Le genre d’enfants que personne ne viendrait vraiment chercher. Le but était de vous fracturer l’esprit pour qu’ils puissent vous programmer… ils changeaient la température de très chaud à très froid, vous affamaient puis vous suralimentaient. Je me souviens avoir été battu avec un poteau en bois. Et ils adoraient vous tenir la tête sous l’eau jusqu’à ce que vous soyez presque noyé. C’était efficace – cela rend une personne susceptible d’écouter et d’obéir à son « sauveur ». Ils ont également utilisé le LSD pour mettre notre cerveau dans un état modifié. »
Swerdlow a ajouté qu’il avait également observé des membres du personnel du projet abuser sexuellement des enfants afin de les briser. Swerdlow a même allégué que lui et d’autres Montauk Boys avaient été envoyés sur Mars et retournés à l’époque biblique via les portails du projet.
« Au début, alors qu’ils perfectionnaient les coordonnées, beaucoup de garçons étaient tout simplement perdus », a-t-il déclaré. « J’en fais encore des cauchemars aujourd’hui. Je n’étais pas là lorsque la chaise Montauk a été éteinte, mais je l’ai senti, comme si j’avais été soudainement débranché de l’électricité. »
Toutes les expériences du projet ont finalement pris fin au début des années 1980, affirme Nichols, lorsque les choses sont finalement allées trop loin, même pour les chercheurs responsables.
Nichols a affirmé que tout ce qu’une personne assise dans la chaise Montauk envisageait apparaîtrait d’abord sur l’écran d’un émetteur, avant de se manifester dans le monde réel sous une forme solide ou transparente. Le projet Montauk a été arrêté après que Nichols et Duncan Cameron, ainsi que d’autres participants, se soient rebellés contre le projet lorsque quelque chose de particulièrement sinistre s’est manifesté :
« Nous avons finalement décidé que nous en avions assez de toute cette expérience. Le programme d’urgence a été activé par quelqu’un s’approchant de Duncan alors qu’il était dans le fauteuil et lui murmurant simplement « Le moment est venu ». À ce moment-là, il a libéré un monstre de son subconscient.
« Et l’émetteur représentait en fait un monstre poilu. C’était gros, poilu, affamé et méchant. Mais il n’est pas apparu sous terre au point nul. C’est apparu quelque part sur la base. Il mangerait tout ce qu’il pourrait trouver. Et cela a détruit tout ce qui était en vue. Plusieurs personnes différentes l’ont vu, mais presque tout le monde a décrit une bête différente. »
Nichols a déclaré qu’ils devaient détruire tout l’équipement afin de supprimer cette créature de l’existence et de la renvoyer dans sa dimension d’origine, ou quelque chose du genre. C’est clairement l’inspiration d’un récit similaire dans Stranger Things où Eleven invoque un monstre qui, de la même manière, fait des ravages.
Selon Variety, les créateurs de la série Matt et Russ Duffer ont été tellement inspirés par le projet Montauk que le titre original de leur hit Netflix était simplement Montauk.
Après que le cinéaste Charlie Kessler a intenté une action en justice contre les frères pour avoir prétendument plagié son court métrage, The Montauk Project, le décor a été changé de Long Island à la banlieue de l’Indiana. Indépendamment de la querelle créative avec Kessler, la série Netflix s’est clairement fortement appuyée sur le travail de Nichols.
Y avait-il une vérité dans l’histoire du projet Montauk ?
Selon Nichols, les sous-sols de Camp Hero ont été inondés de ciment une fois que tout l’équipement a été détruit et que le projet a été arrêté, toutes les personnes impliquées dans le projet ayant vu leurs souvenirs du projet supprimés à l’aide des techniques MK-Ultra.
Les installations désaffectées du Camp Hero sont toujours debout, attirant encore aujourd’hui les passants curieux et les citadins locaux, indépendamment de ce qui s’est réellement passé à l’intérieur. L’installation radar SAGE est devenue un point de repère remarquable pour les bateaux naviguant autour de la fourche de Long Island. Elle est donc restée debout lorsque l’armée de l’air a arrêté la dernière de ses opérations de contrôle du trafic aérien dans l’installation en 1984, donnant au site un aspect étrange, une présence inquiétante.
L’armée, pour sa part, a contesté qu’un projet similaire au projet Montauk ait eu lieu à Long Island. Mais ces types de dénégations ne dissuadent souvent pas les croyants, car le gouvernement américain a également nié leurs recherches sur le contrôle mental et la visualisation à distance avec autant d’assurance qu’il niait les affirmations de Nichols – jusqu’au moment où les documents de recherche sur MK-Ultra et d’autres projets similaires ont été déclassifiés.
