Une petite histoire du phénomène OVNI au Portugal
Voici un excellent article préparé par un magazine brésilien UFO, en 2008, qui dépeint un peu l’histoire de l’ufologie portugaise...
Au Portugal, l’adoption du terme soucoupe volante par la presse et la population en général pour décrire les phénomènes aériens non identifiés qui ont commencé à être signalés au milieu du siècle dernier, trouve son origine dans l’expression soucoupe volante, créée par les médias nord-américains après l’observation du pilote Kenneth Arnold, en juin 1947. Au fur et à mesure que des rapports apparaissaient dans la presse portugaise, décrivant des manifestations aériennes inhabituelles et aux formes et caractéristiques variées, l’utilisation de l’acronyme OVNI, pour unidentified flying object – traduction directe du terme objet volant non identifié – est devenue nécessaire.
Aujourd’hui, le terme OVNI est le plus utilisé par la population du pays pour décrire le phénomène ufologique, étant toutefois très associé à l’hypothèse extraterrestre. Il existe cependant une autre dénomination qui commence à acquérir une certaine notoriété dans le pays, l’acronyme FANI, pour phénomène aérien non identifié, dont l’utilité réside dans le fait qu’un grand pourcentage des observations ne correspond pas exactement à ce qui pourrait être désigné comme un objet.
Il est possible de trouver des rapports d’OVNIs dans l’histoire même de la formation du Portugal. Dans le pays, l’observation de phénomènes aériens difficilement identifiables remonte à des temps bien antérieurs au XXe siècle. Il convient toutefois de noter que, pendant de nombreux siècles, la plupart de ces événements ont été interprétés et vécus comme des manifestations religieuses. Nous pouvons alors identifier deux types d’observations : celles qui font immédiatement référence à la religion et celles qui, dès le premier instant, ont toujours été entourées de doute et de mystère. En ce qui concerne le premier type de cas, ceux qui ont une interprétation religieuse, généralement appelés apparitions, les cas connus sont nombreux et certains d’entre eux sont véritablement liés à l’histoire du Portugal. Un bon exemple est la légende qui raconte l’apparition de Jésus-Christ au roi Afonso Henriques, qui allait devenir le premier roi du Portugal, avant la bataille d’Ourique.
Cette importante bataille, qui a eu lieu le 25 juillet 1139, a été cruciale pour l’établissement du royaume portugais. Cinq rois maures ont été vaincus. L’exploit acquiert une telle importance dans le contexte international de l’époque que, à partir de cette date, Dom Henriques commence à utiliser le titre de roi – de l’expression rex – et le royaume portugais est encore plus reconnu dans le monde. La description de l’apparition, appelée le Miracle d’Ourique, apparaît dans l’Anais de Santa Cruz de Coimbra. Selon ces documents, Jésus-Christ serait apparu au monarque dans le ciel dans un rayon lumineux, entouré d’anges, l’exhortant à vaincre les musulmans. Comme celle-ci, d’autres apparitions ont marqué l’histoire et le destin du Portugal au cours des siècles suivants, jusqu’au XXe siècle.
Un cas qui sert aujourd’hui de référence à une partie de l’ufologie moderne comme exemple d’OVNI en forme de croix s’est produit en 1513, dans la mer Rouge. Il n’y a aucune certitude quant à la date, mais on pense que c’est en avril que Dom Afonso de Albuquerque, deuxième vice-roi de l’Inde portugaise, a vu une croix rouge vif dans le ciel. Il commandait une flotte de navires et a vu le phénomène vers le coucher du soleil. Un nuage l’a chevauchée et a fini par se diviser sans interférer avec la croix ni réduire sa luminosité. Le fait a été interprété comme un signe divin, rédempteur et encourageant, car la navigation était difficile à l’époque. Le fait est rapporté à la première personne par Dom Albuquerque lui-même, dans une lettre envoyée au roi, Dom Manuel I, en décembre de la même année. Plus tard, il a été décrit par l’historien João de Barros.
Phénomènes dans l’Antiquité
Il existe encore d’autres cas qui ont été inclus dans la catégorie des phénomènes aériens inexpliqués parce qu’ils ne sont pas immédiatement associés à la religiosité. Un exemple en est l’observation d’un phénomène remarquable dans le ciel de Castelo de Vide, dans l’Alentejo, en 1726. Comme décrit dans la Gazeta de Lisboa, du 7 novembre de cette année-là, le phénomène occuperait une zone considérable du ciel, sous la forme d’une scie de couleur rouge. L’article fait également référence à la taille estimée de quatre lieues, dont la largeur correspondrait à un tiers de la longueur. Les descriptions font également référence à des rayons de lumière provenant de l’objet, qui perdaient et retrouvaient sans cesse leur couleur. Le phénomène a duré des heures et, après une augmentation de l’intensité lumineuse, celle-ci a commencé à diminuer jusqu’à disparaître complètement à la tombée de la nuit. Le même journal a également rapporté que, quelques jours auparavant, quelque chose d’identique avait été observé plus au sud. Il est également bien connu dans l’ufologie portugaise que le grand tremblement de terre du 1er novembre 1755 a été précédé par l’observation de plusieurs globes de lumière intense sur plusieurs points du pays.
La tragédie a détruit 85 % des bâtiments de Lisbonne et est considérée comme responsable de la mort de 90 000 Lisboètes. Cependant, cette luminosité est très probablement ce que la science appelle les « lumières de tremblement de terre », un phénomène d’origine naturelle, bien que controversé, qui se produirait lors du cataclysme. La première observation a eu lieu le 15 octobre, lorsque des globes volants immensément éclairés ont été vus à plusieurs reprises. D’autres observations ont eu lieu le 8 novembre, lorsque trois « lunes » sont apparues au-dessus de la ville de Viseu, entre 14h et 15h. Ces événements sont enregistrés dans les gazettes de l’époque et peuvent être consultés dans les archives générales de la Torre do Tombo, qui a déjà 600 ans d’existence [La Torre do Tombo est le dépositaire de l’histoire portugaise, comme les Archives nationales le sont de l’histoire brésilienne].
Le pays a reflété certaines des nombreuses observations d’ovnis de portée internationale, cette corrélation étant la plus notoire dans les années 1950. Bien qu’il soit courant dans la presse portugaise, à l’époque de la dictature, d’entendre parler d’observations de soucoupes volantes, il n’y a pas eu d’organisation de groupes d’investigation civils. Il existe cependant quelques personnalités intéressées qui ont fait connaître le sujet, parmi lesquelles on peut citer le journaliste Hugo Rocha, auteur des premiers livres portugais sur les OVNIs, ainsi que Sánchez Bueno, avec plusieurs ouvrages sur le sujet. Bueno a compilé un tel nombre de nouvelles sur les observations que plus tard, déjà dans les années 70, il a fondé le Centro de Estudos Cosmológicos e Parapsicológicos (CECOP), à Lisbonne. Toutefois, le scénario a complètement changé après la Révolution des œillets, en avril 1974, et le retour de la démocratie, l’intérêt croissant pour les nouvelles idées et les sujets tabous, parmi lesquels les ovnis. Bien qu’il ait été formé en 1973, encore dans la période pré-démocratique, le Centro de Estudos Astronômicos e de Fenômenos Insólitos (CEAFI) est l’une des associations les plus importantes de l’histoire des ovnis au Portugal. L’entité s’est développée, avec d’autres groupes, dans la seconde moitié des années 1970, véritable âge d’or de l’ufologie portugaise, où il y avait non seulement un plus grand nombre de groupes de recherche mais aussi des publications sur le sujet.
