
Et comment y mettre un terme…
David Icke, né le 29 avril 1952 à Leicester, est un joueur de football professionnel, journaliste sportif à la BBC et ancien membre du parti vert britannique, considéré comme un théoricien du complot influent.
Quel est donc ce « grand revirement » que David Icke nous exhorte à accomplir pour nous arracher au noir destin qui se dessine pour toute l’humanité ? Toutes les réponses sont nichées dans cet énorme ouvrage conçu comme un guide : 28 « points » qui, une fois reliés, nous livrent un grand dessein infernal entamé depuis des milliers d’années. Destination finale : la dictature mondiale qui nous attend… Des révélations étayées par des preuves incontestables que les médias continuent d’ignorer.
Les accusations ? Accablantes.
1 – Les présidents américains ont tous trempé dans les pires crimes, soutenus par les vrais maîtres de la planète : Icke livre des preuves au nom desquelles il n’a jamais pu se retrouver attaqué en diffamation… Objectif : la 3e Guerre mondiale.
2 – Les nations européennes sont en train d’abdiquer leur indépendance au profit d’instances fédérales non élues. Finalité : la dictature.
3 – Les événements du 11/9 ont bien été montés par le gouvernement et l’armée des États-Unis. Pourquoi ? Les guerres pour le pétrole.
4 – Les industries de l’alimentation, du médicament et de la santé rendent malades les populations nanties et déciment le reste de l’humanité. But : la maîtrise des cerveaux…
5 – Les technologies de pointe dans le secteur des télécommunications engendrent des cancers et tuent la créativité. Enjeu : affaiblir les populations.
6 – Le réchauffement climatique relève d’un phénomène solaire naturel, mais l’homme doit croire qu’il est seul responsable.
Comment mettre un terme à cet agenda démoniaque ? David Icke, journaliste et conférencier, s’intéresse de près aux « individus qui contrôlent vraiment le monde » et aux enjeux de la conspiration. Il a travaillé pour la BBC et autres journaux prestigieux, mais son opinion constitue aujourd’hui l’un des contrepoids majeurs à l’information officielle. Il compte des millions de lecteurs.
Chapitres :
1_Eh bien, qui sommes-nous ?
2_Alors, où sommes-nous ?
3_Ce que nous ne devons pas savoir
4_Un royaume des ombres
5_Le serpent et le soleil
6_Le plus cruel des bobards
7_Dans un gant de velours
8_Table Ronde connexion
9_Modus operandi
10_Interlude symbolique
11_Entrée en prophétie
12_Néonaziréacs
13_11/9 : la grande imposture
14_Le mensonge, fonction d’État
15_L’usine à miracle
16_Réseaux secrets de tous les pays, unifiez-vous
17_Le complot du ‘non-complot’
18_Vous êtes libre… de vous plier aux ordres
19_’Démocratie’ en trompe-l’œil
20_Le calendrier secret qui gouverne les États
21_Miroir, beau miroir… dis moi qui est le plus corrompu ?
22_Le vibrion des lèches-bottes
23_Made in mon cerveau
24_À qui donc appartient ce monde que vous avez en tête ?
25_Esprit de ruche
26_Codes d’accès
27_L’arnaque cartonne
28_Le grand basculement
Nous vivons au cœur d’une époque extraordinaire et d’un bouleversement que l’on a peine à imaginer, bien plus énorme que l’imagination puisse nous en donner le début du commencement. Il s’agit d’une transformation de nature vibratoire, une accélération, qui se joue dans des royaumes invisibles, au-delà des sens humains, quelque chose qui incite à s’ouvrir les sphères mentales closes et bétonnées de la population humaine.
C’est en train d’éveiller ceux et celles prêt(e)s à sortir de la transe qui les asservit à la maison invisible, cette même main qui manipule dans l’ombre les individus que l’on croit « au pouvoir ». L’objectif du peuple de l’ombre est de s’assurer d’un état global orwellien de contrôle total et de soumission à sa dictature drastique. Où la liberté sous toutes ses formes est abolie par le jeu d’une surveillance qu’assurent des micropuces électroniques sur toute action, sur chaque parole, jusqu’à la moindre pensée. J’ai mis en garde contre cet état de fait depuis très longtemps et j’ai dû affronter bien des sarcasmes en réponse à mon malaise. Mais l’on rit beaucoup moins désormais : les preuves parlent d’elles-mêmes à travers ce que l’on constate chaque jour.
L’accélération vibratoire et les systématisations sans cesse augmentées du contrôle et des mesures de coercition de type gouvernemental se sont combinées pour aboutir à la prise de conscience d’un nombre considérable de gens que « quelque chose » ne tourne pas rond. Quoi donc ? Dans le premier volet de la trilogie du film Matrix, le personnage de Morphéus s’adresse au perplexe Néo en complète recherche :
Ce que tu sais tu ne peux l’exprimer, mais tu le ressens. Tu l’as toujours ressenti, toute ta vie, que quelque chose dysfonctionne dans le monde. Tu ne sais pas de quoi il s’agit, mais c’est bien là, comme une épine dans ta tête, et ça te rend dingue.
Ceux qui ont créé la « Matrice » nous utilisent pour que nous travaillions, nous consumions, et que nous ne posions pas de question.
Si nous voulons un « éveil », un libre arbitre réel, ne serait-il pas opportun d’éveiller la conscience qui a cette capacité et ce pouvoir pour sortir de cette manipulation, de cette prison mentale ?
Je sais très précisément ce qu’il veut dire, et vous aussi, sinon vous ne seriez pas en train de lire ces lignes avec la volonté de répondre aux questions qui « vous rendent dingue » : qui suis-je ? Où suis-je ? Pourquoi le monde est-il ainsi ?
C’est au cours des années 1980 que j’ai (David) commencé mon itinéraire conscient en quête de réponses. Il m’a emmené dans plus de quarante contrées où j’ai acquis le savoir, « ancien » et « moderne », par lequel j’ai compris que bien des pièces du puzzle s’emboîtent les unes dans les autres. C’est seulement quand on a relié les points que l’image se révèle. J’ai assemblé entre elles dans ce livre deux décennies de recherche et d’expérimentation consacrées à l’explication de la cause du « quelque chose qui ne tourne pas rond ». C’est toujours un chantier en construction, mais il a progressé à pas de géant le long de la route de la compréhension de la condition humaine, et celle du moyen de parvenir à agir sur elle. L’écrivain Michael Ellner a pu dire à juste titre :
Contentez-vous de nous regarder. Tout marche sur la tête, tout est bouleversé. Les médecins s’attaquent à la santé, les magistrats attaquent la justice, les universités saccagent la connaissance, les gouvernements anéantissent la liberté, les médias majeurs tordent l’information et les religions anéantissent la spiritualité.
