
« Stupéfiant ! Un compte rendu fascinant de l’incident de Roswell et de ses conséquences. »
Constituant une somme de révélations solidement ancrées dans les faits, avec les lieux nommés, des dates précisées et des noms de militaires et de représentants du gouvernement impliqués, ce livre met fin à des décennies de controverses au sujet du mystérieux crash d’un aéronef non identifié à Roswell, au Nouveau-Mexique, en 1947. S’appuyant sur des documents récemment déclassifiés grâce au Freedom of Information Act (Loi sur la liberté d’information), le colonel à la retraite Philip J. Corso, qui fut membre du Conseil de sécurité nationale du président Eisenhower ainsi que du Bureau de la technologie étrangère de la division Recherche et développement de l’armée des États-Unis, révèle ici comment il a géré personnellement les artefacts extraterrestres récupérés sur le site de Roswell. Par exemple, il raconte comment il a dirigé le projet de rétro-ingénierie qui a conduit à ces découvertes modernes : les puces électroniques (circuits intégrés), les fibres optiques, les lasers…
Il explique aussi comment il a secrètement transmis la technologie extraterrestre à des géants industriels américains. Dévoilant le rôle joué par le gouvernement des États-Unis lors de l’incident de Roswell – ce qui fut découvert sur le site, le camouflage de l’opération de récupération ainsi que l’utilisation des artefacts extraterrestres pour changer le cours de l’histoire du XXe siècle -, « Au lendemain de Roswell » constitue un témoignage extraordinaire nous obligeant à reconsidérer non seulement le passé, mais aussi notre rôle dans l’univers.
Le colonel Philip J. Corso fut officier du renseignement auprès du général MacArthur en Corée, puis membre du Conseil de sécurité nationale du président Dwight Eisenhower à titre de lieutenant-colonel. Durant sa carrière militaire, qui dura vingt et un ans, il fut honoré de dix-neuf médailles, décorations et rubans d’honneur pour service méritoire. Après s’être retiré de l’armée en 1963, il a travaillé pour les sénateurs James Eastland et Strom Thurmond comme spécialiste en sécurité nationale. Il a ensuite été à l’emploi de diverses entreprises du secteur privé comme consultant et administrateur de contrats.
Chapitres :
1/ Le désert de Roswell
2/ Un convoi en route vers Fort Riley
3/ Les artefacts de Roswell
4/ À l’intérieur du Pentagone, au Bureau de la technologie étrangère
5/ Le camoufle
6/ La stratégie
7/ L’ EBE
8/ Le projet se met en branle
9/ Des intentions hostiles dans l’autre guerre froide
10/ Le programme U2 et le projet Corona : des espions dans l’espace
11/ Le projet de Base Lunaire
12/ La puce électronique : de Roswell à Silicon Valley
13/ Le Laser
14/ Le projet de missile anti-balistique
15/ Mes dernières années en recherche et développement : les dossiers Hoover, les fibres optiques, l’ultra-résistance et d’autres artefacts
16/ Le « rayon de la mort » de Tesla et le faisceau de particules accélérées
17/ La « Guerre des étoiles »

En 1957, Philip Corso fut nommé, dit son fils, commandant du 552e bataillon de missiles, et c’est durant cette mission qu’il eut plusieurs rencontres extraterrestres. La première rencontre eut lieu dans une caverne de Red Canyon, une zone isolée près de White Sands au Nouveau-Mexique. Alors qu’il allait s’endormir, il entendit un bruit et pointa son arme vers une créature qui lui répondit télépathiquement à sa question (« Ami ou ennemi ? ») : « Ni l’un ni l’autre ». Cette créature, qui avait un casque muni d’une sorte de pierre au centre de la tête, lui demanda de désactiver ses radars durant une quinzaine de minutes. Il se demanda comment cette créature pouvait savoir qu’il pouvait ordonner la désactivation de ces radars et il demanda à celle-ci quel bénéfice il pourrait en tirer. La créature répondit mentalement : « Un monde nouveau… si vous êtes prêt à l’assumer. » Philip Corso appela le sergent Rex et lui ordonna de désactiver les radars. Alors qu’il faisait demi-tour, il distingua l’extraterrestre au fond de la caverne, lequel lui fit un geste de la main. Philip Corso le salua à son tour.
Quelques mois plus tard, les radars du 552e bataillon de missiles repérèrent dans l’atmosphère un vaisseau qui se déplaçait à plus de 4800 km/h et qui, après être descendu en piqué, semblait s’être posé sur le sol près de Red Canyon. Philip Corso, qui disposait d’un avion léger à la base, appela le pilote à qui il demanda de survoler la zone où un objet brillant avait été repéré sur le sol. Il ordonna au pilote de retourner à la base et, sur place, il emprunta un vieux véhicule militaire pour localiser le point de chute du vaisseau. Ce dernier, de forme ovale, était parfaitement lisse, et il pouvait disparaître complètement puis réapparaître à nouveau. Philip Corso parvint à glisser une boule d’amarante sous le vaisseau avant qu’il ne disparaisse à nouveau, et, lorsqu’il réapparut, l’amarante avait été écrasée, ce qui lui prouva qu’il s’agissait bien d’un phénomène physique. Il y avait, autour du vaisseau, des empreintes de pas. Le vaisseau s’est soudain mis à vibrer. Philip Corso ayant repris son véhicule militaire, le moteur cala. Le vaisseau s’éleva dans le ciel, il effectua un virage et se dirigea vers une sorte d’objet qui sembla l’absorber. Ultérieurement, Philip Corso confia à Wernher von Braun et Hermann Oberth ce qui s’était passé. Philip Corso a confié à son fils que le secret autour des OVNIs était partagé par lui et les 30 généraux responsables de cette question, ce qui inclut le général Trudeau.
Un informateur anonyme (dont on ne connaît que les initiales : A. H.), qui a travaillé au sein de la compagnie Boeing Aircraft à Long Beach en Californie, dit qu’il a été présenté au général Curtis Lemay et qu’il s’est rendu un jour chez lui à Newport Beach. Ce général lui répondit que 35% des observations d’OVNIs n’ont pu être identifiées, ces vaisseaux étant trop rapides pour pouvoir les suivre. A propos de l’affaire Roswell, il a dit que cela s’était bien produit et que l’armée n’avait rien à voir là-dedans. Il a aussi répondu que les hiéroglyphes trouvés à l’intérieur des vaisseaux n’avaient pas pu être, à l’époque, déchiffrés.
Pour Steven Greer, le fonctionnement de l’anatomie interne de l’être qui a survécu au premier crash à Roswell était à base de chlorophylle, l’organisme transformant la nourriture absorbée en énergie et en déchets à l’instar des plantes. Cet être est tombé malade à la fin de l’année 1951 et une équipe de médecins, dirigée par un botaniste, a essayé de le soigner. Puis les autorités fédérales américaines ont décidé d’envoyer des signaux radio dans l’espace lointain, dans le cadre d’un projet connu sous le nom de code SIGMA et supervisé par la NSA. Mais l’être décéda le 2 juin 1952. Le président Truman apprit que les bases soviétiques avaient aussi été survolées par des véhicules extraterrestres
Le colonel Philip J. Corso a consacré un chapitre entier de son livre, ‘Au lendemain de Roswell’ à Tesla et ses recherches. Mais ce qu’il prétend avoir observé lorsqu’il était major à la base de Fort Bliss, à l’ouest du Texas, en juillet 1947 est bien plus significatif.

