Le Cairn de Gavrinis – Bretagne

Un cairn désigne la structure architecturale en pierre sèche (sans mortier) venant recouvrir une chambre funéraire, un dolmen.

Le Golfe du Morbihan : un paysage organisé par les bâtisseurs du néolithique

Le littoral morbihannais est exceptionnel par le nombre, l’importance et la variété de ses monuments mégalithiques. Le mégalithique prend différentes formes architecturales : de la simple pierre dressée aux alignements et enceintes, du tertre peu élevé aux grands cairns et tumulus monumentaux de plusieurs dizaines de mètres de haut. Dans le Golfe du Morbihan et la baie de Quiberon, ce phénomène se développe durant la Préhistoire récente, au cours du Néolithique.

Construits entre 5000 et 2500 av. JC., ces monuments figurent parmi les plus anciennes architectures de pierre en Europe, érigées par les premières sociétés d’agriculteurs éleveurs, sédentaires. Ils attestent d’une forte organisation collective, pour bâtir de tels monuments, c’est-à-dire, extraire, déplacer, préparer et ériger des volumes de pierres considérables et franchir d’importants obstacles géographiques. 

Remarquable par ses dimensions, le cairn de Gavrinis mesure plus de 50m de diamètre et 6m de haut, pour un volume global de 6600 m3.

Le long de la côte rocheuse de la Bretagne française, dans le golfe du Morbihan, se trouve la petite île de Gavrinis. Ici, reposent les restes d’une tombe à couloir connue sous le nom de tombeau de Gavrinis, ou « cairn de Gavrinis ». Elle fut construite vers 3 500 ans av. J-C.

Gavrinis est une tombe extraordinaire qui illustre une connaissance mathématique très avancée remontant à la préhistoire. Ce qui est vraiment étonnant à Gavrinis, c’est qu’il y a des spirales, des haches et presque des empreintes digitales qui ont été gravées sur d’immenses dalles de pierre. Les mathématiciens ont déterminé qu’il y avait des messages cachés, des messages mathématiques cachés sur ces pierres. Quand les chercheurs sont venus à Gavrinis, ils ont commencé par faire des mesures sur la manière dont les pierres ont été placées. Ils ont commencé à se rendre compte que ces pierres n’étaient pas simplement placées au hasard sous une forme quelconque, mais montraient en fait une compréhension et une connaissance extraordinaires des mathématiques.

La construction du couloir a nécessité 52 mégalithes, dont 26 sont gravés de symboles uniques. En additionnant, en divisant et en multipliant le nombre de symboles avec des dalles importantes ou des groupes de pierres significatifs, les chercheurs ont découvert la taille sphérique correcte de la Terre, le nombre de jours dans une année et la constante mathématique Pi.

Pi est un nombre très spécial en mathématiques. Pi est une propriété fondamentale de tous les cercles. C’est le rapport entre la circonférence du cercle et son diamètre. Ces mathématiciens ont non seulement déterminé la valeur numérique de Pi, bien avant qu’elle ne soit jamais découverte, mais également la longitude et la latitude exactes de l’île. C’est sensationnel, car pourquoi les habitants de l’âge de pierre auraient-ils connaissance de la longitude et de la latitude de cette île ? 

Vestige d’un site funéraire

Si les cairns et tumulus mégalithiques, comme celui de Gavrinis, en s’inscrivant dans le paysage, remplissent une fonction symbolique et attestent de la volonté des hommes du néolithique de s’organiser et de marquer leur territoire, ils remplissent d’abord une fonction funéraire.

Construit entre 4250 et 4000 ans av. JC., le cairn de Gavrinis est en effet une construction de pierres sèches à vocation funéraire. Des membres choisis de la société y étaient certainement inhumés accompagnés d’objets de prestige (haches, bijoux, céramiques etc.). L’absence de restes humains au sein du site est due à l’acidité des sols granitiques, qui ne permet pas la conservation des ossements et matériaux fragiles. 

Le cairn de Gavrinis est un dolmen comportant une unique chambre à couloir. La chambre funéraire, de forme quadrangulaire, occupe une position centrale dans le monument. Il s’agit d’une sépulture collective pouvant contenir une dizaine de personnes.