Rien de tout cela n’arrive par hasard, tout est téléguidé… comme je vais maintenant le montrer, au gré des points que j’ai reliés entre eux.
ALBERT EINSTEIN : La valeur vraie d’un être humain se reconnaît au degré atteint dans la libération de son ego.
Eh bien, qui sommes-nous ?
Ne m’en veuillez pas si j’enfonce une porte ouverte… Nous sommes perdus quand on ne sait pas où l’on est. Bien sûr, ça paraît aller de soi. Nous sommes paumés faute de l’information suffisante pour déterminer l’endroit où l’on est. Sans elle, impossible de trouver le chemin du retour. Ça aussi, c’est l’évidence. Comment pourrions-nous nous rendre quelque part si nous ne savons pas pour commencer où nous nous trouvons.
Pont aux ânes ? Peut-être, mais le nez a beau être au milieu de la figure, il n’est parfois pas perçu. Comme on dit : si vous voulez vraiment cacher quelque chose, laissez-le donc au vu et au su de tout le monde. Ce que je viens de décrire, c’est précisément le malheur de la « race humaine ». Nous sommes paumés, primo parce que nous ne savons pas où nous sommes, secundo parce que nous n’avons nul accès à l’information qu’il nous faudrait pour savoir où nous sommes. Et pire, pour nous, ça va encore plus loin. Nous ne sommes pas fichus de savoir qui nous sommes, où l’on nous a collés.
John Lennon a écrit : « Comment puis-je aller de l’avant quand je ne sais rien du chemin qui s’ouvre devant moi ? Comment puis-je avancer quand j’ignore quelle route prendre ? »
Privés de ces coordonnées – qui nous sommes, où nous sommes – comment trouver un sens à ce que nous voyons et à ce que nous vivons ? Impossible. Alors à nous la devinette (la plupart du temps au petit bonheur la chance), des suppositions qui sont nos religions et nos théories scientifiques. Nous nous parfumons de « suppositions calculées » fondées sur la meilleure information possible, mais si cette information – sous le langage de la religion et de la science – a été altérée dans son essence ? Et pire, si elle l’a été sciemment ? Nous serions alors confrontés à une situation bien plus dramatique que s’il ne s’agissait que de ne pas savoir quelle direction choisir. On nous indiquerait une fausse route, persuadés que nous sommes que celui qui nous l’a indiquée, avec sa mitre ou son microscope, savait où il nous envoyait.
Désormais, nous avons de plus en plus de mal à comprendre que nos cartes sont obsolètes et que nous n’avons pas su les lire. Ou plutôt, que des intermédiaires, souvent par ignorance, l’ont fait pour nous, agents d’un système qui n’existe que dans la mesure où il nous prive de la boussole et des coordonnées qui nous conduiraient à la maison. Quelqu’un a flanqué la pagaille dans les panneaux routiers pour nous paumer et mieux nous contrôler. Alors ce livre se veut un guide. Il nous dit qui nous sommes, où nous sommes, et comment quelques-uns manipulent nos vies à grande échelle. Au final, il veut en finir avec la croyance. À partir de là, prévaudra tout autre chose. Ce qui, jusqu’alors, semblait un « monde » absurde, déconcertant, inexplicable, va tout à coup se mettre au point à vos yeux. Ce monde nous apparaît absurde pour la seule raison que nous l’avons vu sous le mauvais angle. Rectifions le tir… Et là, bingo : alors c’était donc ça !
Avant tout, repère numéro un : qui sommes-nous ?
Posez la question au plus grand nombre de gens possible : qui êtes-vous ? Ils vous répondront à peu près : « Je suis Alain Dupont. Je bosse dans un bureau à La Défense, près de Paris, marié, trois enfants. J’aime le foot, le jardinage. Ah, j’aimerais bien aller voir mon frère en Australie. » Vous entendez ça sans arrêt, dès qu’un pékin se pointe dans un jeu télé et que l’animateur se fend d’un « Parlez-nous un peu de vous ». Nous nous identifions à notre travail, à un salaire, à ce que nous aimons ou pas, à ce que nous appelons notre « personnalité » – « J’adore me fendre la pêche à une soirée », « J’aime rester chez moi, me la couler douce », etc. Mais posons-la à nouveau, cette question : Et si ? Et si ce que vous appelez « vous », votre « personnalité », votre genre même, si rien de tout ça n’était vous ? Et si ce n’était que les données d’un programme informatique dont on vous a fait croire qu’elles étaient vous ? On trouverait tordu qu’un astronaute auquel on demanderait qui il est commence à donner les détails de son scaphandre : « Je suis un Mark III de la NASA, né dans les années 1990. J’ai un torse en dur, des éléments articulés en guise de hanche, une épaule sophistiquée montée sur roulement, des joints à la taille qui autorisent les mouvements. Je supporte 0,56 atmosphère. Mon souhait : pouvoir rendre visite à mon frère à la station spatiale internationale. » On se dirait, le pauvre gars a subi un peu trop de pressurisation. Qu’est-ce qui lui prend de se décrire comme son scaphandre ? Il a fumé la moquette ? Faut l’aider, y’a urgence, on se dépêche. Eh oui, il ne va pas bien, mais est-il si seul dans son genre ? Oui ou non ? Non, les « êtres humains » font exactement la même chose. Nous croyons être notre scaphandre. Si nous cessons d’y croire, on se mélange les pinceaux. Comment un astronaute pourrait-il faire son job s’il pensait qu’il était son scaphandre ? Ça craindrait un max, ce serait le bordel à grande échelle, non ? Eh bien explorons-le un peu, ce « monde » peuplé de gens qui se prennent pour un scaphandre. Que voyons-nous ? C’est le bordel à grande échelle. Comment en irait-il autrement ?
