Se pourrait-il que le moment soit venu pour l’élite de se conformer à la ‘déclassification’ totale et de découvrir ainsi comment les choses se passent vraiment… nous organiser et nous unir en laissant de côté les croyances qu’ils nous ont imposées et élever ainsi notre fréquence de vie quotidienne, parce que seulement avec une conscience habilitée et un cerveau intelligent, nous pourrions mettre un terme aux plans terribles de l’élite alien ?
Le dénonciateur du Programme spatial secret, Corey Goode, a révélé d’autres informations étonnantes sur l’Antarctique et son histoire en tant que colonie de réfugiés extraterrestres établie il y a environ 60 000 ans. Il affirme que les réfugiés extraterrestres y ont trouvé des technologies avancées de la « race des bâtisseurs », créées il y a plus de 1,8 milliard d’années.
Tout aussi intrigante est son affirmation que certains des réfugiés extraterrestres sont encore en vie aujourd’hui dans des chambres de stase, situées à l’intérieur de vaisseaux mères de 30 miles (48,2 m) de long enterrés sous 2000 pieds de glace sous la plate-forme glaciaire de Ross en Antarctique.
Dans l’épisode de Cosmic Disclosure TV du 21 février 2017, Goode a déclaré qu’il continue à recevoir des briefings d’un programme spatial secret dirigé par l’USAF sur les fouilles en Antarctique menées par des archéologues, qui ont commencé en 2002, Dans un article précédent, Michael Salla décrit ce que Goode m’a dit sur les briefings de l’USAF, et ce qu’il avait rencontré lors d’une visite en Antarctique en janvier 2017 avec une civilisation de la Terre Intérieure appelée « Anshar ».
Extrait de l’interview de Corey Goode dans le documentaire ABOVE MAJESTIC
Corey Goode : » Je pense qu’ils ont choisi les enfants pour ces programmes MILAB, de plusieurs façons différentes. Ils devaient en faire des profils. Ils ont certainement utilisé des test standardisés et d’autres moyens pour identifier s’ils avaient une compétence, ou un talent dont ils avaient besoin. Ensuite, ils vérifiaient leur vie de famille. Ils ont préféré les enfants de familles brisées ou de foyers qui n’étaient harmonieux, parce que les enfants qui étaient habitués à se faire talocher, étaient coutumiers d’environnements stressants, et leurs parents n’étaient pas aussi attentionnés que les autres parents.
Par conséquent, ces enfants furent en mesure de gérer beaucoup plus de stress, et leurs parents pouvaient ne pas remarquer certains comportements chez leurs enfants. Je suppose que vous demanderiez s’il y a une journée typique dans la vie d’un MILAB, vos parents vous déposent à l’école, comme n’importe quel autres jour, on vous écarte et on vous dit que vous allez partir en excursion, que vous êtes dans une classe d’éducation spéciale, ou une classe d’apprentissage accéléré, que vous êtes spécial. On vous sort du campus pour aller, vous savez regarder les dinosaures.
Là, on vous prend, on vous met dans une camionnette, généralement la personne qui conduit est un militaire, parfois en uniforme. Ils nous conduisaient, alors, pendant plus d’une heure, jusqu’à la base aériennes de Carswell. Nous nous garions à l’intérieur de ce hangar qui était plein de véhicules, et nous allions vers le fond, où il y avait un ascenseur. L’ascenseur descendant assez profondément. Ainsi, lorsque nous sortions, nous étions sous terre dans un bunker, du type, de la période de la guerre froide.
Nous allions alors, vers un autre ensemble d’ascenseurs qui nous faisait descendre vers l’endroit où nous devions prendre des tramways souterrains, c’était des trains qui nous transporter à plus de 750kms/h, vers n’importe où dans le monde. Quand on nous envoyait dans l’un de ces endroits dans l’une de ces navettes, parfois nous étions en retard, parfois à cause du temps de déplacement, nous avions seulement 45 minutes de formation, parfois 2 à 3 heures de formation, puis nous revenions, et étions débriefés.
