Début 1993, Steven M. Greer commence à rassembler dans sa maison de campagne de Virginie des personnalités militaires et gouvernementales déclarant avoir été témoins d’événements extraterrestres ou d’ovnis, ainsi que tous éléments pouvant être utilisés dans l’objectif d’une révélation publique. Le but est alors d’informer l’administration Clinton, y compris James Woolsey (directeur de la CIA), des hauts-officiers du Pentagone, et plusieurs membres du Congrès américain sélectionnés.
En avril 1997, plus d’une douzaine de témoins militaires ou membres de gouvernements sont réunis à Washington (D.C.) lors d’une réunion avec des membres du Congrès américain, des officiels du Pentagone ainsi que d’autres personnalités. Lors de cette réunion, Greer et ses volontaires demandent l’ouverture de débats au Congrès américain sur le sujet, sans succès.
En 1998, S. Greer décide de se consacrer au projet à plein temps, en le privatisant via des fonds issues de la vente de cassettes video, l’édition et l’organisation d’événements sur les ovnis, avec l’aide de plus de 100 témoins militaires ou membres de gouvernements. Ils estiment qu’entre 2 et 4 millions de dollars seront nécessaires pour organiser ce projet sur un plan mondial.
En 1998, Greer décide de se consacrer au projet à plein temps, en le privatisant via des fonds issues de la vente de cassettes video, l’édition et l’organisation d’événements sur les ovnis, avec l’aide de plus de 100 témoins militaires ou membres de gouvernements. Ils estiment qu’entre 2 et 4 millions de dollars seront nécessaires pour organiser ce projet sur un plan mondial.
Début août 2000, seulement 5% des ces fonds sont rassemblés, mais ils décident de procéder à la privatisation du projet « révélation » (disclosure en anglais) arguant qu’il serait imprudent de le retarder plus, étant données les retombées sérieuses du projet. Ils entament alors le projet d’archive des témoignages et commencent à se déplacer dans le monde entier pour interroger les témoins avec du matériel video de qualité.
Au terme de cette tournée en décembre, Greer commence à visionner chez lui plus de 5 jours de témoignages bruts, les réduisant à 1 jour et 9 heures, puis une sélection de 18 heures en février 2001, doublée et retranscrite sur près de 1200 pages. De mars à avril, il édite ces transcriptions dans une forme lisible, diffusée aujourd’hui.
Le mercredi 9 mai, Greer présente le projet au public et aux média au National Press Club de Washington, D.C. La conférence commence par une introduction de l’acteur Jon Cypher qui paraphrase le slogan de la série X-Files (“la vérité est ailleurs”) en affirmant que “la vérité est ici”.
Steven Greer prend ensuite la parole, remerciant au passage Sarah McClendon (91 ans, correspondante à la Maison Blanche pour le McClendon News Service) pour son soutien, puis affirmant, entre autres, que le gouvernement américain et le gouvernement anglais entretiendraient depuis longtemps des échanges secrets avec des extraterrestres, qu’ils cacheraient à l’humanité l’existence d’une nouvelle énergie capable de remplacer le pétrole, de régler les problèmes d’environnement liés à la surexploitation d’hydrocarbures et de l’effet de serre.
Steven Greer conclut enfin en exigeant la fin du silence et surtout la fin du complot, puis répond aux questions des journalistes. Il est l’organisateur de la conférence Disclosure Project dans laquelle il a été discuté du secret le mieux gardé au monde… la présence extraterrestre sur Terre.
Une série de personnes nous livrent leur témoignage, souhaitant pouvoir le faire en détail dans le cadre d’une audition officielle du Congrès.
– John Callahan (directeur de division au bureau d’Enquête et d’Accidents de la FAA) sur l’observation aéronautique de la Japan Air Lines
– Charles Brown (lieutenant-colonel de l’AFOSI à la retraite) ayant participé au Projet Grudge
– Michael Smith (sergent contrôle aérien de l’USAF)
– Graham Bethune (pilote, commandant à la retraite de l’US Navy) sur l’observation de Gander
– Dan Willis (US Navy) qui dira avoir reçu un message d’un navire ayant observé un objet sortir de la mer; une douzaine de témoins de l’armée américaine, de fonctionnaires des Agences Fédérales et d’organismes comme la Direction de l’Aviation civile internationale.
– Don Philippe de Lockeed Skunkworks (sous-traitant de la CIA), suggérant que les pilotes d’avions secrets avaient une double mission en plus de leur mission officielle : surveiller les allées et venus d’ET entre la Terre et l’espace, et avoir lui-même observé 6 a 7 ovnis avec d’autres militaires dans la zone 51.