La voici la première révélation sur le chemin de la liberté : votre corps n’est pas « vous ». Il n’est qu’un fabuleux ordinateur biologique que « vous » utilisez pour ressentir cette réalité. Il est un véhicule, un moyen, mais pas un « vous » ni un « je ». Le scaphandre est le moyen par lequel l’astronaute accède à d’autres « mondes ». Ainsi en est-il de votre corps. Nous ne sommes pas nos corps, nous sommes la Perception sans limite, le « Partout qui est », un champ d’énergie sans rupture où existent tous les « mondes » sans qu’aucuns « mondes » n’y existent. La seule différence entre toutes est le degré de conscience que nous sommes le « tout qui est ». Plus cette conscience se montre aiguë, plus vous accéderez à ce degré de « connaissance » et de perception. Plus vous vous pensez en « individu », distinct de n’importe quoi d’autre, plus vous vous déconnectez de l’Un infini que vous êtes pourtant. Nous vivons en un royaume de la division et de la « distinction » pour avoir oublié notre véritable nature infinie, pour avoir été manipulé pour cet oubli.
Albert Einstein a décrit la réalité comme une « illusion, mais une illusion persistante ». Il a écrit :
Un être humain est une partie du tout, que nous appelons Univers, partie bornée par le temps et l’espace. Un être humain se vit lui-même, ses pensées et son ressenti comme des éléments distincts du reste, une sorte d’illusion forgée par sa conscience. Cette illusion pour nous est une sorte de prison, elle nous réduit à nos désirs individuels et à l’affection que nous portons à la poignée d’êtres qui nous sont proches. Il nous revient de nous libérer de cette prison en élargissant notre périmètre de compassion à toutes les créatures vivantes et à la nature entière dans sa beauté.
Allons au-delà, élargissons-nous à l’infinie conscience, ou à ce que je nomme infinie perception. Qui est un degré de la conscience qui sait qu’elle est tout. C’est l’autoperception TOTALE. Songez à la différence entre une gouttelette d’eau et l’océan. La gouttelette est l’image de la division, celle du « moi » individuel, débranché de tout le reste. C’est comme lorsque l’on s’identifie à « Alain Dupont » ou à « Martine Massard ». Laissez tomber cette gouttelette dans l’océan : où finit-il, où commence-t-elle ? Ni commencement ni fin, ni Alpha ni Omega : tout est Un. À ce degré, nul « nous » : un « je » infini, c’est tout. Quelque part l’océan sera d’huile et pacifié, ailleurs déchaîné et sauvage, mais il reste le même océan, la même unité. Nous sommes toujours l’océan, toujours la perception infinie, il nous est impossible de nous en retrancher. Malgré tout, quand nous oublions qui nous sommes, nous risquons d’être abusé par la sensation d’une division, de devenir gouttelette, au point de percevoir la réalité par le petit bout de la lorgnette de notre mental. Dont les lentilles perçoivent ce qu’elles croient, elles suscitent une expression de réalité qui tutoie la croyance. Pensez petit, vous serez petit, vous qui êtes pourtant l’infini possible. C’est le drame de ce que nous appelons humanisé. Nous sommes l’océan, la Perception infinie, mais nous nous pensons en gouttelette sans portée, insignifiante. Nous nous identifions à la division, aux « parties » et non à l’unité. Qu’est-il arrivé ? Nous avons subi la manipulation massive de notre perception de la réalité qui nous a conduits à confondre le « je » avec l’ordinateur biologique nommé corps. Il suffit de voir combien de religions crient au blasphème si vous vous dites le Tout, ce qu’elles nomment « Dieu ». Interdit de se dire « Dieu ». Nous devons rester humbles, accepter notre état de pêcheurs soumis tremblant de peur devant la face du Tout-Puissant : eux. Toi, étron de rien, résigne-toi, espère la parole positive des hommes en froc, ta seule chance d’échapper au coup de fourche. Non sens orchestré par les maîtres des religions (je ne parle pas des subordonnés téléguidés en chapeautés) pour nous bloquer dans le processeur virtuel de la perception, dimension dans laquelle il est si simple de nous parquer comme du bétail. Écoutez la petite musique de la religion : « Le Seigneur est ton berger et tu fais partie de son troupeau. » Quand je parlerai des « inconscients », je ferai allusion aux prisonniers de la réalité du corps encodé, et je désignerai par « conscients » ceux qui perçoivent la grande unité. Tout est, de fait, conscient. Seul le degré de perception varie. Mais les expressions « conscients » et « inconscients » seront pratiques pour ne pas compliquer mon propos. À en croire cette définition, la quasi-totalité de la population humaine est inconsciente, tant il est vrai que la plupart s’identifient à leur corps-machine informatique. Fort heureusement, nous avons atteint l’ère où cette aliénation commence à céder.
Qu’est-ce que le cerveau ? Où réside la mémoire ?
Fort bien, nous avons identifié le socle du système du corps cybernétique : l’ADN et les cellules, avec leur carte mère, le réseau des méridiens. Puis s’en vient l’unité centrale de traitement, ou CPU, autrement dit le cerveau. On parle, du reste, à propos de l’unité centrale, de « cerveau de l’ordinateur » puisque, à l’image du cerveau humain, il lit, contrôle et gère tout le flux des communications. Dans le corps cyber, c’est le cerveau qui décide de l’usage de l’information – qu’en faire et où l’envoyer. Rappelons-nous bien que c’est le cerveau qui reçoit l’information transmise par les cinq sens et qui décide de son décodage. Pour peu que vous parveniez à tripatouiller la programmation du cerveau pour qu’il lise ces messages autrement, vous pouvez faire en sorte que quelqu’un mange une pomme mais qu’il affirme sentir le goût de la banane. Des hypnotiseurs habiles obtiennent ce genre de mélange au cours de leurs spectacles. Nous ne ressentons pas la douleur au moment où nous est porté un coup. Nous la ressentons quand l’information « un coup a été reçu à tel endroit » est arrivée au cerveau et qu’il l’a décodée par un « aïe ! » Autant de clés qui ouvriront les réponses du chapitre 2 : « Où sommes-nous ? Et qu’est donc la réalité ? »
Ça fait tilt… pour certains
De plus en plus, la technologie dont nous usons reflète le corps cyber humain, et cette tendance inclut les ordinateurs numériques qui travaillent en système binaire. Des expériences ont montré que lorsque la bonne tension électrique est appliquée à la membrane cellulaire, ses portes et ses canaux s’ouvrent, ils se ferment en l’absence de courant. Il s’agit de la même expression binaire que celle qui prévaut dans les ordinateurs. J’ai trouvé cette explication sur Internet :
Un ordinateur numérique est conçu pour traiter les données selon un algorithme numérique. Ses circuits calculent directement les opérations mathématiques, l’addition, la soustraction, la multiplication et la division. Les nombres manipulés par un ordinateur sont traduits en système binaire. Les chiffres binaires, ou bits (binary digits), sont 0 et 1 […] Les chiffres binaires sont facilement manipulables dans le circuit de calcul par la présence (1) ou l’absence (0) d’un courant ou d’une tension.