Ensuite on nous administrait un produit chimique en intraveineuse, on nous faisait asseoir devant un écran de cinéma, pour nous hypnotiser, et nous remplir la mémoire du contenu de l’écran où nous allions dans un musée pour admirer des dinosaures. On nous remettait, ensuite dans le même fourgon, on nous ramenait à l’école, on nous déposait, et comme nos parents étaient venus nous chercher, nous leur disions tout ce que nous avions vu des dinosaures. »
« Une des technologies à laquelle je fus soumis dans les programmes MILAB était les cocktails chimiques qu’ils utilisaient sur nous. Ils les utilisaient pour nous améliorer en de nombreux domaines différents. L’un des motifs pour lesquels ils pouvaient vouloir nous améliorer était la découverte que nous avions une capacité d’empathie intuitif. Il y avait un cocktail qu’ils nous donnaient et cela l’améliorait, la rendait beaucoup plus opérante. Ils donnaient également des cocktails aux gens pour qu’ils aient des hormones en eux qui les rendent plus forts, plus rapides, et plus performants intellectuellement. Dans la majeure partie du programme lorsqu’il démarrait, ils n’étaient pas du tout sûr de son effet sur vous. Un grand nombre des enfants qui ont participé à ces programmes, se retrouvèrent dans différents syndicats ici sur Terre, et travaillaient pour la cabale, et un petit pourcentage finissait par entrer dans le programme spatial secret. »
« La raison pour laquelle, si peu sont allés dans le programme spatial secret, était que la plupart des participants, presque tous les participants, étaient regroupés à partir de diverses branches militaires. Ils firent entrer des gens à l’armée, ils les envoyèrent en formation, les testèrent pour détecter là où ils avaient des faiblesses, et s’ils faisaient preuve de courage pour ce type de mission, puis on les invitait à y prendre part ou on les y réaffectait, pour qu’ils servent durant plus de 20 ans. Et cela s’appelle un « vingt & retour ». Après 20 ans, ils ont vraiment régressé en âge, et régressé dans le temps, en utilisant la technologie qui nous a été transmise par des non-terrestres, et puis ils sont refilés dans le temps et réintégré dans leur vie. Et puis ils terminent le reste de leur mandat militaire, pour ensuite retourner à la vie civile, en ne se souvenant pas d’avoir servi dans le programme spatial secret. La raison pour laquelle on régresse les gens dans le passé une fois qu’ils ont servi dans le « vingt & retour », en effaçant leur mémoire, ça se trouve dans l’accord qui a été passé avec le groupe extraterrestre qui nous a donné cette technologie. Il y a un groupe nordique qui est engagé dans une bataille dans le temps et dans l’espace contre un groupe de reptiliens. Cette bataille dure depuis des milliers d’années. »
Est-il possible qu’ils nous aient trompés si magistralement pour que nous pensions que nous sommes seuls dans l’Univers, alors que l’élite obscure qui dirige ces opérations militaires secrètes, efface toute trace de leurs programmes sinistres en dehors de la planète, notamment sur la Lune ?
L’opération Whitecoat était un programme de recherche médicale sur la biodéfense mené par l’armée américaine à Fort Detrick, dans le Maryland, entre 1954 et 1973. Ce programme a permis de mener des recherches médicales en faisant appel à des volontaires enrôlés qui ont été surnommés « Whitecoats ». Ces volontaires, tous objecteurs de conscience, y compris de nombreux membres de l’Église adventiste du septième jour, étaient informés de l’objectif et des buts de chaque projet avant de donner leur consentement pour y participer. L’objectif déclaré de la recherche était de défendre les troupes et les civils contre les armes biologiques et l’on pensait que l’Union soviétique était engagée dans des activités similaires.
Bien que le programme ait été interrompu en 1973, la recherche sur l’utilisation humaine à des fins de biodéfense est toujours menée à l’Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l’armée américaine (USAMRIID) à Fort Detrick et dans d’autres instituts de recherche gouvernementaux et civils. Cependant, ces études post-Whitecoat sont souvent des études de provocation à usage humain, dans lesquelles une personne est inoculée avec un pathogène connu pour déterminer l’efficacité d’un traitement expérimental.
https://eveilhomme.com/2023/02/25/corey-goode-i-la-civilisation-separatiste/
Il n’est pas difficile de croire à l’existence d’un groupe d’astronautes secret puisque l’US Air Force (la Force aérienne des États-Unis) en avait déjà créé un. Le 10 décembre 1963, le projet Manned Orbiting Laboratory (Laboratoire orbital habité – MOL) fut annoncé publiquement par le président Johnson, qui a déclaré lors d’une émission télévisée :
« Je charge aujourd’hui le département de la Défense de procéder immédiatement au développement d’un laboratoire orbital habité. Ce programme nous fournira de nouvelles connaissances sur les capacités de l’humain dans l’espace. »
Ce projet consistait à construire dans l’orbite terrestre, au moyen du vaisseau spatial Gemini, une station spatiale habitée qui effectuerait des missions de surveillance. Il fut abandonné officiellement en juin 1969, trois ans avant le premier vol officiel, parce qu’il était moins dispendieux de placer en orbite des satellites espions non habités.