source : https://ufoportugal.blogspot.com/2019/03/um-pouco-de-historia-do-fenomeno-ovni.html
Cheveux d’ange à Évora
Le phénomène de chute de fibres de couleur blanche, généralement connu sous le nom de « cheveux d’ange » et baptisé par le chercheur portugais Raúl Berenguel « fibralvine », est généralement associé au passage d’ovnis, mais peut aussi se produire indépendamment. Un phénomène de cette nature, ainsi que l’observation de deux objets non identifiés, se sont produits le 2 novembre 1959 au-dessus de la ville d’Évora, dans l’Alentejo. Peu après midi, plusieurs habitants ont pu assister à la précipitation de filaments qui, au contact du sol, s’effritaient en peu de temps. Le docteur Guedes do Amaral, alors directeur de l’École industrielle et commerciale d’Évora, ainsi que des étudiants de cette institution et le professeur docteur Caldeira Pais, ont non seulement assisté au phénomène de chute de filaments, mais ont également pu observer, grâce à un télescope monté sur le terrain de l’école, l’évolution de deux objets de forme ronde à haute altitude. La tentative de collecte de certains des filaments blancs a été difficile en raison de leur volatilité. Malgré cela, le docteur Amaral a réussi à en capturer quelques-uns, puis à les analyser au microscope. Au milieu des fibres, semblables à une toile d’araignée, il a réussi à découvrir un organisme arachnide qui n’a pas été identifié.
d’autres cheveux d’anges en France…

Au Portugal, le nombre de contacts immédiats de 3ème type connus, dans lesquels on observe des êtres proches des OVNIs, généralement d’apparence humanoïde, n’est pas très élevé. Il n’y a pas de rapports de ce type dans les dernières décennies, mais dans les années 50 et 70, comme l’observation intéressante à Oleiros, dans la région de Ponte da Barca. À la fin d’un après-midi d’été 1967, plusieurs membres d’une famille ont pu assister à un phénomène inhabituel. Le ciel était clair et le père travaillait dans les champs, tandis que ses deux filles gardaient leur troupeau de moutons et de chèvres sur une colline voisine. Vers 19 heures, il a observé un objet ressemblant à un ballon se déplaçant à proximité à basse altitude sans faire de bruit. Des lumières jaunes, vertes et rouges en sortaient alternativement. Au même moment, les deux jeunes filles, assises sur un rocher, ont été surprises par la réaction des animaux, effrayés par ce qu’ils pensaient être un serpent, comme cela s’était déjà produit par le passé.
Les filles ont été effrayées de voir deux créatures avec de grosses têtes et de petits membres se préparant à sauter par-dessus un mur, à environ 40 mètres de là. D’une taille d’environ un mètre, ils portaient des vêtements brillants de couleur argentée qui couvraient complètement leur corps. Les témoins se sont enfuis de peur. Plus tard, aucune trace n’a été trouvée sur place.
Le phénomène OVNI a toujours été un sujet de passions en raison de son mystère qui crée plus largement une séduction pour le sujet qui l’entoure. Depuis ses débuts, le Portugal a connu des événements inexpliqués pour lesquels la science est quelque peu éloignée ou même avec une explication rationnelle pour quelque chose d’inexplicable.
Un exemple de ce qui s’est passé le 15 octobre 1755, Lisbonne a été survolée par plusieurs sphères volantes scintillantes non identifiées, qui semblaient annoncer le terrible tremblement de terre qui s’est produit quelques jours plus tard, plus précisément le 1er novembre de la même année.
Le Portugal compte un grand nombre d’observations anormales, certaines ayant des explications naturelles « scientifiques » plausibles, d’autres restant inexpliquées.
Le phénomène le plus étudié et le plus documenté de tous les temps s’est produit le 10 septembre 1990 dans la municipalité de Valongo appartenant à la paroisse de São Vicente de Alfena, dans le district de Porto « Nord du Portugal ».
Un OVNI au-dessus de la ville d’Alfena
Le phénomène s’est produit un lundi, vers 8h30 du matin, lorsqu’un groupe d’enfants jouant aux billes a eu la surprise d’observer un étrange objet planant dans le ciel à basse altitude, d’apparence sphérique avec quatre appendices et un mouvement très lent dans le vent, a été aperçu par un groupe de garçons, à Alfena.
D’autres personnes, à différents endroits, ont également remarqué lorsqu’elles étaient dans la rue, dans le jardin ou au travail, comme des ouvriers du bâtiment sur le chantier d’un entrepôt.
David Silva, gardien de terrain à l’Atlético Clube Alfenense, se trouvait à l’intérieur d’une petite maison à une extrémité du terrain lorsqu’un voisin, un artisan, qui avait l’habitude d’aider, a frappé à sa porte et a pointé le ciel. Il avait 34 ans et passait tout son temps libre et ce qu’il n’avait pas à s’occuper des affaires du club.
Comme beaucoup d’autres, il avait peur de ce qu’il voyait planer au-dessus du terrain de football.
« Ce n’était pas non plus un hélicoptère ou quelque chose comme ça. J’étais perplexe en regardant ça, je pensais que je préparais le terrain pour atterrir quelque part« , raconta-t-il.
À cette hauteur, la sphère volante planait à environ la moitié de la hauteur d’un poteau à haute tension. Les garçons ont commencé à lui lancer des pierres. Et la « chose » a bougé et bougé vite « en direction de Paços de Ferreira », a décrit David Silva.
Il ne vit plus à Alfena, comme d’autres témoins du passage du mystérieux objet volant. Manuel Moura, le photographe qui a pris les seules photos existantes de l’OVNI (Objet Volant Non Identifié) a émigré. Ils sont allés l’appeler chez lui, pressé il n’a même pas pris son meilleure appareil. Il a pris une succession de quatre photos, qui ont été vues par des spécialistes de différents pays et analysées en détail. S’il avait pris un objectif plus puissant, il y aurait peut-être eu d’autres réponses, souligne l’historien Joaquim Fernandes, qui a documenté et recherché tout ce qu’il y avait à documenter et à rechercher sur cette affaire, dans le cadre des travaux du Centre trans-disciplinaire pour les études de la conscience (CTEC), à l’Université Fernando Pessoa de Porto.
L’OVNI d’Alfena a été aperçu par environ 50 personnes en moins d’une heure, au cours desquelles il a parcouru 500 mètres. David, par exemple, l’a vu à la fin de l’apparition, avant de s’éloigner à grande vitesse.
Mário Neves, enseignant du secondaire et chercheur qui collabore avec le CTEC, s’est rendu à Alfena le dimanche suivant et a passé un an à documenter la vision, à recueillir et à filmer des témoignages. « Pour moi, le récit le plus intéressant était celui qui décrivait une tortue à pattes, réalisé par une vieille dame« , se souvient-il.
David Silva a même vu un anneau avec une sorte de fenêtres, certains ont vu des ombres. Les questions posées à l’Institut de météorologie et aux entités militaires n’ont abouti à rien : il ne s’agissait pas d’une sonde lui appartenant.