On ne s’étonnera pas si une part essentielle du cerveau humain procède aussi par système binaire, comme l’affirme le professeur de psychologie Randall O’Reilly de l’université du Colorado, à Boulder. Il explique qu’une région du cerveau que les scientifiques estiment cruciale dans l’élaboration des capacités intellectuelles fonctionne à la façon d’un ordinateur. « Bon nombre des chercheurs qui ont créé ces modèles rejettent la métaphore de l’ordinateur, dit-il. Mes travaux ont commencé à une époque où l’on disait que les cerveaux humains n’avaient rien à voir avec des calculateurs. Et puis voilà que soudain, quand on les observe, ils se comportent, à certains égards, comme des calculateurs. » Le cerveau, tout comme le corps en soi, est un ordinateur biologique très avancé, à des années-lumière en avance sur la science informatique, et c’est en raison de cette sophistication même que semblent apparaître des différences pour la bonne raison que nous ne comparons pas des choses comparables. Mais par leur objet et leur principe, ils sont identiques. Nous venons de le voir, les ordinateurs fonctionnent en convertissant des signaux électriques en « états binaires on et off » : le professeur O’Reilly rencontra les mêmes principes opératoires dans le cerveau. « Les neurones du cortex préfrontal sont binaires – ils connaissent deux états, actif, inactif – et les noyaux gris centraux jouent essentiellement le rôle d’interrupteurs qui vous donnent le moyen d’activer ou d’inactiver sciemment telle ou telle partie du cortex préfrontal », dit-il. Le cortex préfrontal est le « centre exécutif » du cerveau, le siège des connaissances les plus approfondies où entrent la prise de décision et la résolution des problèmes. Il ajouta que les chercheurs croyaient que le cortex préfrontal est la clé de la capacité intellectuelle humaine et de son entendement, et donc la clé pour en apprendre davantage sur cette intelligence humaine. J’ai pensé il y a quelque temps que le passage de la télévision analogique à la numérique allait faciliter la manipulation du cerveau humain à cause de la connexion opérationnelle plus proche entre TV numérique et cerveau cyber, et plus j’en comprends le mécanisme, plus je suis certain d’avoir raison. Si c’est la première fois que vous prenez connaissance de cette information, vous allez découvrir pourquoi elle n’est pas si tirée par les cheveux qu’elle en a l’air quand j’entrerai dans le détail de la façon dont ce monde est mis sous contrôle, qui le contrôle et dans quel but.
Ainsi, un pan du cerveau fonctionne en système binaire tandis que la majeure partie travaille en système « trinaire » de trois chiffres. Guosong Liu, chercheur en neurosciences au Centre Picower pour l’apprentissage et la mémoire au sein du Massachusetts Institute of Technology, a déclaré au magazine Nature Neuroscience que la compréhension de cette architecture pourrait aboutir à des conséquences majeures dans le développement de nouveaux ordinateurs. Il ajoute que le code à trois chiffres du cerveau utilise zéro, un et moins un, bien plus puissants dans leur potentiel de combinaisons que le système binaire : un tel code autorise la mise de côté de l’information en cas de besoin – un peu comme lorsque vous vous concentrez sur quelque chose. « Alors que les ordinateurs sont dans l’incapacité de laisser de côté une information, précise Liu. Il s’agit d’un avantage évolutionniste propre au cerveau. » L’on pense que les ordinateurs et les logiciels du futur fonctionneront en système « trinaire », de quoi rendre caduque tout ce qui nous entoure d’ici à dix ans. Écoutez-moi bien : l’entité cerveau/corps et les ordinateurs fonctionnent sur le même principe – seul leur degré d’avancée diffère. Comme tout ce qui relève du « physique », l’ADN se comporte en phénomène numérique sur un certain plan.
La vie après la vie
Ce que nous désignons par le mot « mort » demeure, c’est très ironique, le plus grand mystère de la « vie ». Existe-t-il une vie après la mort ? Où partons-nous ? Comment se pourrait-il que la vie se poursuivît quand le corps n’est plus vivant ? Les réponses à toutes ces questions s’éclairent une fois comprise la différence entre corps cyber et Perception infinie. Je l’ai déjà exprimé, la Perception infinie plonge dans cette réalité à travers le corps cyber – c’est un peu comme si elle portait un scaphandre spatial. Nos couches basses de la Perception sont susceptibles de brouillage, et c’est le cas la plupart du temps, elles s’identifient à l’ordinateur. Quand il cesse de fonctionner – qu’il « meurt » – notre Perception est libérée de l’illusion et entame un processus de remémorisation de ce qu’elle est vraiment. Processus instantané pour ceux et celles déjà conscients de leur véritable identité avant que l’« ordinateur ne meure », plus long pour d’autres si leur Perception incarnée fut complètement dominée par son identité binaire. C’est la raison pour laquelle fleurissent tant d’histoires de « fantômes » qui « hantent » les lieux où ils vécurent. Ce que nous appelons fantômes sont bien souvent des entités désincarnées, facettes de la Perception toujours ancrées dans leur identification à l’ordinateur qu’elles occupèrent. Elles vivent dans une dimension de limbes très proche. Parce que ces états de fréquence restent tout près, ils nous sont perceptibles quand nous « voyons des fantômes ». Un peu à la manière de deux fréquences radio très proches sur le spectre d’émissions qui entrent en interférence. Il en est ainsi de ceux que nous nommons « voyants extrasensoriels » – les authentiques, de naissance –, capables de se brancher sur d’autres fréquences et dimensions où ils communiquent avec la Perception. Leur façon d’entrer en contact avec les « disparus » et de transmettre leurs messages à leurs proches. Les « fantômes » n’ont pas compris le phénomène de leur « mort » – le moment où la Perception infinie se déconnecte de la réalité du computer : ils croient qu’ils sont toujours leur moi « terrestre ». On les désigne sous le vocable d’« âmes terrestres » ou d’« âmes perdues ». L’identification avec l’ex-« moi » ordinateur est telle qu’ils se montrent sous forme d’une projection mentale semblable à leur forme physique d’avant. Ce que les scénaristes de Matrix ont dénommé « image de soi résiduelle ». Quand on est le témoin d’apparitions fantomatiques, ce peut être la forme d’un enfant, celle d’un vieillard, et il arrive que l’on découvre plus tard qu’un être de cette apparence ait vécu là où il est apparu. Les morts violentes, dramatiques, semblent produire le phénomène plus souvent, mais il touche aussi des gens peu certains de leur identité. D’autres causes induisent les phénomènes d’apparition, mais je vous en ai cité quelques-unes.