Ce qui n’avait pas été mentionné lors de l’annonce du projet de laboratoire orbital habité, c’est que l’US Air Force (l’USAF) commencerait à entraîner secrètement des pilotes militaires en janvier 1964 dans le cadre du programme de laboratoire orbital, en même temps qu’elle en formerait pour le programme civil de la NASA.
Le programme de laboratoire orbital habité de l’USAF confirme que l’on avait commencé en 1964 à entraîner secrètement des pilotes militaires pour des missions spatiales secrètes, aux côtés de collègues qui serviraient plus tard comme astronautes de la NASA.
En 1985, quand Reagan a rapporté dans son journal qu’il avait été mis au courant de la capacité réelle d’un programme secret de navette spatiale, le programme de laboratoire orbital habité avait été remplacé par un ou plusieurs programmes spatiaux secrets. L’entraînement de pilotes de l’USAF et de l’US Navy (marine de guerre des États-Unis) pour le programme secret suivait très vraisemblablement le même processus que celui du programme MOL, où l’on recrutait des pilotes pour un programme spatial secret alors qu’ils croyaient subir une formation pour devenir astronautes de la NASA. Comme l’a affirmé Reagan en 1985, le(s) programme(s) de remplacement du MOL pouvaient loger jusqu’à 300 astronautes dans une ou plusieurs stations spatiales secrètes orbitant autour de la Terre.
Pour découvrir la vérité à l’origine de l’extraordinaire révélation faite par Reagan et des allégations du pirate informatique McKinnon, il faut creuser profondément dans le monde nébuleux des programmes aérospatiaux ultrasecrets. La difficulté réside dans le fait que non seulement la documentation publique est, au mieux, insuffisante quand elle est disponible, mais aussi que la simple possession d’une preuve documentaire de tels programmes peut être illégale. Aux États-Unis, il existe trois principaux niveaux de classification appliqués à l’information, à la technologie et aux programmes jugés vitaux pour la sécurité nationale : « Confidentiel », « Secret » et « Ultrasecret ». La plus haute catégorie de classification, soit « Ultrasecret », est définie comme suit par la loi :
« Sera “ultrasecrète” toute information dont la divulgation non autorisée pourrait raisonnablement causer des dommages exceptionnellement graves à la sécurité nationale, selon l’autorité responsable de la classification originelle. »
Les fonctionnaires qui sont informés des programmes aérospatiaux ultra-secrets sont obligés par la loi d’en cacher l’existence et de mentir quant à leur existence s’ils sont interrogés directement à leur sujet. Cela signifie qu’un membre du Congrès ou un fonctionnaire qui serait au courant d’un programme ultra-secret doit fournir une histoire de façade ou mentir à quiconque l’interrogerait en cherchant à confirmer l’existence de ce programme.
Les dénonciateurs qui divulguent l’existence de programmes aérospatiaux secrets font face à de sévères répercussions, dont la surveillance gouvernementale, la perte d’avantages sociaux, le discrédit, la poursuite, l’emprisonnement, etc. Même la documentation personnelle liée à l’historique du dénonciateur sur le plan de son éducation, de ses emplois et de ses réalisations a pu devenir secrète durant son implication dans le programme secret et ensuite disparaître simplement du domaine public. C’est ce que l’on appelle le «trempage de mouton» dans le monde du renseignement; il s’agit d’une procédure de sécurité courante pour le personnel impliqué dans des programmes ultra-secrets.
Le cas de Bob Lazar en offre un excellent exemple. Son dossier d’emploi au Laboratoire national de Los Alamos fut retiré par mesure de sécurité en raison de son travail ultra- secret à l’établissement de la Zone 51. Le journaliste d’enquête George Knapp a pu finalement prouver que Lazar avait travaillé à Los Alamos, en trouvant son nom sur une liste téléphonique de scientifiques au service de l’établissement.