Les premières archives du cairn de Gavrinis remontent au Moyen-Âge. Il faudra ensuite attendre le XIXème siècle et l’essor de la recherche scientifique pour mettre à jour le site, alors totalement envahi par la végétation. Depuis, plusieurs grandes phases de fouilles archéologiques ont été menées et ont éclairé les connaissances sur son histoire.

des gravures exceptionnelles

L’une des principales caractéristiques du cairn de Gavrinis réside dans la densité et la richesse de ses ornementations gravées. Les dalles du couloir et de la chambre funéraire sont recouvertes d’un décor gravé d’une densité sans équivalent, combinant motifs géométriques et représentations d’objets néolithiques : haches, arcs, flèches…

Presque toutes les pierres composant ses parois sont sculptées et couvertes de dessins bizarres. Ce sont des courbes, des lignes droites, brisées, tapées et combinées de cent manières différentes. Il y a encore des chevrons, des zigzags et bien d’autres traits impossibles à décrire.

Un dolmen désigne la structure de la chambre funéraire, composée de dalles verticales supportant une ou plusieurs dalles de couverture. Au néolithique, cette structure n’était pas visible, elle était recouverte d’un tumulus : une butte artificielle de pierres (cairn) ou de terre (tertre). Le dolmen est donc aujourd’hui un vestige d’une forme architecturale beaucoup plus imposante; Certains dolmens sont à couloir, et à chambre simple, d’autres à chambres multiples.

Le dolmen est la construction mégalithique la plus répandue. Considérés comme des chambres funéraires, ils se trouvent partout en Europe, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud et en Asie. Ces méga structures pourraient-elles être les ruines de géants ? 

L’archéologie aime bien utiliser le mot « dolmen », mais ils étaient autrefois appelés dans le folklore « tombes de géants ». Un dolmen a la forme de la lettre grecque « pi ». Ce sont des agencements d’énormes blocs de calcaire ou de granit. Aujourd’hui encore, on se demande avec émerveillement comment ils ont été construits et comment la pierre du dessus a été posée. 

Un code secret pour les générations futures

Mais de telles découvertes de connaissances mathématiques précises à Gavrinis, gravées là-bas il y a plus de 5 000 ans, suggèrent-elles que ses constructeurs ont laissé un code secret aux générations futures, comme le prétendent certains partisans de la théorie des anciens astronautes ? Si oui, qu’auraient-ils voulu nous dire ? Nous voyons les preuves d’une profonde connaissance mathématique qui est à l’œuvre. La grande question est de savoir si nous avons développé cela nous-mêmes ou s’il s’agit là d’un aspect important du rapport énergétique qui nous a été inculqué par des extraterrestres, nous apprenant les mathématiques, car c’était important dans la construction claire et précise de ces énormes structures. Ça n’a aucun sens sauf si la construction a été commandée directement par des extraterrestres, car ils savaient que nous aurions les moyens de déchiffrer le message.

Mais est-il vraiment possible que les principes des mathématiques avancées aient été introduits sur Terre et donnés à l’homme par des visiteurs extraterrestres ? Selon les néo-évhéméristes, l’idée est non seulement possible, mais bien probable.

Il est impossible, par exemple, qu’on ait marché sur la lune sans une connaissance très avancée en mathématiques supérieures que ces anciennes cultures semblaient connaître il y a très longtemps, voir des milliers d’années. C’est peut-être la raison pour laquelle les extraterrestres voulaient que nous développions nos connaissances en mathématiques nous-mêmes, car c’est uniquement grâce à ces connaissances spéciales que nous pourrons progresser dans les cieux et les étoiles.

Si on remonte dans l’histoire, en Grèce, en Mésopotamie, à Sumer, en Égypte, où l’astronomie était parmi les plus avancées, l’émergence de mathématiques avancées, lorsque ces anciennes civilisations construisaient des pyramides extrêmement complexes et de belles colonnes doriques en Grèce, et les ziggourats de Mésopotamie, est-il possible qu’aucun de ceux-ci n’ait eu affaire à l’esprit des humains à l’époque ? Mais était-ce réellement la création de non-humains qui ont interagi avec cette planète pendant des milliers d’années ? 