Ce sont les enfants qui ont alerté les personnes qui se trouvaient dans le café et d’autres qui travaillaient dans la région et qui ont regardé attentivement et avec étonnement ce qu’était l’objet, qui selon certaines personnes ressemblait à une bétonnière, un cerf-volant ou une cuve, où l’on pouvait voir ce qui ressemblait à des fenêtres autour de cet objet d’environ quatre mètres de diamètre. Avec cette alarme, de nombreuses personnes ont été témoins de ce qui s’est passé.
L’objet s’est déplacé lentement en direction du terrain de football, causant la peur de M. David Silva, le gardien du terrain de football à l’époque, qui avait été alerté par un voisin qui avait été témoin de l’événement. Certaines personnes ont choisi de s’éloigner par peur de l’étrange personnage inconnu.
Les enfants ont alerté M. Manuel Moura, un photographe amateur, pour qu’il observe l’étrange objet, qui est rapidement rentré chez lui pour prendre son appareil photo. Sur le chemin du retour, Manuel Moura a tout de même réussi à prendre une séquence de quatre photos. La chose la plus intrigante pour Manuel Moura est que, lorsqu’il a vu l’objet, celui-ci descendait les chaussures du « train d’atterrissage », où il a pris la première photo.
Les nombreux témoins racontent que l’objet semblait sur le point d’atterrir, mais qu’en raison de l’alarme et de la curiosité des enfants, des adultes et des jets de pierres, l’objet s’est éloigné en direction de Santo Tirso, Passos de Ferreira, M. Manuel n’ayant pas pu prendre plus de quatre photos en raison de la vitesse et de la distance.
L’objet aurait parcouru quelque cinq cents mètres, pour une durée de 50 minutes. Plus d’une centaine de témoins ont observé cet objet volant non identifié, auxquels s’ajoutent des personnes d’autres localités proches qui ont rapporté avec précision l’observation du même objet.
L’affaire est immédiatement devenue d’une extrême importance pour la presse, qui a également emmené sur place l’équipe du Centre transdisciplinaire d’études de la conscience (CTEC) de l’université Fernando Pessoa, dirigée alors par le professeur Joaquim Fernandes et Mário Neves, enquêteur de l’Enquête portugaise sur les ovnis (PUFOI). Les deux enquêteurs ont interrogé et recueilli un maximum de témoignages de la part des témoins qui ont parlé du phénomène de manière fascinante pour ce dont ils auraient été témoins.
Les photos prises par Manuel Moura ont été envoyées à Richard Haines, consultant de la NASA, pour l’identification de l’objet existant, qui a conclu qu’il était inconnu des artefacts existants connus de la NASA. Richard Haines était l’un des experts étrangers qui ont analysé les photos d’OVNI. À ce jour, personne ne sait ce qui a survolé Alfena.
Les photographies de Manuel Moura ont été envoyées à Kodak ainsi qu’à Lisbonne, Porto, en France, en Allemagne et aux États-Unis, où les résultats d’une analyse exhaustive montrent qu’elles sont authentiques et sans aucune sorte de manipulation.
L’Institut de Météorologie et de Géophysique écarte la possibilité qu’il s’agisse d’un ballon météorologique, utilisé à l’époque ou avant, qui ne présentait pas les mêmes caractéristiques, ni pour son aspect ni pour son « comportement » de déplacement. De nombreuses entités se sont intéressées à cette affaire, où la CIA et le NORAD ont été impliqués afin de coopérer et d’identifier l’objet selon la CNIFO – Commission Nationale d’Investigation du Phénomène Ovni.
Cela en fait le cas d’OVNI le mieux étudié et documenté au Portugal et l’un des plus véridiques au monde, où les photos en question scientifique sont considérées comme les meilleures existantes sur le phénomène OVNI. Il est considéré comme un authentique « OVNI » en raison du grand nombre de témoins et de preuves photographiques.
Le même objet ou un objet similaire aurait été observé des années auparavant en France 1954, au Mexique en 1973 Mexique, et en 1989 en Allemagne. Après l’incident d’Alfena, il y a d’autres observations très similaires, en 1992 au Brésil, et 2004 au Mexique.
Depuis 1990, les gens continuent de s’interroger et de chercher des réponses à quelque chose qui a marqué les gens d’Alfena ainsi que le Portugal par cette observation fantastique pour laquelle la science n’a jamais trouvé d’explication et les chercheurs impliqués avant les différentes analyses ont conclu l’objet comme « OVNI » Objet volant non identifié, qui a été en 2009, renforcée par Carlos Oliveira professeur d’astrobiologie à l’Université nord-américaine du Texas à Austin de conclure également ce cas comme OVNI en raison de ne jamais être en mesure de prouver l’origine de cet objet ainsi que de nombreux témoins de Alfena et les villes voisines rapportent le même objet avec les mêmes descriptions, les gens qui ne se connaissent pas, qui a conduit à renforcer plus comme la preuve de l’observation de cet OVNI est réel.
source : https://ufoportugal.blogspot.com/search?q=alfena
Au Portugal, des enfants qui se rendent à l’école aperçoivent un étrange objet métallique qui gravite au-dessus de leur petite ville : un témoin parvient même à le photographier…
Cette vidéo ne montre pas seulement un OVNI lumineux qui apparaît et disparaît, mais elle montre une traînée sombre derrière l’OVNI. L’objet se déplace légèrement vers la droite, puis disparaît. Il ne tombait pas sur la terre et il était très lent, donc nous savons que ce n’était pas un météore. Il est énorme et pourtant il disparaît en un battement de cœur. Très étrange, mais très excitant de recevoir un rapport du Portugal.
Le 17 janvier 2017, vers 22h dans le ciel une lumière brillante, statique de couleur blanche a été capturée « augmentant et diminuant la densité de la lumière. Passionné d’ufologie et collaborateur de Ufo Portugal de la paroisse de Maceira, Leiria, a aperçu et filmé au même endroit des centaines d’OVNIs en l’espace de 4 ans.
L’énigme de la «danse du soleil» à Fatima peut-elle s’expliquer par la science ?
Le 13 mai 1917, une foule de 70.000 personnes ont vu dans le ciel un phénomène solaire, annoncé trois mois plus tôt par deux bergers prétendant avoir vu la Vierge. Un «miracle» selon l’Église, qui pourrait s’expliquer par une conjonction rare d’éléments météorologiques.
À Fatima le phénomène annoncé le 13 mai 1917 par la vierge aux trois jeunes voyants, Lucie, Jacinthe et François pour le 13 octobre 1917 fut une «danse du soleil». Ce jour-là, des mouvements furent effectivement constatés dans le ciel par une foule de 70.000 personnes. L’envoyé spécial du journal O Seculo, Avelino di Almeida, ouvertement laïque et non croyant, le décrivit avec grande précision dans son journal.
Si les scientifiques expliquent cela par une conjonction rare d’éléments météorologiques : formation d’une masse d’air en forme de lentille d’air, issue de vents contraires qui par inversion de températures, la font tourner sur elle-même, puis monter et descendre en décrivant une ellipse. Si elle se charge de particules de glaces, elle peut effectivement refléter le soleil, donnant l’impression qu’il «danse». Mais les scientifiques ne peuvent pas rendre compte du fait que ce phénomène s’est produit sur le lieu prévu, le jour dit et à l’heure dite.
Autre énigme : Le pape Pie XII (élu en 1939, mort en 1958) qui a suivi de près la question des apparitions de Fatima a affirmé avoir été le témoin, à trois reprises, à Rome, les 30 et 31 octobre et le 1er novembre 1950, jour de la proclamation du dogme de l’Assomption de la Vierge Marie, du même phénomène solaire qu’à Fatima.