Même si la plupart des habitants considèrent également l’histoire du projet Montauk comme une invention, ils ne sont pas non plus entièrement convaincus par l’insistance de l’armée américaine selon laquelle les installations du Camp Hero et de la station de l’Air Force étaient tout à fait honnêtes.
« Il ne fait aucun doute que les histoires ont été embellies », a déclaré Paul Monte, président de la Chambre de commerce locale, « mais je ne doute pas que des choses se soient passées là-bas pendant les années de guerre froide. Même aujourd’hui, la base est patrouillée et surveillée… Ils ne veulent évidemment pas que des gens s’y trouvent, même maintenant. »
Le cinéaste Christopher Garetano, dont le documentaire The Montauk Chronicles explore l’histoire du sujet, estime qu’il est important de considérer quelques précédents avant d’écarter complètement l’histoire.
« Plus je faisais de recherches, plus je commençais à croire que ce n’était pas si ridicule », a-t-il déclaré. « Nous savons que les militaires s’intéressaient aux phénomènes paranormaux. Le projet Stargate, qui a débuté en 1978 et a ensuite été déclassifié, visait à déterminer si les médiums pouvaient effectuer une « visualisation à distance » et « voir » des événements à de grandes distances.
MK-Ultra a utilisé des personnes vulnérables, comme des prisonniers. Alors pourquoi est-il si improbable que des orphelins ou des garçons en fuite soient ciblés ? Ce sont exactement le genre de sujets qui seraient faciles à aborder. Et Montauk serait l’installation idéale. En hiver, c’est comme une ville fantôme.
Des preuves finiront-elles par jaillir des archives gouvernementales dans les années ou décennies à venir ?
source : https://allthatsinteresting.com/montauk-project
Stewart Swerdlow faisait partie du premier groupe d’enfants participants qui ont été involontairement recrutés dans le projet Montauk qui s’est déroulé de 1970 à 1983 à l’extrémité nord-est de Long Island, New York. À partir de l’âge de 13 ans, il a entrepris des voyages dans le temps et des expériences de portail qui ont maltraité jusqu’à 300 000 enfants et adultes, dont seuls quelques-uns ont survécu. Dans cette interview d’Exopolitics Today, Stewart explique l’histoire du projet Montauk, son lien avec l’expérience de Philadelphie, l’implication des nazis du 4e Reich, le lien avec la vie extraterrestre, ses expériences personnelles et bien plus encore.
Projet Looking Glass : La technologie du miroir du temps utilisée pour voir le passé et le futur

Bill Wood : « Cela fait déjà 10 ans que la technologie aérospatiale américaine a la capacité de voyager à des vitesses proches de la vitesse de la lumière, comme par exemple, atteindre Mars en un jour. La technologie cachée, disponible depuis longtemps rend absurde l’usage du pétrole. Depuis des décennies, au sein du pouvoir, le projet « Looking Glass » est utilisé pour décider les actions et les décisions à prendre dans le présent en fonction du futur probable montré par cette technologie. Cependant, actuellement, l’élite est prise de panique, car cette technologie lui montre que quoi qu’elle fasse, les lignes du temps convergent toujours au même point d’arrivée, Décembre 2012. Il se produira un événement inévitable, c’est le processus d’éveil, l’évolution de la conscience humaine, nous saurons la vérité, et l’humanité sera consciente de la quantité massive de mensonges à laquelle nous avons été soumis. »
Expériences de téléportation comme le cas de Philadelphie et expériences de voyage futur comme Looking Glass
Ce qui suit est une compilation de témoignages fournis par deux lanceurs d’alerte éminents, Dan Burisch et Bill Hamilton, à propos du projet Looking Glass.
Il existe une multitude d’informations disponibles sur ce sujet, et il s’agit probablement de l’un des projets de voyage dans le temps à budget noir les plus connus, à l’exception du projet Montauk.
Lors de sa présentation The 2012 Enigma, David Wilcock explique comment l’appareil Looking Glass ressemble apparemment à ce qui est représenté dans le film Contact avec Jodi Foster. Wilcock, selon les initiés avec lesquels il a été en contact, affirme que l’appareil fonctionne un peu comme la glande pinéale du corps humain, qui est capable de créer un vortex d’énergie ou un champ de torsion hautement cohérent dans certaines conditions permettant à un individu de recevoir des informations par non-sens. -Moyens physiques. Il s’agit essentiellement de décrire la capacité de visualisation à distance, dans laquelle un individu peut prendre conscience d’objets ou de lieux en utilisant des techniques d’éclaircissement de l’esprit et des états de conscience thêta.