– Robert Salas témoins de l’incident du site Echo de Malstrom.
– Dwynne Arnesson (lietenant-colonel, officier des communications électroniques de l’USAF) déclarant avoir reçu alors qu’il était à la base de Rammstein en Allemagne, un message relatant un crash au Spitzberg en Norvège.
– Harland Bentley (1er classe de l’US Army) déclarant avoir observé des ovnis.
– John Maynard (retraité de la DIA) disant avoir vu des documents sensibles, dont des images d’ovnis
– Karl Wolf (sergent de l’USAF) déclarant être venu réparer des équipements à la NASA s’être entretenu avec quelqu’un lui ayant déclaré qu’il y avait une base sur la face cachée de la Lune.
– Donna Hare (employée de la NASA) déclarant avoir vu des photos aérienne de « ronds » survolant la Terre, et qu’une de ses connaissances lui aurait raconté qu’un vaisseau avait été vu lors d’une mission Apollo.
– Larry Warren (officier de sécurité de l’USAF) sur l’observation de Bentwaters.
– George A. Filter (pilote retraité de l’espionnage aérien à l’USAF), déclarant avoir observé un ovni en mission, briefé des supérieurs sur l’observation de Téhéran, et avoir entendu le récit de la récupération d’un alien tué par un MP.
– Clifford Stone (sergent 1ère classe de l’US Army) prétendant que le gouvernement américain aurait tenté de détruire les preuves du crash d’un engin extraterrestre contenant des Aliens, le jeudi 9 décembre 1965 en Pennsylvanie et aurait menacé et pénalisé tous ceux susceptibles de parler de cet événement, dont ils auraient été témoins : « Certains nous ressemble beaucoup, certains pourraient être parmi nous sans qu’on s’en rende compte », précisant que 57 espèces extraterrestres auraient jusqu’alors été dénombrées.
– Mark McCandlish (artiste conceptuel pour l’USAF), racontant que son père (USAF) avait vu un ovni au télescope, qu’un camarade de fac avait vu 3 ovnis et montrant des photographies de la soucoupe de Provo, et racontant qu’un homme de la base d’Edwards a lui aussi vu des ovnis.
– Daniel Sheehan (avocat) témoignant de la tentative infructueuse du président J. Carter de récupérer des infos secrets sur les ovnis, et avoir vu des photographies d’un ovni écrasé au sol.
– Carol Rosin (docteur, consultante en espace et missiles) déclarant que Werner von Braun lui aurait fait des révélations sur les extraterrestres dans le cadre de l’armement spatial qui fallait bannir.
– Dr Robert Wood (chercheur) : « La conclusion à la quelle j’en suis arrivé est incroyablement inattendue. Ceux qui sont au pouvoir ont réussi à garder le secret sur l’histoire la plus colossale de l’humanité. »
– Stanton Friedman (chercheur canadien) : « Les preuves en sont écrasantes, que la Terre est visitée par des vaisseaux spatiaux sous contrôle d’une intelligence. »
– Linda Moulton Howe (chercheuse et journaliste) : « Ils nous ont tous étudiés. Ils ont bien plus d’informations sur nous que nous en avons sur eux. »
– Stephen Basett : « Ainsi donc, le gouvernement inonde le domaine avec des informations et des contre-informations depuis des décennies; ils ont saboté les recherches. »
– Edgar Mitchell (ancien astronaute) : « Nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Ils nous rendent visite depuis longtemps. »
Sénateur Mike Gravel : « Quelque chose surveille notre planète, et ils le font avec prudence. »
Paul Hellyer (ancien ministre de la Défense Canadienne) : « Il y a une seule façon de reprendre confiance. Trouver et dire la vérité. »
Depuis une vingtaine d’années, des pays tels que la France, l’Angleterre, le Canada, l’Irlande, le Danemark, l’Équateur, le Mexique, le Brésil, le Pérou ou encore le Chili ont déclassifié leurs dossiers sur les ovnis, mais les É-U sont encore réticents à le faire, bien qu’un processus de divulgation semble être en marche depuis quelques années, ce qui permet désormais à des spécialistes de l’exopolitique de s’appuyer sur des témoignages importants et des déclarations issues du Pentagone lui-même.