Ma mère, Barbara, mourut en 2006 à l’issue d’une longue et douloureuse détérioration de son état mental et physique poursuivie sur près de vingt années. En réalité, c’est son corps cyber, et non pas « elle » qui allait à vau-l’eau. Elle lutta avec une grande détermination jusqu’au moment où l’interaction des dysfonctionnements interdit tout service à l’ordinateur. Ce fut la « mort », de tous les épisodes vécus de l’existence humaine le plus terrifiant. C’est la plus extrême des peurs qui nous tient en esclavage – la peur de l’inconnu. C’est la peur de la mort qui fait taire ceux qui pourraient révéler de bien grands secrets, à même de dévoiler la conspiration que j’expose. Cette peur qui enchaîne tant d’individus à la science médicale comme aux ordres religieux tellement ils tentent désespérément de rester en vie ou d’échapper à quelque « enfer » éternel. Toute forme de peur entrave la liberté, mais la peur de la mort est un Alcatraz spirituel et émotionnel. Enfant, j’étais effrayé par la mort, je l’étais encore davantage par celle de ma mère ou de mon père. La maladie de ma mère me rendait fou d’angoisse au cours de l’une de ses crises d’étouffement que l’on ne peut se figurer sans y avoir assisté. Mon père, lui, craignait sans doute la mort par la peur de l’inconnu. Il avait appartenu au corps médical militaire qui avait traversé l’Italie au cours de la seconde guerre mondiale. À Naples, notamment, il découvrit l’infâme pauvreté au milieu de toutes les fantastiques richesses de l’Église romaine, ce qui fit de lui à jamais un ennemi déterminé de la religion. Il se trouva malheureusement qu’il conçut toute idée de vie après la mort sur le modèle des religions qu’il méprisait tant, et il ne put se défaire de la croyance que la vie après la mort est liée à la religion, qu’elle quelle fût. Or elle est, en soi, tout simplement, que vous portiez une croix, vouiez votre vie à « Jésus » ou que vous pensiez que la religion n’est qu’un tas de vieilles conneries. Nul besoin de rechercher la vie éternelle – elle est acquise. C’est un présent. Quelle sorte de vie éternelle, telle est la question, dont la réponse est en nous, et non pas l’affaire de quelque « Dieu » coléreux, vindicatif et punisseur.
À une époque, la mort de ma mère, comme celle de mon père, eût pu me détruire. Mais quand la réalité de la « vie » me devint limpide, tout comme cette réalité illusoire, j’ai commencé à changer ma perception de ce passage en vibration, de cette transition, que nous nommons « mourir ». L’authentique nature de la « mort » – qui n’est autre qu’une transition sans heurt de la vie à la vie – fut admirablement décrite dans un film avec Robin Williams de 1998, Au-delà de nos rêves.
Il s’agit purement et simplement de quitter l’ordinateur biologique, et par conséquence la fréquence, ou dimension, dans laquelle il s’exprime. Notre Perception poursuit son existence sans fin à travers d’autres dimensions de la réalité. Bien naturellement, nos liens aux personnes et nos souvenirs nous les font pleurer, ces êtres chéris qui nous quittent, et c’est bien compréhensible. J’avais la tête pleine de souvenirs récurrents de ma mère quand son temps de partir fut venu. Je me souvins de la chanson qu’elle me chantait quand j’étais enfant, « Le petit garçon qu’oublia le Père Noël », pendant qu’elle faisait reluire le carrelage. Je n’en finissais pas de pleurer, lui disait que je lui donnerais mes jouets. Un souvenir de petit garçon : ma mère, parfois, se dépêchait de me cacher, avec elle, derrière le canapé quand on cognait à la porte. Elle me disait de rester sans bouger, sans un bruit – Chhhhhhhhhhuuuutt. Un temps. Puis, et je ne comprenais pas pourquoi, elle disait que l’on pouvait sortir. J’ai découvert après coup que ces tocs tocs à la porte venaient du propriétaire que, certaines semaines, nous ne pouvions payer. Quand on ne lui répondait pas, il scrutait l’intérieur depuis la fenêtre de l’entrée – d’où le besoin de nous cacher. Autre souvenir, je me revois en train de donner un coup de poing dans le plexus du dentiste scolaire et de piquer un sprint d’une centaine de mètres dans la rue, ma mère sur les talons, son éternel sac à provisions au bras, en train de me crier d’arrêter. Et je me rappelle la façon dont elle descendait du bus, les jambes déjà en mouvement, pensais-je, avant qu’elles ne touchent le sol, pressée de courir la ville de boutique en boutique comme si l’on avait crié « alerte au feu ». Quel que fût le moment où vous accompagniez ma mère en courses, il vous fallait la suivre dans son sillage. Encore des souvenirs, celui de ses annonces à la cantonade quand je téléphonais, « C’est notre Dave », et son incapacité radicale à maîtriser l’art de laisser des messages sur le répondeur : j’avais beau presser trois fois le bouton pour réentendre filer le message, bip, bip, « tva ». Quoi ? Quid de « tva » ? Plus tard, je me rendis compte qu’elle avait commencé à parler avant le début de l’enregistrement, et qu’il fallait comprendre : « J’appelle juste pour savoir comment tu vas. » D’autres souvenirs à la pelle, comme le jour où je dis au revoir à ma mère de la seule façon physiquement sonore que je connaissais, mais il ne s’agissait pas d’un adieu, c’était l’au-revoir inutile. Car je sais qu’elle est là, qu’il ne s’en est allé qu’une vibration, et que nous nous retrouverons – de Perception à Perception – quand j’en aurai fini avec ma tâche ici-bas. Je la sais en compagnie de mon père qui lui a dit que la vie n’était pas comme elle croyait qu’elle fût. J’espère qu’ils ont alors bien ri ensemble. Et qu’elle aura dit dans son inoubliable accent from Leicester, « Tu diss quoi ? Tu diss que c’est pas vrai ? »