Pie XII : « Le soleil qui était encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par un cercle lumineux »
L’histoire était connue par une confidence de ce pape au cardinal Federico Tedeschini. Mais une note manuscrite de Pie XII récemment retrouvée dans les archives de la famille Pacelli, (la famille de Pie XII), livre le récit du phénomène par le pape lui-même. Le journaliste Andréa Tornielli l’a publiée sur le site Vatican Insider :
« C’était le 30 octobre 1950, écrit Pie XII au crayon de papier, parfois raturé mais de façon très lisible, sans aucun doute sur l’authenticité du document, l’avant-veille du jour de la définition solennelle de l’Assomption, je faisais ma promenade habituelle dans les jardins du Vatican en lisant et en étudiant (…) j’ai regardé le ciel et j’ai été touché par un phénomène que je n’avais jamais vu. Le soleil qui était encore assez haut, apparu comme un globe opaque jaunâtre, entouré par un cercle lumineux ». Le pape dit alors qu’il pouvait le regarder « sans se faire aucunement mal aux yeux, un très léger nuage s’était formé devant ». Puis il décrit: « le globe opaque a légèrement bougé vers l’extérieur, soit en tournant, soit en déplaçant de gauche à droite et vice et versa. Mais à l’intérieur du globe, on voyait avec une grande clarté et sans interruption de très forts mouvements ».
Pie XII dans la confidence qu’il fit au Cardinal Tedeschini expliqua que ce dont il avait été témoin le confirma dans sa décision de proclamer ce dogme de l’Assomption. Il l’avait au préalable soumis à un vote de tous les évêques du monde dont seulement 6 sur 1 181 avaient exprimé des réserves.
Devant une foule avoisinant un million de personnes, débordant largement du sanctuaire de Fatima au Portugal, le pape François a canonisé le 13 mai 2017, jour du centenaire des premières apparitions de la vierge, deux des trois jeunes bergers qui en furent les témoins, François et Jacinthe Marto, morts très jeunes. Le procès de béatification de la troisième voyante, sœur Lucie, morte en 2005, est en cours.
Dans son homélie, le pape François a insisté sur le fait que l’espérance chrétienne doit être non seulement «réelle et réalisable» mais aussi «pour les autres», expliquant que la vierge de Fatima avait demandé aux voyants d’avoir, en quelque sorte, les pieds sur terre: «En “demandant” et “exigeant” de chacun de nous l’accomplissement de son devoir d’état (Lettre de Soeur Lucie, 28 février 1943), le ciel déclenchait une vraie mobilisation générale contre cette indifférence qui nous gèle le coeur et aggrave notre myopie.»
Le pape François : « Nous ne voulons pas être une espérance avortée ! La vie ne peut survivre que grâce à la générosité d’une autre vie »
Et François de lancer : « Nous ne voulons pas être une espérance avortée! La vie ne peut survivre que grâce à la générosité d’une autre vie» et d’expliquer, notamment sur la question du mal: «Quand nous passons par quelque croix, le Christ y est déjà passé en premier. Ainsi nous ne montons pas sur la croix pour trouver Jésus ; mais c’est lui qui s’est humilié et qui est descendu jusqu’à la croix pour nous trouver et, en nous, vaincre les ténèbres du mal et nous reconduire à la lumière».
Appelant dès lors les pèlerins à «se cramponner comme des enfants» à la vierge, car «nous avons une Mère» qui conduit à vivre «l’espérance fondée sur Jésus» François a appelé à suivre l’exemple des jeunes berges de Fatima : « Nous avons comme exemples devant nos yeux saint François Marto et sainte Jacinthe, que la Vierge Marie a introduits dans la mer immense de la lumière de Dieu et y a conduits pour l’adorer. De là leur venait la force de surmonter les contrariétés et les souffrances. »
En 1917 devant 50.000 personnes, La vierge de Fatima était-elle l’Apparition d’un Ovni ?
Probablement une manifestation holographique !!
Le 13 octobre 1917, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50.000 à 60.000 personnes ! Certains étaient venu de très loin pour assister à l’Apparition promise.
Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, le mois précédent.
Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produisait pas, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.
Pour réciter le chapelet la foule ferma les parapluies, bien qu’il pleuvait assez à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s’agenouillèrent.
Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi. Pourtant, la Sainte Vierge était à l’heure!
En effet, le gouvernement de l’époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l’heure solaire; mais le Ciel n’a que faire de l’heure des hommes!… à l’heure du soleil il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite Lucie vit la lumière qui précède chaque apparition et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert.
Pendant qu’elle s’entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s’éleva dans l’air pour finalement disparaître. Notre-Dame s’élevait et le reflet de la lumière qui se dégageait d’elle se projeta sur le soleil.
C’est à ce moment qu’une bonne partie de la foule put contempler la danse du soleil, la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair. La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé.
Il y avait un grand silence. L’astre se mit à trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il semblait s’approcher de la terre, au point que la foule s’en inquiéta.
En effet, le soleil, conservant son mouvement rapide de rotation, paraissait brusquement se détacher du ciel et avancer en zigzaguant sur la foule. Ce fut un instant si terrible que plusieurs personnes s’évanouirent, mais finalement il s’arrêta au grand soulagement de tous.
À la stupéfaction générale, la foule put constater que leurs vêtements, trempés par la pluie quelques minutes auparavant, étaient complètement secs!
Le mensonge grotesque autour de ce qui s’est passé le 13 octobre 1917 à Fatima…
La danse du soleil qui y fut décrite par une foule de plus de 50.000 personnes, donc un nombre énorme de témoins n’était pas du tout un miracle ou une apparition divine, mais bel et bien l’apparition d’un engin lumineux, un engin spatial.
De nombreuses personnes s’étaient assemblées à un endroit où trois petits bergers auraient vu la Vierge Marie apparaître auparavant. Et effectivement quelque chose d’insolite se produisit dans le ciel ce jour-là.
En analysant bien ces descriptions, on ne peut que convenir, qu’il s’agit ici d’un engin sous forme de disque, de soucoupe, de sphère, d’une forme discoïde, voir un peu ovoïde, évoluant d’une façon variable au-dessus de la foule, montrant toutes les caractéristiques de ce qu’on appelle de nos jours un OVNI, une soucoupe volante!
Les changements de couleurs brusques donnant l’aspect d’une boule de feu, les effets lumineux rayonnants, une lumière non-éblouissante, une rotation à grande vitesse, le silence de l’engin (pas de bruits de moteurs), des apparitions et disparitions soudaines sont très caractéristique de tous les témoignages oculaires d’Ovnis contemporains.
Mr. José Proënça de Almeida Garrett a rédigé son témoignage par écrit quelque jour après l’événement, il était à l’époque, professeur de médecine à l’Université de Coimbra, voici son témoignage :
« II pleuvait encore, vers 13 heures, lorsque les trois enfants arrivèrent, à l’endroit où avaient eu lieu les apparitions. Vers 13h30 là où se trouvèrent les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui monta droit jusqu‘à deux mètres peut-être et s’évanouit à cette hauteur. Le phénomène se dissipa au bout de quelques secondes puis se reproduisit une deuxième fois, et une troisième fois. Il n’y avait pas de feu, puis vers 14h00 la foule dirigea le regard vers le ciel, en direction du Soleil qui avait rompu la dense couche de nuages, je me tournai vers cet “aimant” qui attirait tous les yeux et je pus le voir semblable à un disque au bord net et à l’arête vive, lumineux et brillant, mais sans fatigue pour les yeux. Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre d’une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers le brouillard, il n’y en avait pas à ce moment-là, car il n’était ni obscurci, ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en arête comme une planche à jeux. Ce disque nacré avait le vertige du mouvement [rotation sur soi-même].