Le nombre 12

Les Anunnaki qui sont venus ici en tant que dieux de la civilisation sumérienne leur ont donné un système de calcul basé sur le nombre 12. Et nous voyons ce nombre 12 se répéter constamment. Il y a 12 heures dans une demi-journée, 12 pouces dans un pied, 12 dans une douzaine, 12 mois etc. Il touche beaucoup à différentes parties de notre culture. Il semble exister un code géométrique mathématique unique et universel pour le fonctionnement de l’univers. Et quelqu’un essaie de nous faire prendre conscience de ce fait depuis des milliers et des milliers d’années.

Les anciens astronautes étant conscients que notre développement atteindrait un jour un statut technologique très avancé. Ils voulaient laisser derrière eux un type de message, un type de code secret qui devait être déchiffré par une génération future qui comprendrait ce qui est vraiment arrivé dans le passé. Et cette génération c’est nous.

Le réseau énergétique mondial, les alignements d’étoiles, les anciennes trajectoires de vol, et les mathématiques. Les anciens astronautes ont-ils vraiment laissé un code secret enfoui dans les monuments de pierre des hommes primitifs ? Celui qui révèle les origines extraterrestres de notre monde ? Si oui, pourquoi ? Était-ce pour nous tester, pour voir si nous pouvions comprendre le code nous-mêmes ? Était-ce simplement pour communiquer avec nous ? Ou était-ce pour nous préparer pour le jour où ils reviendront ?

Un dolmen signifie « table de pierre » en breton. Véritable « maison des morts », le dolmen de Kermario était sans doute destiné à plusieurs défunts.

À l’intérieur du dolmen, un petit couloir mène à une chambre haute et large où étaient placés les morts. Au néolithique, ce dolmen était probablement recouvert d’une construction en pierres sèches appelée « cairn ».


Le Mégalithisme est un phénomène présent dans le monde entier consistant à utiliser de gros blocs de pierres pour la construction de monuments. Il est une des composantes importantes du Néolithique d’Europe occidentale.

Des monuments mégalithiques reliés entre eux par l’énergie électromagnétique, des ruines préhistoriques disposées sur de grandes distances en lignes droites et des calculs mathématiques complexes gravés dans la pierre il y a plus de 5 000 ans. Les structures spectaculaires de l’Antiquité ont-elles été construites uniquement par l’homme ou témoignent-elles d’avoir été conçues et reliées entre-elles par des visiteurs d’un autre monde ? Ces cultures faisaient quelque chose à l’échelle mondiale en interaction, créant un motif. La disposition des monuments anciens pourrait être une sorte de code secret créé par nos ancêtres pour des sociétés ultérieures.


Les cercles de pierres et les menhirs géants

Lors des 20 dernières années, des découvertes ont relancé l’intérêt des chercheurs, dont la curiosité avait déjà été éveillée par certains sites cérémonials britanniques. Avebury, non loin de Stonehenge, est un gigantesque fossé circulaires (400m de diamètre) bordé de pierres dressées; deux doubles alignements partent dans des sens opposés au niveau de la porte ouest et de la porte sud. Il rejoignent, 2kms plus loin, deux petits cercles de pierres.

Stonehenge est un cercle de pierres dressées, utilisé pendant un millénaire et demi, entre 3000 et 1500 av. notre ère. Le centre en fer à cheval est complété par un dégagement professionnel appelé l’ « avenue » qui se dirige vers le Heel Stone – c’est-à-dire la pierre qui indique, pour un observateur placé au centre du monument le jour du solstice d’été, le point où apparaît le soleil à l’est.

Le triple alignement de pierres dressées de Mid Glyth, Caithness (Highlands) est disposé en éventail selon l’axe médian nord-sud. Les archéologues ont parfois comparé ce site avec celui de Kerlescan à Carnac.

Stonehenge en Angleterre, la grande pyramide d’Égypte, Teotihuacan au Mexique, et le Machu Picchu au Pérou. Dans le monde entier, les hommes ont construit des structures extraordinaires. Et bien que séparés par de vastes distances et des milliers d’années, les chercheurs pensent qu’un code secret, intégré dans des monuments mégalithiques, pourrait révéler la vérité derrière les connexions entre de nombreuses civilisations anciennes.

Nos ancêtres ont placé des pyramides, des obélisques et d’autres pierres dressées à des endroits clés. Et ils étaient en quelque sorte utilisés comme balises de navigation par les anciens visiteurs cosmiques.

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