Quand un être cher s’en va, on a l’impression qu’il emporte quelque chose de soi, affaire de connexion énergétique. Il a créé un trou dans votre vie qu’il emplissait autrefois par la certitude de son existence. Ainsi ai-je pleuré la perte de la mère que j’ai connue presque cinquante-quatre ans, mais qu’ai-je pleuré ? Que pleurons-nous en de telles circonstances ? Si nous comprenons la nature de la vie éternelle, ou plutôt de l’éternelle Perception, comme je préfère la nommer, nous pleurons sur nous-mêmes, parce que la personne n’est plus auprès de nous. Nous devons savoir qu’elle vit toujours, mais qu’elle n’est plus dans le même champ vibratoire – que son ordinateur n’est plus assis sur le siège à vos côtés, ou qu’il n’attend pas à l’autre bout du fil. Nous ne pleurons ceux qui nous ont quittés que lorsque nous ne comprenons pas la nature de la vie. Car ils ont été libérés de l’illusion corporelle limitée, et sont « renés » dans d’autres dimensions du réel. Ou plutôt, ils n’ont jamais quitté ces dimensions car nous sommes le Tout-Infini, et que la notion de division appartient à l’illusion de ce monde déroutant. Ma mère a souffert pendant plusieurs dizaines d’années d’arthrite et je sais intimement combien ça fait mal. Elle a subi bon nombre d’atteintes sévères, tout particulièrement après avoir été heurtée par un chauffard quelques années auparavant. Dans les derniers temps, son corps défaillait en permanence et son mental oscillait entre conscience et confusion. Comment peut-on la pleurer alors qu’elle a troqué ces souffrances-là contre le paradis ? Je fus plus soulagé de savoir son combat terminé et qu’elle ne souffrait plus que je ne fus peiné par son absence. Je n’ai jamais rencontré un témoin d’une expérience de mort imminente qui voulait revenir ni lu un témoignage en ce sens.
L’on possède désormais une pile considérable de récits émanant de gens qui avaient abandonné leur corps à la « mort » et qui témoignent de la réalité ultra-dimensionnelle simplement parce que leur corps a été réanimé. Le cardiologue hollandais Pim van Lommel est l’auteur d’une épaisse étude sur les expériences de mort imminente qui aboutit à établir pleinement le concept de vie après la mort, et qui soulève dans le même temps des questions sur l’ADN, sur l’inconscient collectif et l’idée de « karma ». Ses découvertes ont été publiées dans le magazine médical britannique The Lancet. L’intérêt de Lommel pour le sujet est né il y a trente-cinq ans à partir du récit de mort imminente d’un patient, mais il ne s’est lancé dans l’étude sérieuse de la question que plus tard, après la lecture d’un ouvrage intitulé « Ils sont revenus demain7 ». Le médecin américain George Ritchie y décrit précisément son propre vécu de « mort imminente ». Van Lommel commença à demander systématiquement à ses patients s’ils se souvenaient de quoi que ce soit pendant le temps qu’a duré leur arrêt cardiaque. Voici quelques-uns seulement des témoignages recueillis :
Je me suis « détaché » de mon corps, j’ai plané à l’intérieur de lui et autour de lui. Je pouvais voir le reste de la chambre et mon corps tout entier, quoique mes yeux fussent clos. J’étais soudain capable de « penser » des centaines ou des milliers de choses plus vite, avec plus de lucidité qu’il n’est humainement normal ou possible de le faire. C’est alors que j’ai compris, et admis, que j’étais mort. Il était temps de partir. Ce fut un sentiment de paix totale – tout entier libre de peur ou de douleur, sans l’interaction d’une quelconque émotion.
Je regardais d’au-dessus tout en bas mon propre corps, et je vis des médecins et des infirmières qui luttaient pour me ramener à la vie. J’entendais bien ce qu’ils disaient. Puis je ressentis de la chaleur, j’étais dans un tunnel. À l’extrémité duquel brillait une lumière chaude, blanche, en vibration. Très belle. Elle me communiqua un sentiment de paix et de confiance. Je flottais vers elle. Et se renforçait le sentiment chaleureux. Je me sentais chez moi, aimé, presque extatique. Ma vie défilait par flashs devant moi. Et brutalement, je ressentis à nouveau la douleur de l’accident et réintégrai mon corps en un éclair. J’étais furieux contre les médecins qui m’avaient ramené. Cette expérience me reste comme une grâce, car je sais désormais avec certitude que corps et âme sont séparés, et qu’il existe une vie après la mort. Elle m’a convaincu que la conscience survit à la tombe. La mort n’est pas la mort, c’est une autre forme de vie.
J’ai vu un homme me regarder avec amour, mais je ne sais pas qui il est. [Plus tard]… À son lit de mort, ma mère m’avoua que j’étais un enfant adultérin, que mon père était un Juif déporté et exterminé au cours de la seconde guerre mondiale, et elle me montra sa photo. L’homme inconnu que j’avais vu des années auparavant au cours de la phase de mort imminente se révéla être mon père biologique.
Le tunnel, la grâce, la rencontre avec des êtres chers depuis longtemps disparus, enfin la déception du retour forcé, sont des récurrences constantes des récits de mort imminente. Van Lommel a décrit de la part de certains le sentiment d’emprisonnement qu’ils ressentent à leur retour, par rapport à la liberté qu’ils ont brièvement connue. D’autres constatent que leur vie en a été transformée et aucun n’a plus peur de la mort. Cette compréhension serait de nature à nous libérer tous de cette peur ultime, et c’est pourquoi ce savoir a été systématiquement occulté – j’en arriverai aux raisons plus loin. La « main cachée » que je vais dévoiler veut les peuples en proie à la peur de la mort, en proie à la peur de tout. Quand vous êtes sous l’empire de la peur, vous êtes contrôlable et manipulable à l’envi. Van Lommel :
La chose cruciale qui reste à ceux qui sont revenus de la mort, c’est qu’ils n’en ont plus peur. Pour la bonne raison qu’ils ont connu la survivance de la conscience, qu’ils ont vécu la continuité. Leur vie et leur identité survivent à la disparition de leur corps. Ils ont le sentiment tout simple de quitter un manteau.