La compétence de visualisation à distance développée via la discipline mentale, qui permet au praticien d’observer des événements ou des lieux dans n’importe quel espace ou temps, même dans des délais alternatifs, avec l’aide d’un déclencheur et de ce qu’on appelle un conducteur. Le projet Star Gate était un programme gouvernemental financé par la DIA qui a fonctionné pendant plus de 35 ans en secret, jusqu’à ce qu’il soit déclassifié en 1995. Le film Men Who Stare At Goats était vaguement basé sur le programme.
Certains lanceurs d’alerte ont déclaré que le programme n’avait pas été réellement arrêté, mais simplement classé dans le noir profond. L’un des exemples les plus connus de visualisation à distance consistait à observer les anneaux de Jupiter avant le survol de Pioneer 10 de la NASA. Dans un premier temps, le résultat fut considéré comme un échec total, car à l’époque aucun anneau n’avait jamais été observé. Mais après le survol de Pioneer, toutes les personnes impliquées ont été choquées de découvrir un petit anneau, confirmant les observations du spectateur.
Selon les initiés présumés, la technologie The Looking Glass aurait été utilisée pour regarder en arrière et en avant dans le temps, en utilisant la conscience d’un opérateur comme une sorte de mécanisme de direction. L’opérateur serait assis sur une chaise qui aurait été récupérée d’un vaisseau extraterrestre abattu, capable d’interagir directement avec la conscience. Lorsque l’appareil était allumé, de puissants champs d’énergie toroïdaux circulaient autour d’une poche d’eau au centre, qui agissait comme une sorte de résonateur pour les énergies entrantes provenant du point de focalisation maintenu par l’opérateur. Les données ont été collectées et projetées sur des moniteurs vidéo à des vitesses incroyables, qui ont ensuite dû être désentrelacées pour révéler des images perceptibles.
Ce qui est intéressant, c’est que les biais de l’opérateur auraient un effet direct sur les images collectées. Par exemple, si l’on regarde l’époque de la crucifixion de Jésus, si la personne qui le fait était athée, elle ne verra peut-être rien du tout. Mais si la personne était chrétienne, elle pourrait assister au tristement célèbre événement de la crucifixion.
Cela suggère une mécanique espace-temps dans l’univers, dans laquelle l’esprit humain est capable de naviguer dans le temps lui-même. Les travaux de Dewey B. Larson et sa théorie des systèmes réciproques constituent la base de cette interprétation.
L’univers décrit par Larson est divisé en deux régions physiques, définies par le mouvement.
En dessous de la vitesse de la lumière, le mouvement s’opère dans trois dimensions d’espace et une dimension de temps. Au-dessus de la vitesse de la lumière, le mouvement opère dans une dimension de l’espace et trois dimensions du temps. Aussi bizarre que cela puisse paraître, l’esprit est particulièrement équipé pour naviguer dans le temps, capable d’accéder aux souvenirs du passé, de prendre conscience des événements du présent, de concevoir des possibilités futures et même d’imaginer des événements alternatifs qui ne se sont pas réellement produits. En d’autres termes, l’esprit humain peut sélectionner un point de focalisation, tout comme dans la visualisation à distance, et recevoir des informations de la mémoire accumulée au cours de l’expérience. Si un esprit est correctement entraîné, il peut être utilisé pour accéder à des données non expérientielles de la même manière qu’on peut rappeler un souvenir.
Le dispositif Looking Glass semble être capable du même type de processus, pour accéder à un flux de données depuis n’importe quel endroit imaginable dans l’espace ou le temps, piloté via la conscience d’un opérateur.
Selon le témoignage de Burisch, la technologie a été fournie à la race humaine à l’époque sumérienne, lorsqu’un contingent avancé de futurs humains remonta dans le temps et apporta son aide à la civilisation après un cataclysme connu sous le nom de déluge. Les sceaux cylindriques sumériens étaient codés avec des plans pour construire le dispositif Looking Glass. Les versions antérieures du projet ont vu le développement d’un véritable portail par lequel un individu pouvait se déplacer pour sauter dans le temps.