Il faut qu’un dénonciateur soit courageux pour divulguer ce qu’il sait des programmes aérospatiaux secrets, surtout dans le cas de ceux évoqués par Reagan et McKinnon, et qui sont jugés d’une importance vitale pour la sécurité nationale par le gouvernement américain. Néanmoins, c’est exactement ce que certains ont osé faire. Ces dénonciateurs ont procédé sans aucune documentation pour étayer leurs dires selon lesquels ils avaient pris connaissance de programmes spatiaux secrets ou y avaient participé. Que doit donc faire alors un chercheur désirant enquêter sur ces allégations ?
La remarque de Carl Sagan selon laquelle « des allégations extraordinaires requièrent des preuves extraordinaires » ne convient guère lorsqu’il s’agit de celles de dénonciateurs concernant des programmes spatiaux secrets. Ceux-ci sont classés «secrets» parce qu’ils comportent des éléments d’une importance vitale pour la sécurité nationale, et la divulgation de documents prouvant leur existence entraîne donc des sanctions sévères. Les «preuves extraordinaires» requises par Sagan ne peuvent être possédées légalement et encore moins partagées avec de tierces parties afin de prouver les allégations d’un dénonciateur. Même le partage de «preuves extraordinaires» avec un membre du Congrès américain pour obtenir une enquête plus poussée ne suffirait pas puisque ce membre pourrait alors recevoir des instructions sur la sécurité nationale et devenir ainsi légalement obligé de ne pas parler de ces preuves et même de mentir à leur sujet.
Il serait plus approprié de dire que « des allégations extraordinaires requièrent une enquête extraordinaire ». Cela suppose tout d’abord de reconnaître que les dénonciateurs sont des témoins oculaires d’événements ou de documents révélant les détails de programmes spatiaux secrets. Cette approche convient davantage à une enquête légale qu’à une enquête fondée sur les sciences physiques. Dans une cour de justice, en l’absence de documentation ou de preuves concrètes, l’accent est mis sur les souvenirs directs des témoins oculaires, le juge et le jury évaluent alors la compétence, le caractère, la sincérité et la cohérence de ces témoins. Par contre, une enquête fondée sur les sciences physiques se concentre plutôt sur ce qu’indiquent les documents ou les instruments scientifiques. Dans ce type d’investigation, les souvenirs des témoins oculaires sont écartés.
Ces dénonciateurs ne possèdent pas de preuves documentaires pour étayer leurs allégations, ce qui n’a rien d’étonnant compte tenu des intérêts vitaux associés à ce qu’ils savent et qui relèvent de la sécurité nationale. Par conséquent, en plus de leur témoignage en tant que témoins oculaires – qui est admissible en cour de justice –, nous avons aussi besoin de considérer la preuve circonstancielle soutenant leurs allégations.
Dans le livre « Programmes Spatiaux Secrets », Michael Salla examine les allégations extraordinaires de Corey Goode au sujet de cinq programmes spatiaux secrets dans lesquels il dit avoir été directement impliqué ou dont il aurait été mis au courant. Il affirme avoir été formé en tant qu’«intuitif empathique» et avoir servi durant 20 ans, soit de 1987 à 2007, dans plusieurs de ces programmes, dont le Solar Warden («Gardien solaire»). Goode avance que, dans le cadre de ses responsabilités, il s’est trouvé en contact direct avec divers groupes et diverses alliances extraterrestres qui étaient en interaction avec un ou plusieurs programmes spatiaux. Il dit avoir fait équipe avec trois intuitifs empathiques afin de détecter la tromperie durant les négociations entre divers programmes spatiaux ou avec des visiteurs extraterrestres. Goode affirme que sa position lui permettait un accès illimité à des «plaquettes de verre intelligentes» contenant des informations détaillées et ultra-secrètes de nature historique, scientifique et médicale, relatives à des programmes spatiaux secrets et à la vie extraterrestre.
Goode affirme aussi qu’il fut nommé, au début de 2015, délégué d’une alliance de visiteurs extraterrestres nouvellement arrivés. Cette alliance comportait un groupe appelé les Aviens bleus, qui facilitait des rencontres auxquelles il dit avoir assisté entre les divers programmes spatiaux secrets et d’autres groupes extraterrestres. Selon lui, ces nouveaux visiteurs possèdent des technologies supérieures à toutes celles dont il a précédemment eu connaissance. Entre autres, ils ont démontré leur capacité en mettant en quarantaine tout le système solaire, exerçant ainsi un impact direct sur tous les programmes spatiaux et sur les autres groupes extraterrestres.