En mai 1998, un affidavit inhabituel est déposé par la court du district de Scottsdale, en Arizona. Il concerne un litige entre le colonel Philip Corso et l’armée américaine. Corso, un officier de haut rang, déclare sous serment que le 6 juillet 1947, alors qu’il se trouvait à Fort Riley, dans le Kansas, il a vu le contenu d’une cargaison spéciale qui avait été transféré en secret le jour même.

Colonel Philip J. Corso : « J’ai découvert un corps qui baignait dans un liquide. Je l’ai regardé pendant 10 à 15 secondes, pas plus… Je l’ai reposé, et j’ai dit : sergent, sortez. Je ne veux pas vous attirer des ennuis. Je suis l’officier de service, j’ai le droit être ici. Mais revenir pourrait vous causer des ennuis. Sortons. Nous sommes sortis, et j’ai demandé d’où l’Alien venait? Il m’a répondu : 5 camions sont arrivés d’un aérodrome au Nouveau-Mexique. »
Dans l’une des boites allongées, il a vu le cadavre d’une créature non-humaine. Il a décrit le cadavre comme celui d’une créature d’environ 1m20, avec des mains étranges à 4 doigts, de fines jambes, et une énorme tête en forme d’ampoule sans sourcils, ni pilosité. Sa bouche n’était qu’une petite fente plate, complètement fermée, ressemblant plus à un pli ou un renforcement entre le nez et le bas du crâne sans menton qu’à un orifice buccal fonctionnel.
En 1961, Ph. Corso, alors colonel à la Maison Blanche, prétend avoir reçu un dossier qui contenait, entre autres, les rapports d’une autopsie ayant eu lieu à Fort Riley en 1947, ainsi que des fragments de technologie d’un vaisseau extraterrestre qui s’est écrasé à Roswell cette année là. Il décrira plus tard les tentatives d’analyser cette technologie et de l’utiliser pour faire progresser la science.

« Paola Harris a brillamment réussi à révéler la vérité sur la présence extraterrestre et sur la manière dont cela pourrait affecter nos vies et nos relations futures. La lecture du travail de Paola vous ouvrira les yeux sur la réalité de ce que vous avez seulement osé imaginer. »
L’honorable Pau Hellyer, ancien ministre de la Défense nationale du Canada.
« Nous ne manquerons jamais de soutenir Paola, véritable moteur de l’ufologie italienne, l’ufologie libre et indépendante de ce pays où, pour survivre, vous devez parfois compromettre votre intégrité en tant que chercheur et journaliste. Nous avons accompli un travail remarquable ensemble, dont notre cher ami le colonel Philip Corso serait fier. »
Maurizio Baiata, rédacteur en chef du magazine Sera 51, Italie 2005.
« J’ai 83 ans, donc je dois vous amener les plus jeunes à raconter l’histoire… Maintenant, Paola et Adriano, je vous le dis maintenant, reprenez-la et continuez ce que je dis. Et je le veux dans les émissions de télévision, la radio et d’autres médias. Quand je dis quelque chose et que vous dites quelque chose, je veux que vous le preniez et l’expliquiez comme vous l’avez fait aujourd’hui à la télévision. »
Colonel Philip Corso, Rome 1998


Après la Seconde Guerre mondiale, les témoignages de personnes ayant observé des ovnis explosent. Face à la fascination, le gouvernement américain réagit.
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