Nous sommes à la veille du jour où une grande nation de notre planète annoncera que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, et ce jour-là l’exopolitique prendra une place très importante dans notre société du XXIe siècle. De fait, nous assistons depuis 2001 aux prémices de cette révolution intellectuelle et sociétale, mais peu de gens sur la planète en ont conscience.
Qui est le docteur Steven Greer ?
Steven Greer est né le 28 juin 1955 en Caroline du Nord. Il a commencé sa carrière professionnelle en tant que médecin urgentiste au Caldwell Mémorial Hospital, une activité qu’il a partiellement quittée au début des années 90 pour se consacrer à l’exopolitique, une discipline dont il est l’un des précurseurs. Puis il a rompu tous liens professionnels qu’il avait avec la médecine en 1998. À partir de cette année-là, il consacra tout son temps à chercher s’il existait une cabale au niveau gouvernementale destinée a cacher au public qu’un contact avec une civilisation extraterrestre avait eu lieu au début des années 50. Il s’est aussi fait connaître mondialement du public le 9 mai 2001, lorsqu’il a présidé une conférence de presse au National Project (Projet Révélation).
Cet évènement a marqué l’histoire de l’ufologie, car il a permis de rassembler en un même endroit et au même moment plus de 20 témoins militaires, des représentants du gouvernement, des membres des services de renseignement et des chefs d’entreprises qui ont présenté des témoignages convaincants concernant l’existence de technologies avancées et de nouveaux moyens de propulsion mises au point dans le cadre de Black Project.
Ce jours-là, plus de 100 millions de personnes à travers le monde ont entendu parler de cette conférence de presse par le biais de sa diffusion internet et de la couverture médiatique qui a suivi sur CNN, BBC, Voice of America, La Pravda et des médias chinois.
Lors de cette journée de conférence, des témoins militaires et gouvernementaux ont révélé les plus grands secrets de l’histoire moderne. Le docteur Steven Greer a ensuite publié un recueil de témoignages militaires, gouvernementaux ou encore issus des services de renseignement.
Edgar Mitchell a fait des déclarations fracassantes sur des apparitions d’ovnis au-dessus d’installations nucléaires militaires américains pendant le guerre froide.
Edgar Mitchell : « On nous rend visite et c’est le moment de lever cet « embargo sur la vérité » au sujet de la présence Alien. J’invite le gouvernement à s’ouvrir et à s’unir à la communauté internationale qui cherche à attirer notre attention vers l’espace… Nous devrions regarder au-delà de la Terre et du système solaire et faire des recherches sur ce qui se passe là-bas, loin de nous. Nous sommes ici pour parler de « la déclassification ». Ce que je suggère, c’est qu’il est temps de lever l’embargo sur la vérité au sujet de la présence extraterrestre. J’invite notre gouvernement à s’ouvrir, de la même façon que l’ont fait d’autres gouvernements. Nous devons nous aussi, faire la même chose et devenir une partie de cette communauté planétaire qui essaie de jouer son propre rôle en tant que civilisation spatiale.«
Une invasion Alien sous fausse bannière est-elle en préparation ?
Dr Carol Rosin la collègue de Wernher von Braun semble penser…
Comme vous l’avez déjà entendu, Wikileaks publie a publié les courriels de J. Podesta depuis quelques semaines. Comme lors des précédentes fuites, on peut y voir les preuves évidentes d’une corruption massive au sein du gouvernement américain. Certaines des fuites de Podesta comprennent des informations sur les ovnis et les extraterrestres sous forme de courriels privés. L’un d’entre eux provient de l’astronaute Edgar Mitchell, membre de l’équipage d’Apollo 14 :
« Cher John, étant donné que la course à l’armement dans l’espace s’intensifie, j’ai pansé que vous devriez être conscient de plusieurs facteurs lorsque vous et moi programmerons notre discussion sur Skype. N’oubliez pas que nos ETI non violents de l’univers contigu, nous aident à apporter l’énergie du point zéro sur Terre. Ils ne toléreront aucune forme de violence militaire sur Terre ou dans l’espace. Les informations suivantes m’ont été communiquées par ma collègue Carol Rosin, qui a travaillé en collaboration pendant plusieurs années avec Wernher von Braun avant sa mort. Carol et moi avons travaillé sur le Traité sur la prévention du placement d’armes dans l’espace extra-atmosphérique… »
Dans le courriel, il mentionne Carol Rosin, qui a été la première femme chef d’entreprise de Fairchild Industries. Consultante en matière de défense antimissile et spatiale, elle a travaillé avec diverses entreprises, ministères et services de renseignements. Peu avant sa mort, elle a travaillé avec Wernher von Braun sur la question des armes basées dans l’espace. Elle a également fondé l’Institut pour la coopération en matière de sécurité dans l’espace extra-atmosphérique. Vous trouverez ci-dessous un entretien révélateur avec Carol, réalisé par le Dr Steven Greer, fondateur du Disclosure Project. Greer a accompagné le Dr E. Mitchell dans toutes ses communications et réunions avec le Pentagone et a contribué à faire venir des centaines de témoins militaires de tous rangs, avec des références et des antécédents vérifiés, pour partager ce qu’ils ont appris sur le phénomène ovni grâce à leur travail. Dans l’interview, elle évoque l’idée d’une menace extraterrestre sous fausse bannière. Le terme « fausse bannière ou faux drapeau » décrit des opérations secrètes conçues pour induire en erreur, pour donner l’impression que les événements sont menés par des entités, des groupes ou des nations autres que ceux qui les ont planifiés et exécutés.