Ce n’était pas simplement le scintillement d’un astre plein de vie, il tournait sur lui-même à une grande vitesse. De nouveau, on entendit une clameur de la foule, comme un grand cri d’angoisse, conservant la rapidité de sa rotation, le Soleil se détache du firmament, et, rouge sang, avance vers la Terre, menaçant de nous écraser sous le poids de son immense masse ignée. Ce furent des secondes terrifiantes. M’occupant de fixer ce Soleil, je remarquai que tout s’obscurcissait autour de moi. Je regardai ce qui était près, puis j’allongeai la vue jusqu’à l’extrême horizon, et je vis tout couleur d’améthyste. Les objets, le ciel et la couche atmosphérique avaient tous la même couleur. Un grand chêne violacé qui s’élevait devant moi, lançait sur le sol une ombre épaisse. A d’autres il incombe d’expliquer ceci. »
D’autres documents officiels de témoignages permettent d’affirmer que ce grand disque volant fut aperçu par des personnes se situant à 4 et 5 kilomètres de là et qui ne partageaient nullement les émotions et les attentes de la foule sur place à la Cova de Iria :
« Je regardais fixement l’astre, il me paraissait pâle et privé de son éblouissante clarté ; il semblait un globe de neige tournant sur lui-même. Puis tout à coup il parut descendre en zigzag, menaçant de tomber sur la terre. »
Dans son livre, « Fatima, un ovni pas comme les autres » Gilles Pinon remet en cause l’interprétation surnaturelle. S’éloignant des polémiques religieuses, selon lui, la danse du soleil n’est autre qu’une manifestation extraterrestre. Il s’appuie sur les témoignages où il est fait mention d’une manière récurrente d’un disque plat plutôt que d’un globe.
Comment des observateurs fortement imprégnés de religiosité évoquent-ils d’emblée un disque en mouvement, allant et venant, disparaissant ? Sauf à considérer certains doués d’une fiévreuse imagination, l’appellation est curieuse pour l’époque.
Le soleil est pourtant décrit comme “un disque”, “une plaque d’argent mat”. Ni voilé, ni brouillé, il luit sans blesser la vue. En effet, personne ne s’est plaint d’avoir eu mal aux yeux après l’avoir pourtant fixé.
Autre indice, les nuages qui couvraient le ciel donnent “l’impression de passer derrière le soleil”.
L’ensemble de ces descriptions suggère l’idée d’une projection lumineuse sur fond de nuages. Etait-elle le fait d’un aveuglement ou le participe-t-elle d’un autre phénomène ?

Gilles Pinon fait de Fatima l’archétype d’un événement ovnien, le premier à être répertorié bien avant l’observation de Kenneth Arnold, au dessus du mont Rainier en 1947.
Danse du soleil, perturbations atmosphériques, souffle et nuée blanchâtre au sol, secouement des arbres, éclair, baisse de la lumière et de la température, coups de tonnerre, disque d’argent à manœuvres erratiques, changements de cap à angle aigu, rotation rapide sur lui-même, descente en feuille morte ou en zigzags, remontée à la verticale, accélérations brutales, arrêts sans freinage, illumination du paysage, tous les éléments concordants qui caractériseraient la présence d’un ovni. Tous les témoignages rapportés ce jour-là introduisent à l’idée d’une complexité telle qu’aucune réponse rationnelle ne puisse être apportée. C’est dans cette brèche que s’infiltre l’ufologue.
Dans l’affaire de Fatima, il suppose plutôt qu’il ne tranche. Selon lui, il ne faut rien exclure. Les ovnis défient les lois de la physique. Pourquoi Fatima n’en porterait-elle pas la marque ?
source : source : http://secretebase.free.fr/ovni/dossiers/fatima/fatima.htm
La position alambiquée de l’église ne conforte-t-elle pas la piste ovni ?
Si Fatima avait été d’emblée présentée comme le premier phénomène ovni, l’attaque des scientifiques aurait été alors sans borne. Ces derniers auraient fait usage de témoignages rationnels afin de le rendre inerte, voire ridicule. Lui conférer une dimension religieuse, c’était en revanche le sanctuariser, ce qui a été le cas. Comme il a été rapporté plus haut, la contestation du miracle a été faible. L’église pouvait mettre alors à profit tout le temps nécessaire pour comprendre le mystère.
En apparence, il est d’ordre religieux.
Cependant en absorbant le 3 ème secret sur son propre destin, sa mort attendue en 1981, Jean Paul II n’a-t-il pas cherché à dérouter la mystérieuse danse du soleil de sa route initiale ? Si cette supposition pouvait être établie, les secrets pourraient révéler un phénomène exogène.
Du coup, l’église aurait à répondre à des questions aux conséquences redoutables et incontrôlables. Comment intégrer un tel événement dans son arsenal dogmatique et l’historiographie religieuse ?
Une dangereuse porte s’ouvrirait alors. Non seulement Fatima mais tous les miracles pourraient être revisités compte tenu de la thématique ovni. Tout l’édifice religieux se trouverait mis à mal.
La réponse a été apportée par Benoît XVI en 2002, alors Préfet de la Congrégation de la foi. Ce dernier a décidé de ranger le vestige religieux à l’échelle d’un mouvement de piété. Mieux vaut diminuer le miracle plutôt que d’exposer l’église un jour à une remise en cause presque insurmontable. En même temps, le fait que Benoît XVI ait été consacré Pape alors qu’il n’était pas le personnage plus souvent cité renforce le trouble.
Comment mieux étouffer Fatima qu’en plaçant sur le trône de Saint Pierre l’homme lui contestant sa force miraculeuse ? Le tour est bien joué mais la vérité n’en sort pas grandie.
Ce qui a été vu ce jour là défie l’entendement et la raison. Toute puissante à l’époque, l’église aurait bien pu instruire l’événement à sa manière jouant tour à tour la partition de la dévotion puis du déni.
Placé sous scellés, le véritable secret de Fatima, aurait été ainsi délicatement confisqué, désormais enterré.
François de la Chevalerie, Février 2006
Le 13 octobre 1917 Fatima que voulaient-ils nous faire croire ?
Fatima, 13 octobre 1917. C’est le miracle. « La dame de lumière » l’avait promis. Je savais qu’il y avait eu un miracle près de ce petit village portugais, mais j’en ignorais les détails.
C’est une petite phrase de mon ami Jean Coupil (1. Voir La nouvelle vague de, soucoupes. Editions France-Empire, 1974 – pp. 215-216). qui m’avait intrigué. Il avait, en quelques lignes, posé le problème de l’apparition de Fatima, en la reliant au dossier OVNI.