L’on ne saurait mieux dire. Ce qui emprunte ce « tunnel », ce qui assure la transition, c’est notre conscience – notre Perception. L’ordinateur est enterré ou fait l’objet d’une crémation, pas la Perception qui fut son alimentation en énergie. Voici ce que Van Lommel dit de la « mort » :
À ce moment précis, ces personnes ne sont pas seulement conscientes. Leur conscience n’a jamais été aussi étendue. Elles ont la capacité d’une pensée très claire, suscitent des souvenirs qui plongent dans leur enfance la plus reculée, et vivent un lien intense avec tout et tout le monde autour d’elles. Et pourtant, leur encéphalogramme est plat ! Qu’est-ce que la conscience, où se situe-t-elle ? Qu’est-ce qui constitue mon identité ? Qui est l’observateur quand je vois mon corps en bas sur la table d’opération ? Qu’est-ce que la vie ? La mort ?
Les réponses se bousculent en une courte phrase : il existe divers états de Perception et cette Perception est partout. Vous aurez une Perception corporelle ou la Perception infinie ou un état intermédiaire. Van Lommel fait remarquer que le cerveau ne produit pas de conscience pas plus qu’il ne mémorise les souvenirs. Il cite l’expert en informatique, l’Américain Simon Berkovitch, et le chercheur neurologue hollandais Herms Romijn, chacun attelé à ses travaux indépendamment de l’autre. Ils ont découvert qu’il était impossible pour le cerveau de garder en mémoire ne serait ce qu’une fraction de nos pensées et de nos vécus. Les conclusions que Van Lommel tire de ses recherches rejoignent celles que j’ai déjà soulignées. Le corps/cerveau est un récepteur/transmetteur d’information à l’image d’un ordinateur ou d’une télévision. Voici ce qu’il dit :
L’on pourrait comparer le cerveau à un poste de télévision qui reçoit dans des bandes de fréquences électromagnétiques spécifiques et convertit les signaux en image et son. Notre conscience de veille, la conscience qui préside à nos activités quotidiennes, réduit toute l’information disponible à une vérité unique que nous vivons comme « réalité ». Au cours des expériences de mort imminente, malgré tout, l’on n’est plus circonscrit à son corps ou à sa conscience de veille, ce qui veut dire que l’on s’ouvre à un nombre bien plus grand de réalités.
Ce qui rejoint le détail de ce que j’ai écrit dans des livres antérieurs et que je poursuis ici. Il va même jusqu’à affirmer que l’ADN, à commencer par les 95 % de l’ADN abusivement qualifié de non codant (« junk ») et dont la « science » ne sait rien, joue le rôle de récepteur/transmetteur d’information. La vérité, enfin, émerge. Nous ne sommes pas nos corps. Nous sommes conscience, Perception. C’est ce qui nous est restitué au moment de la prétendue « mort » pour expérimenter potentiellement la liberté absolue qui nous attend au-delà des « lois » de cette illusion manipulée. Les découvertes de Van Lommel transformèrent sa vision de la vie. Cette connaissance s’est vu systématiquement éradiquée pour interdire cette même transformation à tout un chacun :
Je vois clairement désormais que tout procède de la conscience. Je comprends mieux que l’on crée sa propre réalité à partir de la conscience dont on dispose et de l’intention qui gouverne votre vie. Je comprends que la conscience est le fondement de la vie, et que la vie procède de la compassion, de l’empathie et de l’amour.
Vampires reptiliens
Ils ont toujours pris part aux sacrifices humains perpétrés pour « leurs dieux », leurs maîtres reptiliens ultradimensionnels, et bu le sang des hommes pour renforcer le soutien vibratoire de leurs champs énergétiques holographiques à forme humaine, leur « voile ». Stewart Swerdlow suggère que les reptiliens ont besoin d’un taux hormonal de mammifère suffisant pour garder actifs les codes de l’ADN des mammifères et conserver ainsi leur forme humaine. Leur état basique est celui de reptilien et leurs codes de mammifères ne s’activerait plus sans l’apport fréquent de sang humain. En outre, ils ont besoin de l’adrénaline qui se déverse en grand volume dans le flux sanguin aux moments d’intense terreur. D’où leur soin de bien dire aux victimes qu’elles vont être sacrifiées et leur souci est de parfaire un rituel qui suscite en elles la terreur au moment précis de la mort. Et ainsi ingérer un sang saturé en adrénaline…
Arizona Wilder témoigne que le type de sang le plus recherché par les reptiliens est celui des victimes aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Car l’hybridation originale avait impliqué le matériel génétique des « Nordiques » ou « Lyriens », proche de l’humain. Et donc, ce sang-là se révèle le plus efficace pour susciter la forme humaine. Arizona W. comme tout esclave de l’élite, sous contrôle mental est une blonde aux yeux bleus qui se teignit les cheveux après son évasion pour aider à sa déprogrammation. Des blonds, des gens aux yeux bleus, voilà le type d’humains choisi par les Illuminati en vue de sacrifice. Mais par dessus tout, ils recherchent le sang de préadolescents et de jeunes femmes vierges. Affaire de pureté du sang et d’énergie chez les enfants, et de changements qui interviennent dans le champ énergétique d’un individu qui a connu une relation sexuelle ou la puberté. Leurs sacrifices plus nombreux d’enfants et de jeunes femmes expliquent l’origine des narrations, au fil de l’histoire, des sacrifices de « jeunes vierges » aux « dieux » reptiliens.