Selon Burisch, récits fournis par des êtres capturés connus dans le programme sous le nom de p-45, de futurs humains 45 000 ans plus tard, la Terre a été détruite par des cataclysmes massifs vers 2012. Ceci semble être dû au fait que les appareils Looking Glass étaient activement utilisés pendant un alignement céleste majeur, qui a surchargé le réseau énergétique organique de la planète. Burisch affirme en outre que l’appareil a été démantelé suite à la découverte de deux délais probables, dont l’un est le cataclysme décrit par l’être capturé.
Une tentative a été faite pour regarder vers l’avenir, mais aucune donnée concrète n’a pu être reçue au-delà de la tristement célèbre date du 21 décembre 2012, suggérant que cette date est un point de connexion dans le temps, par lequel la chronologie un ou la chronologie deux prendrait de l’ampleur. . Dans le dernier rapport, Burisch a suggéré que le premier calendrier, le calendrier positif, avait plus de 80 % de chances de se concrétiser.
Étant donné que nous sommes quelques années après la date de 2012 et qu’aucun cataclysme majeur ne s’est produit, nous sommes probablement bien ancrés dans la chronologie positive. Il s’agit sans aucun doute de l’un des sujets les plus intrigants des temps de l’éveil, qui semble bien caché dans les œuvres de fiction populaires.
Corey Goode, un initié du programme spatial secret, affirme avoir examiné la documentation relative à ce projet.
Peu de temps après son retour dans l’arène publique avec des messages sur la chaîne 8kun nouvellement créée, Q (Anon) a fait une très brève référence à un « Projet Looking Glass« . Malgré la brièveté du message, il y a beaucoup derrière ce projet hautement classifié qui est pertinent pour le mouvement QAnon et les efforts du Deep State pour le marginaliser et destituer le président Donald Trump du pouvoir.
In post 3585, QAnon wrote :
Q !!mG7VJxZNCI ID: 9b601a No.7352963
Nov 11 2019 19:49:10 (EST)
https://twitter.com/fillasaufical/status/1194044070039085057
Project Looking Glass?
Going Forward in Order to Look Back.
Le lien Twitter renvoyait à un tweet de Clark Petrounov, qui affirmait que ce qu’il pensait d’abord être une référence à une date dans un message Q, le 11.11.18, était une adresse IP appartenant au Centre d’information du réseau du ministère de la Défense. L’implication était que les serveurs militaires étaient d’une manière ou d’une autre impliqués dans l’hébergement de la chaîne 8kun à travers laquelle Q a repris ses publications après la fermeture de 8chan en raison du refus de différentes sociétés Internet de l’héberger sur leurs serveurs cloud.
Beaucoup pensent que Q, sur la base de plusieurs postes, est un groupe lié au renseignement de l’armée américaine travaillant en étroite collaboration avec la Maison Blanche de Trump. À première vue, il serait logique que le renseignement militaire aide 8kun à émerger en ligne puisque ce 8chan/8kun était le seul site sur lequel Q publie. Cependant, il est peu probable que l’armée américaine le fasse de manière transparente, étant donné les implications juridiques et politiques du soutien à un tableau d’affichage dont de nombreux citoyens ont été convaincus par les grands médias comme étant un lieu pour les radicaux de droite.
Néanmoins, en faisant référence au tweet de Petrounovu, Q envoyait un message clair selon lequel la communauté du renseignement militaire aide d’une manière ou d’une autre 8kun à établir une nouvelle présence sur Internet, peut-être en le protégeant des attaques DOS (Denial-Of-Service). C’est là que la référence de Q au « Projet Looking Glass » devient très significative.
La première référence publique au « Projet Looking Glass » est venue du légendaire lanceur d’alerte OVNI Bob Lazar lorsqu’il est apparu pour la première fois dans le domaine public en 1989 lorsqu’il l’a identifié comme l’un des projets classifiés exécutés à partir de l’installation S-4 de la zone. 51. Dans une interview, Lazar (à gauche) a répondu à une question sur le projet comme suit :
C : N’y avait-il pas quelque chose à propos du projet « Looking Glass »
L : Ouais, c’était plus tard… quand nous avons commencé à aborder la physique lourde, parce que la gravité déforme l’espace et le temps et ce qu’ils essayaient de faire, et je dis, regardez en arrière dans le temps et certaines personnes évoquent des images d’un tunnel temporel. … ils cherchent à déformer le temps en micro secondes pour voir n’importe quel événement qu’ils essayaient d’observer à travers une lentille gravitationnelle… c’était donc un projet différent auquel ils s’occupaient… mais il s’agissait essentiellement de jouer avec le temps de distorsion gravitationnelle.