Cela m’avait choqué. Je me suis donc penché à mon tour sur l’affaire. Grâce à Edmond-Marie Dupuis, artiste peintre de talent, j’ai pu obtenir le témoignage exceptionnel d’un témoin direct des apparitions de Fatima. Le voici :
Je parle de Fatima au Portugal. Fatima la ville de l’auteur du monde où Notre-Dame du Rosaire s’est montrée l’été 1917 à trois petits bergers…
Voici ce que je sais sur les apparitions auxquelles j’ai assisté, la troisième, le 13 juillet, la cinquième le 13 septembre, la sixième, celle du miracle du soleil, le 13 octobre 1917. C’était l’été de 1917. Je fréquentais alors la faculté de médecine de l’Université de Coïmbra et les examens étant terminés, je partis passer quelques jours chez mon frère où je pris connaissance des faits extraordinaires qui se passaient à Fatima et qui commençaient à enthousiasmer l’opinion publique.
Le 13 du moi de mai, aux environs de midi, une dame d’une rare beauté, s’est montrée à trois pastoureaux âgés de sept à dix ans, sur un petit chêne vert, sur le plateau, près de Fatima. Elle a parlé à l’un d’eux et lui a demandé de revenir ici, dans ce même lieu et à la même heure, le 13 du mois suivant jusqu’en octobre. Car elle avait quelque chose à leur dire. Le 13 juin, la scène s’est répétée avec les mêmes recommandations.
L’enthousiasme général me gagne vite et je me rends le 13 juillet avec quelques amis jusqu’au chêne vert privilégié, pour observer ce qui va s’y passer. J’y étais avant midi, et il y avait déjà une multitude de gens qui attendaient. Les trois petits bergers sont arrivés. Lucie, la plus âgée, commença à dire le chapelet avec nous. Vers midi, elle s’interrompt et dit : la voilà qui vient!
C’était un beau jour d’été, cependant le soleil perdait un peu de son éclat et tout le monde regardait en haut. Je n’ai rien vu, mais en examinant les trois petits qui étaient bien avant moi, j’ai noté que quelque chose se passait avec eux. Ils fixaient avec attention le petit chêne vert et je voyais Lucie qui bougeait ses lèvres, mais je ne percevais pas ce qu’elle disait. La scène est courte.
Peu après, Lucie m’a dit qu’elle avait vu la même dame, qu’elle lui avait fait les mêmes avertissements et lui avait dit qu’en octobre elle ferait un miracle pour que tous puissent croire. Tout cela dans un écrit, simple et dans un site désert et rude, rappelant la terre déserte aride et sèche dont parle Sabiste. Cela me toucha profondément et je me promis intérieurement de revenir. Il ne me fut toutefois pas possible d’y retourner le 13 août. Mais je n’y perdis rien car ce jour-là la dictature de la municipalité amena les enfants en prison et de ce fait, il n’y eut pas d’apparition.
L’après-midi la nouvelle courut que les petits bergers de Fatima étaient en prison. Je m’y rendis avec quelques amis et nous les voyions là, parmi les autres prisonniers. De fait l’autorité gardait les enfants durant quelques jours cherchant, par tous les moyens, à les convaincre de renier les déclarations qu’ils venaient de faire. La municipalité n’y réussit pas. Alors, vaincue par les circonstances si extraordinaires, elle les remit en liberté. Cette première persécution jointe à la crainte qui les motifs concourut beaucoup à répandre davantage et à faire connaître les événements de Fatima.
C’est pourquoi, moi-même, je prends aussitôt la résolution de ne pas manquer l’apparition de septembre. J’y vais en effet. A mon arrivée, un peu. avant midi, je trouve une multitude de gens, campant déjà là, attendant anxieusement l’heure fixée.
Après, arrivent aussi les trois pastoureaux, Lucie, la plus âgée, dix ans, François, neuf ans et Jacynthe la jeune, âgée de sept ans à peine. Ils se dirigent vers le chêne vert en haut duquel la dame a l’habitude de se montrer. Ils s’agenouillent et Lucie commence à dire le chapelet.
Tous nous l’accompagnons de la même façon qu’au mois de juillet. Soudain, elle s’interrompt et dit à voix haute : la voici qui vient!
C’était un beau jour ensoleillé. Cependant, comme je l’avais noté aussi en juillet, l’éclat du soleil commence à diminuer sensiblement, de telle manière que tout le monde peut, à volonté, scruter le firmament.
J’ai remarqué que beaucoup de personnes lèvent les bras et montrent le ciel en disant : « Elle vient là, elle vient là! » Rapidement cette clameur se transforme en un grand vacarme parce que tout le monde regarde et presque tous déclarent voir. Je freine ma curiosité et me refuse à regarder. C’est un fait que la lumière du soleil s’est beaucoup affaiblie. Mais moi aussi je crains d’être victime d’une illusion d’optique et je préfère ne pas être influencé et rester en dehors.
Brusquement, on entend murmurer: « On ne voit plus, on ne voit plus », et les voix se taisent. J’en conclus alors que quelque chose s’est passé. La dame s’est posée sur le chêne vert et déjà elle parle à Lucie.
À la fin, quand Lucie déclare : » elle va là! elle va là! » pointant du doigt vers le ciel, tout le monde regarde de nouveau et la joyeuse clameur reprend : » elle va là! elle va là! » Du coup je ne résiste pas, je lève les yeux et dans la direction indiquée, je vois, moi aussi, distinctement, un objet lumineux qui s’éloigne vers l’orient. Ce n’est pas un gros objet lumineux que je vois. C’est un objet plus haut que large. Il se déplace avec une certaine rapidité, jusqu’à ce que je le perde de vue à l’horizon. Que cela peut-il être ? Je ne sais pas.
Mais cette vision m’impressionne profondément. Peut-être une illusion des sens ? Mais le ciel est clair et pur. On ne voit pas le moindre Soupçon de nuages, rien qu’un pur firmament.
Cet objet lumineux, je l’ai remarqué là, dans le ciel, en face de moi, se déplaçant tranquillement quoique avec une certaine rapidité dans la direction de l’Orient, puis disparaître. Peu après, je parle à Lucie.
Elle m’avoue que comme les autres fois, la dame s’est montrée à elle et lui a parlé, recommandant que l’on continue à réciter le chapelet pour que la guerre finisse (celle de 1914-1918) et que l’on revienne ici le mois suivant car à cette occasion elle fera un miracle, pour que tous croient. Je rentre chez moi, très impressionné.
A vrai dire, en juillet, j’avais remarqué seulement la diminution de la luminosité de la lumière solaire. Cette fois, j’ai vu se déplacer dans le firmament cet objet lumineux sur lequel, aujourd’hui, ma foi me dit que se cachait le corps béni de la reine des cieux. Aussitôt, je forme le projet de revenir en octobre.
13 octobre 1917, c’était le jour si ardemment attendu car il y avait la promesse d’un miracle visible par tous, afin que tous croient. C’est donc avec plus d’enthousiasme encore que les autres fois que je reviens pour la troisième fois à Fatima. J’y vais avec toute ma famille et nous assistons émerveillés à cette scène inoubliable qui empoigna la multitude et nous impressionna profondément.
Il a plu toute la nuit sans interruption. La pluie continue, mais il est admirable de voir l’enthousiasme avec lequel tout le monde, en dépit du mauvais temps, gravit la longue montée qui conduit par-delà la colline, jusqu’à Fatima.
En arrivant là, nous abandonnons notre moyen de transport, car la foule encombre déjà la route. Nous suivons donc à pied, et ce n’est pas sans difficulté que nous parcourons les quelques kilomètres qui nous séparent encore du terme de notre voyage. Il continue toujours de pleuvoir si fort que malgré les parapluies personne n’a plus un seul fil de sec.