Carol Rosin : J’ai rencontré feu le Dr Wernher Von Braun au début de l’année 1974, à l’époque où Von Braun était en train de mourrir d’un cancer, mais il m’a assuré qu’il vivrait assez longtemps afin de me parler du jeu qui se jouait, ce jeu étant l’effort pour armer l’espace, pour contrôler la planète depuis l’espace et l’espace lui-même. Il m’a demandé d’être son porte-parole, d’apparaître dans les occasions où il était trop malade pour parler, et je l’ai fait. Il m’a aussi demandé de sensibiliser les décideurs et le public aux raisons pour lesquelles nous ne devrions pas implanter d’armes dans l’espace… et aux alternatives, à la manière dont nous pourrions construire un système spatial coopératif. Ce qui m’a le plus interpellé, c’est une phrase qu’il m’a répété à maintes reprises. Et c’était la stratégie qui était utilisée pour éduquer le public et les décideurs, et les tactiques de peur, l’image que l’on donnait du système d’armement. Et c’est ainsi que nous identifions un ennemi. L’ennemi au début, disait-il, l’ennemi contre lequel nous allons construire un système d’armes basé dans l’espace. D’abord les Russes vont être considérés comme l’ennemi, puis les terroristes seront identifiés… puis nous allons identifier les fous du tiers monde, que nous appelons maintenant les nations préoccupantes. L’ennemi suivant étant les astéroïdes… et contre les astéroïdes, nous allons construire des armes basées dans l’espace. Et le plus drôle dans tout ça, c’était contre ce qu’il appelait les extraterrestres, ce sera la dernière carte. Pendant les 4 années où je l’ai connu et où j’ai fait ses discours à sa place, il me parlait de cette dernière carte. « Et rappelez-vous Carol, la dernière carte est la carte des extraterrestres! », « et tout cela est un mensonge », disait-il.
La divulgation sur le phénomène ovni, un collaborateur du Pentagone raconte...
Éric w Davis est un astrophysicien très renommé. Cet homme a un parcours exceptionnel, il a obtenu son doctorat en astrophysique à l’Université de l’Arizona en 1991. Il est directeur de recherche à l’Institute for Advanced Studies à Austin, P.D.G. de la société Warp Drive Metrics, et ancien collaborateur de la NASA. Cependant, ces spécialités s’apparentent fortement à de la science-fiction. Voyage interstellaire, manipuler l’espace-temps ou encore créer et canaliser des trous de verre constitue le quotidien de ce passionné.
Mais que se passe-t-il lorsqu’un homme aussi reconnu qu’Éric W Davis fait une énorme révélation sur le phénomène ovni ?
En effet, l’astrophysicien, au vu de son incroyable CV, a également travaillé avec le programme ovni du pentagone. Il a travaillé comme sous-traitant et consultant pour le programme ovni depuis 2007. Lors d’une déclaration, il rapporté qu’il y avait bien eu des crashs d’ovnis. Que des matériaux avaient été récupérés, mais que leur tentative a déterminer leur source à échouer.
Davis, qui travaille maintenant pour Aerospace Corporation, un entrepreneur de la défense, a déclaré qu’il avait donné un briefing confidentiel à une agence du ministère de la Défense pas plus tard qu’en mars 2020 sur les récupérations de «véhicules extraterrestres qui ne sont pas fabriqués sur cette terre».