Comme si tout cela n’était pas suffisamment incroyable, Goode allègue que, après avoir terminé son tour de service en 2007, il a subi une régression d’âge par un voyage dans le temps à une période suivant de près le moment où il avait été enlevé à sa famille à l’âge de 16 ans. Cela veut dire qu’il a vécu la même période temporelle, soit 1986-2007, à la fois comme civil ordinaire et comme astronaute d’un programme spatial secret. De plus, ses souvenirs auraient été effacés ou « remis à zéro », et, redevenu un civil, il fut exhorté à ne plus occuper aucun emploi militaire car cela déclencherait un rappel mémoriel de ses 20 années de service antérieures. Certains lecteurs penseront ici à la série télévisée The Twilight Zone de Rod Serling et se demanderont si ce scénario surréaliste ne serait pas de la pure fiction.

Jusqu’ici, les allégations extraordinaires de Goode sont prises au sérieux par bon nombre de chercheurs et d’organisations qui les ont examinées. L’un de ces chercheurs est l’auteur à succès David Wilcock, figurant sur la liste de best-sellers du New York Times, et qui fut l’un des premiers à interviewer Goode en 2014 et à révéler au monde les implications de son témoignage. Wilcock affirme qu’il a enquêté sérieusement sur Goode et qu’il a découvert que son témoignage était corroboré par des initiés possédant des antécédents fiables dans la divulgation des programmes secrets. Wilcock a présenté Goode aux propriétaires et producteurs de Gaia TV, qui furent également impressionnés par son témoignage. Après avoir eux-mêmes enquêté sur lui en utilisant leurs propres sources indépendances – entièrement distinctes de celles de Wilcock –, ils ont félicité Goode et autorisé Wilcock à entreprendre une télé série en ligne d’une durée d’un an intitulée Cosmic Disclosure: Inside the Secret Space Program with Corey Goode and David Wilcock. Cette approbation n’avait rien d’anodin, compte tenu du prestige et des ressources financières considérables que l’on risquait de perdre en réalisant cette télé série innovatrice.
Au cours de sa propre enquête sur Goode, Michael Salla a découvert que ses allégations concordaient avec celles d’autres dénonciateurs qui disaient avoir effectué un temps de service semblable dans des programmes spatiaux secrets où l’on utilisait aussi des technologies avancées de régression d’âge et de voyage dans le temps pour les ramener à la vie civile ordinaire. Une comparaison des assertions de ces autres dénonciateurs avec celles de Goode apparaît au chapitre 12 « Programmes Spatiaux Secrets« . De plus, en reconstituant tous les événements, M. Salla a découvert d’intéressantes preuves circonstancielles qui appuient d’une façon convaincante les allégations de Goode.
Aucune de ces preuves circonstancielles ne constitue une preuve définitive des allégations de Goode. Elles sont pourtant très intéressantes dans la mesure où elles corroborent ses affirmations essentielles selon lesquelles il se produit présentement des événements planétaires qui conduiront à de futures révélations sur les programmes spatiaux secrets, la vie extraterrestre, et les procès des individus responsables de crimes contre l’humanité commis dans l’espace.
Les documents disponibles au public corroborent plusieurs des allégations de Goode et fournissent un contexte global pour com- prendre toute la portée de ses révélations. Son témoignage procure des réponses claires concernant ce dont Reagan a été mis au courant et ce que McKinnon a vu en 2002 relativement aux programmes spatiaux secrets. Ces programmes font partie intégrante d’un puzzle complexe impliquant les ovnis, la vie extraterrestre, les anciennes sociétés et les technologies aérospatiales avancées qui défient depuis longtemps toute compréhension cohérente. Nous avons enfin du sou- tien pour en rassembler toutes les pièces. L’analyse détaillée des témoignages de Goode et d’autres dénonciateurs nous révèle l’en- semble du tableau : un monde parallèle de programmes spatiaux secrets concernant des bases non terrestres et des alliances extraterrestres, et dont la divulgation complète abolira les tromperies qui empêchent l’humanité de réaliser son plein potentiel.
source : Programmes spatiaux secrets de Michael E. Salla

Nassim Haramein (physicien-écrivain suisse) : « Le soleil crée de petits trous qui sont les taches solaires, ces taches ne sont pas des taches comme tout le monde le pense, mais des trous qui durent des semaines ou des mois et se referment ensuite, des sortes de « fenêtres » à travers lesquelles on pourrait voyager dans un autre espace-temps. »