
Deux Présidents des États-Unis ont-ils décidé de couvrir par un secret d’État les preuves matérielles qu’ils détenaient d’une présence non-terrestre sur notre planète ? – Des artefacts non-terrestres ont-ils aidé les scientifiques du Manhattan Project à mettre au point les premières bombes atomiques ? L’habilitation MAJIC concernant ces éléments était-elle, en 1947, réservée au Président, aux chefs de l’état-major et à ceux du renseignement ? Si les nouveaux documents peu connus que l’auteur étudie sont authentiques, une réponse affirmative à ces trois questions semble inévitable. Faute de confirmations officielles, la méthode suivie est originale : intégrer les informations nouvelles dans le contexte de ses précédents ouvrages qui s’appuient, eux, sur des documents historiques, afin d’évaluer la cohérence de l’ensemble. Cette cohérence, à la lecture des éléments présentés, semble très convaincante.
L’auteur :
Jean-Gabriel Greslé a exercé sa carrière dans l’aéronautique, d’abord comme pilote de chasse pendant six années dans US air Force, avant de devenir Commandant de Bord pendant vingt ans. Il a publié : Documents interdits et Extra-terrestres, Secret d’État aux éditions Dervy.
Vous affirmez, à partir de documents déclassifiés, que les présidents américains entre 1942 et 1954 ont menti sur la question des ovnis. Pourquoi pensez-vous qu’ils existent ?
Né en 1932, Jean-Gabriel Greslé s’engage dans l’armée en 1951. Après avoir été élève pilote à l’US Air Force, il rentre à Air France en 1963 où durant vingt ans, il sera commandant de bord. Après avoir été à trois reprises, témoin de phénomènes aériens inexplicables, il est devenu l’un des ufologues les plus réputés.
La première fois c’était en 1952 lors d’un vol au-dessus de Washington. Nous avons été dépassés par des engins inconnus qui manifestaient des performances impossibles à réaliser pour un avion normal. Le phénomène s’est reproduit le 19 juillet de la même année. À l’époque, face aux interrogations, l’US Air Force a avoué son incapacité à répondre. Déclarant que les phénomènes n’étaient pas nouveaux mais inexplicables. La seconde fois s’est produite lors d’un vol Air France en 1966. Nous avons été dépassés par un engin à 5 000 km/h au sud ouest de Buenos Aires et enfin à Détroit sur le vol Los Angeles-Montréal. Là encore nous avons été dépassés par un engin qui a laissé une traînée lumineuse.
Roswell (Nouveau-Mexique), juillet 1947. Un aéronef d’origine inconnue s’écrase près d’une base ultra-secrète de l’armée américaine. Des témoignages d’une étonnante précision décrivent l’appareil et signalent l’existence de » créatures » dont l’une aurait survécu au crash. Bizarrement, l’US Air Force fait disparaître l’épave dans les heures qui suivent. Pourquoi une telle hâte? En pleine guerre froide, tout objet non identifié dans le ciel américain risque de jeter le discrédit sur l’efficacité de la défense aérienne. Pourtant, à l’époque, d’étranges engins survolent les bases atomiques les plus sensibles des Etats-Unis. Dans un texte clair, qui se lit comme un roman, Jean Gabriel Greslé nous fait enfin découvrir quelle réalité se cache derrière les mensonges, les imprécisions et la dérision qui occultent ce délicat problème depuis plus d’un demi-siècle. Cette enquête méthodique et passionnante, qui s’appuie sur une analyse rigoureuse de documents » déclassifiés » du FBI et de la CIA, ainsi que de nouvelles sources inédites, donne un éclairage inattendu à cette énigme. Devenu pilote professionnel après avoir été formé comme pilote de chasse dans l’US Air Force, Jean Gabriel Greslé a occupé pendant vingt ans la fonction de commandant de bord dans une grande compagnie aérienne. Il est, entre autres, l’auteur de Documents interdits. Ce que savent les états-majors, paru chez le même éditeur.
Vous affirmez, à partir de documents déclassifiés, que les présidents américains entre 1942 et 1954 ont menti sur la question des ovnis. Pourquoi pensez-vous qu’ils existent ?