Davis a déclaré qu’il avait également donné des séances d’information classifiées sur la récupération d’objets inexpliqués aux membres du personnel du Comité des forces armées du Sénat le 21 octobre 2019 et aux membres du personnel du Comité du renseignement du Sénat deux jours plus tard. Les membres du personnel du Comité n’ont pas répondu aux demandes de commentaires sur la question. (Source: New York Times)
Quand quelqu’un comme Éric W Davis parle, il est difficile de ne pas le prendre au sérieux. Mais il n’est pas le premier à déclarer que des crashs d’ovnis ont bien eu lieu sur notre planète.
Un budget colossal pour étudier les ovnis...
En 2017 le New York Times a révélé l’existence du projet Advanced Aerospace Threat Identification Program. Selon les responsables du ministère de la Défense, l’unité en question aurait reçu un financement de 22 millions de dollars. À partir de 2012, ce montant fut décuplé. Ce programme lancé en 2007 par la DIA, et a ensuite été placé au sein du bureau du sous-secrétaire à la défense du renseignement, qui reste responsable de sa surveillance. Or, selon le New York Times, ce programme n’a jamais expiré. Cependant, peu de choses ont été divulguées concernant ce programme. Toutefois, ce montant aurait pu être attribué aux recherches sur les matériaux exotiques découverts, comme le déclare Éric W Davis.
Un document qui fuite…
En effet, un fait qui n’est pas mentionné dans l’article du New York Times concerne un document. Ce document est l’une des fuites les plus importantes et les plus significatives de l’histoire des ovnis. Il raconte en détail une rencontre entre le Éric W Davis et le vice-amiral Thomas Ray Wislon. (source). Ce document parle d’une proposition de contrat à Éric W Davis concernant des recherches en cours sur des matériaux exotiques, à la suite d’un crash d’ovni. De plus, la fuite de ce document n’a fait l’objet d’aucun démenti public de la part de Davis concernant son authenticité. Le point fort concernant l’authenticité du document. C’est qu’il aborde une réunion qui a eu lieu en 1997 entre le chercheur OVNI Dr Steven Greer, l’amiral Wilson, le Dr Edgar Mitchell (astronaute d’Apollo 14) et d’autres personnalités de haut rang au sein de l’armée. Or, cette réunion a été évoquée par le Dr Greer et le Dr Mitchell quatre ans avant la fuite de ce document.
La divulgation sur le phénomène ovni est-elle en cours ?
La fascination du public pour le sujet des ovnis a attiré l’attention du président Trump, qui a déclaré à son fils Donald Trump Jr. dans une interview en juin qu’il savait des choses «très intéressantes» sur Roswell – une ville du Nouveau-Mexique qui est au cœur des spéculations sur l’existence d’ovnis. Le président a hésité lorsqu’on lui a demandé s’il déclassifierait des informations sur Roswell. «Je vais devoir réfléchir», dit-il. (Source: New York Times)
voir article : https://aliensontdejala.wordpress.com/2020/07/06/d-trump-promet-de-reflechir-a-la-declassification-des-dossiers-ovnis/
On se souvient également des déclarations de l’ancien directeur des renseignements à la DGSE, Alain Juillet. Dans le documentaire ovni, une affaire d’État il avait déclaré :
« Je suis, à l’origine, un homme du renseignement et lorsque l’on voit des choses inexplicables aujourd’hui, on sait qu’on pourra les expliquer demain. C’est simplement que nous n’avons pas les éléments pour imaginer ou comprendre ce qui se passe. »
Dans un article du télégraph du 26 janvier 2020, un porte-parole de la British Royal Air Force déclare que le Ministère de la Défense du Royaume-Uni s’apprête à déclassifier tous ses rapports dédiés aux ovnis. (Source: télégraph )
« Il valait mieux publier ces documents que de continuer à les envoyer aux Archives. »
« Le Ministère de la Défense n’a aucune opinion sur l’existence ou non d’une vie extra-terrestre et n’enquête pas sur les rapports d’ovnis. »
Il va falloir s’armer de patience, mais les choses sont en train de changer. Qu’on le veuille ou non la divulgation sur le phénomène ovni est en marche. Le sujet est maintenant abordé ouvertement par les politiques. La question est, pourquoi maintenant ?
La députée Lynn Woolsey pose la question suivante : « La dissimulation de l’ET est-elle due à des plans d’armement de l’espace? » Les OVNIs ont montré qu’ils peuvent désactiver les armes nucléaires si nécessaire. Woolsey suggère que les ET pourraient être bienveillants puisque ces rapports montrent une certaine retenue de leur part. Elle ajoute que nous [le congrès] devons en parler, et que la presse doit prendre la question au sérieux et en rendre compte.