Pour marcher plus aisément, nous nous séparons. Moi, désirant tout voir, je reste avec mon oncle Benoît sur un endroit élevé, près de la route. Nous y attendons l’heure fixée. Je me souviens parfaitement avoir vu passer près de nous les trois pastoureaux, se dirigeant vers le chêne vert.
Il est presque midi. Sur tout le vallon s’étend une masse de parapluies, car il continue de pleuvoir impitoyablement. Soudain, une parole retentit, répétée de bouche en bouche. Fermez les parapluies! Par les signes habituels, Lucie croit comprendre que l’apparition va surgir et s’adresser pour la dernière fois à eux dans le ciel béni de Fatima.
C’est pour ce motif qu’elle fait cette demande. Des moments d’anxiété passent encore sur cette multitude de gens impatients, car personne ne pense à la vision des petits bergers, mais tous attendent le signe du ciel, annoncé si longtemps à l’avance.
Cependant, les parapluies ont été fermés docilement par cette foule immense et je commence à sentir les premières émotions de ce moment inoubliable. La pluie cesse brusquement. Les nuages se fendent, laissant voir le soleil dans toute sa splendeur.
Les vêtements tout trempés et le corps froid, je me souviens encore de la sensation délicieuse que nous causa cette caresse chaude du soleil. Un peu troublé par cette ambiance, je chuchotai à mon compagnon: « .Je pressens qu’il va se passer ici quelque chose d’extraordinaire. »
C’est en fait ce qui arriva. Le phénomène solaire décrit déjà tant de fois suit immédiatement, et moi, placé dans un endroit surélevé, animé de la ferveur de celui qui désire voir envers et contre tout, et non pas seulement sentir avant de pouvoir juger objectivement, j’assiste avec sang-froid à ce spectacle merveilleux, jamais, ne se reverra plus.
À un moment donné, Lucie, crie : regardez le soleil! et toute cette foule ayant espoir que du soleil viendra réellement le miracle annoncé, tourne anxieusement ses regards vers l’astre royal. Les rayons du soleil diminuent d’intensité. Il se laisse fixer par les yeux émerveillés de tous. Chaque 13, le signe le plus remarqué des pèlerins de Fatima, a toujours été sans aucun doute la diminution sensible de la lumière du soleil. Moi-même, j’en ai été témoin, nettement, en septembre et en juillet. D’autres signes sont aussi notés; mais ils ne sont pas perçus de tous.
Pour cette raison donc, et aussi parce qu’ils se demandent s’ils ne rencontreront pas quelques traces de l’apparition, les pèlerins scrutent soigneusement le ciel et plus particulièrement le soleil. Celui-ci, à ce moment de la journée, se laisse fixer parfaitement, sans éblouir. Débarrassé de ses nuages, l’astre royal se détache comme une ostie colossale.
J’ai encore, présent dans ma mémoire cette scène étrange et inoubliable. Le soleil de midi suspendu en face de défense, neutre, dépourvu des rayons agressifs qui le caractérisent. Soudain, il commence à tourner sur lui-même à une vitesse vertigineuse.
À un certain moment, il semble s’approcher et menace de se précipiter sur nous. Il se passe alors quelque chose d’inoubliable. La foule profondément impressionnée, s’agenouille dans la boue de la lande, priant et criant d’émotion. À travers le vallon retentit une immense clameur d’enthousiasme et de folie.
Cependant, le soleil s’arrête. Après une courte pause il recommence sa course, sa valse étrange, tournoyant sur lui même, nous donnant la sensation, soit de s’éloigner, soit de se rapprocher. Une lumière dont la couleur varie d’un instant à l’autre se reflète sur les personnes et les choses.
Et s’il est vrai que la luminosité du soleil s’est affaiblie, par contre, sa chaleur n’a rien perdu de sa force. Je sens mon costume maintenant presque sec alors qu’il était tout trempé il y a quelques instants à peine. Malgré tout, aucune panique ne se manifeste. Personne ne fuit. On attendait un signe du ciel, il est là devant nos yeux. Ces signes sont observés avec confiance et effroi, mais un effroi raisonné.
C’est pourquoi la foule ne fuit pas. Elle s’agenouille et prie. Cependant, la scène ne se prolonge pas indéfiniment. En l’espace de quelques minutes, tout est terminé. Une émotion visible se reflète sur le visage de tous ces gens. Ils viennent de vivre, sans aucun doute, un moment d’émotion extraordinaire.
La plus extraordinaire qu’ils ressentiront jamais dans leur vie. Tout en se remémorant et commentant l’événement, tous concentrent maintenant leurs regards vers le lieu où, là-bas, s’élevait l’arc de triomphe grossier qui indiquait le chêne vert privilégié.
Le peuple l’a déjà presque massacré pour en emporter un souvenir. Tous cherchent à voir si parmi cette foule immense, ils réussiront à découvrir les trois pastoureaux qui avaient prévu et annoncé si longtemps à l’avance cet événement si extraordinaire. De fait, ils viennent là bas, transportés au-dessus de la multitude des gens.
Lucie, la plus âgée, sur les épaules d’un « géant », parle et gesticule. Je suis trop loin pour saisir ce qu’elle dit. Soudain, le géant bute et tombe, Lucie surgit aussitôt dans les bras d’une autre personne qui cherche à ouvrir un chemin. La foule est dense. Elle est bien difficile à percer. Je comprends alors que tout est fini, et nous commençons à nous retirer.
La première chose que nous remarquons, mon oncle et moi, c’est que nos costumes complètement trempés auparavant, sont maintenant parfaitement secs.
Nous échangeons nos premières impressions, avec divers groupes. À côté de nous, tous sont également émerveillés, car tous ont été témoins de cet admirable spectacle.
Voyons maintenant ce qui s’est passé avec les trois petits bergers. Au milieu de l’attente bienveillante et anxieuse de presque tous, et l’attitude visiblement hostile de quelques-uns, les enfants, dès leur arrivée près du chêne vert, se mettent à attendre patiemment et avec confiance l’heure de l’apparition.
Quelques minutes après midi, heure solaire, Lucie perçoit les signes habituels, elle donne le premier avis : que l’on ferme les parapluies! Immédiatement, la dame se montre à eux, comme les autres fois. Le dialogue est court.
