Extrait du livre « Soyons conscients des manipulations de l’élite mondiale » de l’ex ministre de La Défense Canadienne, Paul Hellyer :
Rien au nom de la « sécurité nationale », ne justifie un embargo sur la vérité vieux de plusieurs décennies. Lors de l’audience citoyenne sur la Divulgation qui a eu lieu au National Club Press de Washington en mai 2013, les témoins semblaient s’entendre pour dire que le camouflage était fort peu lié à la sécurité nationale, voire pas du tout. Il était plutôt une manifestation de pouvoir et d’appât du gain. Lever le voile du secret ne menace pas les intérêts de la République. La divulgation des faits et le rétablissement de la primauté du droit mettrait plutôt fin à la domination du petit groupe d’élite composé de banquiers, de magnats de l’industrie, d’agents du renseignement et de militaires hauts gradés qui font la pluie et le beau temps au nom de la sécurité nationale.
Depuis quand ce non-respect de la loi et ce mépris de la démocratie jouents-ils un rôle aussi prééminent ? Cela remonterait à la présidence de Dwight Eisenhower, voire plutôt.
Au dernier jour de l’Audience Citoyenne sur la Divulgation, nous avons visionné le film Deathbed Testimony (Ultime témoignage). Ce film contenait des révélations au sujet des ovnis qu’un supposé ancien agent de la CIA souhaitant garder l’anonymat avait confiées en entrevue à l’historien et auteur de livres sur les ovnis : Richard Dolan le 5 mars 2013.
Une insuffisance rénale imminente a incité cet individu à révéler des informations secrètes qu’il jugeait trop importantes pour ne pas les divulguer. Dans cet entretien vidéo, il affirme avoir servi dans l’armée américaine, travaillé pour la CIA et collaboré au projet Blue Book des forces aériennes des USA (United States Air Force), une des enquêtes officiels de l’USAF sur le phénomène des ovnis qu’il décrit comme étant « en partie frauduleuse ». Désireux de clarifier son propos, R. Dolan lui demande : « Dites vous qu’une partie des cas détaillés dans le Blue Book est complètement fictive ? » Oui répondu l’agent de la CIA.
L’agent anonyme allègue que, comme suite à une menace d’invasion du président D. Eisenhower, lui et son supérieur de la CIA ont eu accès à la clandestine Zone 51 afin d’y recueillir des renseignements et de faire un rapport au président.
Le président Eisenhower s’était rendu compte qu’il avait été tenu dans l’ignorance des activités des Projets noirs entre représentants de diverses races extraterrestres et de leurs technologies au détachement éloigné de la base d’Edwards de l’USAF située dans la partie sud du Nevada, à 133 km au nord-ouest de Las Vegas. Autrement dit, la Zone 51.
Eisenhower en fut si outré qu’il fit savoir à la direction de la Zone 51 qu’il ferait appel à la 1ère armée de Colorado Springs pour envahir la base si l’accès en était refusé à deux de ses fidèles agents de la CIA. L’agent anonyme décrit alors plusieurs vaisseaux extraterrestres, y compris celui qui s’était écrasé à Roswell. Il poursuit en disant que lui et son supérieur ont ensuite été conduits à l’installation S4 au sud-ouest de la Zone 51, où ils ont pu observer des aliens vivants.
Certes, en menaçant de faire usage de la force le général Eisenhower a pu entrevoir ce qui se passait dans certains secteurs hautement protégés, mais il a été impuissant à y remédier. Un ou plusieurs de ses fidèles conseillers l’ont sans doute trahi. Résultat, si l’on excepte une mise en garde générale à la population américaine l’invitant à se méfier de ce complexe militari-industriel, une alerte qu’ont ignorée tant le Congrès que les présidents subséquents, aucune mesure n’a été prise pour mettre fin à l’insubordination de ceux qui avait fait l’objet de cette mise en garde. Par conséquent, un mur de silence beaucoup plus important que le mur de Berlin a été érigé par les pirates qui avaient leur propre conception de ce qu’il y avait de mieux pour les États-Unis, et finalement pour la planète et sa place dans le cosmos.
Harry Truman a sans doute été le dernier président pouvant être sûr que ses conseillers lui disaient la vérité. Eisenhower a dû menacer de recourir à la force pour connaître une partie de la vérité. Les présidents subséquents ont tous été contrains de vivre une double vie : détenir un pouvoir théorique tout en étant impuissants à exercer leur autorité constitutionnelle. Chacun d’eux a été briefé sur la présence des ETs et sur leur technologie, mais uniquement dans la mesure où les chefs suprêmes pouvaient compter sur lui pour occulter la vérité et feindre l’ignorance. Au moindre écart, le président n’était pas réélu pour un second mandat. Qui plus est, les membres du Congrès et les sénateurs curieux se faisaient dire de se mêler de leurs affaires.
L’entrevue anonyme d’une durée de 21 min 56 s, est un film du réalisateur Jeremy Kenyon Lockyer Corbell. Ce film est une exploration du témoignage d’un prétendu agent de la CIA très controversé qui affirme, au cours de sa carrière militaire et dans le renseignement, avoir été exposé à des réalités et à des technologies de nature extraterrestre. Cette «confession sur son lit de la mort» a été présentée en tant que témoin lors de l’audience des citoyens sur la divulgation au National Press Club à Washington DC en mai 2013 et a suscité un vif débat au sein des communautés du renseignement et des OVNIS.
Le 6 juin 1998 – la journaliste d’investigation Linda Moulton Howe fait comparaître un témoin sous le pseudonyme AGENT KEWPER à l’émission de radio Coast to Coast AM. Le témoin a affirmé que durant son service militaire, il avait acquis des connaissances et une expérience directe des extraterrestres et de leurs technologies. Immédiatement après ce rapport, l’AGENT KEWPER a été averti de cesser tout contact avec Linda Moulton Howe ou d’en subir les conséquences.
Quinze ans plus tard, craignant que la fin ne soit proche, le témoin sortit de l’ombre et était de nouveau prêt à raconter son extraordinaire histoire. En raison de l’avertissement reçu à propos de ses dires avec Linda Moulton Howe, nous avons pris des dispositions pour que l’historien des ovnis, Richard Dolan mène l’interview. Cela fait partie de cette histoire.