Le rapport des reptiliens et leurs hybrides aux hommes est analogue à celui de l’éleveur vis-à-vis de son bétail, et l’utilisation qu’ils font de nous est du même ordre. Les reptiliens purs et les hybrides se nourrissent d’humains à la façon dont les humains se nourrissent de bétail et ils mènent leur sacrifice rituel de façon à produire les hormones et les substances chimiques souhaités. Le torrent d’adrénaline généré par la peur produit une hormone, l’adrénochrome, que l’on range parmi les substances hallucinogènes, forme atténuée du LSD. Ils cherchent à stimuler la production du neurotransmetteur sérotonine capable de susciter une communication interdimensionnelle via la glande pinéale, vecteur du chakra « 3ème œil » sas de la clairvoyance. Ils disposent d’un autre moyen d’établir une communication cosmique, à l’aide de l’or monoatomique. L’or monoatomique apparaît comme un vecteur efficace de l’énergie électrique, ce qui, combiné à d’autres propriétés, conduit à l’ouverture de canaux vers une réalité multidimensionnelle…
Quand j’ai exposé que des rituels sacrificiels humains avec ingestion de sang, impliquaient quelques unes des personnalités mondialement connues, beaucoup ont eu du mal à me suivre. Pourtant, une fois établie l’origine de ces lignées suivies à la trace à travers l’histoire, il se révèle exceptionnel qu’elles n’aient pas pris part à de telles horreurs, étant donné qu’elles s’y sont toujours adonnées et qu’elles avaient besoin d’en passer par là par nécessité génétique. De nos jours, sont impliqués les Bush, les Clinton,, les Rockefeller, les Rothschild, la famille royale britannique, des Premiers ministres et des manipulateurs tel que Henry Kissinger. Les rituels étaient menés de par les traditions anciennes aux mêmes jours « sataniques » que ceux que l’on observait à Sumer, mais aussi Babylone et dans toutes les grandes places des reptiliens.
La plus grande forme de contrôle, est lorsque vous pensez être libre, alors que vous êtes fondamentalement manipulés et dictés. Une forme de dictature peut être une prison avec des barreaux que vous pouvez voir ou toucher, l’autre, d’être assis dans une prison et de ne pas voir les barreaux et considérer votre corps pour dire que vous êtes libres. Ce dont souffre la race humain, est l’hypnose de masse.
Si vous voulez cacher quelque chose aux peuples, inculquez-leur une façon de penser qui soit la plus éloignée possible de ce qui se passe vraiment afin que, si la vérité est révélée au grand jour, elle paraisse bien trop ridicule et fantastique pour que la majorité l’accepte. Si vous faites suffisamment bien le travail, les gens vont tourner la vérité en dérision, dire que c’est de la folie, et ridiculiser quiconque essayera de la promouvoir.

Autres livres de David Icke :





David Icke, l’auteur le plus controversé au monde, a passé le dernier quart de siècle à démêler les secrets de l’Univers, de la réalité et des forces qui manipulent notre monde.
Le discours que l’on rejetait et dont on se moquait autrefois, trouve aujourd’hui une écoute de plus en plus grande et David Icke, si longtemps considéré comme un amuseur public, est à présent reconnu comme étant un homme en avance sur son temps.
Cet énorme ouvrage contient plus de 800 visuels et illustrations. David Icke nous délivre ici, avec force détails, une vie consacrée à rechercher les preuves que notre réalité n’est autre qu’une simulation par ordinateur, que l’Univers n’est qu’un hologramme et que des forces cachées dirigent notre monde et manipulent les hommes avec l’aide de réseaux de lignées afin que, tel le monde d’Orwell, tout soit totalement sous contrôle.
Icke expose des thématiques étroitement liées. Les événements et les personnes qu’il cite vont permettre à l’humanité de prendre conscience de ce qu’il se passe, de faire cesser le tragique cauchemar dans lequel nous nous débattons et de retrouver la véritable nature de notre monde : un endroit duquel l’amour, l’harmonie, la paix et la Conscience infinie n’auraient jamais dû disparaître.
Comme le dit si bien David Icke : « Je comprends, à présent, que toute ma vie n’a été qu’un long chemin menant à ce livre. »
À l’intérieur, 32 pages reprenant les oeuvres originales de Neil Hague.
Ce livre est best-seller !
- Un monde de leurres
- CHAPITRE 1 – Avoir les couilles de le faire
- CHAPITRE 2 – Vous êtes Tout ce qui est
- CHAPITRE 3 – Vous êtes ce que vous choisissez d’être
- CHAPITRE 4 – Comment nous en sommes arrivés là – la catastrophe
- CHAPITRE 5 – Comment nous en sommes arrivés là – les archontes
- CHAPITRE 6 – Comment nous sommes maintenus dans ce leurre – la matrice
- CHAPITRE 7 – « Mort » pendant une semaine puis de retour pour raconter
- CHAPITRE 8 – Le piège de l’émotion
- CHAPITRE 9 – La matrice Saturne-Lune
- CHAPITRE 10 – La Lune n’est pas un ballon… mais…
- CHAPITRE 11 – La société Saturne
- CHAPITRE 12 – Le « sang » des archontes
- CHAPITRE 13 – La pyramide du pouvoir
- CHAPITRE 14 – Le satanisme archonte
- CHAPITRE 15 – La royauté Rothschild et les Windsor métamorphes
- CHAPITRE 16 – La pédophilie archonte
- CHAPITRE 17 – La religion archonte
- CHAPITRE 18 – Rituels de masse des vampires de l’énergie
- CHAPITRE 19 – La matrice est une onde stationnaire (tout comme l’ADN)
- CHAPITRE 20 – Les parasites de la perception
- CHAPITRE 21 – L’ « enseignement » archonte
- CHAPITRE 22 – La « science » archonte
- CHAPITRE 23 – La « médecine » archonte
- CHAPITRE 24 – La politique archonte
- CHAPITRE 25 – Le sionisme archonte
- CHAPITRE 26 – L’économie archonte
- CHAPITRE 27 – Les médias archontes
- CHAPITRE 28 – Les médias alternatifs archontes
- CHAPITRE 29 – Hunger Games
- CHAPITRE 30 – Du baratin sur le climat
- CHAPITRE 31 – Voler le monde
- CHAPITRE 32 – Mutation génétique
- CHAPITRE 33 – Toxicité de masse
- CHAPITRE 34 – Tout est «smart»
- CHAPITRE 35 – Changer l’atmosphère
- CHAPITRE 36 – Recruter les fous
- CHAPITRE 37 – L’Etat mondial orwellien
- CHAPITRE 38 – L’Etat mondial orwellien (2)
- CHAPITRE 39 – La planète archonte
- CHAPITRE 40 – Un monde sans leurres
David Icke, célèbre journaliste et conférencier, s’intéresse de près aux « individus qui contrôlent vraiment le monde » et aux enjeux de la conspiration. Il a travaillé pour la BBC et d’autres journaux prestigieux, mais son opinion constitue aujourd’hui l’un des majeurs contrepoids à l’information officielle.