Lucie se souvenant que l’apparition avait promis de dire cette fois qui elle était, lui pose aussitôt la question : « Qui êtes-vous Madame? » « Je suis la Dame du Rosaire ». répond-t-elle. « Que l’on fasse ici une chapelle en mon honneur. » Et déjà, plus tranquilles, ces petits cœurs anxieux entendent les merveilleuses paroles :
« Que l’on continue à réciter le chapelet tous les jours et qu’on n’offense plus le Seigneur, qui est déjà très offensé. »
Puis, sur un autre ton, elle ajoute : « Les sauveurs vont rentrer, parce que la guerre finira cette année » (1. 4: L’apparition se trompera d’un an. La guerre ne s’est pas terminée en 1917 mais en 1918) Lucie, comme les autres fois, lui fait des demandes en faveur de quelques personnes, et la dame termine la conversation : « Il faut qu’on se repente et qu’on demande pardon. »
Puis avec la sérénité de toujours, elle s’éloigne alors en direction de l’orient. C’est alors, réellement, l’épilogue de tout le message de Fatima. Reconnaître ses fautes, demander pardon et se corriger. Ce sont réellement les buts de tout être qui prétend s’élever et ils résument toute l’activité que, jour après jour, exige l’aspiration à la perfection.
source : https://lesavoirperdudesanciens.com/2015/08/la-vierge-de-fatima-apparition-dun-ovni/
Fatima était bien un phénomène ovni et extraterrestre
Il ne fait plus aucun doute que les événements survenus à Fatima pendant la période allant du printemps 1915 (avril) jusqu’au 13 octobre 1917, sont de nature ufologique (ce qui veut dire qu’ils relèvent de la sémiologie ovnienne) et même d’origine extraterrestre. Ma conviction repose d’une part sur une étude personnelle des faits extraordinaires qui se sont déroulés pendant toute cette période, et d’autre part, sur la lecture d’ouvrages très convaincants au premier plan desquels je cite « le livre clé » de Gilles Pinon intitulé « Fatima, un ovni pas comme les autres ? », publié pour la première fois en 2002 aux Editions Osmondes. Pour moi, l’ouvrage de Gilles Pinon est sans conteste la meilleure étude consacrée à ce sujet. C’est la mieux argumentée et la plus convaincante. Je dois avouer que la première fois que je l’ai lu, j’ai été impressionné par sa démonstration rigoureuse et brillante. La rigueur de son raisonnement est un modèle du genre.
Si nous examinons de près les témoignages laissés par les témoins directs des « AF », nous pouvons dresser un petit catalogue des manifestations de la technologie mise en œuvre par nos visiteurs. Les témoins disent par exemple qu’ils ont observé des lumières et des globes lumineux silencieux qui se déplaçaient lentement dans le ciel (souvent d’Est en Ouest). Des nuées ressemblant à de petits nuages ont entourées les trois enfants (témoins privilégiés). Des éclairs de lumière apparaissaient brutalement. Lucie raconte qu’elle a vu un flash lumineux qui pulsait. Des coups de tonnerres ont été entendus alors que le ciel était dégagé. Des vents relativement forts ont traversé la Cova da ria comme si « quelque chose » d’énorme mais d’invisible se déplaçait rapidement dans l’atmosphère. Des souffles ressemblant à des départs de fusées ont été ressentis lorsque les entités disparaissaient. Des lumières extraordinaires ont été perçues. Une sorte d’arc-en-ciel situé à hauteur d’homme a colorisé l’environnement de différentes couleurs.
Les témoins ont assisté à des baisses brutales de la température et de la luminosité ambiante comme lorsqu’il se produit une éclipse du Soleil. Des sortes de « pluies » de « pétales blancs » (d’autres témoins parlent de « globules luisants ») sont tombés du ciel. Dès que ces « pétales » touchaient le sol, ils se sublimaient sans laisser de trace. Des odeurs douces et suaves ont été perçues par différents témoins. Un immense disque plat et argenté est apparu au-dessus d’une foule composée de près de 70 000 personnes qui ont toutes été témoins d’effets thermiques importants. Le disque fut en effet capable de sécher le sol et les vêtements de la foule qui avaient été détrempés par une pluie battante. Le disque avait des mouvements qui semblaient erratiques (comme une « feuille morte » qui tombe). Un témoin dira que le disque paraissait « vivant ». Il tournoyait rapidement sur lui-même et produisait une multitude de rayons colorés.
Les trois enfants ont été témoins de phénomènes particuliers. Ils ont vu des êtres de lumière qui planaient au-dessus du sol et des arbres. Ces êtres semblaient transparents comme s’ils étaient en « cristal ». La lumière passait à travers eux. Ces êtres apparaissaient et disparaissaient subitement. Ils semblaient parler et transmettaient des messages audibles. Mais ces messages n’étaient entendus que par deux des trois enfants et non par la foule environnante. Ces êtres s’exprimaient en portugais. Ils étaient capables de générer des « visions » à partir de leurs mains qui émettaient une lueur intense. Ils pouvaient montrer des visions terrifiantes (vision des enfers), ou au contraire des visions d’une beauté surnaturelle.
Ces visions avaient toutes un lien avec la religion catholique, sa doctrine et ses dogmes. Les êtres étaient capables d’induire des états de conscience modifiés comme le sentiment de ne faire qu’un avec Dieu. Un fait remarquable est la capacité prédictive de cette technologie. En effet, l’« entité » fut capable de prédire avec une parfaite exactitude la mort prématurée de François et de sa sœur Jacinthe. François et Jacinthe, atteints de la grippe espagnole, meurent respectivement en 1919 et 1920. Pour expliquer cette capacité prédictive, il est possible d’émettre deux hypothèses. La première, et c’est celle qui a été retenue par Gilles Pinon, suppose que nos visiteurs ont fait une analyse complète et approfondie de l’état de santé des enfants. À partir de cette analyse, effectuée lors de leur enlèvement, ils ont pu établir qu’il y avait une forte probabilité pour qu’ils meurent de la grippe espagnole en raison de leur état de santé sans doute médiocre (carences alimentaires, prédispositions génétiques, etc..). La seconde hypothèse suppose que nos visiteurs étaient capables de voir dans le futur. Cette explication peut paraître osée à première vue, mais si l’on considère les différents témoignages liés au phénomène ovni et qui intègrent des déformations de l’espace et du temps, elle devient tout à fait plausible. Pour une technologie exotique de ce niveau, la manipulation de l’espace/temps est une donnée qu’il faut prendre en compte.
Ce qui est remarquable dans le cas de Fatima c’est que plusieurs faits annoncés se sont produits, et c’est ce qui nous fait dire que cette capacité prédictive est à prendre au sérieux lorsque l’« entité » a annoncé qu’elle reviendrait une 7ème fois. Au-delà des faits directement visibles par les témoins, les « AF » ont aussi été la source de guérisons dites miraculeuses. Fatima est d’ailleurs un lieu de pèlerinage réputé pour ses guérisons. Comme nous le voyons, les manifestations de cette technologie exotique ont été variées, mais elles peuvent se classer en trois grandes catégories :
1) les effets physiques qui ont été perceptibles par tous les témoins (enfants et foule),
2) les effets psychiques ou psycho-spirituels (modification des perceptions et altération des états de conscience) qui n’ont été enregistrés que par les enfants,
3) les effets socioculturels qui correspondent à l’impact des « AF » sur les croyances et les valeurs de la société. Dans cette dernière catégorie, il est aussi possible d’inclure des effets psycho-spirituels plus larges touchant d’autres personnes que les trois enfants.
http://www.lesconfins.com/fatimaovnis.htm

Ci-dessus, une foule de près 70 000 personnes était rassemblée à la Cova da Iria le samedi 13 octobre 1917, à midi heure solaire, pour assister au miracle annoncé par la Vierge Marie (l’« entité » qui prit ce statut). Ce dernier point est un fait unique dans les annales de la sémiologie ovnienne : l’annonce faite trois mois à l’avance qu’un événement spectaculaire et de très grande envergure se produirait devant une foule considérable. Il s’agit donc bien d’une manifestation ostentatoire de l’« Agent », mais « déguisée », en apparition religieuse. Lors de cette démonstration de type ovnien, un disque plat aux contours très nets produisit un véritable « show » de couleurs variées qui donna au paysage et aux témoins un aspect étrange et fantastique.